Petite sensation dans le monde de la construction, où la société WinWun basée en Chine vient de franchir le pas dans l’impression 3D avec la construction d’un immeuble complet de 5 étages ainsi qu’une villa de 1.100 m2.
Les structures sont visibles dans le parc industriel de Suzhou, de la province du Jiangsu située à l’est de la Chine.
L’impressionnante machine qui mesure pas moins de 6 mètres de haut, pour 10 mètres de large et 40 mètres de longueur a initié son travail à l’aide d’un modèle CAO. Ce dernier alimente l’imprimante 3D géante en données afin qu’elle puisse fabriquer les différentes structures, pièce par pièce, en utilisant une ‘encre maison’ brevetée.
Le béton utilisé comprend en effet des durcisseurs spéciaux de sorte que chaque couche demeure assez solide pour supporter la suivante. Un mur à la fois. Les pièces sont ensuite assemblées ensemble sur le lieu même du site de construction. Le modèle d’impression des murs intégre une diagonale renforcée qui laisse passer de l’air à l’intérieur, agissant ainsi comme un isolant.
"Nous avons déjà construit des maisons avec une imprimante 3D en moins de 24 heures. Différentes parties, comme les façades et les murs ont été imprimés séparément. Grâce à un nouveau type d’imprimante 3D, les structures sont plus respectueuses de l’environnement et possèdent un bon rapport coût/efficacité" a indiqué la société avant de préciser : "Nous produisons un matériau fait d’un mélange de déchets industriels, de ciment à prise rapide et d’un agent solidifiant. Pour la construction des murs, couche par couche, le processus ressemble beaucoup à la façon dont le pâtissier pourrait glacer son gâteau."
Selon WinSun, son procédé est en mesure d’économiser 60% des matériaux généralement nécessaire à la construction d’une maison traditionnelle, et réduirait le temps de mise en oeuvre de l’ordre de 70%, tout en réduisant jusqu’à 80% des coûts de production. Le chantier nécessite au final beaucoup moins de main d’oeuvre de travail ( NDLR : baisse drastique de 80 % ), ce qui signifie que la construction devient plus abordable. Ainsi la Villa (en photos ci-dessus) a t-elle coûté 161.000 dollars, soit 140.000 euros.
Pour conclure, la compagnie chinoise annonce avec un certain optimisme son développement futur : "Nous prévoyons la construction de 100 immeubles à travers la Chine."
quad on peut faire compliqué ? Il suffisait d’assembler des pièces de LEGO !!!
Moins 80% de main d’oeuvre! A une période de chômage galopant que fait-on à rechercher encore à réduire la main d’oeuvre dans les activités??! On devrait plutôt chercher à faire le contraire.
C’est très intéressant j’attend que le parti logement dans nos budgets familiale baisse: Tassin: Aujourd’hui nous utilisons une « style lego »: des briques et ciment pour coll. Pastilleverte: Recherche tous les mesure pour conserver l’emploi menacé par nouveaux technologies/technique qui ont jamais marché durablement sur le dernier 100ans.
Du LEGO géant avec des containers: et pour TASSIN: du boulot en ‘usine’ en amont pour amenagement intérieur complet – ‘pret à vivre’…? trimtab
juste un question en passant coté sismique ça donne quoi cette empilage de couches?
il faut comprendre que la Chine a eu une obsession du manque de logement pendant de nombreuses années et construit sur la côte à une vitesse grand V pour accompagner leur exode rural. C’est dans ce contexte là qu’elle souhaite faire du vite faite, je pense. J’ai habité un immeuble « vite fait mal fait » où il y avait des jours de presqu’un centimètre entre les murs : bonjour l’étanchéité thermique ! Mais si les chinois sont réputés pour le vite fait mal fait, le côté « vite » est toujours intéressant à regarder de plus près ! Le coût d’un chantier est également dû au temps de déplacement de gros engin de construction qui sont loués une fortune. Réduire ce temps réduit le coût. La question du chômage est une question beaucoup plus vaste : certains diront « on n’arrête pas le progrès », faisons avec. D’autres diront « c’était mieux avant ». En tout cas il va falloir (se) trouver une nouvelle place pour l’Humain face à l’automatisation des tâches, laquelle ? @ Tech : totalement d’accord avec toi, va falloi songer à complexifier les pièces histoire de prendre en compte les contraintes de cisaillement en cas de séisme. Cependant je pense que là l’idée était plus une « preuve de concept » à la vue d’une optimisation ultérieure. Enfin… peut-être que je suis trop naïf et que les fameux 1000 immeubles vont être vendus en faisant fis de cette problématique (comme ceux effondrés lors des derniers séismes du fait du piratage interne des matériaux nobles lors des chantiers, entre autres…)
Et pour du ‘LEGO’ Do It Yourself – fais maison, VOS PAPIERS s’il vous plait…! Et avec une imprimante 3D…..ça donnera du FAB PAP…..? trimtab
C’est bizarre… Je sens beaucoup de méfiance dans les commentaires alors qu’on est devant la plus grande révolution dans le bâtiment depuis la nuit des temps.. Je n’arrive pas à comprendre l’aversion au changement, j’ai investi du temps et de l’argent dans plusieurs projets d’impression 3D, conçu des modèles, je l’ai inclus dans les méthodes, rédigé les docs iso 9001 etc.. J’ai 3 projets majeurs dans mes cartons qui attendent leur financement. Et là je vois mesdames Michu à l’oeuvre et ça me cloue au sol. Vous êtes vraiment un vaccin efficace contre l’enthousiasme, la curiosité, l’espoir … Juste un petit rappel : Avec ces engins, vous concevez chaque cm3 de votre maison sur autocad (ou blender ou même 3DS pour les joueurs), fini les copié collé de la maison du voisin (préfabriquée), votre maison est 100% personnelle. Et ça ne fait que commencer puisque les dispositifs electriques, electroniques, tuyeaux de toutes sortes sont conçus en même temps que le bâtiment sur mesure pile poil ce qu’il faut .. Puis le robot va imprimer et intégrer les dispositifs conjointement à la fabrication des superstructures. Vous voulez agrandir, modifier une façade ? Pas de problème, le batiment modifié aura des caractéristiques aussi précises que s’il était fabriqué en une seule fois. et pourquoi mettre des structures porteuses capables de supporter 15 fois le poids du batiment ? en impression 3D , vous passez par Catia et spécifiez les contraintes au kg près et le logiciel vous recalcule tous les points de contraintes. Vous voulez une exposition au sud répartie équitablement ? vous voulez travailler la prise au vent sur la base des données meteo ? Intégrer vos panneaux solaires dés la conception evec un gain d’efficacité surfacique d’au moins 15% ? pas de problème Vous voulez isoler une structure centrale avec des silent blocks pour mettre une éolienne dessus, une heure de travail sous blender et il ne reste qu’à commander les silent-blocks et l’éolienne ! Vous avez une voiture electrique que vous aimeriez garer dans un coin de votre salon ? utiliser le camping car comme une chambre d’amis ? un peu d’imagination, quelques crobards, une heure de 3D autocad et votre rêve devient réalité ! S’il vous plait , ne faites pas de votre désespoir une religion : essayez de communiquer à vos enfants un peu de foi en l’avenir, ils vous le rendront au centuple …
je suis plutôt d’un naturel optimiste, mais là lione-fr lvotre tableau il est carrément utopique pour une bonne dizaine d’années, « une heure de 3D autocad », faut être plus que champion du monde ;o)) et la somme des softs dont vous parlez + la bécane pour les faire tourner ça va vous coûter la peau des genoux, Catia c’ est du haut de gamme et c’est pas donné pour le commun des mortels (que vous n’êtes pas bien sur ;o) ma question ne remettait pas en cause le futur de ce genre de projet, mais comment techniquement était pris en compte le parasismique dans l’empilement des couches, de la curiosité c’est tout! mais il doit être possible de travailler autour « d’armatures »
¤ Ce gadget à la mode n’apporte rien de nouveau à part la publicité dont il est l’objet par une impressionnante quantité de médias crédules dont le lectorat est tout autant inculte. Les murs nus ne sont qu’une toute petite partie du coût d’une construction. Le terrain à lui seul peut déjà coûter plus cher que le bâtiment dans les grandes villes. La vitesse (plutôt la précipitation) est une chose, la qualité en est une autre encore plus importante. Car quel coefficient lambda d’isolation thermique pour ce matériaux (conductivité thermique) ? Quel toxicité des composants utilisés ? Quelle isolation phonique ? … La construction à ossature bois fait bien mieux, avec préparation des divers éléments en usine. Rapidité de la mise en place avec des frais de chantier limités pour la grue. Très bonne isolation thermique et phonique, matériau naturel, faible coût. Les constructions bois ont aussi une très bonne résistance au feu (essais CSTB).
Il me semble que depuis qq mois la Chine entre dans une bulle immobilière à l’échelle du pays, donc les vagues pourraient d’ailleurs bien nous atteindre alors l' »obsession du manque de logement « … Pour ce qui est des chomeurs potentiels, le monde du batiment est un des derniers à ne pas avoir été atteint par les gros « gains de productivité » dus à la techno, alors imprimantes 3D aujourd’hui ou robots demain, ça me parait assez fatal si on laisse faire.
non.. personne ne vous demandera d’acheter une licence Catia juste pour calculer votre home. Vous n’avez pas besoin non plus d’acheter les bétonneuses, les autoroute pour les faire venir ni les compagnies pétrolières pour leur faire le plein.. Si vous débutez en impression 3D, surtout ne commencez pas par acheter une imprimante, installez Blender sur votre machine (gratuit) et suivez un des innombrables tutoriels video sur la fabrication de pièces à imprimer. (il vous faudra quelques mois pour être à l’aise sous Blender) Il faut prendre en compte la technologie retenue pour l’impression dans la conception du modèle. Puis vous envoyez votre modèle à Sculpteo ou peut-être avez vous dans votre voisinnage un des nombreux clubs impression 3D qui fleurissent un peu partout dans le monde Les prix sont accessibles même pour un rsa.. Choisissez votre matériau (le matériau bois est désormais dispo sur toutes les imprimantes du marché, je vous le conseille, texture, odeur toucher, c’est bluffant) Essayez quand même de vous renseigner avant de gémir, vous avez parfaitement le droit d’être 3Dphobe comme d’autres sont technophobes mais ne vous trompez pas de cible, les phobies peuvent se soigner, et aujourd’hui, « ne rien comprendre aux ordinateurs » est une maladie couteuse pour ceux qui en souffrent.
Vous devriez tous renoncer aux forums internet, c’est diabolique, ça met les facteurs au chomage. Vous devez regretter amèrement de vous être laissés piéger par cette abomination d’ailleurs regardez vous, il y a 10 vous étiez plus jeunes beaux et heureux ! C’est la faute à l’internet Apprenez à dialoguer par signaux de fumée, ça n’utilise que du bois de coupe, ç’est local, ça n’émet pas de CO2 Et sans vouloir blesser personne, je ne suis pas sûr que vous manquiez tant que ça à vos interlocuteurs. Eux même sont tombés dans le chaudron numérique et souffrent mille maux du démon dans la machine. Soyez heureux mes frères
à lyonel mise au point. je suis d’ordinaire admiratif de vos posts, mais je dois remettre les pendules à l’heure. j’ai participé au développement des ordinateurs, depuis les micros en assembleur via les mini et les stations de travail en C et en VHDL donc je pense NE PAS « rien comprendre aux ordinateurs »! vous aviez l’air de faire croire que des soft comme Catia étaient facilement accessibles à tous, ce que vous savez certainement n’est pas vrai! Je ne suis certainement pas 3D phobe du tout! et je le répète, je cherchais seulement à savoir par curiosité (ne connaissant pas ce sujet!) comment étaient traités certains problèmes de construction comme le parasismique. d’autre ont ajouté le thermique , le phonique, et l’insertions des fluides merci si vous le savez de nous informer, plutôt que de vous trompez vous même de cible, la 3D au niveau d’une maison, ce n’est pas la réalisation d’un porte-clefs à votre effigie! ou le remplacement d’un pièce de votre cafetière! et n’est pas architecte qui veut! paix aux hommes de bone volonté :o))
¤ On ne construit pas seulement des maisons avec la technologie à ossature bois, mais aussi des immeubles. En Belgique comme dans d’autres pays au nord et à l’est de la France, ces constructions bois et les maisons passives en général sont à peu près au même coût que des constructions traditionnelles. La profession est formée depuis plusieurs années. Ce qui n’est pas le cas en France où les compétences sont peu répandues et où les matériaux sont plus coûteux (de 20% à 30% avec la Belgique). Pour la résistance au feu, d’autres explications techniques.
Désolé Tech, je me suis laissé emporter par un flux d’ondes négatives qu’il m’a semblé dirigées à mon endroit, ou bien à celui d’une technologie à laquelle j’ai consacré bien des efforts. Heueux de savoir que vous avez eu les mains dans le cambouis numérique, à notre époque, si vous êtes sous windows, C# est sans doute ce qui vous apportera le plus pour le moins d’investissement personnel. Pour l’imprimerie 3D, vous trouverez une mine d’infos directement utiles ici : Scupteo imprime le modèle 3D que vous leur envoyez, ce n’est pas le seul, mais jetez un oeil sur leurs matériaux , c’est assez original, beaucoup de métaux.. Généralement les métaux sont imprimés (extrudés en fait) en fixant une fine poudre métallique par laser Cette méthode est très différente des imprimantes « personnelles » qui coutent entre 500 et 3000 euros dites à dépôt de filament fondu formé d’un mélange de polymères et de bois ou calcaire ou .. En faisant une simple recherche google , vous trouverez plein de ressources… Il y a d’autre logiciels modeleurs gratuits (google sketchup) , tous exportent au moins un format imprimable. Dans le cas de Blender, c’est .colada dérivé d’xml Parmi les gratuits, Blender est certainement le plus complet (production de films HD++, camera tracking qui incruste vos animations 3d dans une video, object tracking qui vous permet de vous faire des extentions bioniques de cyborg ..) C’est tjs un peu prise de tête mais le modelage automatique n’existe pas vraiment, le travail d’artiste est donc très important. Il ne diffère pas du dessin industriel, seule la destination est différente Concernant Catia, vous devez vous rapprocher d’un club ou d’un cabinet d’architectes si vous faites vraiment un bâtiment, c’est évidemment obligatoire. Vous n’aurez jamais besoin de l’acheter sauf si vous en faites votre métier en freelance..
Il y a des reproches qu’on peut faire à la CAO par rapport aux anciennes méthodes de construction. Ce sont les mêmes que pour l’automobile. Quand on passe d’une technologie à l’autre, on allège considérablement le bâtiment en déplaçant les contraintes dans les petits éléments de structures. Ainsi en travaillant la forme des cloisons internes, voire en doublant les cloisons externes, on ne peut plus compter sur la logique des « murs porteurs ». C’est très avantageux en termes de poids et de quantités de matériaux, en revanche, ça l’est moins lorsque vous voulez abattre une cloison, installer des chiens-assis sur le tard ou d’une façon générale, changer la configuration intérieure. C’est le problème des modèles optimisés en général : vous ne pouvez rien changer ensuite. Dans les vieux bâtiments, vous faites un peu ce que vous voulez puisque les structures porteuses sont surdimensionnées.. Mais un cabinet d’architecte va être tenté de faire baisser les coûts en utilisant chaque élément , y compris les cloisons intérieures , comme un sous ensemble du « chassis » Ce qui serait bien, c’est que des gars comme Luis s’intéressent un peu plus à ces questions. Notamment l’ossature bois qui a des propriétés irremplaçables, pourrait faire l’objet d’une extension logicielle qui tiendrait compte des propriétés mécaniques des éléments bois et de leur facteur de forme, éventuellement différent d’une poutre à l’autre… (on verra ça plus tard) A Luis, je dirais ceci : les logiciels ne sont que des bases de données avec une interface graphique ! Lorsque vous avez une approche particulière dans le métier concerné, il vous appartient d’en faire connaitre la substance aux développeurs. Comme vous l’avez compris , il est parfaitement possible d’intégrer des éléments de structure préexistants dans le design numérique d’un bâtiment.. Encore faut-il que les éléments en question soient disponibles dans les bibliothèques logicielles. Il y a donc obligatoirement un travail de base de données à faire qui va consister à traduire le catalogue de votre fournisseur d’éléments bois en objets 3D que le designer pourra charger dans son logiciel et intégrer à ses modèles. Donc , ce n’est pas le moment de casser du sucre sur le dos de la 3D ou des extruders qui ne risquent pas de disparaitre. Au contraire, il faut joindre les architectes utilisateurs pour leur proposer d’intégrer un catalogue de produits de construction à leur logiciel.. trouver le financement, embaucher les designers de catalogue, réaliser, vendre… Bref , plein de boulot ! C’est là que sont les solutions à votre souci, certainement pas dans le dénigrement de l’outil, c’est faire fausse route. Regardez ce qui est arrivé à l’industrie musicale : ils avaient décidé de faire interdire l’internet ! regardez où ils en sont maintenant ..
L’avant dernière mission SpaceX (avant la tentative de récupération du booster) a emmené sur la station spatiale une imprimande 3D pour fabriquer des pièces de rechange sur place. Depuis, les pièces sont envoyées par e-mail dans la station et l’imprimante les extrude en quelques heures… Outre l’énorme problème des pièces détachées , on imagine facilement la construction de vaisseaux géants avec gravité centrifuge par ce procédé alors que tous les projets de ce type ont été abandonnés faute de fusée capable d’emporter les éléments.. Ce qui m’a interessé récemment sont les pièces imbriquées : il est possible d’imprimer une porte fonctionnelle par exemple ou dans mon cas, une chaine de transmission. Il n’est pas nécessaire d’assembler la porte dans ses gonds ensuite , porte, gonds et huisserie sont imprimés directement assemblés prets à l’emploi. Ce n’est pas encore parfait et un petit polissage est quand même conseillé mais si les pièces acceptent un minimum de jeu, ça marche très bien De la même manière que les fondations en milieu accidenté (pente, paroi de montagne, pont de rivière.. ) Le montage de la structure accepte n’importe quelle pièce préfabriquée qu’il faudra évidemment assembler manuellement pendant ou après le processus d’extrusion Il suffit de créer le modèle 3D de la pièce et de le copi coller à chaque emplacement désiré J’insiste sur le travail d’authoring : si modeler un objet 3D pour la video ne requiert pas de qualité importante : il en va tout autrement pour l’impression. Les pièces doivent impérativement respecter une résolution (nombre de polygones) cohérente avec le reste du modèle On appèle ça le modelage « lowpoly » càd que le nombre de polygones doit être minimal au regard de la précision de rendu souhaitée, ni plus ni moins que le strict nécessaire Cela demande une certaine dextérité, en tous cas un minimum d’éxpérience. Pour un débutant, il faudra s’entrainer sur deux ou trois scènes qui ne serviront qu’à apprendre la manipulation du logiciel. Ensuite les bonnes habitudes (lowpoly) devront être systématiquement respectées. Il ne sera pas difficile de produire des maquettes de demo (quelques dizaines d’euros chez sculpteo) Le cauchemar de Luis sera évidemment les script de fabrication de villes, où un programme construit une ville partiellement aléatoire sans fin avec une page de paramètres pour donner le style (hauteur des immeubles, facteur de concentration, types d’architectures, ..) Ces scripts ont été conçus de longues date : de mémoire les derniers Star Wars les utilisent pour modéliser la planète-ville capitale de la république (qui deviendra l’empire) StarGate les a utilisé aussi… il ne reste qu’à imaginer des « esclaves » qui vont alimenter les extruders géants et construire des villes aussi grandes que leur planète.. Bon ! c’est de la SF, si un tel scenario était le seul motif d’inquiétude sur terre, je pense qu’on serait heureux ..