Evasol vient d’achever l’installation de panneaux solaires photovoltaïques chez un agriculteur de la Drôme (26). A l’origine, une sensibilité environnementale, confortée par des arguments financiers.
En perspective, la production d’énergie, qui sera vendue à EDF, et complètera les revenus du domaine : " Avec mes 82 panneaux solaires, Evasol estime ma production annuelle à plus de 19 000 kWh, soit un revenu d’environ 11 000 euros par an. L’installation m’a demandé un investissement de départ de 97 000 euros HT, qui sera amorti dans une durée tout à fait acceptable compte-tenu de la longue durée de vie du matériel ! ", indique M. Machon, propriétaire de l’exploitation des « Pierrelles » à Chanos-Curson.
En effet, l’installation rapportera, sur 20 ans, au moins 220 000 € (et même plus compte-tenu du fait que le prix auquel l’électricité solaire sera payé bénéficie d’une indexation).
Nicolas Machon, confesse avoir toujours cherché des solutions « naturellement correctes » pour faire fonctionner son domaine. La vigne, les abricots et les noix sont au coeur de ses activités, complétées par la gestion de 3 gîtes ruraux. Il lui semblait évident qu’un métier comme le sien, par essence lié à la nature, devait faire des choix liant l’écologique à l’économique.
L’équation écologique :
Le CO2 évité (1) en 20 ans grâce à cette installation est d’environ 180 tonnes, soit l’équivalent du CO2 émis par 13 millions de km de circulation d’une automobile moyenne (2).
1 : d’après les données de CO2 émis par KWh en moyenne en Europe : 0,476 kg/kWh
2 : hypothèse d’une automobile émettant environ 135 g de CO2 par km
Quelques points qui ont été déterminants dans le choix d’Evasol
- Une offre globale clés en main avec un accompagnement jusqu’au raccordement de l’installation au réseau EDF.
- Des panneaux fabriqués par une filiale de grands groupes français ayant plus de 25 ans d’expérience
- Une garantie de 25 ans, avec des conditions d’application parfaitement claires
- Une assurance décennale certifiée par des travaux photovoltaïques
Les appels que nous recevons en tant que constructeur démontrent que les agriculteurs ont désormais saisi l’importance du business que génère le domaine du photovoltaïque. Attention toutefois à ne pas délaisser les réels intérêts écologiques.
Tout a fait d’accord pour les interet écologiques.Avec 100 000 € on peut faire un chauffe eau solaire de 20 m cubes.En supposant en moyenne que le chauffe eau augmente la température des 20 m cubes de 20 °C par jour sur l’année on « produirait » E = 365 x 1.16 x 20 x 20 =169 360 kWhpour les pessimistes disons seulement 10 °CE = 365 x 1.16 x 20 x 10 = 84 680 kWhÉvidemment il faut trouver une utilité à l’eau chaude, çà ne se vend pas comme de l’électricité 🙂
Je ne comprends pas ce que ce genre d’article apporte à votre newsletter (sauf la meubler peut être). Aucune information que nous ne connaissions déjà ; juste un peu de pub.
— Aucune information que nous ne connaissions déjà –Le NOUS me laisse perplexe. = c’est QUI NOUS ?Cet article a le mérite de montrer un exemple concret sur le plan investissement, et dans la mesure où les agriculteurs ont souvent beaucoup de surfaces / bâtiments sous-utilisés …
Il s’agit d’un fort intérêt financier qui en plus donne une bonne conscience écologique.
faudra voir quels rapports pécuniers dans la vrai production , avec plusieursannées de recul .
Tout a fait d’accord avec Lion, faut-il avoir honte de dire que l’on fait du photovoltaïque comme un placement financier ?Mais il est vrai qu’un publi-reportage doit pouvoir s’adresser à tous.