L’énergéticien Italien Enel a inauguré hier en Sicile, près de Syracuse (sud-est), une centrale solaire thermodynamique baptisée "Archimède" et dotée d’une technologie innovante.
Cette centrale solaire est constituée de près de 30.000 mètres carrés de miroirs paraboliques captant et réfléchissant la lumière du soleil sur environ 5.400 mètres de tubes dans lesquels circule un fluide caloporteur. L’énergie thermique ainsi obtenue permet de produire de la vapeur alimentant les turbines de la centrale à cycle combiné gaz/vapeur à laquelle la centrale solaire est reliée.
Selon Enel, la centrale d’Archimède est la première au monde à utiliser du sel fondu comme fluide caloporteur et (elle) demeure également la première au monde à être intégrée à une centrale électrique au gaz à cycle combiné.
La centrale solaire d’une puissance de 5 mégawatts permettra à Enel d’éviter le rejet annuel de 3.250 tonnes de CO2, tout en réduisant la consommation de gaz nécessaire à l’alimentation des turbines de la centrale à cycle combiné, dont la puissance est de 752 mégawatts.
Archimède est en mesure de recueillir et de stocker pendant plusieurs heures la chaleur du soleil, avant de la réutiliser pour produire de l’électricité la nuit ou lorsque le ciel est couvert. Grâce à ce procédé, la limite concernant cette source d’énergie renouvelable devient dépassée : "le fait de ne pouvoir l’utiliser que lorsque la nature la rend disponible".
L’énergie solaire thermique est une technologie qui utilise une série de miroirs paraboliques dans l’objectif de concentrer la lumière du soleil sur des tubes parcourus par un fluide. La chaleur collectée dans des conteneurs spéciaux, peut être utilisée pour alimenter une turbine à vapeur. La vapeur à haute température exerce ensuite une pression sur la turbine afin de produire de l’électricité
Les sels fondus composés d’un mélange de sodium et de potassium ont la capacité d’accumuler la chaleur pendant des périodes prolongées.
La technologie utilisée dans l’usine de Priolo a été développée par Enea.
[Mise à jour article : 20/07/2010 – 08h30]
A t’on une idée du rendement d’une telle installation?
c’est trop nul!!!!!!!!
enculer de moustafa retourne dans ton pays
j’tencule inchala batar de sarko!!
j’tencule inchala batar de sarko!!
moi ta mere a pa besoin d instalation
ptit con de bougnoul retourne dans ton pays
le rendement théorique max de la machine à vapeur est le rendement de carnot associée à cette machine, donc si je ne m’abuse aux alentours de 63% si on arrive à récupérer 50% de ce rendement, cela fera toujours environ 31% mais un rendement de l’installation est toutefois délicat à calculer car nous ne « payons » pas l’énergie solaire… on récupère bcp de chaleur pour quelques pompes à alimenter. Ensuite, c’est une imv, voir plus haut…
Depuis, le « parabolique » est quasiment « has been » pour les nouveaux projets. Le rendement d’une installation qui utilise une ressource gratuite n’est pas un critère, ce qui compte c’est ce que ça coute au MWh produit et la garantie de cette prodution ( au pas journalier , saisonnier, annuel).