"Le public est maintenu dans l’ignorance au sujet de la viabilité de l’énergie solaire photovoltaïque", selon une étude menée par l’Université du Queen au Canada.
"De nombreux analystes mettent en avant le coût élevé de l’énergie solaire photovoltaïque sans toujours tenir compte des dernières avancées technologiques et des réductions de coûts", tels sont les propos de Joshua Pearce, Professeur adjoint du département de génie mécanique de l’Université du Queen. "Les modèles plus anciens pour déterminer les coûts de l’énergie photovoltaïque solaire sont trop conservateurs".
Le Dr J. Pearce pensent que les systèmes solaires photovoltaïques sont proches du "point de basculement" où ils pourront produire de l’énergie pour à peu près le même prix que les autres sources d’énergies traditionnelles.
Les analystes regardent beaucoup de variables pour déterminer le coût des systèmes solaires photovoltaïques à destination des consommateurs, comme les coûts d’installation et d’entretien, les frais financiers, la durée de vie du système, et la quantité d’électricité qu’ils génèrent.
Le Dr J. Pearce affirme que certaines études ne tiennent pas compte de la réduction de 70% des coûts des panneaux solaires depuis 2009. Par ailleurs, il affirme que les recherches actuelles montrent une productivité annuelle de panneaux solaires à haut rendement faisant chuter les prix de seulement 0,1% à 0,2%, largement en deçà du 1% communément admis dans de nombreuses analyses économiques.
Les coûts d’équipement sont déterminés en fonction de l’électricité produite en $ (dollar) par watt. Une étude publiée en 2010 a estimé ce coût à 7,61 dollars, tandis qu’une autre datant de 2003 fixait le seuil à 4,16 dollars. Selon le Dr J. Pearce, le coût réel en 2011 est inférieur à 1 $ par watt pour les panneaux solaires achetés en volume sur le marché mondial, alors que les coûts des systèmes et de l’installation demeurent à des niveaux très variables.
Le chercheur a donc créé pour combler ces lacunes un programme de calcul sous excel disponible en téléchargement (NDLR : accès gratuit >>>> ICI ) pouvant être utilisé pour déterminer le véritable coût de l’énergie solaire.
1$ par watt… Pourquoi nos réseaux de pouvoir « …/administrativocomptables » si brillants il y a 40-50 ans, ont-ils fait en sorte , depuis les 10-15 années passées, que notre industrie ne soit pas capables de produire des PV à ce prix? Ils ont en plus eu un rôle non négligeable dans la destruction de notre industrie de machine outils… Passeront-ils aussi l’opportunité de réaliser dans notre pays les équipements nécessaires pour les réseaux électriques intelligents et les stockages disséminés d’énergie? Sont-ils sclérosés à ce point par l’esprit jacobin et manichéen en matière d’énergie pour lequel seule la production centralisée n’est envisageable?
………………………………………………………………………………………………. Et pour ces raisons, les pro-nucléaires doivent être prudents ………………….. Et pour ces raisons, les anti-nucléaires doivent être patients ………………….. Entre la montée en rentabilité des diverses ENR et la montée des surcoûts du nucléaire, le déclin de celui-ci est inévitable …….. Alors, préparons-le sereinement pour qu’il se passe le mieux possible, peut-être même jusqu’à rallonger certaines durées de vie pour financer de la meilleure manière le démantèlement …………….. Pour démanteler, ……… pas pour verser des dividendes !
de diminuer le coût du photovoltaique des installations individuelles, il suffirait de virer toutes les mesures imposées par l’état Français pour en augmenter le prix d’installation par les artifices d’intégration et des nouvelles certifications du CSTB. Tout cela a été fait pour bloquer l’importation de modules allemands, sud-africain, américains et chinois! alors qu’en france on a coulé notre industrie naissance (Silpro et photowatt). c’est aussi surtout pour sauvegarder les revenus de l’ETAT actionnaire de EDf et AREVA. Avez vous remarqué que malgré toutes les mesures tarifaires et administratives prises par nos Enarques, c’est encore EDF qui pose les plus grandes centrales au sol en FRANCE, AAA monopole d’Etat bien conservé . Actuellement si on virait l’integration et les sucouts CSTB, CEIAB etc.. un module PV 0.70 euros + un onduleur 0.20 euros /w + MO 0.10 euros/w on arriverait à un investissement de 1 euro /W qui produit en france 1000 fois la puissance installée. nous en serions donc à l’investissement à 1 euros pour 1 kWh produit annuellement ce qui fait (amorti sur 2o ans) un cout de l’électricté produite de 0.05 euros/ kWh CQFD. sans compter que la durée de vie d’un module n’est pas de 20 ans mais plutot de 50 ans même si on perd un peu du rendement initial. l’avantage du PV c’est qu’il produit (quand il y a du soleil je vous l’accorde) en local et en harmonie avec le pic de consomation journalier. Nous pourrions de la même manière produire directement de l’eau chaude (rendement 700w /m² posé) sans passer par la production d’électricité pour chauffer l’eau sanitaire ! Mais la volonté politique n’existe pas en France, la seule motivation de nos dirigeants c’est les impôts, les taxes, et comment rentrer du pognon pour l’Etat, les caisses noires, les gachis, les CE crapuleux, les trous de la SS, de la retraite, des regimes spécaux, le déficit, la dette… Enfin on est mal barré ! le capitaine se balade surtout en Europe sans conduire son bateau ici en France .. je fais partie du peuple! et j’en ai marre de ce gachis technique, intellectuel et commercail que font nos Enarques, sont ils tous franc-maçon ? ou copain d’avant? en tout cas ils sont tous bien intéressés dans les « affaires »
Il s’agit, cher Oeildecain, ni de prudence ni de patience, mais de vision à long terme et de ténacité. Jamais ceux qui ont été à l’origine des télécoms modernes (depuis le 22 à Asnières…), d’Ariane, d’Airbus, du TGV, etc. et même de l’industrie nucléaire fissiliste n’en ont manqué. Mais le partage du pouvoir il y a 40-50 ans n’était pas le même qu’il y a 20 ans où le court terme est devenu prépondérant. Les comptables ont alors eu une importance démesurée dans les processus de décision.
Il ne faut pas, cher Catalan, tomber dans le piège du bouc émissaire porté sur « le capitaine ». Bien au contraire, faites tout pour instruire les réseaux, y compris les …, pour ré-équilibrer la décision subalterne en fonction des considérations sur le long terme. Ce n’est pas au niveau du capitaine. Mais je suis d’accord avec vous de dire que ce n’est pas en renforçant la classe sociale dominante, celle des fonctionnaires, qu’on y arrivera…
C’est très bien. Si le photovoltaïque n’est pas cher, il n’y aura plus lieu de le subventionner ni de payer pour l’obligation d’achat ! NB:une petite remarque pour Catalan : que je sache, le pic de production du solaire n’est pas en phase (surtout en hiver) avec le pic de consommation qui se situe vers 17h30 !
Bonjour. Tous les chefs d’entreprises vous le diront : « faire reposer l’entreprise sur un seul fournisseur est risqué pour la pérennité de l’entreprise ». Pourquoi ne pas appliquer cette même règle – basique – pour la gestion du pays France ? Environ 90% de la production d’électricité provient du nucléaire. Il serait plus prudent de ré-équilibrer en faveurs d’autres technologies, notamment des renouvelables.
Quand on parle d’installation individuelle, on parle d’une puissance de 1 à 9 kw consommée localement. je vous indiquais dans mon exemple de calcul que sans les contraintes imposées par le gouvernement, le PV est déjà en 2011 concurentiel (sans aides) du cout public (12cts/kwh). Ensuite je vous ai indiqué succintement la production annuelle soit environ 1000 fois la puissance crête installée. il me semble facile de consommer chacun 1kwh (en moyenne) par jour produit par le soleil. multiplié par 30 millions de foyer (si tout le monde s’équipait). Et si on parlais de stockage d’energie pour les jours de coupures EDF (dus aux intempéries) on pourrait avec ce même 1 kWh alimenter un frigo, ou bien s’eclairer ! ou bien faire marcher le poele à granulé, ou bien la pompe du chauffage au gaz etc.. je suis d’accord avec vous à 17h30 en hiver je n’aurai pas de production PV, mais en ETE, j’en aurai pour alimenter votre CLIM.
« Le public est maintenu dans l’ignorance au sujet de la viabilité de l’énergie solaire photovoltaïque » Jusqu’à présent les théories du complot qui nous sont quotidiennement infligées par les partisans des EnR restaient confinées au forum. Si même les articles sont contaminés, ça va être beau… Allez donnez nous des détails, « maintenu dans l’ignorance » par qui ? Mais non ne le faites pas, après tout on pourrais vous retrouver au fond d’un lac, les pieds dans le ciment. Certains ici devraient être plus prudents, les barbouzes d’Areva vous surveillent !
forcément les résultats vont arriver, si ce n’est pas aujourd’hui ce sera dans un an, sinon quelques-uns. C’est ce qu’on s’essoufle à vous répéter les pro-nucléaire, le progrès est en marche, la transition énergétique est en cours, soit on prend le train et on profitera de tout les bénéfices en terme de qualité de vie de retombées sociales et économiques, soit on loupe le train et on n’en profitera pas et le pays perdra encore en niveau de vie par rapport aux autres pays. Le monde entier s’est lancé dans la voie des énergies renouvelables. Vous croyez vraiment que le monde entier ne va pas réussir? Alors arrêtez de vous obstiner, et demandez-vous ce qu’on peut faire et comment, l’industrie nucléaire n’est pas forcément à condamner, mais elle devra forcément au moins changer de forme. Et surtout il faut investir à fond dans la transition.
Plus cher au niveau d’une entreprise, peut-être… mais ça n’est pas certain. Mais au niveau d’un pays, c’est différent. Il y a d’autres valeurs économiques que celles monétaires à court terme. Avec votre type de raisonnement, à la mode depuis 15-20 ans, les visionnaires d’il y a plus de 50 ans n’auraient JAMAIS pu passer la barrière des …/comptables et démarrer le moyen post-classique que vous défendez d’une manière trop manichéenne (nucléaire fisssile). Ils n’auraient sans doute même pas pu après guerre construire de barrages hydraulique… Non seulement il ne faut pas craindre une industrie du stockage décentralisé, mais il faut la favoriser, comme le nucléaire fissile et l’hydraulique l’ont été en leur temps.
@ nicias Personne ne parle de complot au sens que Vous voudriez ; en mode paranoïaque… Et puis de toute façon il n’y a jamais eu de complies nulle part… Nous parlons ici de lobby qui défendent certains modèles et cachent certains mensonges en les noyant dans des vérités et en les repétant en boucle à la menagère. Qui sont-ils ? L’ancien corps des ingénieurs qui était au service de la société s’est fait progressivement depuis les années 70 controler par la finance. Appelez les X ou autre qu’ils soient issus des Mines, de Polytechnique et autres. Vous les retrouverez partout, dans les administrations centrales, dans l’industrie de pointe etc. Une de leur représentants actuelle s’appelle NKM. Il n’y a pas de complot mais une communication dite « stratégique » qui vise à défendre les champions nationaux. Et comme ces derniers enrichissent une certaine classe dirigeante, Vous bouclez la boucle. La première origine se comprend facilement. Lorsque vous créez un ministère de l’énergie où trouve t-on les spécialistes ? Chez qui ont-ils été formés depuis 1945 ? Par qui sont formés les futurs ingénieurs ? Pourquoi mentir ? Càd qu’est-Ce qu’on veut cacher ? L’énergie étant au départ un sujet exclusif de l’état on a développé un modèle avec certains compromis géostratégiques. Tous les coûts de recherche et développement, de construction étant assumés par l’État jusqu’en 2004, ce dernier, en ne répercutant pas Sur le prix du kwh pour l’industrie et le particulier, a trouvé un super outil politique qui devait soulager le ménage moyen et enrayer la désindustrialisation de base (hors tech pointe). On a vu comparativement à l’Allemagne que Çà n’influait pas. Le problème survient à la privatisation et au démentèlement en 5 sous-structures d’EDF, principal producteur et seul gestionnaire du réseau BT, MT, HT, THT L’État conserve certaines charges via les filiales publiques et les marges sont affectées au groupe privé… On donne L’investissement public au privé. Le modèle se trouve expurgé et apparaît comme sain. Pb qui va payer les provisions pour renforcement du rèseau, la perte en ligne (jusqu’à 3kwh perdus pour 1 livré=> 4 facturés aux intermédiaires… ? Qui va payer les provisions pour stockage des déchets et démentèlements ? Les fonds défense comme dénoncé par la cour des Comptes depuis 2004 ? Quid des cadeaux ? Résiduel de CSPE (300M€) jusqu’en 2009 piqué par les EnR Fonds RTE offert en décembre 2010 Prorogation en décembre par assemblée des obligations de provision de 5 ans. Etc. Bref, notre modèle est en réalité en situation de banqueroute et l’europe Ou l’OMC tarde à y regarder de plus près… A une autre époque on aurait dit la raison d’État prévaut à la raison individuelle. EDF étant privé… Sic Bonne méditation
Nous parlons ici de lobby qui défendent certains modèles et cachent certains mensonges en les noyant dans des vérités et en les repétant en boucle à la menagère. Tant que les mensonges sont cachés et les vérités clamées, je ne me plaindrai pas. Une de leur représentants actuelle s’appelle NKM Désolé, pour moi cela relève de la théorie du complot. La politique actuelle est de développer les EnR par des subventions massives et d’autant plus incitatives que le producteur est petit (jusqu’à des tarifs aberrant d’achat au près des particuliers). Mais à vous lire, vous et d’autres, en sous-main elle s’active pour détruire la filière pv. Les trucs du genre « Pourquoi mentir ? Càd qu’est-Ce qu’on veut cacher ? », c’est de la paranoïa, sauf à être factuel. Je ne corrigerai pas le reste de votre galimatias, c’est au dessus de mes forces.
Excusez moi mais si on prend par exemple un Pierre-Marie Abadie qui est à la fois directeur de l’énergie et à la fois principal représentant de l’état au conseil d’administration d’EDF, dans d’autres pays européens ce serait considéré comme de la prise illégale d’intérêt et puni de prison… Cela demanderai à être étayé par des arguments. Je ne vois pas ou est la prise illégale d’intérêt. Parmi les administrateurs, on a des exemples de conflit d’interêt en la personne de Bruno Lafont, Président Directeur Général de Lafarge (nommé aussi par l’Etat) ou Mireille Faugère (pareil), Directrice Générale de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris. Le premier adore le béton et donc les éoliennes. La seconde doit détester le charbon qui tue. Je ne comprend pas votre raisonnement, si vous voulez parler des jetons de présence, les représentant de l’Etat n’en perçoivent pas: Les administrateurs représentant l’État ainsi que ceux représentant les salariés exercent leur mandat à titre gratuit en application de la loi n° 83-675 du 26 juillet 1983 relative à la démocratisation du secteur public, et le Président du Conseil d’administration ne perçoit pas de jeton de présence. Source Edf
Je rajoute Philippe Crouzet, Président du Directoire de Vallourec (c’est du para pétrolier, il aime le pétrole et surtout le gaz). NB: Les conflits d’intérêt sont en général inévitables lorsque l’on veut des gens compétants, et il n’y a bizarrement aucun administrateur pro-nucléaire dans le conseil d’administration d’Edf.
Ce n’est pas un raisonnement c’est une simple comparaison. Ailleurs qu’en France on considère qu’il est illégal de mettre au conseil d’administration d’une multinationale un homme qui a un pouvoir administratif qu’il utilise sur les concurrents de cette multinationale, en France c’est légal… Après ça ne veut rien dire de plus, tout le monde a droit à avoir ses exceptions culturelles…
Ok, c’est plus clair mais il n’y a pas de prise illégale d’intérêt. Les Lander en Allemagne ont d’innombrables participations dans des entreprises, notamment les banques (a vérifier pour les producteurs d’énergie). Ils y ont des représentants, c’est la norme internationale même si c’est pas parfait.
…en fait. Je ne vois toujours pas pourquoi un administrateur d’edf qui n’est pas payé par Edf devrait favoriser Edf.
Si vous avez quelques minutes de libres au sein de dissertation sur le complot anti-PV français, je vous suggère cette question. Si le développement du PV ne tient qu’à une intelligence et une volonté nationale, pouvez m’expliquez clairement pourquoi les Allemands ne prévoi6t que moins de 2% de PV dans le mix énergétique de leur pays en 2020 :
Une fois que vous aurez répondu à la question, vous pouvez bien sûr retourner jouer à votre jeu favorit : taper l’Etat français… qui a permis la CSPE qui subventionne le développement du PV à hauteur d’un milliard/an pendant au moins 20 ans. Lequel PV est déjà à 2 GW installé là où on en attendait beaucoup moins !
@ Nicias Je vois que vous n’avez pas compris l’essentiel. Et que vous mettez de côté l’aspect banqueroute du modèle. Càd que vous légitimez l’utilisation des impôts en marges compensées. Nous parlons ici de stratégie économique devenue, ou imbriquée en, stratégie géopolitique. Il n’est donc pas qu’un sujet franco-français. L’actualité récente des valises nous a fait ressortir un des belligérants ; l’Afrique. Mais les states ont eu leur rôle dans les années 50 et 60. La Chine est très pro active depuis 10 ans. Je comprends également à vos remarques que : 1- Vous acceptez les mensonges dès lors où la forme vous rassure. 2- Que vous faites confiance aveuglément en l’administration et dans nos champions nationaux. Concernant le simple conflit d’intérêts dénoncé, M Abadie est l’auteur avec M Charpin de nombreux rapports à charge sur les EnR au moment où EDF et Areva ne sont pas encore prêts à la mutation. Pire ils ont été nommés par E Besson et NKM pour gérer un moratoire sur le photovoltaïque, que même la CSE (composée d’élus de tous bords) a dénoncé… M Charpin fût administrateur EDF ainsi que M Abadie. M Antolini qui représentait le SER était pdt EDF EN Le SER est dirigé par EDF, AREVA, ALSTOM, GDF, TOTAL, etc. M Antolini fût mis en examen par le juge Courroye pour financement d’une entreprise terroriste en Corse au sujet des Eoliennes et de la société SIIF devenue EDF EN après. Cet argument est repris en boucle par les députés comme C Gatignol, P Ollier, etc. jusqu’au premier ministre F Fillon quand il parle des EnR en général. Ce n’est donc pas anodin. Enfin, comme nous l’avons vu par l’entremise de M Godefroy il y a peu Areva a réussi à influencer le programme socialiste dans son seul intérêt. Bref s’il n’y a pas complot au sens organisationnel il y a conjonction d’intérêts que vous le vouliez ou non. Et vous savez ce qu’il y a de bien avec le temps ? C’est que c’est le meilleur révélateur de vérités. Les M€ dépensés en com par EDF and co via les agences de com et lobbyistes pro n’y changerons rien… Enfin j’aimerais vous renvoyer vers le comité stratégique EDF de 2004 où ceux que vous défendez valident les objectifs à terme sur la base des éléments que tout le monde possède aujourd’hui, jusqu’à la diminution de la part d’électronucléaire… Gérer c’est prévoir. Enfin croyez vous que tous les docteurs ingénieurs en physique nucléaire ont perdu leur âme ?? Que tous les cadres n’ont pas d’éthique ? Tout finit par se savoir ; à fuiter comme disent certains.
@ lion Le coût de production de l’électricité nucléaire avoisine les 42 € du kWh. Mais si vous réimputiez tous les coûts de recherche et développement, les constructions et les investissements de toutes natures consacrés par L’Etat avec l’argent du contribuable et non imputé au prix du kWh vous pourriez presque doubler ce coût. Ce simple principe explique pourquoi il n’y a que si peu de centrales nucléaires dans le monde… 5% de l’électricité produite. J’accuse donc le kWh nucléaire d’être subventionné depuis 50 ans… Pour mémo le photovoltaïque ne l’est que depuis 2006 et en forte baisse De plus, arrêtez de raconter des sornettes sur la CSPE. Il s’agit d’une taxe principalement destinée aux ZNI (zone non interconnectées au réseau – les îles et DOM-TOM), au tarif social (détourné par EDF en 2010 et 2011 – voir dénonciations de la cour des comptes), au TURPE, au fuel, et aux EnR… La part du photovoltaïque dans cette CSPE n’est en 2010 que de 5% de ce fond. Sachant qu’il était de 7% en 2010-2011, le PV ne représente que 0,35% soit moins de 1€ par an et par ménage (si on enlève les fonds collectés sur les 52 tarifs des entreprises). La vraie valeur du kWh vendu en France devrait être au minimum de 18 cts € C’est d’ailleurs l’objectif (voir DGEC) visé à court terme pour permettre à EDF d’assumer enfin ses obligations. Enfin, rappelons une n-ième fois que le nucléaire est dit « en base » et ne couvre pas les problèmes de pointe. Cela a un coût… Bref, on peut détailler précisément l’ensemble des problèmatiques soulevées, mais le forumeur de base s’en fiche. Il veut du vite lu et prémaché. => Futur proche : – raréfaction de l’uranium ou exploision des coûts d’enrichissement – explosion des coûts de stockage – baisse des coûts de production des EnR
Pour Socrateiii : « Le coût de production de l’électricité nucléaire avoisine les 42 € du kWh. Mais si vous réimputiez tous les coûts de recherche et développement, les constructions et les investissements de toutes natures consacrés par L’Etat avec l’argent du contribuable et non imputé au prix du kWh vous pourriez presque doubler ce coût… J’accuse donc le kWh nucléaire d’être subventionné depuis 50 ans… » Votre antienne éculée est parfaitement connue, sauf personne sur Enerzine est parvenu à en faire le début du commencement d’une démonstration correcte. Si vous êtes le premier : champagne ! Juste un ordre de grandeur. Si le nucléaire actuel (nos 58 réacteurs 2G + quelques usines) coûtait 2 fois les 42 Euros, nous aurions 84 Euros par MWh. Petite parenthèse : 42 euros le kWh est une grossière erreur de débutant ! Donc notre système qui a déjà produit plus de 10 000 milliards de kWh (10 milliards de MWh) aurait donc coûté 10 x 1000 000 000 x 84 = 840 milliards d’Euros. Et comme, il va en produire encore autant, il va encore coûter 840 Milliards d’Euros. Au total, sur 40 ans, le système aura coûté 840 + 840 = 1 650 milliards d’Euros. Question : pouvez-vous me trouver la trace de ces 1 650 milliards d’euros ? Si vous ne trouvez pas, vous pouvez passer le coup de fil à un ami. Par exemple Benjamin Dessus a des informations intéressantes à vous communiquer.
J’accuse Socrateiii de raconter des conneries ( c’est un autre mot pour « sornettes ») à propos de la CSPE….et surtout de ne regarder que dans le rétroviseur. Alors pour ceux que ça interesse , regardons 2011, en attendant les prévisions 2012: Ceux qui trouvent de légères différences avec les chiffres vus dans le rétroviseur ne gagnent rien, ceux qui profèrent des inexactitudes avérées a longueur de post y perdent toute crédibilité.
Concernant le coût je vais vous donner les pistes. Concernant la faute de frappe entre M et k désolé lol Vos chiffres de prod me semblent légèrement sur-évalués d’une part, puisque le parc s’est construit en 60 ans. Et a commencé sa montée en puissance à partir de 1980 (60 TWh) En 27 ans, jusqu’en 2007 (420 TWh). Soit en lissé env. 4535 TWh. En appliquant bêtement le nouveau coût on arrive à 195 Mds € en 27 ans. En euros constants, car vous oubliez l’inflation le coût de recherche s’élève à 1Mds € en moyenne par an plus le programme ITER depuis peu qui double la dotation. Soit un peu moins de 60Mds€. A cela vous ajoutez les centrales de recherche comme Super Phenix, toujours pas démantelée… et pour cause ! Un léger soucis avec le sodium liquide… sic Et 5 Mds€ réévalués pour le chantier. La fameuse Brennilis dont le démantèlement a été stoppé par les tribunaux à cause de fuites et de risque majeur de pollution. Quel coût ? LOL Le stockage profond pour les matériaux à durée de vie longue et hautement radioactifs a été réévalué à 35 Mds €… Et encore difficile d’imaginer un coût réel sur 20000 ans. L’entretien, le renforcement de la sécurité (annoncé), la prolongation de certaines centrales aura aussi un coût (qui fait là aussi débat). L’EPR qui coûte finalement 6 Mds € malgré la main d’oeuvre des pays de l’Est imposée par Bouygue. Et on en reparlera à la fin du chantier. Il est malheureusement bien factuel de constater que les coûts annoncés par EDF-Areva sont toujours 2 fois inférieurs (voir 3) aux coûts réels constatés (même 10 pour super Phenix). Note : Les 42 € ont fait suite à la mise en place de la loi NOME, car EDF parlait d’un prix autour des 35 € / MWh. Vous oubliez enfin les coûts impliqués par la gestion de la pointe et l’effacement avec le recours aux energies fossiles depuis nos centrales et celles de nos voisins, avec les prix pourris de ceux en mesure de s’effacer, avec le recours aux STEP et la perte induite de 30% hors acheminement (Vive la centralisation de l’énergie!) Bref, on peut continuer ainsi la liste des coûts en ajoutant ceux des investissements étrangers (Angleterre entre autres) qui ne souhaitent pas se l’entendre raconter. Concernant les coûts EnR affectés à la CSPE évaluée par la CRE ils se basent sur la file d’attente donnée par ErDF dont on sait que désormais 50% des puissances ne sortirons pas de cette dernière. L’écart entre leurs prévisions et le réel entrée/sortie tend à le prouver. Depuis 2005 EDF demande l’augmentation du fond CSPE à cause des ZNI (voir rapports annuels de la CRE). A partir de 2007 EDF dénonce le coût de l’éolien. A partir de 2008, c’est le solaire le coupable. En 2009, lors du rapport de fin d’année aux actionnaires EDF se félicite des 300 M€ collectés sur ladite CSPE. Ces quelques euros qui s’apparentent à une subvention correspondent à un CA virtuel supplémentaire de 2Mds€. En 2010 la cour des Comptes dénonce la non affectation des fonds provisionnés au tarif social… Rappelons en passant que le principal développeur français de centrales solaires PV est EDF lui même par ses filiales EDF EN EDF EN, EOS, via les très nombreuses sociétés de projet… en matériel Chinois (Yingli, Suntech) et américain (FirstSolar / groupe défendu par Backer and Mc Kenzie bien connu de Mme Lagarde). Mais continuez de défendre vos amis. Pas de soucis. Le ménage est pour bientôt.
… aussi Edf de comploter et de financer en cachette les EnR… On va prendre cher quand le complot sera déjoué et que l’on devra rembourser Edf.
le « forumeur de base », disiez vous? On vous écoute… Et s’il vous plait ne revenons pas sur le passé qui est ce qu’il est, parlons plutôt de l’avenir. L’argent qui a été dépensé il y a 20,30 ou 40 ans , bah il a été dépensé…et les résultats sont ce qu’ils sont, pas vraiment désastreux de mon point de vue pour la filière nucléaire francaise. Les révisionnistes peuvent toujours sévir, mais à quoi servent les revisionistes?
Les consommateurs d’électricité francais ( individuels et entreprises) vont avoir le plaisir de payer environ 1 Milliard d’€ par an pendant 20 ans en plus pour avoir le plaisir d’être alimentés à hauteur de 0,5% environ en electricité solaire si on s’arrête fin 2011. On verra bien la suite…Simplement, là, on n’est pas dans le passé, on est bien dans l’avenir.
lol Vos raccourcis sont agréables à lire 🙂 Combien a coûté le nucléaire au contribuable ? Notez que la question ne se pose pas pour le consommateur puisque qu’EDF était 100% public il y a peu encore. On parle Donc plutôt de crédits recherche, de fonds défense (voir rapports cour des comptes) pour le nucléaire. Puisque vous faites une fixation Sur LE seul PV, Ce dernier qui sera bientôt compétitif en France malgré les contraintes techniques, financières, administratives, aura nécessité moins de 10 ans de soutien. Quand le client sera en mesure d’amortir son matériel en autoproduction à 15 ans, tremblez vous les obsédés de l’électricité centralisée. Cet horizon est à moins de 2 ans, et déjà Solaire Direct annonce qu’il sait le faire pour 10 cts € / kWh sur 25 ans. Les stockages à 100000 décharges sont désormais abordables, et de nouvelles technologies sont développées. Le seul problème avec votre modèle c’est qu’on achètera 100% chinois le photovoltaïque et que ces derniers maîtrisent déjà à bas coût les générations I et II du nucléaire avec les coréens… Voir derniers appels d’offres. Il testers toujours les blogs pour pleurer
Pour Socrateiii; Avant de participer au débat et de raconter des âneries lisez d’abord ceci : Une fois digéré les deux rapports, n’hésitez pas à passer un coup de fil à Benjamin Dessus, car lui au moins il a fait des études… de coûts. Enfin, vous me permettrez de vous contrarier un peu avec votre production de 4 535 TWh pour le parc actuel. C’est plus de deux fois plus aujourd’hui et la centrale de Gravelines a déjà fêté son 1 000 TWh (ou si vous voulez 1 000 milliards de kWh). La production détaillées de chacun des réacteurs français et étrangers est accessible à tout citoyen ici : Sélectionner France, puis sélectionner le réacteur qui vous intéresse et enfin cliquez sur « operating experience history ». Sinon lisez Enerzine, vous trouverez déjà les réponses à vos questions !
Ce dernier qui sera bientôt compétitif en France malgré les contraintes techniques, financières, administratives, aura nécessité moins de 10 ans de soutien C’est pas 20 ans les contrats d’achat pv ? On m’aurait menti, maintenu dans l’ignorance ? Vu que le pv date de 1954 (le Dien Bien Phu d’Edf !), cela fait quand même 57 ans qu’Edf et le corps des x-mines complotent, dispersent mines administratives et barbelés financiers. Heureusement grâce aux résistants du pv, on connait enfin la vérité des coûts, et le pv sera rentable dans 2 ans.
« Puisque vous faites une fixation Sur LE seul PV, Ce dernier qui sera bientôt compétitif en France malgré les contraintes techniques, financières, administratives, aura nécessité moins de 10 ans de soutien. » C’est quand, bientôt? Surtout n’hésitez pas à mettre le Syndicat des energies renouvelebles en copie….Tout le monde serait tellement heureux d’avoir une date fixée pour la fin des tarifs d’achat. On attend votre réponse. Une date précise SVP, pas une explication foireuse.
Pauvres de vous si tout Ce qui ne Vous sied pas est foireux, et Bon pour l’insulte ou l’invective. Se retrancher derrière des pseudos études sans les comprendre, ou sans chercher la contradiction, ne Vous garantie pas le savoir ; la vérité absolue. Si l’intelligence était proportionnelle à la quantité d’études ingurgitées ou pondue cela se saurait… De Gaulle qui n’était pas Bac +10 a fait le choix du nucléaire dans un contexte qui le justifiait. Même ses détracteurs lui reconnurent son intelligence politique. Bref, le SER vous le confirmera, nous serons au plus tard à la parité réseau dans 2 ans. Le Wc des modules chinois moyen de gamme approche les 65 cts. Les onduleurs, hors extension de garantie, sont à 20 cts du Wc. L’installation se situe entre 23 cts et 35 cts suivant puissance et type d’instal. Au sol vous êtes donc sur un modèle autour des 1,2 € Faites votre BP à 25 ans… D’autre part, en dehors de la simple baisse des coûts de prod, les puissances surfaciques augmentent ainsi que les pertes système qui sont réduites de façon significative. Quand vous aurez compris qu’il ne s’agit pas d’anti-nucléaire primaire, on aura fait un grand pas. Car dans tous les cas de figure on fait quoi quand il n’y a plus d’uranium à bas prix ? ou qu’on ne contrôle plus les sources ? Car aux dernières nouvelles la Chine nous dispute la France-Afrique… Pour l’indépendance énergétique on repassera. 🙂 En revanche continuons la recherche sur la fusion ou les applications hors électricité. Bisous les gens
Pour ce qui concerne le photovoltaïque, nous attendons depuis 1839 : Et là, on voit bien que le Français Becquerel (quelle horreur) était un pionnier. Malheureusement, le lobby nucléaire a tué dans l’oeuf cette géniale découverte !! On peut d’ailleurs comprendre, puisque Antoine Becquerel était polytechnicien. Il est donc possible qu’il ait lui-même sabordé sa découverte pour favoriser le nucléaire qui allait émerger un jour grâce notamment aux travaux de son petit-fils. Saboteur mais visionnaire ! Sans cet odieux complot, nous aurions de l’électricité photovoltaïque depuis 172 ans !!
Pour Socrateiii. Avoir compris l’avenir du PV (qui n’est uniquement de gagner la parité réseau !) n’autorise nullement à dire des âneries sur le nucléaire. D’autre part vous n’êtes pas le seul à comprendre l’avenir des énergies renouvelables et les difficultés de mise en oeuvre. Rappelez-vous que l’Allemagne ne prévoit que moins de 2% de PV dans son mix énergétique en 2020. Est-ce pour autant qu’on peut en conclure que les allemands ont le cerveau embué par l’atome ? A mon avis non car si ça se trouve il y a une raison… raisonnable à cela.
Voilà une bonne nouvelle, plus que deux ans de tarifs d’achat. Ce qui m’inquiète un peu, c’est que juste dans la phrase qui suit, on commence à calculer un coût de centrale au sol, alors qu’une centrale au sol n’est généralement pas utilisée en auto-consommation, seule façon de « justifier » le concept de parité réseau. Si c’est 10 ou 20MW qui injectent sur le réseau et qu’il va falloir ensuite distribuer, désolé, la « parité réseau » n’a pas de sens, c’est une centrale « comme les autres », et là le benchmark est connu, c’est le prix de marché de gros.
1954, c’est la première production électrique avec du pv d’après Wikipédia. Mais j’admets sans mal que des taupes écolos au CEA ou ailleurs ont fait de la recherche sur fond public antérieurement. Objectivement le complot débute en 1783 avec la fondation de l’école des mines par Louis XVI, sans doute vexé de ne pas être le roi soleil. 1956, c’est la crise de Suez, les Russes nous menacent de bombardement atomique et l’on se retire d’Égypte. La France se met sérieusement au nucléaire, sans De Gaulle. Notez la proximité des deux dates, ce ne peut pas être un hasard.
Il est vrai que ce n’est pas De Gaulle qui a décidé la bombe atomique, mais la gauche socialiste. D’abord Guy Mollet après l’affaire de Suez puis un radical-socialiste un peu oublié, Félix Gaillard. De Gaulle s’est « contenté » de créer le CEA en octobre 1945 avant d’abandonner le pouvoir. Quand il est revenu en 1958, les décisions de faire la bombe était déjà prise et il a alors contribué à accélérer le processus de mise au point et mise en oeuvre. Pour ce qui concerne Louis XVI, on comprend mieux pourquoi il a été guillotiné : il a créé l’école des Mines ! Manifestement cela n’a pas suffit !! On peut également noter que Polytechnique a été créée par le comité de salut public sous la révolution dont les créateurs ont survécu à la terreur.
…et légèrement condescendant avec ses contradicteurs… Que savez vous de DBP ? Merci de ne pas insulter la mémoire de nos héros qui se sont sacrifiés là bas pour rien. En 1954 le PV n’était intéressant que pour les débouchés spatiaux. Nos satellites sont d’ailleurs encore en fonction grâce à cette technologie. Si vous aviez pris le soin de chercher à comprendre mes premières remarques vous sauriez que je n’ai rien contre les chercheurs et ingénieurs. Je dénonce bien l’influence négative du corps des X à partir des années 70-80 quand ils rejoignent pouvoir et finance ; quand ils ne sont plus les protecteurs de la société. Je vais bien évidemment vous rassurer sur la notion de contrat… Il aura bien fallu 10 ans de soutien au PV, soit sous forme de crédit recherche, soit en contrats d’achat de 20 ans des kWh produits qui tiennent compte des contraintes techniques. Par comparaison au 57 ans d’aides au nucléaire c pas si mal. Le seul petit problème réside dans la gestion du dossier PV au niveau règlementaire… On aura juste plus d’industrie nationale pour mettre en oeuvre les 4000 brevets annuels. Et bien sûr nous avons besoin de maintenir le nucléaire existant puisque notre modèle est ainsi fait. Ce qui est lamentable c’est de chercher à faire croire qu’il est perrenne en l’état. Merci à Dan pour les leçons d’histoire 😮 Entre décider et faire c bien au général que l’on doit de nombreux choix, dont le modèle retenu dans le domaine civil. Bien à vous
« nos héros qui se sont sacrifiés là bas pour rien. » Ils ne sont pas morts pour rien puisque la déculottée fut assez grande pour qu’on se mette à négocier. Je connais assez bien l’histoire et pourrai être intarissable mais j’ai déjà suffisamment trollé. Si vous aviez pris le soin de chercher à comprendre mes premières remarques Elles n’était pas des plus claires avec vos histoires de « cacher les mensonges » »… « Je dénonce bien l’influence négative du corps des X à partir des années 70-80 quand ils rejoignent pouvoir et finance ; quand ils ne sont plus les protecteurs de la société. » Écoutez, mon père est de la même promo que Pébereau (le godfather x de la BNP), j’ai un grand père ingénieur des Mines, un frère ingénieur mais d’une grande école plus obscure. Je connais bien leur mentalité, leur incapacité a écouter un non-ingénieur (pour rester poli), c’est des réseaux d’anciens élèves, guère plus. C’est pas la franc-maçonnerie, ils défendent leur beefsteak et celui de l’entreprise pour laquelle ils travaillent, comme tout le monde. Il aura bien fallu 10 ans de soutien au PV, soit sous forme de crédit recherche, soit en contrats d’achat de 20 ans des kWh produits qui tiennent compte des contraintes techniques. Par comparaison au 57 ans d’aides au nucléaire c pas si mal. Il me semble que sur ce forum, on avait cité le chiffre de 15milliards d’€ de recherche publique nucléaire, a comparer aux 20 milliards d’aide à la production que va nous coûter à minima le pv. D’autre part, si on a pas été assez clair, la recherche et les aides au pv ont commencé en 1837, c’est pas 10ans… Et on y a mis des moyens: par exemple le four solaire d’Odeillo mis en service en 1970 (je sais, c’est pas vraiment du pv). Le seul petit problème réside dans la gestion du dossier PV au niveau règlementaire… Adressez vous à la Commission de régulation de l’énergie. je ne connais pas le sujet, mais si vous avez des raisons de penser qu’ils sont corrompus, faites le nous savoir.
Oublions Odeillo, je voulais parler de Themis (fin des années 70).
Le probléme des EnR ne se résume à un problème de soutien insuffisant, même si cela a pu jouer. Dans les références que je cite très souvent on trouve d’ailleurs des éléments de réponse. On voit par exemple que dans le début des années 80, les EnR ont bénéficié d’un regain d’intérêt (effet du deuxième choc pétrolier), mais que l’effort a ensuite été relaché, non pas à cause du nucléaire mais essentiellement à cause du contre choc pétrolier qui a permis de maintenir le prix du pétrole à un niveau relativement bas jusque dans la fin des années 90. A ce sujet il faut absolument lire le fameux rapport 1359 de l’Assemblée Nationale qui ne traite pas que du nucléaire : Rapport 1359 de L’Assemblée Nationale : Voir Tome II : Les coûts de production de l’électricité Chapitre I (partie II) Enfin, je répète qu’il faut aussi lire le Rapport Charpin/Dessus/Pellat de 2000 concernant les coûts de la filière nucléaire actuelle :
J’ai également quelques membres de ma famille issus des grandes écoles, dont l’un Dr Ingénieur en physique nucléaire, un centralien, un chimie centre. Je vous rejoins sur la difficulté à communiquer de ses derniers. Sur DBP, mon grand père, ancien officier de la coloniale y a sauté au secours de ses amis. Sa vision de l’Histoire dont il était acteur sur 3 guerres et des petites opérations, n’était pas aussi détachée. Et je me souviens qu’il était très énervé de voir que ceux qui n’ont jamais mis leur vie en danger étaient les plus prompts à disserter sur le sujet. Enfin, cette parenthèse étant fermée… Vous qui semblez bien connaître l’histoire des manuels, devriez savoir qu’au XIXème les « inventeurs », tels qu’on les appelait à l’époque n’étaient guère subventionnés d’argent public et courraient après des donateurs. Seules les découvertes pouvant avoir des débouchés militaires étaient reprises par l’Etat. Ce n’est d’ailleurs pas tant les propriétés du photovoltaïque qui posaient problème mais les moyens techniques de sa mise en oeuvre de façon industrielle. La chaudière était un peu moins coûteuse… Concernant la remarque sur les centrales au sol supérieures à 100kWc, elle est judicieuse en effet. Car l’intérêt du PV en l’état de son développement n’a de sens que si on l’exploite en îlot via la BT, donc Sur de petites puissances. D’ailleurs, seules les grandes entreprises se sont lancées sur ce segment (voir file d’attente RTE). A part collecter de la CSPE, ce modèle a plus d’inconvénients que d’avantages. Le PV se conçoit en décentralisé à proximité des consommateurs. Mieux, une petite centrale au sol permet de se déconnecter du réseau et de pratiquer l’auto-consomnation comme en site isolé. La parité est alors à comparer au prix payé par l’usager et non le prix de gros. L’intégration en toiture à la française est un non-sens technique puisque vous détériorez le support à terme ; votre production est moins bonne faute de ventilation ; sauf à couvrir 100% des toits sans ombrage de cheminée, de chien assis, etc l’esthétique est discutable ; enfin vous créez un risque supplémentaire sur l’étanchéïté. Bref, les choses sont assez simples à poser et nous avons peu de temps pour trouver le MIX optimal. Peut-être que le PV restera anecdotique à l’échelle mondiale, ce qui semble être contredit par les programmes chinois et américains, mais il faudra bien organiser la sortie des energies fossiles et fissiles. Les réserves ne sont pas infinies tout simplement. L’état du programme spatial ne nous donne aucune issue viable et simple pour exploiter des ressources ailleurs. De la même façon il est délicat voir irresponsable de spéculer sur d’hypothétiques découvertes scientifiques. Et il ne s’agit pas d’opposer le nucléaire aux EnR mais de garder en tête qu’utiliser ces ressources pour fabriquer de l’électricité plutôt que de nous assurer la pérennité de toutes les autres applications semble plutôt bizarre… D’autre part, même en supposant qu’il soit judicieux de développer les centrales au gaz, la fracturation en sus, cela ne sera toujours qu’un petit sursis à notre échelle. Passé la seule critique quelles sont vos solutions à moyen terme ? Nb : je viens de voir votre Remarque Sur le rapport Charpin de 2000… juste avant de publier. Justement ce rapport projetait la progression des coûts d’energie. On voit bien que la hausse de l’uranium y est minimisée. Juste une petite boullette quoi 🙂 tous les rapports du sieur Charpin sont entâchés d’un esprit partisan. Son dernier rapport qui visait à fusiller le PV est complétement pourri ; objectivement 🙂 je Vous donnerez le lien de la contre-analyse si Çà Vous intéresse. Bien à vous
Trop drole ce rapport, je jette un oeuil au scénario sans nucléaire français en 1994 (du CEA), c’est pratiquement de l’histoire contre-factuelle: Pour évaluer en 1991 la contribution du nucléaire, les auteurs de l’étude intitulée « la France sans le nucléaire » bâtissent un scénario dans lequel la croissance de la production d’électricité est assurée non pas par le nucléaire mais par des centrales thermiques au charbon. … le scénario prévoit un accroissement d’une part de 5 millions de tonnes de la production de charbon en Lorraine et d’autre part une augmentation des importations en provenance d’Australie et des Etats-Unis en particulier. Afin de limiter les coûts de transport du charbon, les centrales thermiques classiques sont bâties à proximité du carreau des mines – 4 unités de 600 MW chacune en Lorraine –, en façade maritime ou le long des voies d’eau navigables. (NDT, c’est la géographie industrielle du 19eme siecle). … Une consommation d’électricité en baisse de 13,7 % (Ndt dont 5% pour Eurodiff) en 1989 et un solde exportateur d’électricité ramené à 0 L’augmentation du prix du kWh dans le scénario « la France sans nucléaire » provoque un écart négatif de la consommation par rapport au scénario de référence et des substitutions en faveur d’autres formes d’énergie (Ndt on aurait été presque aussi « vertueux » que les Allemand si frugaux pour l’électricité). Bien sur on peut penser que ce scénario n’est que le reflet du combat d’un corps d’ingénieur contre un autre avec les grandes entreprises en soutien. Mais les comparaisons internationales sont sans appel. On avait pas le choix, c’était charbon ou nuclèaire. Finalement même des décennies plus tard, le problème n’a changé qu’à la marge, et ce scénario sans nuclèaire des années 80/90 ressemble étrangement au scénario Allemand de 2010, seul les prix relatifs gaz/charbon ayant changé.
La hausse de l’uranium c’est ça : D’autre part, le minerai traité U3O8 importé en France n’est qu’une fraction du coût du combustible nucléaire qui lui-même compte pour environ 20% dans le coût du kWh nucléaire et dont nous maîtrisons la fabrication dans notre pays. Donc, nous sommes incomparablement plus exposé à l’augmentation du prix du pétrole ou du gaz qu’à celui du prix de l’uranium. Enfin il faut prendre en compte que le combustible nucléaire se stocke et que rien que ce qui est déjà présent dans les cuves des centrales nous permet d’attendre sereinement plusieurs dizaines de mois voire années :
Concernant la remarque sur les centrales au sol supérieures à 100kWc, elle est judicieuse en effet. Car l’intérêt du PV en l’état de son développement n’a de sens que si on l’exploite en îlot via la BT, donc Sur de petites puissances. « D’ailleurs, seules les grandes entreprises se sont lancées sur ce segment (voir file d’attente RTE). A part collecter de la CSPE, ce modèle a plus d’inconvénients que d’avantages. Le PV se conçoit en décentralisé à proximité des consommateurs. Mieux, une petite centrale au sol permet de se déconnecter du réseau et de pratiquer l’auto-consomnation comme en site isolé. La parité est alors à comparer au prix payé par l’usager et non le prix de gros. » Nous sommes donc d’accord, c’est une bonne chose, laissez moi juste vous dire qu’il m’étonnerait fort que la « parité réseau » soit atteinte en France dans 2 ans pour la majorité des installations , qui resteront pour celles qui « relèvent » du concept de parité réseau majoritairement des installations sur toiture.
Excusez moi pour le bazar qui précède, c’est indépendant de ma volonté! On la refait: Vous dites: « Concernant la remarque sur les centrales au sol supérieures à 100kWc, elle est judicieuse en effet. »Car l’intérêt du PV en l’état de son développement n’a de sens que si on l’exploite en îlot via la BT, donc Sur de petites puissances. « D’ailleurs, seules les grandes entreprises se sont lancées sur ce segment (voir file d’attente RTE). A part collecter de la CSPE, ce modèle a plus d’inconvénients que d’avantages. Le PV se conçoit en décentralisé à proximité des consommateurs. Mieux, une petite centrale au sol permet de se déconnecter du réseau et de pratiquer l’auto-consomnation comme en site isolé. La parité est alors à comparer au prix payé par l’usager et non le prix de gros. » Nous sommes donc d’accord, c’est une bonne chose, laissez moi juste vous dire qu’il m’étonnerait fort que la « parité réseau » soit atteinte en France dans 2 ans pour la majorité des installations , qui resteront pour celles qui relèvent du concept de parité réseau majoritairement des installations sur toiture.
Mes respects à votre grand-père, surtout s’il savait probablement, avant de sautter, que c’était déjà foutu. Et oui je ne suis pas acteur de cette histoire, le ton est badin. Oui, 1837 est une date plancher qui n’a probablement aucune réalité. Je doute qu’on ai fait quoi que ce soit de concéquent pour le PV avant le premier choc pétrolier.
Bpn, j’arrête, faire une copie de ce qu’écrit Socratteiii ne me réussit pas.
Concernant la remarque sur les centrales au sol supérieures à 100kWc, elle est judicieuse en effet. »Car l’intérêt du PV en l’état de son développement n’a de sens que si on l’exploite en îlot via la BT, donc Sur de petites puissances. D’ailleurs, seules les grandes entreprises se sont lancées sur ce segment (voir file d’attente RTE). A part collecter de la CSPE, ce modèle a plus d’inconvénients que d’avantages. Le PV se conçoit en décentralisé à proximité des consommateurs. Mieux, une petite centrale au sol permet de se déconnecter du réseau et de pratiquer l’auto-consomnation comme en site isolé. La parité est alors à comparer au prix payé par l’usager et non le prix de gros. Nous sommes donc d’accord, c’est une bonne chose, laissez moi juste vous dire qu’il m’étonnerait fort que la « parité réseau » soit atteinte en France dans 2 ans pour la majorité des installations , qui resteront pour celles qui relèvent du concept de parité réseau majoritairement des installations sur toiture. Sicetaitsimple Je n’ai pas tout compris dans ces problèmes html, ce qui est sur, c’est qu’il ne faut pas faire de copier/coller de nom à partir de l’encadré tout à gauche, au dessus du portrait. Ou alors penser a nettoyer avec le bouton html
Merci! L’important, c’est de bien réaliser que la fameuse » parité réseau » dont les tenants à tout prix du PV nous rebattent les oreilles, ce n’est ni plus ni moins que l’instant ou il devient plus interessant de produire son eléctricité soit même ( avec du PV ou n’importe quoi d’autre) que de l’acheter à un opérateur en payant en plus coûts de transport, de distribution (le TURPE), les taxes diverses etc… Bref, faire son pain plutôt que de l’acheter chez le boulanger. Alors certes ça peut avoir un caractère sympathique, mais il faut juste être conscient que (1) concernant le PV ça n’a de sens que pour les installations individuelles, certainement pas les grandes installations qui elles débitent sur le réseau et dont la production va être distribuée, taxée…(2) que forcément ça aura un impact sur les coûts du « complément », qui augmenteront, car il serait économiquement injustifié et moralement anormal que le service de complément ( complément en energie et en puissance, maintien de la fréquence et de la tension,…) ne soit pas facturé, sauf pour ceux qui effectivement s’isoleraient totalement du réseau en mettant en oeuvre leurs moyens de secours, de stockage,etc, à qui je souhaite la plus grande réussite.
Pour Nicias. Heu je crois que pour le photovolataïque, le début c’est 1839. Evidemment à ce moment là on avait pas les moyens de l’exploiter et on n’avait pas plus de concurrent car le l’alternateur n’était pas inventé. Cela n’était d’ailleurs pas grâve car on vait pas non plus de client, puisque l’ampoule électrique n’avait pas été inventée, pas plus que le moteur électrique ou son concurrent thermique à combustion interne. Pour être juste à propos de l’histoire du PV, il faudrait rajouter Hertz et Einstein :
On pouvait pas faire des radiateurs ? Si non dans le rapport Bataille & co, je cite à propos du pv: Grâce aux économies d’échelle, chacune de ces technologies devrait pouvoir atteindre rapidement un coût de 6 francs par Watt installé, contre 22 à 34 francs actuellement. Je trouve cela remarquable comme prévision (au taux de change €/$ de 99, c’est parfait), puisque je cite notre article complotiste: Selon le Dr J. Pearce, le coût réel en 2011 est inférieur à 1 $ par watt pour les panneaux solaires achetés en volume sur le marché mondial
J’ai oublié de conclure à propos de notre boulanger: Si celui-ci perd 10 ou 20% de sa production de baguettes parce que certains de ses clients fabriquent leur pain mais viennent de temps en temps lui en acheter une parce que ce jour là ils sont feignants ou ils n’ont plus de farine, il faudra bien que le boulanger augmente ses prix s’il veut continuer à vivre car une bonne partie de ses coûts sont des coûts fixes ( magasin, salaires,…). C’est le cas du Turpe, au-delà d’un relativement faible coût variable que sont les pertes sur le réseaux, l’essentiel sont des coûts fixes ( maintenance des réseaux, personnel,frais de gestion,…).
C’est bien 1937, enfin pour le moteur, il y avait de la demande: Le premier moteur à courant continu fabriqué avec l’intention d’être commercialisé a été inventé par Thomas Davenport en 1834 puis breveté en 1837. Ces moteurs n’ont pas connu de développement industriel à cause du coût des batteries à l’époque Wikipedia Damned, déja ces foutus problèmes de stockage pour les carosses électriques…
A Nicias. Je vois d’abord avec satisfaction que vous vous êtes plongé dans la lecture du rapport parlementaire 1359 de Christian Bataille et Robert Galley du 02 février 1999. Tous ceux qui prétendent parler des coûts du nucléaire devrait au moins l’avoir lu et y faire référence. Vous êtes donc témoin qu’il y a déjà quelques années que les coûts complets du nucléaire sont sur la sellette. A ce sujet, il faut évidemment avoir lu le rapport de Michel Charpin, Benjamin Dessus et René Pellat rédigé en 2000. J’imagine donc que le futur rapport de la cour des comptes s’inspirera du travail déjà réalisé, le critiquera et le précisera. Je n’imagine pas que les conclusions soient diamétralement opposées à ce qui s’est fait dans le passé. On peut notamment douter de la remise en cause des coûts liés à l’investissement déjà réalisé pour la construction du parc actuel de 58 réacteurs.
Personne n’est à l’abris des problèmes html… @Sicetaitsimple J’aime l’analogie avec le boulanger. CSPE mise a part, pour l’électricité, on peut résoudre le problème avec un prix de l’abonnement fixe conséquent pour facturer le coût du réseau. Mais les pauvres vont pas aimer, donc faut augmenter la part de la CSPE qui permet de réduire leur facture pour compenser… Je ne suis pas sur d’être clair, mais quand on se met à corriger le marché, c’est jamais simple.
PS: cessez de massacrer mon pseudo, qui est certe issu d’une faute de frappe (a l’origine Nikias, un obscur ancien Grec). Je préffère encore faire de la mise en page de vos posts !
Pour Nicias (Nikias). Effectivement le moteur électrique peut être daté de 1837 avec Davenport. Dans ma mémoire, j’en été resté à Zénode Gramme et les années 1860. Je connaissais la roue de Barlow plus ancienne mais pas vraiment moteur électrique. Disons donc que le photovoltaïque aurait pu avoir un client mais pas de concurrent…. sauf la pile à combustible dont le principe a été découvert en 1839, et qui va « bientôt » déboucher sur des applications de masse.
Excusez moi! « les pauvres ne vont pas aimer » dites vous? Il n’y a pas que les pauvres, il y a les autres, lesartisans, les entreprises…. Bah oui, c’est ce je me tue à essayer de démontrer sur ce forum à toutes les bonnes âmes qui ont certes plein de bonnes solutions labellisées « YakaFaukon », mais qui ont rarement la réponse à la question « combien ça coute? » Alors certes c’est un positionnement un peu ingrat, on est vite catalogué » d’imbecilisant et d’ignorantiste » comme il y a 2 jours par notre sommité internationale Lionel, mais bon, ca ne m’empèche pas de dormir et je n’ai pas l’intention de changer de point de vue! Cordialement, avec mes excuses renouvellées pour le massacre.
sauf la pile à combustible dont le principe a été découvert en 1839, et qui va « bientôt » déboucher sur des applications de masse Cela peut arriver, ou pas. Cherchons, encore et encore, et surtout ailleurs. On ne sait pas combien de milliards on va dépenser inutilement pour cela. il faut évidemment avoir lu le rapport de Michel Charpin, Benjamin Dessus et René Pellat rédigé en 2000. Le problème c’est que ce rapport est inacceptable parceque: 1 Benjamin Dessus est antinuclèaire ce qui pour moi est un biais insupportable. 2 René Pellat est pro_nucléaire, ce dont personne ne parle. 3 Charpin, serait pro nucléaire pour certains, alors que c’est juste un économiste. X-ensae (statisticien). C’est à dire pour moi un super héro et pour d’autres un valet du grand capital eudèFien.
ce que je dis juste ci-dessus, en revenant à l’article initial:: La CSPE liée au PV va couter pendant 20 ans environ 1 Milliard d’Euros/an aux consommateurs francais pour un peu plus de 2500MW installés fin 2011 qui vont produire environ 0,5% de l’électricité francaise, cf: On aurait juste fait la même chose mais avec un an de décalage, le résultat serait le même, mais avec une facture annuelle au moins réduite d’un tiers du fait des baisses des coûts des panneaux et des tarifs. C’est très simple, en fait…..
Vu l’équilibre entre pro et anti nucléaire et la pondération par un économiste reconnu, on pourrait penser que ce rapport mérite d’être lu Nous sommes bien d’accord, il me semble que j’ai été objectif quand à la présentation des biais. Il faut bien parvenir a un compromis. Je vai continuer a taper sur le pv et limiter mes interventions sur l’éolien, même si je n’avale pas le taux d’actualisation de 8% sur le nucléaire issu du compromis. In memoriam René pellat et le gouvernement Jospin. @Sicetaitsimple Je vous en prie, le mal n’est pas si grand.
Pour ce qui concerne Benjamin Dessus et d’autres, je vous conseille la lecture de la critique de ce fameux rapport publiée dès novembre 2000 par Global Chance : Vous aurez des avis divergents, mais en gros, il est considéré que le travail est sérieux. Et puis si vous voulez tout de suite l’avis de Benjamin Dessus :
Finalement, je ne sais pas si ce rapport est juste, mais ce que je sais c’est qu’il mérite d’être cité et critiqué. Je suis assez anti-antis, notamment contre les antis qui refusent obstinément de se pencher sur ces rapports (du genre Rice). Par contre, si on décide d’examiner ce qu’il y a dedans, on peut discuter des hypothèses et des manques.
La région Poitou-Charentes, consciente que « causer comme les pro-nuke d’Enerzine c’est bien, mais chercher et trouver des solutions c’est mieux », vient de concrétiser un accord avec une ELD locale et un gros faiseur photovoltaique pour installer dans la région des centrales photovoltaiques au sol, SANS SUBVENTIONS. La puissance restera bien modeste (10 % d’un réacteur nucléaire), mais c’est un début TRES encourageant. Comme quoi, du coté des partisans des ENR on se remue un peu plus que du coté des « il est urgent de ne rien faire » et autres « hors le nucléaire point de salut »…
Sans subvention ? Dans un premier temps, l’électricité produite par le parc solaire sera vendue au tarif d’Obligation d’Achat en vigueur (pour une durée maximum de 20 ans), soit par exemple 108 €/MWh pour un parc solaire dont le développement serait achevé au deuxième trimestre 2012. C’est donc la CSPE qui paye.
Est le meilleur révélateur de vérités. Les détracteurs parleront de com et trouveront toujours à y redire ; ceux-là même qui jouaient les cassandres il y a encore 2 ans sur l’absence de débouchés pour le seul PV. L’auto-consommation étant déjà une réalité bien moins visible, mais à perspectives exponentielles, certains devraient se faire quelques soucis. Le seul enjeux du système actuel sera l’approvisionnement des centres urbains. Or sachant que les réseaux chaleur y ont une justification due à la densité, les parts de marché risquent de diminuer comme peau de chagrin à moyen long termes. J’ai beau lire les commentaires, je ne vois toujours pas l’ombre d’un début de réponse pérenne (Càd au delà des prochaines 40 années). Bien à vous
Et la CSPE c’est un milliard d’Euros de subvention au photovoltaïque en 2011. Et ce n’est pas fini, car les contrats sont pluriannuels et la puissance installée va augmenter. Les subventions vont donc durer au moins 30 ans.
Des français selon 2 enquêtes commandées par l’Ademe et le SER sont prêts à payer plus cher l’électricité pour favoriser les ENR, 60% sur le seul PV… Sachant qu’ils payent à date moins de 1€ / an / ménage, l’effort n’est pas énorme. Sachant que le nouveau régime impacte beaucoup moins la CSPE en valeur absolue, on ne s’inquiètera pas, d’autant que NKM disait lors du dernier colloque du SER que 2 Mds € / an serait acceptable. Bien à vous
C’est d’ailleurs bien pour ça que 500 millions de subventions par an à la recherche pour le nucléaire sont parfaitement acceptable !
Le coût moyen de la CSPE sur la facture d’électricité d’un client résidentiel s’élève à 42 €TTC. L’augmentation de la CSPE en 2011 représentera pour le particulier une hausse de 3% de sa facture. Selon le lien vers la CRE donné plus haut par Sicetaitsimple. Dont 42,2% pour les EnR (26,4% de pv), soit 17,7€. L’évolution dans les années a venir est très prévisible vu le pognon que Edf prête pour compenser son niveau trop bas. On sera au taquet pendant au moins trois an, soit 3€ par an d’augmentation. La CSPE passera de 7,5€ à 16,5€/MWh en 2014. En 2014, ceteris paribus, le Français moyen payera (42*(16,5/7,5) -42 + 17,7= 68,1€ pour les EnR. On verra ce que diront les sondages dans quelques années…
Les tarifs d’achat varient de façon importante selon que l’installation est intégrée au bâti ou pas. Intégré au bâti, cela signifie que l’installation photovoltaïque réalise aussi la couverture du bâtiment et l’étanchéité de celui-ci, « le clos et le couvert » pour reprendre des termes des métiers de la construction. Ce qui coûte évidemment plus cher que des panneaux simplement posés sur les ombrières d’un parc de centre commercial. D’ou des tarifs d’achat plus élevés. Lesquels varient aussi pour la même raison avec la puissance de l’installation. Pour une installation non intégrée au bâti ( posée sur une toiture en terrasse, sur une ombrière de parc, sur un hangar …) le prix d’achat début 2012 est de 11,10 centimes d’euro le kWh. Lire : Lorsque l’installation photovoltaïque dépasse 100 kWc (kilowatt crête) de puissance, le tarif d’achat est le même, que l’installation soit intégrée au bâti ou pas. Pour 100 kWc, cela correspond environ à 800m2 qui chaque année produiront environ 900 kWh à Paris et 1.300 kWh à Marseille. Une grande surface commerciale qui consomme plus de 15.000 kWh par an paie 11,22 centimes/kWh fin 2010, plus en 2012 (tarif résidentiel et services). Une petite entreprise consommant moins de 20 MWh (20.000 kWh) par an paie 14,48 centimes/kWh fin 2010 … Une entreprise moyenne consommant de 20 à 500 MWh (20.000 à 500.000 kWh) par an paie 10,38 centimes/kWh fin 2010, plus en 2012. Pour tous ces consommateurs, qui peuvent investir dans une installation photovoltaïque produisant à moins de 11,10 centimes d’euro le kWh, la parité réseau est atteinte. Cela revient moins cher pour eux d’auto-consommer l’électricité qu’ils produisent que de la livrer à EDF au tarif d’achat. Selon leur production et leur consommation en fonction des jours et des heures, ils pourront acheter ou vendre de l’électricité. C’est pourquoi certains pays prévoient un tarif d’achat « virtuel » pour l’électricité auto-consommée qui, entre autres avantages, évite tous les frais liès au réseau puisque moins d’électricité circule sur celui-ci. Nécessite un compteur supplémentaire.
Parité réseau ou pas, ce n’est pas le PV qui va garantir la continuité d’approvisionnement des consommateurs en énergie électrique, la preuve :
ouh la belle mauvaise foi… Quand vous êtes à court d’arguments c’est soit : « charbon » soit « mais on peut pas remplacer tout avec cette seule ENR »…. Au passage le site n’indique pas la prod de biomasse/biogaz/hydro/géothermie comparée, et l’éolien fait entre 5000 et 8000MW dispo « Mix, sobritété, efficacité et stockage » doivent être des gros mots pour vous?
J’a déjà posé une question à la quelle personne ne veut répondre : Si le PV est si miraculeux, pouvez-vous m’expliquer pourquoi il n’atteindra que 2% du mix énergétique en Allemagne en 2020 ?
J’ai oublié de dire que pour trouver 2% de PV dans le mix, j’ai pris le scénario allemand le plus économe… car les Allemands ne badinent pas avec la sobriété et je suis persuadé qu’il tiendront leur engagement de 18% d’EnR dans le mix en 2020 en augmentant la prodution EnR mais aussi bien sûr en réduisant les besoins d’énergie.
Non j’ai bien préciser : « pouvez-vous m’expliquer pourquoi il n’atteindra que 2% du mix énergétique en Allemagne en 2020 ? » Cet objectif est toujours d’actualité et on se rend compte que l’Allemagne suit parfaitement la feuille de route qu’elle s’est donnée pour atteindre l’objectif de 18% d’EnR dans le mix énergétique en 2020 (contre 23% pour la France).
Tel un enfant vous n’avez que des questions et jamais de réponses par vous même. Je vous cite : « Parité Parité réseau ou pas, ce n’est pas le PV qui va garantir la continuité d’approvisionnement des consommateurs en énergie électrique, la preuve : … generation » Les réponses sont simples mais plus complexes qu’un simple constat réducteur ou simpliste « il n’y a pas de soleil la nuit »… genre l’histoire des 3 petits cochons et la maison de brique qui résiste, en oubliant de préciser que sa charpente est en bois… lol Bref, un MIX comme son nom l’indique ne se limite pas à une seule source… En base nous avons toujours, et pour quelques années encore, le nucléaire qui lui est obligé de s’adosser aux énergies dites « de pointe » ou aux capacités d’effacement tels que permis par les STEP ou l’organisation de l’électro-intensif, l’import-export, etc.. De la même façon si vous souhaitez absolument injecter de grosses puissances sur le réseau avec le PV rien ne vous empèche de mettre en place de petites STEP, ou de stocker via les nouvelles technologies. Par ailleurs, comme tout le monde sait le faire de par le monde, nous pouvons utiliser l’hydraulique, la Biomasse, l’énergie marée motrice, etc… comme source d’équilibre. Savez vous que depuis 2 ans nous avons un exemple de système autonome capable d’alimenter 30.000 habitants d’une île en utilisant un STEP (dans un ancien volcan en bord de mer) et quelques éoliennes… Le système s’amortit à euros constants en 25 ans… Ils ont conservé par sécurité une centrale thermique, mais vise l’importation 0 en imposant les véhicules électriques. Faites vos recherches sur le net… Je sais qu’il est parfois dur de se remettre en cause, mais si vous avez fait quelques études comme vous le laissiez entendre… il n’y a pas de problème mais que des solutions… à vous ; à nous de les trouver. Et arrêtez avec vos 2% de PV en boucle… Le nucléaire c’est 5% dans le monde LOL Bien à vous
Je vous ai déjà répondu plusieurs fois sur les « tarifs d’achat » qui n’en sont pas car à ce prix là personne ne construit.Je n’ai d’ailleurs je pense jamais eu de réponse, on verra bien ce coup là…. C’est les cas pour le tarif d’achat prévu pour les nouvelles installations au sol ( celui dont vous parlez), c’est le cas également pour de celui de l’éolien offshore à 130€/MWh, je pense qu’on avait aussi parlé du biogaz. Donc arrétez de vous bercer d’illusion, à 111€/MWh personne ne construit aujourd’hui de PV au sol en France, sauf celui qui ne sait pas compter ou qui fait un choix personnel non rationnel, espèce très rare dans le monde de la ferme au sol!
« Tel un enfant vous n’avez que des questions et jamais de réponses par vous même. » Vous parcourez Enerzine depuis combien de jour pour faire une réflexion aussi peu crédible ? Vous êtes encore enfant sur Enerzine ? On comptera vos réponses… si vous tenez la distance !
A Socrateiii. Pour la STEP dans une île volcanique, parlez-vous de La Réunion ? Parce que là, on en a déjà parlé plusieurs fois : Je cite souvent les documents de l’ARER qui sont très bien fait. Pour ce qui concerne les STEP on a très souvent parlé, mais une petite STEP… reste grande pour les besoins français. J’ai même donné plusieurs fois la liste mondiale des STEP sur Enerzine. Continuez à lire Enerzine.
« Savez vous que depuis 2 ans nous avons un exemple de système autonome capable d’alimenter 30.000 habitants d’une île en utilisant un STEP (dans un ancien volcan en bord de mer) et quelques éoliennes… » Eh bien non, nous ne savons pas, merci de préciser et de démontrer en quoi ce système est transposable économiquement aux grands systèmes intreconnectés. On attend vos explications avec impatience.
Effectivement. Mais vous oubliez les 60 000 touristes et l’activité économique en rapport. Ce système ne repose que sur une énergie dite altermitente, fatale et un STEP. Imaginez ce qu’on pourrait faire en s’adossant à toutes les autres énergies sûres ou sécurisées (ref au nuk) Bref toujours dans la critique. rien de bien nulle part ailleur. On est à la limite de l’autisme, donc de l’hyper-sensibilité.Vous avez un site qui pourrait être constructif, qui dit traiter de toutes les énergies mais qui finalement ne retient comme modèle idéal que le nucléaire… Bien bien pour combien de temps ??? Encore heureux que l’homme a décidé de passer de la pierre, au bronze, puis au fer… S’ils avaient eu trop de gens comme vous à l’époque on aurait même pas les bougies pour s’éclairer, euh pardon pour se chauffer suivant l’épisode politique consacré. Bien à vous
Je disais donc « Eh bien non, nous ne savons pas, merci de préciser et de démontrer en quoi ce système est transposable économiquement aux grands systèmes intreconnectés. On attend vos explications avec impatience. » On attend donc vos explications. Si vous voulez prouver qu’une Europe interconnectée doit payer 3 à 4 fois plus cher son éléctricité en reproduisant des modes de productions de système isolés, pas de problème…Vous irez juste l’expliquer aux consommateurs, entreprises, électeurs etc… Pour les bougies, vous nous excuserez, c’est plutôt vous qui revenez en arrière. Au fait, elle est construite cette STEP?
En quoi ne rien changer apporte t-il des solutions et la stabilité des prix ?? Quelles sont vos solutions ?? Prouvez nous que votre modèle ne voit pas son prix augmenter de 5% minimum par an, et qu’il ne coûtera pas plus cher de chercher un nouveau MIX quand pétrole et uranium seront prohibitifs. D’ailleurs je vous conseille de lire les perspectives AREVA ; sujet haut en actualité où justement on parle d’un coût prohibitif de l’uranium sur les mines Namibie, Afrique du Sud là où elles devaient être méga productives… La solution n’est pas à une entrée mais multiple et transversale. Il n’est d’ailleurs par précauniser de couler le bâteau nucléaire à court terme, mais d’accompagner sa fin inévitable dans sa forme actuelle (EPR inclus). Bien à vous
Le cout d’une centrale PV continue de baisser. Pour augmenter sa part dans le mix, il faudra aussi du stockage. Si le cout du stockage baisse à la vitesse du PV, ça va changer la donne rapidement Ces milliards là auront été beaucoup plus utiles que les 75 milliards de cadeaux fiscaux de Saint Nicolas
Le système de El Hierro est très intéressant et il se rapproche de ce qui est prévu à La Réunion. Quelques photos ici : C’est d’autant plus important que souvent les îles dépendent majoritairement de centrales à fioul. Les STEP sont bien connues et fonctionnent très bien. Le problème est de transposer cela à l’échelle d’un grand pays industrialisé qui a besoin de plusieurs centaines de TWh d’électricité pour fonctionner (même avec 30% de sobriété !). Une STEP d’une capacité de 1 TWh, ça ne se trouve sous le sabot d’un cheval.
J’ai oublié la chute de l’histoire : Pour augmenter les capacités des STEP il faut s’orienter vers une hausse des chutes… d’eau.
Le contrat à vingt ans, vous me l’aviez déjà fait récemment à propos de l’expérience canadienne de chauffage solaire…. Que vous viviez dans un monde de « combikrafwerk » locale qui se soucie peu du prix de revient final de l’électricité livrée, si c’est votre job, je ne peux pas vous en vouloir. D’autant moins que la France, l’Europe ont inventé ce concept depuis plus de 50 ans. Le combikrafwerk, c’est en France l’hydraulique des années 50, le thermique des 60,le nucléaire des 80, maintenant l’éoilien et le solaire, avec de plus en plus en plus d’échanges avec nos voisins qui ne font pas forcément les mêmes choix et donc une combikrafwerke européenne dont les composantes s’accroissent, grace au réseau dont le développement sera la clef. Alors vous pouvez toujours dire que vous inventez quelque chose, mais en fait vous n’inventez rien, vous reproduisez un concept qui est déjà operationnel et qui ne demande qu’à évoluer. Les systèmes isolés sont bien sûr une toute autre histoire, le concept est le même ( comment optimiser), mais les contraintes, les solutions et les coûts associés sont bien sûr diffrérents. Sur le coût d’un contrat à 20 ans , je ne sais pas répondre, mais si je me souviens bien Dan1 nous avait il y a pas très longtemp fourni une courbe sur les 20 ans derniers en euros constants.
« Si le cout du stockage baisse à la vitesse du PV, ça va changer la donne rapidement » Le stockage de masse le mons cher reste aujourd’hui la STEP, et je peux vous dire que son prix n’est pas vraiment à la baisse. Pour les autres systèmes, j’attends les arguments, sur la baisse des coûts d’investissement et là il va y avoir des volontaires, mais surtout sur leur rentabilité…..Que ça coute deux fois moins cher qu’il y a 5 ans est certes un progrès, mais ce n’est pas la question. La question, c’est quand et à quelles conditions un système de stockage quelconque ( de masse, individuel,…) devient-il « rentable ». Sinon vous parlez dans le vide, ou alors vous créez une rubrique « stockage » dans la CSPE. Et il ne faudra pas oublier de créer aussi une rubrique « back-up » dans la CSPE.
Au 3e trimestre 2011 (juillet à septembre), les installations photovoltaïques de 100 kWc et plus, celles dont le tarif d’achat de l’électricité produite est le plus faible, ont représenté 365 MW sur un total de 476 MWh installés ce trimestre (77%). Le tarif d’achat était de 116,90 euros/MWh (120 euros/MWh le trimestre précédent). Vu la baisse des prix des installations photovoltaïques depuis, panneaux et électronique annexes, rien n’empêche qu’autant d’installations soient faites au 4e trimestre 2011 avec un tarif d’achat de 113,8 euros/MWH et au 1er trimestre 2012 avec un tarif d’achat de 111 euros/MWh. Certains ont du mal à s’adapter aux réalités nouvelles dans ce domaine.
Au 3e trimestre 2011 (juillet à septembre), les installations photovoltaïques de 100 kWc et plus, celles dont le tarif d’achat de l’électricité produite est le plus faible, ont représenté 365 MWc sur un total de 476 MWc installés ce trimestre. En puissance installée, ce sont des MWc : mégawatts crête. Pour les tarifs d’achat (énergie) ce sont bien de MWh : mégawatts-heures.
N’importe quoi une fois de plus, sauf si vous me prouvez le contraire et j’attends votre réponse: au 3eme trimestre, l’ensemble ou quasiment des installations mises en service bénéficient des tarifs avant moratoire….parce qu’elles étaient déjà dans le tuyau, et donc c’était pas 120€/MWh. Alors maintenant prouvez nous le contraire au lieu de raconter n’importe quoi. Certains ont du mal à éviter de réver en n’ayant aucune notion de l’économie du PV. Au passage, vous nous donnerez la liste de l’ensemble de l’éolien offshore racheté à 130€/MWh….avant que les résultats de l’AO ne soient connus.
Alors, quand est-ce que vous donnez « à ceux qui ont du mal à s’adapter au réalités nouvelles » la moindre preuve que les installations mises en service au troisième trimestre ne sont pas sur le régime et les tarifs antérieurs???? Nous voulons le nom d’un développeur qui signe au troisième trim. 2011 à 116,90€/MWh. Ce n’est pas de la curiosité, c’est juste pour lui décerner une médaille! Et si on attendait les résultats des AO: y compris celui de l’éolien offshore , pour lequel nous vous annonciez fièrement que le tarif était à 130€/MWh il y a quelques temps? Et pour une fois, répondez…..