Alors que se déroulera en fin d’année la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21) à Paris, un rapport a analysé et classé pour la première fois la performance économique et énergétique des 50 plus grandes nations du monde qui émettent des GES.
Le Green Innovation Index de Next 10 a publié des indicateurs selon le PIB des pays, les émissions, la productivité énergétique, la production d’énergie renouvelable, les investissements en technologie propre et autres paramètres clés.
L’Union européenne collectivement et ses pays individuels occupent le premier rang dans le monde sur plusieurs indicateurs clés.
"Certaines des plus grandes économies du monde pratiquent aujourd’hui le découplage de la croissance économique et de la consommation énergétique, en augmentant actuellement leurs PIB tout en réduisant leurs empreintes carbones. L’an dernier a marqué la première fois que nous avons été en mesure de dire avec certitude qu’une baisse des émissions mondiales de carbone a été causée par autre chose qu’un ralentissement économique", a déclaré F. Noel Perry, fondateur de l’organisation à but non lucratif, ( Next 10 )
F. Noel Perry a présenté les nouvelles conclusions du rapport mardi à l’occasion du Business & Climate Summit qui s’est tenu au siège de l’UNESCO.
Cette semaine marque donc le lancement de Climate Week à Paris, un rassemblement historique des dirigeants d’entreprise et de politiques à l’échelle planétaire. Les dirigeants mettront en évidence des solutions d’entreprise et de politiques pour la décarbonisation de l’économie.
Ces événements viennent à la suite de l’annonce de l’Agence internationale de l’énergie, qui suggère que le processus du découplage de la croissance économique des émissions de GES est déjà en cours, car l’économie mondiale a progressé en 2014, mais les émissions de carbone ne l’ont pas.
Parmi les faits marquants du rapport, l’Union européenne se classe comme suit :
• Nº1 comme producteur d’énergie renouvelable.
• Nº2 en ventes mondiales de véhicules électriques (2014) ; représentant 30 % des ventes dans le monde entier.
• Nº1 en IPO de technologie propre (2014).
• Nº2 en capital de risque de technologie propre, attirant un peu plus d’un milliard de dollars en 2014.
• Nº1 en brevets d’énergie éolienne.
• Nº2 en brevets de technologie propre, dont 11 000 enregistrés en 2014.
Cinq pays de l’UE (la France, l’Italie, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Allemagne) et l’UE se classent collectivement dans le « top dix » au rang mondial en plus faible intensité carbonique (émissions par dollar de PIB).
Cinq pays de l’UE (l’Italie, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et l’Espagne) et l’UE se classent collectivement dans le « top dix » au rang mondial des pays les plus productifs d’énergie (correspondant au PIB par unité d’énergie dépensée).
Les pays de l’UE (le Danemark, l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie) et l’UE se classent collectivement au premier rang mondial avec la plus grande part d’électricité provenant de sources renouvelables.
Alors que l’UE se classe troisième en émissions totales de GES, de 1990 à 2012, l’UE a diminué ses émissions de carbone par habitant de 17 % tout en augmentant le PIB par personne de 36 %.
"Le Green Innovation Index, International Edition de cette année suit la trace d’un changement manifeste vers l’énergie propre dans le monde entier. Bien que les combustibles fossiles représentent encore une part importante de notre consommation globale d’énergie, de nombreux analystes estiment que nous avons atteint un point de basculement important—à l’échelle mondial, nous ajoutons aujourd’hui davantage de capacité pour l’électricité renouvelable chaque année que les combustibles fossiles", a déclaré Doug Henton, président et PDG de Collaborative Economics, qui a créé l’Index pour Next 10.
Le Green Innovation Index (Edition internationale) montre que cette transition se manifeste pour les 50 principaux émetteurs de gaz à effet de serre. Parmi ces nations, en plus de la Californie :
L’Espagne, l’Allemagne, l’Italie, la Californie, les Philippines, l’UE, la Belgique, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Grèce détiennent la plus grande part d’électricité provenant de sources renouvelables parmi les principaux émetteurs (dans cet ordre).
La France occupe le premier rang mondial en plus faible intensité carbonique ; l’Ouzbékistan est le plus élevé (GES par rapport au PIB).
Les États-Unis (y compris la Californie), l’UE, le Japon, la Corée du Sud, l’Allemagne, la Californie, la Chine, Taïwan, la France et le Royaume-Uni (dans cet ordre) se classent au top dix en brevets de technologie propre (2014).
Les investissements de capital de risque en technologie propre ont baissé dans l’UE (-10 %), en France (-43 %), au Canada (-19 %), en Inde (-4 %) et en Israël (-11 %) de 2013 à 2014.
Les investissements de capital de risque en technologie propre aux États-Unis ont progressé de 74 % (2013-14), en Californie 153 %.
Le Nigéria connait les émissions les plus faibles par habitant, la consommation totale d’électricité et d’énergie par habitant et la productivité énergétique la plus élevée (PIB par unité d’énergie). De 1990 à 2012, l’énergie par habitant a diminué de près de 26 %.
La France, la Californie et l’Italie détiennent les économies à plus faible intensité carbonique dans le monde.
Le Nigéria, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni et la Californie occupent le premier rang mondial en productivité énergétique (dollars générés par unité d’énergie).
>>> Rapport intégral en anglais : ici (.pdf)
Intéressante cette étude, où l’on voit que la Californie et la France sont très proches à chaque fois dans les classements. Les cartes « radar » sont très parlantes, car on y voit les déséquilibres de chacun des pays apparaître. Il faudrait quand même trouver un axe ou un index de correction pour les pays en « voie de développement » qui se classent en tête de classements comme le Nigéria, le Pakistan, les Philippines ou l’Egypte. Quand on connait la vie dans ces pays, on constate qu’ils sont absolument dépendants du fossile mais que leur population énorme a la grande partie qui vit encore réellement à la bougie. Au Nigeria par exemple, les coupures de courant à Abuja et à Lagios sont fréquentes. Dans les autres villes, c’est la surprise quand l’électricité est présente, et quand elle arrive c’est à 160 V au lieu de 240 V. La survie tient au pétrole et à la bougie. Si la France peut se féliciter d’un très faible taux carboné par habitant, on sait que c’est grâce au nucléaire qui a ou aura d’autres conséquences, et qui de toutes façons n’est pas une énergie renouvelable même si elle n’est pas fossile. La France est quand même loin derrière les autres pays européens en pourcentage d’énergie renouvelable produite. L’Espagne, l’Allemagne et l’Italie sont sur le podium. Avec sa 19ème place, même l’Angleterre nous devance ! Plan Marshall ? Comme après la 2de guerre mondiale, faut-il faire appel aux américains pour établir un « Plan Marshal » en Europe et dans le monde ? La « transition énergétique » doit passer par un Plan généralisé de l’énergie renouvelable: éolien (en mer et près des îles), photovoltaïque (dans le sud de la métropole et dans les îles), biomasse (là où il y a de la forêt et des résidus agricoles), géothermie (là où c’est possible), hydrolien (là où il y a des courants marins), etc. Il faut absolument rester logique avec les ENR, et les favoriser qu’en fonction de leur environnement favorable. En parallèle, ce Plan doit inciter les consommateurs à s’adapter aux fluctuations de la disponibilié d’énergie, en passant par les Smart Grids mais surtout par des contrats incitatifs beaucoup plus poussés qu’aujourd’hui. Nous ne connaissons globalement que le régime jour/nuit pour simplifier. La pointe de fourniture d’énergie photovoltaïque par exemple existe quand il y a du soleil, donc de jour et pas la nuit. De même, quand les éoliennes produisent, ce peut être à tout moment, et pas nécessairement à nouveau la nuit. Des consommateurs sont prêts à activer leur consommation variable en fonction de l’offre, mais il faut en donner l’information qui peut être anticipée grâce aux prévisions météo.Ce doit être la fin d’une politique d’énergie à la demande, et l’introduction d’une énergie de l’offre. Elle favoriserait aussi l’auto-consommation. Des stockages massifs de l’énergie doivent être déterminés. Je parle de puissances de plusieurs GW. Pour l’instant, je ne vois encore que les relevés d’eau (STEP) qui pourraient se pratiquer dans nos montagnes et qui désserviraient au moins tout le sud métropolitain, le Nord étant quand même relativement « plat ». Bienvenue aux nouvelles technologies de stockage si elles sont performantes, mais je les vois plus distribuées en faible réserves pour soutenir l’auto-consommation. Au delà, des projets comme le Plan Solaire Méditerranéen pourraient être développés pour à terme mettre le Nord et le Sud en réseau. I have a dream ?
… Créer la charte des pays propres… Tracer et sourcer les énergies utilisées par les industriels, pour ne plus commercer que des biens produits à partir d’énergies renouvelables; Obligation d’utiliser des jetfuels bio pour le transport aérien, à partir d’aéroports autosuffisants. Oblig ation d’utiliser du gaz pour le fret maritime, fluvial, ferroviaire et routier, tout en limitant le transport routier au territoires régionaux. Rendre obligatoire les cargos vélos, et donc les pistes cyclables, pour la livraison des colis légers. Obligation d’utiliser du biogaz/gaz, et biocarburants pour les véhicules des particuliers qui seraient des hybrides hydrauliques, et utilisation d’huiles moteurs végétales. Interdire les systèmes de chauffage et de froid à l’électricité, au gaz et fioul. Interdire les financements du nucléaire, charbon, gaz de schiste, sables bitumeux, par tout organisme financier. Au niveau des assureurs, interdire la collectivisation des risques environementaux des pays pollueurs, et le remboursement d’indménités en cas de catastrophes naturelles. Promouvoir la capote et la pillule. I have many dreams !
Tous les rêves sont respectables, Je respecte donc les vôtres. Cela dit, le « paradis » que vous décrivez ressemble beaucoup à la Corée du Nord… en pire. Si un jour vous êtes candidat à une élection, j’espère que quelqu’un aura fait une copie de vos suggestions présentes, afin que les électeurs puissent juger ce dont vous pourriez être capable…
lalouette : Rien de plus dangereux que les gens vivant d’incantation et de yaka fokon. Après , il s’engagent chez EELV. Pour l’instant, cette étude nous permet de pousser un immense COCORICO .
A b api « La France est quand même loin derrière les autres pays européens en pourcentage d’énergie renouvelable produite. L’Espagne, l’Allemagne et l’Italie sont sur le podium. Avec sa 19ème place, même l’Angleterre nous devance ! » Vous avez raison, dans ce document, on voit souvent la France loin derrière l’Allemagne quand il s’agit des points négatifs comme les émissions de CO2. En revanche, elle apparaît plusieurs fois devant pour les points positifs. Mais en ce qui concerne la part d’EnR produite, il serait bon de ne pas s’arrêter à la seule production d’électricité dans une démarche électrocentrée. Je rappelle que l’Allemagne est encore derrière la France en matière de mix énergétique. C’est un pays à 88 % FOSSILE + FISSILE : L’Allemagne c’est environ 1 milliard de tonnes d’émission de gaz à effet de serre par an dont 300 millions de tonnes de CO2 pour la seule production d’électricité (moins de 30 millions de tonnes pour la France et en décroissance rapide). D’accord on est très loin derrière. Il est clair que l’on arrivera jamais à passer devant l’Allemagne en matière d’émission de GES !
« Comme après la 2de guerre mondiale, faut-il faire appel aux américains pour établir un « Plan Marshal » en Europe et dans le monde ? » Trés franchement, en regardant les principaux indicateurs, je pense que les USA peuvent déjà se concentrer sur leurs propres chiffres…. Un point quand même important à moyen terme, c’est de faire baisser les « références » ou les « indices » moyens dans les pays « développés », quelques soient l’indicateur utilisé, parce que ces « références » seront utilisées très normalement comme benchmark par les pays en développement pour justifier leurs résultats. Pour n’en prendre qu’un, avec quasiment 17 tCO2/habitant et la 44eme place sur 50, les USA ont « a large room for improvement ».
l’énergie consommée en France, en Europe et dans le monde est produite à partir d’un mix correspondant soit aux ressources propres aox régions/pays, soit à l’optimisation économique de préférence à moyen terme. Bref, presque le monde actuel… en mieux
En ce qui concerne les pays dits en voie de développement, leur consommation de bois à brûler (directement ou sous forme de charbon de bois) n’est jamais comptabilisée et les émanation de CO2 (et autres…) qui en résulte est ignorée. Il s’agit là d’un biais statistique important, à mon avis.
L’idéologie dominante conduit à attribuer à l’Allemagne une position particulièrement vertueuse du fait du développemnt des énergies renouvelables. Si on y regarde de près on constate que dans la production d’électricité renouvelable est comptabilisée celle qui est produite par les méthaniseurs de maïs. Cela représente (environ) 40 TWh sur les 160 TWh ENR. 25 % de la production d’électricité classée ENR ! Sur les vertus de cette production agricole l’institut Choisel dit fin décembre 2014 : « Les dérives des centrales de méthanisation allemandes n’étant pas à citer en exemple en raison de leurs émissions de CO2 et de l’emprise sur les terres agricoles, résultant d’une ruée vers l’or subventionnée et d’un véritable désastre écologique, dont une conséquence est que pour la 1ère fois depuis 25 ans, l’Allemagne ne serait plus en mesure de couvrir ses propres besoins en céréales. »
En même temps, si on part du présuposé inexact que les énergies « renouvelables » sont renouvelables … et ça si on « oublie » leur taux de charge ridicule, donc leur back-up, le bilan carbone donc minable et le réseau à tripler? quintupler? décupler?… et leur coût 10 à 20 fois supérieur au nucléaire.
Les remarques de O.rage sont très interessantes. En ce qui conserne le nucléaire, il faut considérer qu’avec les réacteurs de la génération 4, les besoins en minerai seront divisés par un facteur compris entre 50 et 80. Objectivement, le nucléaire conduit vraiment au presque renouvelable, et en tous cas mieux que toutes les autres solutions connues à ce jour. Si les acteurs de la discussion étaient raisonnables, plutôt que de s’écharpper au moyen d’arguments issus d’un dogme, ils considéraient simplement les faits.
Effectivement, le nucléaire est le seul à pouvoir augmenter tous les six mois son coût de 30% sans que rien ne s’arrête, à mener des chantiers de construction sans fin, à produire des déchets indestructibles, à nous promettre depuis des lustres des génération x promesses d’orgies énergétiques infinies. Le seul aussi à être en mesure de réduire des territoires entiers à l’état de désert pour des siècles. Pour tout cela je pense qu’il mérite plutôt le qualificatif d’éternel que celui de renouvelable qui serait vraiment trop modeste.
« Effectivement, le nucléaire est le seul… à produire des déchets indestructibles… Le seul aussi à être en mesure de réduire des territoires entiers à l’état de désert pour des siècles. » La formule est belle, mais objectivement qu’en est-il ? « le seul… à produire des déchets indestructibles… » D’accord, mais vous pouvez me dire où vont les déchets des centrales à charbon et combien est leur demi-vie (si elle existe). Regardez le mercure, l’arsenic, et les produits radioactif comme le radon. C’est diffus mais bien réel. D’autre part, il se pourrait très bien que les déchets nucléaire HA-VL (pour rappel 5 000 m3 très confinés) ne soient pas si indestructibles que cela à terme. « Le seul aussi à être en mesure de réduire des territoires entiers à l’état de désert pour des siècles » Par territoires, il faut entendre des dizaines ou centaines de km2 et pas forcément pour des siècles. Mais dans le cas du charbon, si son action sur le climat est avérée, il pourrait s’agir de la planète entière dont les conditions d’habitabilité seraient modifiées. Un élément de réflexion : la surface de la terre fait 510 milliards de km2 dont un peu de 150 milliards sont des continents. Potentiellement, la combustion des énergies fossiles pourrait impacter la totalité des territoires occupés par l’humanité (et toutes les espèces vivantes). Pourquoi occultez-vous cet élément ? Pour mieux diaboliser le nucléaire ? Mais il n’est pas seul… Il n’est pas seul ! Le charbon produit plus de 40 % de l’électricité dans le monde et il progresse encore. Pourquoi occulter cette réalité énormissime ?
« Le seul aussi à être en mesure de réduire des territoires entiers à l’état de désert pour des siècles » Oui, ça pourrait arriver, mais même à Fukushima avec trois coeurs fondus, c’est pas gagné :
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.
Le pays en tete de ce classement est la France, ce qui n’étonne que ceux qui ont peur des chiffres. Ceci étant cette étude californienne est sujette à caution. Les bases de travail ne me semble pas des mesures identiques dans tous les pays étudiés. Le choix des pays est assez mal expliqué, les pays scandinaves, la Suisse ne semblent pas avoir fait partie du choix, alors que l’on parle du pakistan ou d’Israel.