Fruit de cinq années de R&D en partenariat avec l’Institut National de l’Energie Solaire, Colas, le spécialiste français des infrastructures de transport, a dévoilé Wattway, une innovation majeure qui donne à la route une nouvelle fonction de production d’énergie renouvelable.
Pour Hervé Le Bouc, à la tête de Colas depuis 2007 : "Notre procédé Wattway est aujourd’hui sans équivalent dans le monde. La route solaire participe au défi de la transition énergétique et constitue une brique essentielle de la smart city."
Et d’ajouter : "Si on recouvrait un quart des routes, on assurerait l’indépendance énergétique de la France. En dotant 2,5% des surfaces d’un tel revêtement solaire, on couvrirait déjà 10% des besoins. Cela montre l’enjeu derrière ce projet".
Qu’est-ce que Wattway ?
C’est un concept de revêtement routier photovoltaïque unique au monde. Les dalles Wattway comprennent des cellules photovoltaïques enrobées dans un substrat multicouche. Ces cellules captent l’énergie solaire au travers d’une très fine feuille de silicium polycristallin permettant de produire de l’électricité. Connectées à un boîtier latéral en sous-face intégrant les composants de sûreté électrique, les dalles sont adaptables aux routes du monde entier et capables de supporter la circulation de tout type de véhicule, y compris les poids lourds. Très fines (quelques millimètres d’épaisseur) et pourtant résistantes, antidérapantes, conçues pour durer, les dalles Wattway sont posées et collées directement sur la chaussée, sans travaux de génie civil. Le procédé Wattway utilise les infrastructures déjà existantes : pas besoin de détruire pour reconstruire.
Une route révolutionnaire
Cette prouesse technique inédite, protégée par deux brevets, introduit une rupture majeure en conférant à la route une nouvelle fonction de production locale d’énergie propre et renouve¬lable, en complément de son usage traditionnel de support de la mobilité. Wattway permettra ainsi d’alimenter l’éclairage public, les enseignes lumineuses, les tramways, mais aussi les logements, les bureaux, etc.
Par exemple, 20 m² de chaussée Wattway suffisent à approvisionner un foyer en électricité (hors chauffage), et, grâce à 1 km linéaire de route équipée de dalles Wattway, il est possible d’éclairer une ville de 5 000 habitants (sources ADEME).
Vers la route du futur
Dès lors que la route produit de l’électricité, elle est connectée. Le développement massif de capteurs permet d’avoir en temps réel des informations sur l’état du trafic, de gérer celui-ci de façon dynamique et de mettre en place des systèmes d’autodiagnostic de la chaussée, dans une perspective de route intelligente et communicante. On peut imaginer également un rechargement des véhicules électriques par le biais de la technologie de l’induction.
Un procédé en cours de commercialisation
Wattway est proposé, pour des sites pilotes, à des partenaires publics (collectivités locales) et privés (entreprises) souhaitant participer au lancement de cette innovation dans le cadre de la politique de transition énergétique.
Deux marchés clés
Dans les zones urbaines, Wattway est au cœur des enjeux de transition énergétique et repré¬sente une solution pour les « smart cities ». Cette technologie solaire de rupture apportera, en effet, une énergie renouvelable au plus près des lieux où la consommation d’électricité est la plus élevée et où la demande est en croissance constante. Dans les régions isolées, où la faible densité de population rend les coûts de raccordement au réseau électrique prohibitifs, la route solaire Wattway permettra de créer des infrastructures de production d’énergie locales et pérennes, en circuit court.
Le wattway est actuellement exposé au salon world efficiency qui se déroule du 13 au 15 octobre 2015 (porte de versailles).
Concept intéressant bien sûr, mais pas vraiment nouveau ni « unique au monde ». Par contre il faudrait plus de précision sur la façon dont l’énergie produite est utilisée ; y-a-t-il une possibilité de stockage ou pas ?
« Si on recouvrait » Avec des si ….. Je n’arrive pas à trouver le moindre intérêt de ce système. Quel rendement après quelque mois et une bonne couche de gum par dessus ? Quel cout d’installation, d’entretien, nettoyage, remplacement ? C’est quoi l’avantage par rapport à du PV en toiture coté sud ? On est déjà à court de toit ?
dépenser tout ce fric pour en arriver là, bravo ! (voir l’argumentation de Chiedo) mais bon, produit français, hein, cocorico, vive Montebourg.
Mouai si toutes les voitures était électrique (genre autoboxes) cela aurrait peut-etre un sens, mais là je ne vois pas…
Cela me fait furieusement penser à l’arbre à vent – furieusement. Quel est l’intérêt d’une route solaire? Et pourquoi pas une éolienne à pet? Ou des panneaux solaire au fond du slip de celui qui à le soleil qui brille par son trou de balle? Soyons scato-rigolo! On nous a sorti il y a quelques années l’éolienne à sillage automobile, censée exploiter la mise en mouvement de l’air par les véhicules sur le bord des autoroutes, projet porté par une employée modèle de Vinci (sa photo dans le hal : employée du mois à vie!) et supporté par doudou Vinci. Mascarade et marade, jaune. Pendant ce temps, rien ne bouge. Si l’immobilisme était un but pour ces clowns, ils ont tellement gesticulé comme des poules sans tête qu’ils ont reculé par rapport au point de départ. Moralité : science sans conscience…
« grâce à 1 km linéaire de route équipée de dalles Wattway, il est possible d’éclairer une ville de 5 000 habitants (sources ADEME) » : génial, ils ont inventé le solaire nocturne !
Et quel est l’intéret de lire des gens qui disent que ça n’a pas d’intéret ? Lorsque la télé diffuse un documentaire sur le tricot en Usbékistan , vous appelez la chaine pour vous plaindre ? Actuellement, le graal du solaire consiste à abaisser les couts au maximum , mais ce n’est pas la seule voie de recherche non plus. La question du foncier est importante, notamment en ville mais aussi dans les zones inconstructibles, les réserves naturelles. Ok, vous n’aimez pas le solaire de toutes façons. Pour autant, l’utilisation de l’immense surface du réseau routier pour produire de l’énergie n’est pas une idée saugrenue. Si vous étiez japonais, ça vous aurait peut-être sauté aux yeux Mais c’est vrai qu’on a l’air important quand on dit du mal des choses, ça dit implicitement qu’on est intelligent et qu’on a le luxe de dire « je m’en fous » Maintenant, ceux qui abusent de ce genre de posture compensent quelque chose de moins glorieux ..
Je suis effaré par ce que je lis : « très fine feuille de silicium polycristallin » Le silicium, polycristallin ou monocristallin, c’est avant tout du verre. Sa rigidité même pour une épaisseur de 0.1mm est très élevée. Les flexions compressions induites sur ce verre par le passage des pneumatiques vont transformer rapidement en sable cette couche censée transformer la lumière en électricité. Ce n’est pas le mince substrat multicouche qui peut empêcher cette action mécanique. Que penser aussi du sandwich multicouche, il faut qu’il présente une résistance à l’usure et à l’humidité sans commune mesure avec les revêtement de sol modèle passage intense, à moins de prévoir le remplacement fréquent, le prix de ces revêtements passage intense est très élevé. Quand on sait les difficultés qui touchent à la réalisation de connexions électriques fiables en milieu favorable, faire cela sur les milliers de points que demandent ces nombreuses dalles posées sur une route, cela relève des travaux d’Hercule. La chaussée se déforme en permanence, avec le temps, les saisons, la température, les connecteurs et câbles n’y résisteront pas. Rien n’est dit du mode de pose et de fixation pour éviter le laminage du Wattway. Comment faire une tranchée sans mettre hors service toute la zone. Au roulage, la forme même de ces dalles va créer un bruit de pavé induit par les bordures, cela peut être pénible. Quelle est la résistance au déchirement du verre de silicium qui sépare la face collée coté chaussée de la face soumise à l’effort du pneumatique d’un véhicule accélérant ou freinant violemment. Quelle est la tenue aux hydrocarbures de ce revêtement, en cas de pluie, l’adhérence est-t-elle correcte, en cas d’accident sur la chaussée, y-a-t-il des risques électriques si la chaussée est impactée par le choc mécanique ou un incendie ? Devant le cumul d’absurdités que je relève, la seule question qui me vient est de savoir comment on peut arriver à publier de telles inepties, sont-ce des dirigeant responsables qui avalent ces couleuvres et donnent leur quitus ? Et non, mon calendrier me dit bien que l’on n’est pas le 1er avril. Si l’on veut produire de l’énergie avec le foncier des routes, il y a de la place dessus (ombrière solaire, protection pluie/neige, etc) ou sur les cotés (accès maintenance), mais de grâce, pas dessous.
Les mots que vous employez sont trop forts : notamment le mot ineptie , vous ne pouvez affirmer avant d’avoir testé et les promoteurs du projet ne sont pas des bisounours. Sur le fond, la question pour exploiter le gisement foncier des routes est : Est il plus couteux de construire des superstructures solaires au dessus des véhicules ou de renforcer le revètement comme décrit ici ? Peut être que la contrainte réelle du revètement est effectivement sous évaluée ici comme vous le dites , pour autant on ne peut pas l’affirmer sur la seule base d’un article , il faut juger sur pièce Et si la rigidité du Si cristallin pose problème, il reste le Si amorphe ou micro cristallin qui peuvent s’accomoder de nombreux substrats : souples, elastique .. S’il n’y a pas d’autre choix que de couvrir les routes , il faut une hauteur de plafond importante pour les convois exceptionnels etc.. J’ai entendu parler d’un revetement solaire sur piste cyclable aux pays bas je crois. Peut être ont-ils réduit les contraints, ils semblaient très satisfait un an après l’installation. Attention , le foncier routier est extrèmement important et situé dans des zones où le prix du m2 exhorbite le plus blasé des yeux de la tête
@Lionel-fr J’admets que j’emploie des mots forts, mais je trouve que c’est justifié car le technicien que je suis est révulsé par cette esbroufe technologique. Des cellules souples : remarques basées sur l’article. Avec des cellules souples, les problèmes de laminage demeurent, c’est très très dur la vie du revêtement routier, il faut le refaire régulièrement. Les cotés des chaussées en couverture solaire pour y faire passer une piste cyclable ce serait bien aussi, sans le problème de hauteur de plafond.Pas besoin de toute la surface de la chaussée avec toutes les routes qui existent, incliner le panneau c’est mieux que de la poser comme l’impose la chaussée (rendement, auto-nettoyage). Rien que de penser à ce que fait le sel antigel sur tout ce qui est électrique, pfffff. La piste cyclable hollandaise, c’est du sérieux, mais je le vois plutôt comme une piste cyclable en béton préfabriqué (20cm d’épaisseur) dans laquelle on teste la faisabilité d’intégration du solaire (verre trempé de 10mm) Ils sont autrement plus sérieux ces hollandais, surtout quand ça touche au vélo !
Je reçois bien vos arguments et je constate que vous êtes compétent en la matière. Oui les routes hollandaises sont d’une incroyable qualité comparées au françaises, surtout qu’il gèle souvent et plutôt fort en pays battave. Leurs routes rappellent un peu les routes américaines formées de plaques dont la jointure fait un bruit caractéristique lorsque on roule dessus. Les routes françaises sont très différentes et de qualité nettement moindres (nids de poules) Pour le sel antigel, je suis mitigé car la soude n’attaque pas les métaux mais plutôt les matières organiques, en outre les parties métalliques sont focément protégées de l’humidité avec de fortes contraintes mécaniques. S’ils ont vraiment fait un gros travail de R&D , ça me semble être le minimum vital. Les problèmes que vous décrivez représentent un gros challenge pour une surface photosensible avec des matériaux transparents. Pour autant , il me semble possible de les résoudre un par un avec des tolérances acceptables et sans recourir à des matériaux hors de prix. Evidemment si on fait la liste de tous les outrages que subit une route fortement fréquentée , cela semble impossible et le choix de trottoirs ou de pistes cyclable n’est sûrement pas décoratif. Maintenant si vous vous placez dans une gamme de produits un peu plus spécialisés, vous pouvez envisager un revètement PV bon marché pour les zones peu contraintes (au pire parking) et un revètement renforcé plus cher pour les routes. Je ne peux pas affirmer qu’il y aurait des clients prèts à payer une fortune pour un revètement PV renforcé mais je serais bien incapable d’affirmer l’inverse aussi. Je ne peux donc pas exclure qu’il y ait un marché pour ce type de revètement , même s’il est cher ou que sa durée de vie est courte
C’est justement se défendre des inepties et des « arbres à vent »(s)! Le solaire sous les voitures, sous les camions, sous les graviers, sous la couche de saletés, de boues, de gommes, d’eau de pluie ou de neige mélée à du sel ou du sable? Vous avez compris le mot « ineptie »? Si oui, vous ne pourrez plus prétendre que mettre des panneaux solaires sous toutes ces couches de « merde » n’en est pas une. C’est EVIDEMENT une ineptie qui confine au grotesque. Un poisson d’avril en octobre – nouveau concept ou comble de l’ineptie. Il serait moins cher et 1000 fois plus efficace – au moins! – de recouvrir les voies roulables d’ombrières solaires, ce qui générerait un vrai nouveau business, du confort (nombreux facteurs de confort!), de la sécurité éventuellement, de l’énergie renouvelable solaire optimisée bien sûr, sans bouziller l’espace vitale agricole, etc. Merci de revenir à des considérations plus réalistes, mon cher Lionel. Le devoir de promouvoir les ENR passe d’abords par un peu de lucidité.
Merci Chelya pour cette leçon de chose. Je résume mais c’est bien votre propos : si papa le dit, ou le capitaine, ou le président, ou le « chef », ou le Génral de Gaule le dit, c’est forcément vrai, même et surtout si nous, le peuple et les petits cons de jeunes sommes incapables de comprendre. Au pire, on est trop bête pour comprendre, trop méchant et on se tait. Au mieux, on finira bien par comprendre qui a toujours raison même quand il a tort. Areva fit partie de ces mentors, ainsi que la belle compagbnie qui gérait les centrale japonaise, ainsi que la non moins belle société qui prétendait que le puit de pétrol sous marin ne laissit plus échapper de pétrole après l’explosion – inopinée – de la plateforme, ni la respectable compagnie de chemin de fer dont les frein ont laché dans la pente avec un chargement de produit hautement volatile et non moins mortel par inhalation, ni la sncf sur ce même créneau qui a oublié d’entretenir les voies, etc etc… Comme ils sont nombreux nos patrons, nos présidents, nos aimables dirigeant et directeurs – de conscience – et leurs boites centenaires qui ont raison, cent fois raison, toujours raison. L’ineptie est donc un concept de révolté boutoneux, l’expression du mal être des depressifs disqualifiés, la révolte des crétins…
Non, ce qui me plait pas, c’est de dire que ce truc ne sert à rien puisqu’on ne peut pas l’installer sur le periph’ ou place de la concorde. Il y a énormément de routes pavées peu ou pas fréquentées mais aussi des trottoirs goudronnés , des parkings toujours vides, des zones piétonnes, des routes communale qui ne mênent qu’au cimetière, des ponts piétons, des aires de jeux, des pistes de sport, des places de marché vides 6.5 jours par semaine, des toits d’immeuble dont on ne peut pas inderdire l’accès pour cause de lois sécurité incendie … J’en oublie des centaines, et ces zones ont déjà pour défaut de chasser la végétation et d’empècher le sol d’absorber l’eau de pluie , faudrait-il qu’on en fasse des sanctuaires goudronnés parce qu’un gourou a empèché une technologie au motif qu’elle ne fonctionne pas sur les périph’ ? Votre argumentaire n’est pas faux, il est juste hyper-dimensionné et sa finalité devient absurde Personne n’a dit qu’on allait empècher les ombrière perchées, on a deux technologies complètement différentes dont l’usage est assez voisin mais dépend de la fréquentation de la zone. C’est si difficile à comprendre qu’il vaille mieux poubelliser une bonne techno plutôt que d’avoir le choix ? Vos arguments sont recevables, c’est votre état d’esprit qui n’a pas vocation à l’être
Je ne fais que lire les arguments commerciaux de la major centenaire, et je continue de le dire, net, haut et clair : INEPTIE, avec en corollaire communication de nature à tromper, donc mensonge, escroquerie, arbre à vent(s)… Et si nous ne lisons pas les même mots ou ne les comprenons pas de la même manière, je suis prêt à lire votre étude de texte. Le vocabulaire et les objectifs me semblent pourtant très clairs, et toujours en parfaite contradiction : une route traditionnelle telle que nsou les faisons aujous’hui – sans ingénierie pour reprendre leur termùinologie – ne sera jamais un site de production d’électricité solaire efficace et productif. A moins de prévoir balayeuse et nettoyage haute pression au moins une fois par semaine, par jour en hiver, et de limiter les passages. Je lis bien aussi que le grand manitou prévoit un usage urbain, donc à l’ombre des immeuble en plus de l’ombre des véhicules… NON, tout cela est ridicule. A la limite, on peut en effet imaginer un usage et une efficacité éventuellement à la limite de l’acceptable dans de rares cas, mais à la marge de la marge, ce qui rend l’annonce complètement creuse et l’ineptie industrielle d’autant plus criante. Quand je lis ça, je pense surtout aux millions d’Euros engouffrés en crédit d’impôts et subventions. Une mane pour ces grosses boites qui en usent et abusent, qui paient meiux leurs comptables experts en récupération d’argent publique que leurs ingénieurs. Et si j’en avais le pouvoir et les prérogatives, j’irais voir de plus près combien de millions et à quoi exactement ils ont été dépensés, et si par hasard il n’y aurait pas lieu d’en rembourser uen partie en regard de l’efficacité finale du projet. Car c’est bien là le problème, et pas dans la communication sur l’ineptie. La com’ vient dresser un paravent devant un immense système de détournement de fonds publics, aux ramisfications et sophitications très avancées. Les grosses boites, capablent de gérer ces dossiers administratif à la chaine, en ont fait une poule au oeufs d’or. La dalle solaire n’est donc que l’effet lointain d’un système financier basé sur notre argent publique, autant d’argent qui manque d’ailleurs cruellement aux centaines de startups qui ne trouvent même pas quelques dizaines de milliers d’euros pour s’amorcer. Ca me fait donc littéralement vomir… de voir ces dalles et autres arbres à vents.
Je ne fais que lire les arguments commerciaux de la major centenaire, et je continue de le dire, net, haut et clair : INEPTIE, avec en corollaire communication de nature à tromper, donc mensonge, escroquerie, arbre à vent(s)… Et si nous ne lisons pas les même mots ou ne les comprenons pas de la même manière, je suis prêt à lire votre étude de texte. Le vocabulaire et les objectifs me semblent pourtant très clairs, et toujours en parfaite contradiction : une route traditionnelle telle que nsou les faisons aujous’hui – sans ingénierie pour reprendre leur termùinologie – ne sera jamais un site de production d’électricité solaire efficace et productif. A moins de prévoir balayeuse et nettoyage haute pression au moins une fois par semaine, par jour en hiver, et de limiter les passages. Je lis bien aussi que le grand manitou prévoit un usage urbain, donc à l’ombre des immeuble en plus de l’ombre des véhicules… NON, tout cela est ridicule. A la limite, on peut en effet imaginer un usage et une efficacité éventuellement à la limite de l’acceptable dans de rares cas, mais à la marge de la marge, ce qui rend l’annonce complètement creuse et l’ineptie industrielle d’autant plus criante. Quand je lis ça, je pense surtout aux millions d’Euros engouffrés en crédit d’impôts et subventions. Une mane pour ces grosses boites qui en usent et abusent, qui paient meiux leurs comptables experts en récupération d’argent publique que leurs ingénieurs. Et si j’en avais le pouvoir et les prérogatives, j’irais voir de plus près combien de millions et à quoi exactement ils ont été dépensés, et si par hasard il n’y aurait pas lieu d’en rembourser uen partie en regard de l’efficacité finale du projet. Car c’est bien là le problème, et pas dans la communication sur l’ineptie. La com’ vient dresser un paravent devant un immense système de détournement de fonds publics, aux ramisfications et sophitications très avancées. Les grosses boites, capablent de gérer ces dossiers administratif à la chaine, en ont fait une poule au oeufs d’or. La dalle solaire n’est donc que l’effet lointain d’un système financier basé sur notre argent publique, autant d’argent qui manque d’ailleurs cruellement aux centaines de startups qui ne trouvent même pas quelques dizaines de milliers d’euros pour s’amorcer. Ca me fait donc littéralement vomir… de voir ces dalles et autres arbres à vents.
Je ne fais que lire les arguments commerciaux de la major centenaire, et je continue de le dire, net, haut et clair : INEPTIE, avec en corollaire communication de nature à tromper, donc mensonge, escroquerie, arbre à vent(s)… Et si nous ne lisons pas les même mots ou ne les comprenons pas de la même manière, je suis prêt à lire votre étude de texte. Le vocabulaire et les objectifs me semblent pourtant très clairs, et toujours en parfaite contradiction : une route traditionnelle telle que nsou les faisons aujous’hui – sans ingénierie pour reprendre leur termùinologie – ne sera jamais un site de production d’électricité solaire efficace et productif. A moins de prévoir balayeuse et nettoyage haute pression au moins une fois par semaine, par jour en hiver, et de limiter les passages. Je lis bien aussi que le grand manitou prévoit un usage urbain, donc à l’ombre des immeuble en plus de l’ombre des véhicules… NON, tout cela est ridicule. A la limite, on peut en effet imaginer un usage et une efficacité éventuellement à la limite de l’acceptable dans de rares cas, mais à la marge de la marge, ce qui rend l’annonce complètement creuse et l’ineptie industrielle d’autant plus criante. Quand je lis ça, je pense surtout aux millions d’Euros engouffrés en crédit d’impôts et subventions. Une mane pour ces grosses boites qui en usent et abusent, qui paient meiux leurs comptables experts en récupération d’argent publique que leurs ingénieurs. Et si j’en avais le pouvoir et les prérogatives, j’irais voir de plus près combien de millions et à quoi exactement ils ont été dépensés, et si par hasard il n’y aurait pas lieu d’en rembourser uen partie en regard de l’efficacité finale du projet. Car c’est bien là le problème, et pas dans la communication sur l’ineptie. La com’ vient dresser un paravent devant un immense système de détournement de fonds publics, aux ramisfications et sophitications très avancées. Les grosses boites, capablent de gérer ces dossiers administratif à la chaine, en ont fait une poule au oeufs d’or. La dalle solaire n’est donc que l’effet lointain d’un système financier basé sur notre argent publique, autant d’argent qui manque d’ailleurs cruellement aux centaines de startups qui ne trouvent même pas quelques dizaines de milliers d’euros pour s’amorcer. Ca me fait donc littéralement vomir… de voir ces dalles et autres arbres à vents.
Encore un qui prétend avoir droit de vie et de mort sur toute chose en ce monde. « Si j’en avais le pouvoir.. » effectivement , vous n’en avez pas le pouvoir, tout est dit votre prose n’est qu’un calcul grossier ramenant tout au nombil d’un gars qui rève d’avoir le pouvoir, mais qui ne l’a pas, et s’il l’avait que ferait il vraiment ? Aurait-il des tirades aussi outrancières devant les parlementaires ? devant les sénateurs ? devant les innombrables congressistes de toutes sortes ? Qui voterait pour un mec qui prône l’ignorantisme à ce point ? Des révolutionnaires ? S’il avait le pouvoir , il ne l’exercerait pas longtemps avant que sa propre violence ne se retourne contre lui Mais où est le problème puisqu’il n’aura jamais le moindre pouvoir , faute de comprendre où est la limite .. La route solaire est une idée intéressante car elle résout un problème foncier dans l’hypothèse , notamment soutenue par l’agence internationale de l’énergie – où l’énergie solaire deviendrait la première source d’énergie mondiale toutes technologies confondues.. Il est évident qu’à ce stade, le foncier fera défaut et que prélever des espaces verts pour les transformer en centrales n’est pas une panacée, c’est juste la méthode la moins chère actuellement mais elle pose aussi des problèmes. Quant à vos allusions politiques, si vous arrivez à faire gober ça à un gang, il passera sans doute à l’acte mais vous n’aurez qu’un peu de sang versé, certainement pas la décision technologique pour autant vous n’en aurez jamais le pouvoir
Je crois être ouvert aux idées et emplois même ésotériques qui apportent un plus dans le domaine technique, je m’y suis livré plusieurs fois. Ici, on propose de couvrir la chaussée avec un revêtement annoncé à 6 euro le watt, ce qui fait qu’avec le rendement attendu, supposons 100W par m², cela renchérit diablement le coût. Les panneaux placés dans des milieux moins hostiles sont proposés en quantité à un coût plus faible d’un ordre de grandeur, mais avec des matériaux qui garantissent au moins trois décades de service. Cumulant durée de vie et différence de coût on est très au delà d’un ordre de grandeur, c’est mortel pour les structures au financement rationnel. On a donc là une solution beaucoup plus chère. Elle s’étudierait si on était déjà au taquet sur les toitures, ombrières de parking, cheminements, BIPV, etc Il me suffit de me promener pour constater qu’il y a encore beaucoup de place, alors je ne comprends pas, a moins d’entendre ce que dit stephsea0 en ces temps d’argent public et de greenwashing pré-COP21
6€/Wc, c’était le prix des panneaux « pas chers » en 2001. Aujourd’hui on est à 0.7€Wc et même 0.5€ pour les grands volumes.. C’est vrai que c’est cher.. Certainement pas pour faire du raccordé au réseau. Pour les sites isolés en particulier relais telecom, si le foncier est inexistant alentour, on peut imaginer que le chemin d’accès au relai soit équipé pour alimenter l’engin.. En ville , on a souvent du réseau pas loin mais à l’image des horodateurs, on peut aussi avoir des robots loin du réseau et dont la consommation dépasse ce qu’on peut tirer d’un petit panneau.. Ce sont des utilisations à forte valeur ajoutée où le coût par watt est indifférent dés lors qu’on économise le déplacement d’un technicien, logique que je connais bien.. Après peut-être quelques milliardaires qui préfèreront équiper les chemins de leur chateau plutôt que défigurer leur toiture mais je ne suis pas sûr qu’il y en ait un seul dans ce cas.. Bref , si le prix ne baisse pas, l’usage sera limité aux robots embarqués
@ Lionel-fr Vos argumenst sont toujours aussi Nullissimes. Trêve de chatouilles et de calineries. Vou êtes incapable de lire un texte, celui du promoteur et le mien, et vous vous fendez bravement d’un texte de discrédit à mon égard. Vous abusez! Je vous demandais une étude du texte de promotion. Mais il vous faudra apprendre à lire, déjà. Pénible… Vous êtes évidement dans la posture du vendeur de panneaux qui a TOUT COMPRIS, pour qui le solaire est universel et parfait en toutes circonstances (sous les roues des camions). Ce faisant vsou sciez la branche qui vous supporte. Vous n’avez relevé qu’un mot dans mon laius : POUVOIR. Tout le reste a disparu. Puis vous avez déversé une cataracte d’invectives personnelles. Cela en dit long sur vos propres préoccupations et votre niveau général. Le mot d’après vous aura échappé : prerogative. Ceux d’avant, pareil. Trop de lettres probablement… C’est décidément bien un problème de dico.
Désolé Lionel, mais stepsea a raison. Quand tous les toits exposé sud, ouest et est seront équipés en PV bon marché, que les parkings seront couverts, il deviendra alors intéressant de s’attaquer aux routes… Mais pour le moment, ce concept ci n’a pas pour vocation a jouer dans la catégorie « transition energétique », juste éventuellement peut il être intéressant pour des balisages intégrés dans la route (ou autre capteur) mais ça ça existe déja. Dans la mesure ou ce projet ne touche pas de subventions, pas de souci. Cola peuvent claquer leur pognon comme ils le veulent… Sinon c’est con , car les dites subventions auraient été bien plus utiles au développent du stockage, … enfin des trucs pouvant être absolument necessaires dans un avenir proche…
Heureux que vous preniez ça au sérieux chelya.. Je pense aussi que les questions budgétaires sont déconnectées de la rentabilité à court terme dans le bâtiment tant les enjeux sont gros par ailleurs. Vues les surfaces hallucinantes qui sont goudronnées à chaque nouvelle « colonie » : résidences, centre ville rénové…, il peut s’avérer consistant d’installer une puissance en MWc
« Ca ne servait à rien, c’était un moyen extrêmement couteux de faire passer le peu de communications, mais juste que par rapport au coût d’une ligne TGV c’était rien… et finalement c’est devenu une mine d’or pour les opérateurs telecom… » Une des choses appréciable de la fibre, c’est sa résistance à la foudre. Rien que pour ça, son utilisation était largement justifiée, sans même parler des autres avantages… (Avec les grêves, le taux de service de la SNCF est suffisamment mauvais pour ne pas ajouter l’effet des pannes évitables en sus…) Par contre j’aimerais qu’on m’explique l’avantage du PV routier et surtout l’interet d’en faire 1MWc: Porduit il la nuit: NON Produit il quand il fait pas beau: Pas plus que l’autre Stocke il de l’energie: NON Y a t il un manque de place qui le justifierais: NON Est il moins cher? : NON , c’est beaucoup plus Est il plus fiable: Ce serait étonnant… Necessite t il moins d’entretient: ça serait étonnant aussi En conclusion, au lieu de dépenser bêtement notre energie à faire des trucs comme ça, qui, ne servent ABSOLUMENT A RIEN SINON GASPILLER DE L’ARGENT ET DES RESSOUSRCES on, ferait mieux par exemple de s’appliquer à réduire le cout du PV de toiture car il manque plus grand chose pour lui faire cracher du Kwh à moins de 0.04€… Ce qui éviterais au final de se retrouver avec des factures électriques faisant fuir les consommateurs vers des energies fossiles…
J’avoue avoir le même questionnement que vous….. J’ajouterais que si les fans inconditionnels de PV « classique » nous promettent des durées de vie canoniques, personnellement j’ai rarement vu une chaussée ne pas être refaite tous les 10 à 20 ans.
Oui, les grands gestionnaires de réseau (EDF, SNCF en France) ont installé des fibres optiques, mais non ce n’était pas extrêmement coûteux. La fibre s’installe simplement dans les gaines techniques existantes (ne prend pas de place, pas de diaphonie, etc) Ce qui coûte ce sont les têtes optiques, qui ont fortement évolué dans le temps et ont été adaptées quand la charge venant enfin (Internet, mobiles xG) les entités créées pour louer ces services ont pu décoller. Ce n’était pas un bon exemple. Quand on parle de PV routier à 600 euro du m², quelques ordres de grandeur d’écart, ça s’appelle le grand écart ! Quand une fibre montre des faiblesses, l’OTDR indique précisément la zone en cause et elle se remplace très facilement, rien de tel avec ce PV routier. Je ne crois pas que l’on puisse confondre le bâtiment avec les infrastructures routières, il me semble que les grands travaux de réfection routières chaque 5 à 10 ans n’ont pas d’équivalent dans le bâtiment. On ne trouve l’argent qu’à l’approche des élections pour les routes. Il me semble aussi que l’argent est compté, 1MW à 6Meuro sans savoir si cela va servir, je ne suis pas du tout convaincu d’autant que je crois avoir montré que la prémisse SNCF était infondée. Cela a déjà été indiqué dans les messages qui précèdent, beaucoup d’argent public (5 ans de R&D) pour habiller une cellule silicium avec des résines à un coût 10 fois supérieur à l’état de l’art, j’appelle ça de la R&D prédatrice d’argent public, la concussion pointe son nez.
Merci Chelya pour cette démonstration qui frise l’absurde, donc qui nous montre aussi encore mieux l’ineptie des panneaux solaire de route – sous une clarté solaire encore plus forte. Et pourquoi alors la SNCF n’a pas installé des panneaux entre les rails? La techno était disponible! Exposition su^périeure à la route, risque inférieur… Et pourquoi pas le toit des trains, et des voitures elle même, et les chapeaux de mémé, et les parasols de la terrasse du pmu, et les appuius d efenêtres, et les trottoirs même, les toit d’abris bus, les allées du parc, le parvis du centre ville…. NON! Ils voulainet mettre des panneaux sous les roues des bagnoles et des camions, avec du garviers entre les deux!!! C’est tellement mieux et tellement logique… Et pourquoi pas à tous les endroits du monde plus simples et moins risqués que la route??? Je suis certain que c’est un gag… Ils doivent vraiement se marrer à nous voir tergiverser sur ce thème complètement bidon.