Lundi, entre 17h et 20h, le Réseau de Transport de l’Electricité (RTE) a lancé une alerte orange EcoWatt, pour appeler les citoyens bretons à modérer leur consommation d’électricité. Ce dispositif a été lancé le 12 novembre 2008, par RTE, la Préfecture de la région Bretagne, le Conseil régional de Bretagne, ERDF et l’ADEME. Il durera tout au long de l’hiver 2008-2009.
Les courbes de température ont affiché un écart de –4° degrés par rapport aux normales saisonnières et les prévisions de consommations s’annonçaient élevées pour cette journée. Les consommateurs bretons, inscrits sur le site www.ouest-ecowatt.com, ont reçu dimanche par mail et lundi matin par SMS, une alerte orange, contenant un message de sensibilisation : " Des consommations importantes d’électricité sont prévues lundi 8 décembre, en Bretagne. Pour la sécurité d’approvisionnement de la région et pour limiter les émissions de CO2 pensons à modérer nos consommations d’électricité entre 17h et 20h ".
C’est en effet, pendant cette plage horaire de fin de journée, que la démarche EcoWatt recommande d’agir en période de froid. Des gestes simples mis en oeuvre par chacun pour modérer
sa consommation d’électricité, peuvent ainsi contribuer à passer la pointe de consommation.
Aujourd’hui mardi, il est également prévu une "forte consommation électrique" sur le réseau breton. EcoWatt recommande de faire "attention au chauffage, éclairage et autres appareils entre 17 h et 20 h".
Les conseils pratiques pour mettre en oeuvre les bons gestes énergie, sont décrits sur le site internet : Ouest-EcoWatt.com.
Hier, je roulais entre 17h et 20h en Ille et vilaine. Les villes ont toutes leurs illuminations sous tension (on se demande pour qui, il n’y avait pas une seul promeneur par 2°). Les remparts de Dinan illuminés tout autour de la ville, les décos de Noël qui flashent un peu partout même dans les petits bourgs. Pourquoi l’écocitoyenneté ne concerne que les particuliers ? Les maires ne sont-ils pas concernés ? Et les collectivités locales ne devraient-t-elles pas donner l’exemple ?Et je ne parle pas des entreprises avec des projecteurs à quartz de plusieurs milliers de watts qui illuminent leurs enseignes…A bon entendeurs, salut.YLC
Effectivement ce genre d’evenement est une bonne approche pour economiser l’energie, du moins pour eviter de faire appel à des centrales supplémentaires ! ou d’eviter une coupure global !Le problème des déco de Noel, entreprises etc est un « faux » problème, pourquoi ? elles sont allumées la nuit lorsque les ménages consomment moins et l’electricité ne se stocke pas, les centrales electrique (nucléaire notemment) ne peuvent produire à une demande immédiate (dans l’heure), leur production est continue et fixe. Donc pas d’éclairage la nuit = production perdue dans la nature.
La nuit, peut-être, mais les décos (privées et publiques) sont allumées dès la tombée du jour…et les économies, si elles compensent des besoins ou annulent des manques sont alors immédiates, il suffit « d’appuyer sur le bouton » !
Une question me turlupine au sujet de ces incitations à limiter la consommation électrique.En Angleterre, les industriels gros consommateurs sont incités à limiter leur consommation de pointe par un système appelé les « triads ».National grid (le RTE anglais) définit à la fin de l’hiver les 3 demi-heures de consommation de pointe de la saison, et fait payer TRES cher ce pic aux gros consommateurs (le calcul n’est pas trivial, mais on regarde en gros l’excès de consommation par rapport à la moyenne). Environ £10 (12-13€) par kiloWatt (en puissance donc).Pour un industriel, une facture en dizaine de milliers de livres pour une demi-heure de consommation de pointe est donc possible!Le résultat: les industriels qui y sont soumis se plient en 4 pour ne pas payer des sommes exhorbitantes.2 questions donc:- un système équivalent existe-t-il en France (je n’ai rien vu sur les sites de RTE et autres)?- qu’est-ce qui empêcherait d’étendre une telle logique aux particuliers, collectivités, etc…?
Bonjour,RTE demande à ce que la consommation soit réduite entre 17h et 20h (et uniquement en hiver, en bretagne quand la situation réseau est tendue). Et entre 17H et 20H c’est la nuit (en hiver) ! donc éteindre les éclairages de noel et les enseignes permettra peut être de ne pas plonger la bretagne dans le noir. donc moi je suis plus que d’accord avec Ylc.Sinon étant donné la charge actuelle et les interconnexions qui existent maintenant, s’il n’y avait pas d’éclairage la nuit et bien edf vendrait son energie… on ne perd pas la production dans la nature !!
Merci encore au 30 ans de propagande EDF! (Qui continuent toujours à bon train d’ailleurs!) Bonjour tout le monde… Concernant les illuminations qui effectivement viennent pas alléger les pointes de conso et donc les risques de rupture d’approvisionnement (« black out »), ils faut savoir que diverses associations environnementales bretonnes appellent chaque hiver à une résponssabilisation des communes sur ce plan … et surtout à arrêter le « pousse au crime » via les concours d’illumination récompensé (certaines communes offres des prime de plusieurs milliers d’euros aux gagnants!)! Pour ce qui est de mon asso par ex, le Réseaux d’Initiave Actions Climat du finistère (RIAC29 membre du RAC France, et du réseau COHERENCE), cela fait depuis 2005 que nous écrivons chaque fin d’année aux 283 mairies du Finistère, pour les interpeller et leur rappeler ne serait ce que les objectifs de KYOTO … mais aussi ceux bien au delà… Bon! pour en revenir aux fortes demandes, il faut rappeler deux trois choses particulières en Bretagne : 1/ sa géographie péninsulaire fait qu’elle est en bout de câbles donc impossibilité de rattrapage sur une autre branche … la moitié du jus passe par Lorient, et monte jusqu’à Brest en très haute tension, puis de brest ..repart en arrière à plus de 60km vers Quimper , Morlaix, Carhaix…etc !!!!! Soit des parcours allant j’usqu’à plus de 350km de la centrale (Thermique de Cordemais principalement), ou 500km de la première centrale nucléaire! Le reste est consommé par l’Iles et Vilaines en provenance de flamanville (nuc) Cordemais , mais aussi (ouf!) l’usine de la Rance … le dernière département, les Côtes d’Armor semblent être alimentées via le nord (flamanville) 2/ les bretons ne produisent qu’environ 5% de l’électricité qu’ils consomment… sous entendu donc , qu’ils importent le reste, et en quelques sortes, imposent les installations polluantes à d’autres, tout en impactant plus que la moyenne nationale du fait des pertes en ligne colossales!!! (jusqu’à plus de 25 % en pointe! c’est pas proportionnelle les pertes en ligne, mais exponentielle… ) 3/ les bretons détiennent aussi le record nationale de chauffage électrique … plus 35% des bâtiments chauffés élec contre à peine 30% en moyenne nationale! 4/ 79% de la construction neuve en france est tout élec depuis 2007 (d’après sondage EDF 2008)! Or, l’ademe et RTE ont co-rédigé en fin 2007 une étude (non diffusé officiellement! cocoricoooo!!) soulignant que le Kwh élec de chauffage emet entre 235 et jusqu’à plus de 600 grammes de co2 (n’en déplaise à Dan1)… donc même une PAC émets autant voir parfois plus de co2 qu’une chaudière gaz condensation*… et pire encore si on inclus l’impact des gaz réfrigérant (leur fameux PRG= Pouvoir de réchauffement globale)… Pour les mêmes raisons que le chauffage élec par effets joules , à savoir un climat relativement doux, la Bretagne semble être aussi un secteur ou les PAC s’installent très bien, surtout les aérothermique dont les Coeficient de Performance (COP) sont souvent loin des valeurs commerciales annoncées, surtout en relève/remplacement de chaudière sur circuit de radiateur à eau chaude ( pas loins de 70% du marché actuel)! Bref on le voit clairement ici, il y’a une sacré distortion , un sacrée décalage entre les discours et les faits… autant les illuminations semblent plus vraiment si anodine et sont emblématiques de la gabégie, car visible, autant elles pourraient être possible si on le faisait avec efficacité , retenue/aprcimonie, mais surtout si on arrêtaient de se chauffer très idiotement et massivement avec une énergie noble …et non durable! Premièrement en grille pain et câble chauffant, deuxièmment avec les PAC (aéroth et géoth) qui, jouissant des fruits de la propagande tri décennale du tout élec bouffent presque tout le pain des filières à vraies énergies renouvelables (solaire thermique passif et actif, et biomasse déchets ou sylviculture) et surtout celui de la conception rénovation énergétiquement efficace! Négawatts, Bioclimatique, BBC Effinergie, Passiv..etc … Mais surtout et en premier , évolution des règles urbanistique, de la lois SRU, et de la formation professionnelle (bientôt encore plus aux mains des lobbies « grâce » aux décisions gouverneMENTales suite au Grenelle de l’environnement), qui n’évolueront guère si on continue de proposer ces technologies lapin blanc d’illusionniste! et Sol(id)airement votre à toutes et tous! Erwann .. de Brest *(evidement je ne plaide absolument pas en faveur non plus des chaudière gaz , mais plus en faveur d’un mixe maîtrise de l’énergie + vraie énergie renouvelalble à tarif décent! mais sachez qu’une maison bien pensé/conçue ou amélioré peut avec une simple chaudière gaz atteindre le facteur 4 et au delà en matière de consommation d’énergie non renouvelable et d’émission de co2 .. ce qu’un gros budget PAC peut bcp moins facilement ! évidement arrivé à ce stade , autant franchir le cap et se sustenter d’un bon poêle à VRAIE haute performance vraiment adapté à l’inertie , au comportement solaire de votre maison, et à votre rythme d’occupation… ( attention!le label flamme verte ne garantit presque rien dans la pratique, puisqu’il est évaluer sans tenir compte de votre maison et de vous!) PS: Une anecdote… »ecowatt » est aussi le nom d’une société de vente de radiateur électrique très connue et hyper présente sur le marché breton! En prenant encore une fois le problème par le bon bout, je lui préfère eco-ouate, un vendeur installateur brestois d’isolation exclusive par ouate de cellulose…
Le problème ne se poserait pas si en son temps des « écolos militants » … et bornés, n’avaient réussi à faire échouer le projet de Centrale nucléaire en Bretagne… La Bretagne ne finira jamais de payer dans son développement économique et dans sa vie de tous les jours, les conséquences de ce refus ( en grande partie orchestré d’ailleurs par des non-bretons !). Qui aura le courage de réclamer la reprise d’un projet de cette nature ?
Le problème ne se poserait pas si en son temps des « écolos militants » … et bornés, n’avaient réussi à faire échouer le projet de Centrale nucléaire en Bretagne… La Bretagne ne finira jamais de payer dans son développement économique et dans sa vie de tous les jours, les conséquences de ce refus ( en grande partie orchestré d’ailleurs par des non-bretons !). Qui aura le courage de réclamer la reprise d’un projet de cette nature ?
Pour R17777 Vous ne m’avez toujours pas prouvé qu’une PAC, même aérothermique émettait plus de CO2 qu’i=une chaudière à condensation haut de gamme. Je reprends l’argumentaire développé dans l’article « Etats-Unis : 77 millions d’ha consacrés à la géothermie ».Voici l’intégrale : Pac absurdeAprès nouvelle analyse de la documentation de la PAC VITOCAL 350 (merci à Viessmann qui publie ces documentations en ligne), les PAC eau/eau (géothermie basse température) ne contiennent au maximum que 3,4 kg de fluide R407C et pour la version air/eau VITOCAL 350 (aérothermie) la quantité de fluide est au maximum de 4,2 kg ( … 50-awh.pdf) Le R407C est un mélange de trois gaz et il a au total un PRG (Pouvoir de Réchauffement Global à 100 ans) de 1525. 1 kg largué dans l’atmosphère équivaut donc à 1525 kg de CO2. Les 4,2 kg représentent donc 6 405 kg ou 6,4 tonnes de CO2. A partir de ces données, il est possible de faire une comparaison des émissions de CO2 équivalent sur 20 ans entre la PAC air/eau VITOCAL 350 et une chaudière à gaz à condensation du même constructeur. Admettons que le besoin annuel soit de 20 000 kWh d’eau chaude (ECS + chauffage). Pour le gaz avec un rendement moyen sur PCS de 95 %, il faut « brûler » 21053 kWh ou 1977 m3 de gaz. Sachant que chaque kWh émet 204 g de CO2 (documentation Viessmann), chaque année la chaudière émet 4,3 tonnes de CO2 et donc 86 tonnes en 20 ans. La PAC aérothermique, avec un COP moyen de 2 (on peut espérer un peu mieux), aura besoin de 10 000 kWh. Si on prend 6 % de pertes dans les lignes électriques, il faut donc que la centrale fournisse 10 640 kWh qui émettent, selon l’ADEME, 180 g de CO2. Au total, l’émission sera de 1,9 tonne par an et 38 tonnes sur 20 ans. Ajoutons à cela les pertes de fluide de 10 % par an (à mon avis ce doit être moins sur ce type de circuit). Les pertes sur 20 ans représentent donc deux charges complètes ou 2 x 6,4 = 12,8 tonnes, auxquelles s’ajoute les fuites lors du démantèlement de l’installation avec un taux de récupération de 80 % seulement, soit 0,2 x 6,4 = 1,3 tonnes CO2éq. Au total, la PAC aura donc libéré un peu plus de 52 tonnes de CO2. Premier constat, sur 20 ans, le bilan CO2 d’une PAC aérothermique en France, n’est pas plus mauvais que celui d’une chaudière condensation haut de gamme. 52 tonnes contre 86 tonnes (-39 %) Cependant, la production et le transport du gaz ne sont pas non plus exempts de fuite. Certains attribuent 5 % de fuite au processus d’approvisionnement en gaz ( … sions.html) . Dans ce contexte, notre consommation annuelle de 1977 m3 entraînerait en amont 99 m3 de fuite ou environ 74 kg de gaz, sur 20 ans nous aurions donc 1480 kg ou 1,5 tonnes. Sachant que le PRG du méthane est de 23 sur 100 ans (mais de 62 sur 20 ans), ces 1,5 tonnes représentent donc 34,5 tonnes de COéq d’émission. Au total, la chaudière serait donc à l’origine de 86 tonnes d’émissions directes et 34,5 induites soit un total un peu plus de 120 tonnes de CO2éq. Si on prend le PRG sur 20 ans, ça s’aggrave à 178 tonnes au total. Et là évidemment, on ne parle pas de l’autoconsommation en gaz des processus d’approvisionnement (usine de liquéfaction par exemple à hauteur de plus de 10 %). Question : qui peut me démontrer qu’une PAC, même aérothermique, même à 600 g de CO2 par kWh électrique, a un bilan carbone 2 fois élevé qu’une chaudière à condensation. Alors la PAC… une absurdité ? A vous de juger.
les systemes performants pour gerer la puissance electrique ca existe mais ca n interesse absolument pas les distributeurs d energie de gros interets sont en jeuxbien a vous…..
Merci r1777 pour ces détailsA Dan1, les calculs me semblent honnetes, on peut toujours polémiquer sur quelques chiffres, mais ce que je remarque c’est que le type qui installe une PAC pour se chauffer finit toujours par l’utiliser pour se rafraichir … et là on finit par doubler la conso éléctrique en s’inventant un besoin.d’autre part le problème de l’électricité est que l’on ne peut pas (on ne sait pas) la stocker aussi facilement que le gaz ou le bois … du coup le réseau doit toujours être équilibré. Le fait de chauffer à l’électricité crée des pointes que l’on assure par de l’hydraulique mais surtout par des centrales thermiques gaz ou fioul.Donc a mon sens il est préférable de produire de la chaleur chez soi avec une énergie stockable et un rendement à plus de 85% PCS qu’a partir d’électricité qui sera produite par des énergies fossiles avec un rendement maxi de 35%.Autre solution comme le souligne généreusement Pétar, lisser la courbe de charge du réseau par le haut en évitant les creux ! ensuite on ajoute 50% de centrales nucléaires et et on laisse les bureaux allumés, on interdit les veilles et on se chauffe la journée à la PAC et la nuit au grille pain, intéressant non ?
Pour repondre à bamse : le systeme TEMPO d’EDF, avec ses jours bleu/blanc/ROUGE est en sorte un moyen de prevenir les gens (la veille à 20h) que le lendemain c’est journée ROUGE donc 5 fois plus cher!!! .(ou blanc – un peu plus cher que le tarif de base).C’est 25 journées rouges surtout (entre mi novembre et mi mars) incite les gens à ‘faire attention’. Dans notre cas depuis 10 ans que nous avons cet abonnement TEMPO nous avons réduit notre consommation de 6500 kwh/an à 4000 kwh/an (et donc la facture !) et ceci à confort égal en faisant ‘attention’ par rapport au ‘prix du jour’, surtout en hiver ou la demande est grande – et nous habitons en Bretagne !! Guerre besoin d’alerte orange pour nous ! on est déja rodé !!!! Les jours rouges c’est cuisine au gaz et (si possible) pas le lave linge, repassage et d’autres usage ‘qui tire dur’! Un economie à faire et une interogation constante sur le ‘vrai utilité’ de tel ou tel usage électrique, à la fois combien et à quel moment.TEMPO est très salutaire à ‘faire reflechir’ !trimtab
1) Pertes en lignes : Je veux bien qu’elles soient plus importantes en hiver qu’en été, puisqu’elles sont approximativement proportionnelles à la puissance totale appelée. Cela est facilement vérifiable sur le site de RTE. A titre indicatif, on atteint un minimum mi-août avec 800 MW et un maximum mi décembre avec presque 2 500 MW. Pour vérifier cela, jour par jour et heure par heure, il faut télécharger les fichiers Excel au lien suivant : D’après ces données, on ne dépasse que rarement 3 % de pertes sur la partie transport du réseau (RTE). Sachant qu’avec la distribution, on rajoute un peu moins de 3 % (ERDF), je suis surpris que l’on puisse atteindre 25 %, même pour une région au bout du monde comme la Bretagne (Finistère). D’où vient ce chiffre de 25 % ? 2) Aérothermie ou géothermie ? Non, je ne prends pas le cas de la géothermie. La PAC que je cite (VITOCAL 350) existe en version air/eau (350-A, AWO ou AWI), la source est donc bien l’air, c’est de l’aérothermie. C’est d’ailleurs vous qui avez suggéré la PAC VITOCAL 350 dans l’article « Etats-Unis : 77 millions d’ha consacrés à la géothermie » dans le commentaire N°4. C’est pourquoi, je donne un COP moyen annuel de 2. Si j’avais pris la version géothermique, j’aurais pris un COP moyen supérieur à 3. Voir la documentation Viessmann au lien suivant : Nota : je ne suis absolument pas favorable à l’installation de PAC aérothermiques (surtout type clim réversible), les inconvénients ne sont pas essentiellement le contenu en CO2. Par contre je pense qu’il ne faut pas mettre toutes les PAC dans le même sac. Je pense qu’une bonne installation eau/eau avec un chauffage basse température peut avoir d’excellente performance. Je trouve d’ailleurs, qu’en ce moment, il y a beaucoup trop de démarchages visant à vendre des climatiseurs réversibles comme mode de chauffage, il doit y avoir de l’argent à faire dans ce secteur.Enfin, il ne faut pas opposer les mesures d’isolation et les moyens de chauffages. Comparons les moyens de chauffage entre eux et isolons progressivement les habitations.