L’Agence Internationale pour l’Énergie Renouvelable (IRENA) devient aujourd’hui le siège de consultations concernant la création d’une importante coopération relative à l’accélération du déploiement de l’énergie renouvelable en Afrique.
La réunion qui a lieu à Abu Dhabi jusqu’à demain s’appuie sur les engagements récents de l’Initiative des marchés des capitaux, la CoP-17, la Rio+20 et l’Année Internationale de l’Énergie renouvelable Pour Tous.
Ainsi, 45 pays africains représentés par 30 ministres et assistants des ministres ont confirmé leur présence à cet événement. Des représentants de l’union africaine et des délégués de haut niveau non-africains ont également confirmé leur présence, comme, des représentants de l’ONUDI, le GIEC, le PNUE, l’Inde, la Chine, l’Allemagne, la France, le Japon et les Émirats Arabes Unis.
Cette consultation a pour but de servir de point de départ pour un projet ambitieux qui comprend le développement de scénarios et de stratégies pour l’Afrique, ainsi que le lancement d’un processus sur tout le continent qui préparera les économies africaines aux contraintes actuelles du déploiement de l’énergie renouvelable.
La mise en avant de l’Afrique par le plan d’action d’IRENA 2011 est dopé par les défis significatives auxquels devront faire face le continent. La consommation d’énergie en Afrique où vivent 15% de la population mondiale, représente actuellement seulement 5% de la consommation primaire globale. La moitié de ces 5% provient de la biomasse traditionnelle qui reste la cause principale de nombreux problèmes sanitaires révélant au passage les dégâts de la déforestation.
Par ailleurs, IRENA précise que la détérioration quantitative et qualitative de l’infrastructure énergétique ralentie la croissance sur le continent africain. En effet, La banque africaine de développement estime que 27 milliards de dollars doivent être investis annuellement afin de réaliser son objectif concernant l’accès universel à une énergie électrique durable et plus propre dans les 53 pays du continent en 2030. Pourtant, 2 milliards de dollars sont actuellement investis dans le domaine de l’énergie en Afrique sub-saharienne, par an.
"Le potentiel de capitalisation sur les ressources renouvelables en Afrique est important, à condition toutefois de créer un environnement favorable. IRENA peut jouer un rôle en aidant les gouvernements à créer les conditions nécessaires et planifier la transition vers un avenir énergétique durable" a déclaré Adnan Amin (en photo), PDG de IRENA, à l’occasion de ces consultations.
Il a ajouté, "les délibérations réunissent les différents acteurs afin d’identifier ensemble les conditions nécessaires : trouver l’ensemble des solutions qui conviennent le mieux aux circonstances de chaque pays, ainsi que les méthodes que ces pays pourront adopter afin d’accéder à la technologie, au financement et à l’investissement adéquat".
Parmi les sujets qui seront abordés lors de ces 2 jours : Point sur l’énergie en tant que ressource essentielle de développement compte tenu de son impact direct sur les différents secteurs dont l’industrie, l’agriculture, l’eau, le transport, l’environnement, la santé et l’éducation ; le contexte institutionnel permettant de mettre en œuvre les différents scénarios possibles ; Comment mieux exploiter les partenariats dans la mise en œuvre des stratégies ; Les conditions supplémentaires pour venir en aide aux stratégies d’investissement ; Ce que les gouvernements peuvent faire pour renforcer l’investissement domestique en faveur des énergies renouvelables.
une des plus « renouvelables « des énergies, mais dont les dangers (sanitaires et écologiques) sont bien mis en avant. l’autre grande ressource « ENR » c’est l’hydraulique, mais les grands barrages… Ah oui, il paraît que le soleil y brille, et parfois fort, super ! NYAPLUKA trouver des technologies vraiment fiables et surtout peu onéreuses en acquisition et entretien. Quelques coins à potentiel géothermique, la meilleure solution… une fois qu’on a trouvé le financement pour les investissements de forage, et pour l’entretien (corrosion). Quelques régions côtières qui pourraient prendre un peu d’énergie éolienne, vagues et ETM, vu les niveaux actuels de conso énergétique, ça devrait bien aider. Ou alors Desertec, mais une grande partie sera poiur l’Europe ? Bref, comme on dit : du potentiel (potentiel)
Isolée, l’Afrique aurait bien du mal à se doter d’une capacité en EnR significative. Mais elle n’est pas isolée. Elle exporte des ressources naturelles qui lui apportent des devises. Les ressources (uranium, pétrole, gaz, minerais divers…) étant imitées, l’accès est négocié à haut prix. Que ce soit par le versement de bonus d’entrée ou de plus en plus en échange de capacité, d’équipements, d’installations industrielles. Pourquoi ne verrait-on pas les chinois installer d’immense champs solaires en échange d’accès aux champs d’hydrocarbures? Ce genre d’idées ne doit pas convenir à tout le monde et les propositions d’IRENA ne sont sans doute pas anodines.
Quelqu’un a des nouvelles de Grand Inga? Ce projet de barrage de 50 GW (vous avez bien lu) sur le fleuve Congo, qui pourrait alimenter en electricite renouvellable la moitie de l’Afrique?
Sortir du nucléaire Paris – Meeting AREVA – 8 juillet 2011 violence contre activistes – go to the highest european court for human rights – this is outrageous !!!! 2 PEACEFUL Activists ABSOLUTELY CREULLY BEATEN UP BY THE FRENCH POLICE !!!! Please « make friends » on Facebook and Twitter and send 10000 people an email to make friends with Sortir Du Nucleaire. Donate them as much money as you can…..the French Government wants to kill everyone with their nuclear bombs and their nuclear reactors !!!! LA FRANCE VEUT TUER LES SUISSES, LES ALLEMANDS, LES ITALIENS AVEC LE NUCLÉAIRE ET AVEC 3000 BOMBES HYDROGEN !!!!!