Les petits réacteurs nucléaires modulaires de petite et moyenne puissance (SMR, Small Modular Reactor) commencent à faire parler d’eux, et certains sont depuis longtemps déjà à l’étude dans les pays nucléarisés.
La France maîtrise l’ensemble de ces technologies, notamment des capacités de conception et de construction de ce type de réacteurs, d’intégration « systèmes », de recherche sur les combustibles.
Tout d’abord, le géant du nucléaire Areva a lancé un programme d’étude sur les petits réacteurs de 100 MWe, visant à compléter sa gamme de réacteurs de génération 3 (EPR, ATMEA et Kerena).
Ensuite, après plus de deux ans d’études, DCNS a développé le Concept FlexBlue matérialisé par une unité immergée de production d’énergie nucléaire de petite puissance (50 à 250 MWe) qui s’adresse aux pays disposant de façades maritimes.
Ainsi, le concept Flexblue est fondé sur des technologies éprouvées comme la maîtrise d’œuvre de sous-marins à propulsion nucléaire, dont les chaufferies sont réalisées sous la responsabilité d’AREVA-TA. Standardisé, il reste entièrement construit en chantier naval et transporté sur les lieux d’exploitation.
Afin de se positionner sur les SMR, la France a mis en place un programme d’étude approfondie sur ce sujet. En ce sens, DCNS a annoncé hier qu’il allait en partenariat avec AREVA, EDF et le CEA, engager une nouvelle phase de développement de son concept Flexblue qui approfondira certains thèmes : Options techniques et industrielles du concept, marché potentiel, conditions de la compétitivité économique de ce type d’unité par rapport à d’autres sources de production d’énergie, problématique de la lutte contre la prolifération, spécificité, eu égard à la sûreté et à la sécurité, d’installations immergées en démontrant un niveau de sûreté homogène avec celui des réacteurs de troisième génération.
Le Flexblue :
Selon les explications fournies par DCNS, Flexblue devrait être fixé dans "un environnement sous-marin extrêmement stable par 60 à 100 mètres de fond et à quelques kilomètres des côtes". Ensuite, "chaque unité de production d’énergie Flexblue permettrait d’alimenter une zone de 100 000 à 1 000 000 habitants selon la puissance de l’unité Flexblue et le niveau de vie de la population servie (industries incluses)".
De forme cylindrique, les unités Flexblue mesureraient une centaine de mètres de long pour environ 12 à 15 mètres de diamètre et une masse d’environ 12 000 tonnes. Elles seraient transportables par navire spécialisé.
Cette unité immergée de production d’énergie nucléaire comprend une petite chaudière nucléaire, un groupe turbo-alternateur, une usine électrique et des systèmes auxiliaires. Enfin, des câbles sous-marins achemineraient l’électricité produite par Flexblue vers la côte.
Le coût serait de quelques centaines de millions d’euros et le Flexblue présenterait des avantages par rapport à un réacteur nucléaire classique. Il serait construit sur le sol français (livré par bateau), produit en série donc plus vite (environ 2 ans), ferait l’économie des travaux de génie civil, et bénéficierait de la protection de la mer (irradiation, chute d’un avion ou d’un missile).
Avis d’Expert :
« Le concept Flexblue trouve son origine dans la rencontre entre deux mondes, voire deux éléments : la terre de l’énergie nucléaire et l’eau de la construction navale. Ces deux secteurs d’excellence évoluaient jusqu’à présent de façon assez parallèle – hormis une coopération de longue date entre DCNS, le CEA et AREVA en matière de propulsion nucléaire des navires armés réalisés par DCNS pour la Marine nationale française. L’idée de les rapprocher est née de la volonté de DCNS de se développer sur les marchés de l’énergie en exploitant ses compétences et moyens industriels uniques. Nous avons identifié une demande non satisfaite pour des unités de production d’énergie nucléaire de petite puissance et imaginé un concept prometteur pour y répondre » a déclaré André Kolmayer, Directeur de la Business Unit Nucléaire civil de DCNS et initiateur du projet Flexblue.
« L’intérêt des petits réacteurs est double. D’abord, ces réacteurs permettraient à des pays qui ne disposent pas d’une industrie nucléaire de disposer des bénéfices de cette énergie sans mettre en place les très lourdes infrastructures qui sont indispensables aux gros réacteurs électronucléaires traditionnels, et sans avoir besoin de toute l’expertise qui est nécessaire au fonctionnement de tels réacteurs. Ensuite, même pour des pays qui ont déjà une industrie nucléaire ou qui entendent s’en doter dans les années qui viennent, les petits réacteurs peuvent être installés dans des zones reculées ou difficiles d’accès, dont l’approvisionnement en électricité à partir de gros réacteurs distants coûterait trop cher » a indiqué Bruno Tertrais, maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique.
Conceptuellement pas bête compte-tenu de la maitrise de la techno mise en oeuvre et du contexte »protection fond des mers » ! Modularité 100 à 300 Mw et délais de réalisations intéressantes (2 ans/unité) comparés aux mastodontes EPR et autres grosses bêtes de 1600 MW et plus ! Pour générer les MWh requis ce jour et le faire le plus proprement possible, SMR est une réponse envisageable à côté des EnR terre et mer (EMR) et en attendant la montée en puissance requise et indispensable de ces derniers. Par contre il faudar une vigileance certaine et effective pour que ces petites bêtes ne tombent pas dans des mains vereuses et mafieuses ! A suivre donc ! A+ Salutations Guydegif(91)
mais que faites-vous ? Réveillez-vous ? « Ils » ont trouvé une énergie nucléaire « économique », et améliorant fortement la fourniture d’énergie y compris pour des pays qui en sont à la recherche, le tout dans des conditions de sécurité (a priori) acceptables. C’est un vrai scandale ! Pour la petite histoire : prenez la coque et la chaudière d’un sous-marin nucléaire (spécialité de la DCNS), reliez au continent avec des cables, peignez en bleu et hop un Flex blue Je caricature, mais à peine. La différence est que le matériau utilisé pour « la coque » sera bien moins sophistiqué que celui des sous-marin Nuke, les contraintes étant moins fortes.
un terroriste un tant soit peu bricoleur n’aurait aucune difficulté à envoyer une bombe à partir d’un bateau sur ce genre d’installation. Et même y aurait il des filets en acier un plongeur équipé d’une bonne paire de tenailles pourrait tranquillement déposer ses explosifs sous le réacteur pour faire un joli feux d’artifice. La présence de ce genre de réacteurs en sous marin représente par contre un gros avantage pour l’exploitation car vu le différentiel thermique ( en profondeur l’eau est froide)le refroidissement et le rendement énergétique seraient maximum .
Décidement tout est est bon pourvu que ce soit du nucléaire… Alors que les « filières » ENR françaises ont tant besoin d’aides (recherche, dév,industrialisation,…)probablement une idée de la clique des ex-commandants à la retraite des sous-marins lanceur d’engins. HONTEUX, je répete HONTEUX
…Mais il y aura toujours besoin de pétrole pour maintenir tout ça, non ? Le « pic » pétrolier (ou plutôt le « plateau »), on est en plein dessus (cf. conférences d’Yves Cochet et bien d’autres du secteur pétrolier). Donc le prix du nucléaire est aussi indexé sur le prix du pétrole ! Où est la solution là-dedans ? A part créer des déchets radioactifs dont on ne sait que faire ? Sous l’eau, c’est certainement plus commode de s’en débarrasser… Sous l’eau toujours, c’est bien plus facile d’en installer sans mettre au courant les habitants de la côte à proximité ! Et le rechargement en combustible nucléaire, c’est prévu comment ? On sort le bazar de l’eau ? C’est donc surtout une solution pour éviter de devoir rendre des comptes sur les incidents ! Sous l’eau, faire des mesures ne sera pas aussi simple qu’en aval de la rivière d’une centrale terrestre. Quelqu’un a des contre-arguments ?
Pour produire de l’électricité rapidement nuit et jour avec ou sans vent. BRAVO
C’est tellement plus simple de continuer la fuite en avant technologique que de se remettre en question… Combien de personnes ne sont simplement pas conscientes que nous sommes habitués de vivre au-dessus de nos moyens ! (au-dessus du seuil de renoouvelabilité des ressources naturelles)
D’accord avec tout ce qui précède, sauf « cciaix » qui semble être tombé dans un réacteur dès sa tendre enfance. En tout cas ça ne présage rien de bon pour l’avenir des ENR que les autorités sont parallèlement en train de brider pour défendre notamment les intérêts d’EDF Triste
Si le rechargement se fait comme pour les sous marins alors oui c’est prévu: tous les 1 à 2 ans retour au port et changement de combustible Pour ce qui est des mesures je ne vois pas pourquoi elles seraient plus compliqués à 100m de profondeur. On est encore « à peine » sous la surface. (je compare ça à la technologie employés par divers pays pour atteindre le sous sol de l’arctique situé à plus de 4000m)
« Pour ce qui est des mesures je ne vois pas pourquoi elles seraient plus compliqués à 100m de profondeur. On est encore « à peine » sous la surface. » Pour une organisation comme Grean Peace, ok. Mais la CRIIRAD a-t-elle une flotte et des plongeurs ? De plus, la position exacte de ces installations ne sera-t-elle pas secrète (pour partie du moins) ?
Et bien mes amis, le lobby du nuc a de beau jours devant lui…. Cette idée parait genial, se part de son plus beau blue….. Comment s’effectuera la surveillance? a distance? par des câbles sous marins? danger.danger…..
En 7 lettres… Pas mieux. « tsunami » Bon quand je vois toutes les galères qu’il y a juste pour mettre un simple tube dans de l’eau salée pour faire de la climatisation avec la fraicheur de l’océan, j’ai quand même l’impression que ces gens ont oublié que ça ne dérange pas les militaires de payer un milliard d’euro leurs sous-marin.
Pour tous les sceptiques, je trouve qu’on devrait se réjouir car voilà un industriel de l’armement qui propose sa reconversion en industrie civile. En soi, c’est formidable. Pour Aqua, pour ce qui est des questions de rechargement, etc, les réponses sont dans l’article, je ne vais pas répéter… Pour ceux qui s’inquiètent du terrorisme, ou de détournement c’est une question de défense, pas de sûreté. Elle est du ressort de l’Etat, pas de l’exploitant. Ce n’est pas une pirouette sémantique ! A chaque Etat de savoir à quel risque il est exposé. Et franchement, plonger à 100m, c’est pas à la portée du premier venu. Voler un module de 12000 t, c’est encore plus in-envisageable. Dans James Bond peut-être. IRL, sûrement pas ! Pour ceux qui disent que cela va encore empêcher le développement des EnR, je dirai que marché visé est clairement l’export, et n’impactera pas ce qui se passe en France.
La logique du projet est éviiendente et dans la continuité industrielle de développer des produits à partir d’une technologie existante, puis de trouver des clients. Nul doute que le concept puisse apparaitre attrayant. Investissement réduit donc plus grande accesibilité à des pays ou régions disposant de ressources limitées Soutien de nos instances politiques prmptes à trouver les moyens de rééquilibrer notre balance commerciale. reconversion et optimisation des moyens et savoir faire développés pour nos sous marins à propulsion nucléaire; On est essentiellemnet dans une logique économique. Par contre les aspects sécurité aussi bien en terme d’utilisation sont vraissemblablement sous estimés. Les grosses installations type EPR ou sous marins nucléaire sont suivies par nombre de services de controles eux même sous la visibilité des populations et de leurs représentants( ce qui tient à leur faible nombre et à leur visibilité. Le projet proposé tend à complêtement banaliser ces produits et on peut à juste titre redouter le laisser aller qui ira de paire avec le souci de rentabilité et la réduction des moyens de contrôle indépendants et compétents. Le concept semble également aller à l’encontre des règles de no dissémination car tout le monde sait que la frontière entre civil et militaire est ténue. Ce projet nécessite donc une très grande vigilence et une étude qui ne soit pas uniquement menée par ses promoteurs.
et ne sera pas impactée, bin moi je dis que si c’est vrai on a une chance incroyable. Et tant pis pour les autres…
Je n’avais même pas pensé au vol , mais franchement en cas de défaut de surveillance majeur , rien de plus simple de le charger et repartir avec . Il suffit d’utiliser les même moyens que ceux utilisés pour le déposer : Une simple barge , une traction avec de gros cables , un arrimage sous la coque et hop on repart avec l’engin. Descendre avec une charge explosive est à la portée d’un simple plongeur professionel. Il existe dans le commerce de petits sous marins de poche pour qui ce genre de missions n’a rien d’un exploit technique.
100 x 12 x 12 x 3,14 /4 = 11 300 m3 , calculez les tonnes. Avec un bateau de pêche et une bonne corde on peut emmener le zinzin(heureusement qui n’existe encore que dans des cranes d’oeufs) n’importe où.
seuls 2 EPR sont prévus en France dixit la conclusion sur la partie production nucléaire p52 de la ppi 2009-2020: « … justifient la mise en service déjà décidée de deux réacteurs de nouvelle génération, le premier à Flamanville étant prévu en 2012, le deuxième à Penly en 2017. Ces considérations (nb fredo: sécurité)pourront justifier également le lancement de nouvelles capacités EPR à l’issue de la construction de l’EPR de Penly. » Il n’est donc pas prévu autre chose que deux EPR à la ppi 2009-2020. Pour la Bretagne, Gdf Suez se consolera d’avoir été évincé de l’EPR de Penly par Edf avec le projet de centrale au gaz près de Brest en 2015, lot de consolation qui lui sera attribué à coup sûr! « L’énergie est notre avenir, économisons-la »(Edf)
supplémentaires pour le nucléaire qui n’est déjà pas clair sur le sujet de notre bonne électricité nationale. Des députés rappellent EDF à l’ordre sur les déchets ps : cecei n’est qu’une des sources parmi des dizaines d’autres
c’est plus discret que passer par le biais des rivieres comme c’est malin Et puis c’est sur que c’est pas nécessaire de prendre un avion ou un missile, il suffira d’un mec avec une bombe et un parpaing et hop ca coule tout seul sur le bel engin et après ça sera génial d’avoir une mer raiodactive hein on va être bien avec les poissons radioactifs, les algues et le plancton. Non vraiment, là j’ai envie de dire: ON TOUCHE LE FOND
Je me demande quelle est cette époque ! Savez-vous ce qu’il vient d’arriver à mon buraliste ? Eh bien ,c’est assez incroyable,mais il s’est fait passer à TABAC! Si si c’est vrai,c’est pas une BLAGUE! Ses agresseurs n’ont pas du tout MEGOTE, ils ont vraiment mis le PAQUET! Et dans 8 jours,on en parlera plus,tout sera déjà parti en FUMEE. Ca c’est du bon lobbying
…………… L E N U C L E A I R E ………….. Techniquement : excellent ! Financièrement : peut-être rentable, sauf si on compte vraiment tout … Philosophiquement : là, çà se complique un peu, comme le financier : parce que si l’on compte vraiment tout depuis la « dipplomatie extractive » jusqu’à un vrai et inoffensif traitement des déchets la transparence des spécialistes s’oppacifie très nettement … Prospectivement : là, ce qui était compliqué devient carrément hérétique …. Tout le monde a l’occasion de constater que les 4 coins de la planète sont en ébullition quant aux innovations énergétiques tout autant en production et qu’en économie … Il est donc tout à fait plausible que notre bonne vieille terre connaisse un trop plein de production énergétique qui fasse chuter les cours : les actions EDF et consorts s’écroulent … que fait-on du nucléaire que l’on ne peut plus entretenir correctement … TCHERNOBYL est une conséquence d’impasse budgétaire et l’on croit que çà n’arrive qu’aux autres ……………………………… Si pendant 2 ou 3 ans on pouvait concentrer nos cerveaux sur les ENR + H2, le crédit de notre bon pays s’en trouverait certainement embelli, …. mais y a-t-il un pilote dans le cockpit du France ?
B I L A N D U N U C L E A I R E Techniquement : un fiasco ! Financièrement : idem si on compte vraiment tout … Philosophiquement : là, çà se complique un peu, comme le financier : parce que si l’on compte vraiment tout depuis la « dipplomatie extractive » jusqu’à un vrai et inoffensif traitement des déchets la transparence des spécialistes s’oppacifie très nettement … Prospectivement : là, ce qui était compliqué devient carrément hérétique …. Tout le monde a l’occasion de constater que les 4 coins de la planète sont en ébullition quant aux innovations énergétiques tout autant en production et qu’en économie. Il est donc tout à fait plausible que notre terre connaisse un trop plein d’énergie qui fasse chuter les cours des actions EDF et consorts Que fait-on du nucléaire que l’on ne peut plus entretenir correctement … TCHERNOBYL est une conséquence d’impasse budgétaire et l’on croit que çà n’arrive qu’aux autres Si pendant 2 ou 3 ans on pouvait concentrer nos cerveaux sur les ENR + H2 le crédit de notre terre qui s’en trouverait certainement embellie
ça y est, Yces Cochet est démasqué, c’était un agent dormant des pétroliers !
Encore une fois(,mais la répétition est l’essence même de la pédagogie)faut-il redire que la mer peut être utilisée de manière parfaitement inoffensive:la force des marées,de la houle ,des courants etc .Tout cela n’implique que la volonté de mettre en forme industrielle une source d’énergie infinie,constante et ,à peu près ,universelle.
Pas bête: un ou deux à Brest (là, pas de problème, il y a déjà les sous-marins), un ou deux à StBrieuc, et le tour est joué. Dommage que le Cotentin ne soit pas Breton, ce serait en plus une énergie pourvoyeuse d’emplois locaux…
la société continue de marcher sur la tête !
encore un défi technique: _défi parce que contrairement à ce que j’ai lu, 60m à 100m, non seulement c’est en effet « assez simple » d’y aller (en tout cas, y’en a pas mal qui seraient le faire… et avec un caisson, pendant lontemps et loin) mais en plus, c’est évidemment compliqué et couteux à surveiller. Enfin, combien de projets TROP ambitieux réalisés par des « soit disant » grosses têtes sérieuses ont été un fiasco (échecs) en plus d’un gachis énorme ? Chaque année, on entend parler d’une nouvelle idée géniale… parfois ça marche ici ou la, mais pas partout… et parfois, c’est carrément un échec total… au final, ce n’est pas qu’une volonté de « grandir la France » (ha ha ha… qui croit encore à ces contes pour enfants ?), mais pour gagner plus (pas les Français… non non… juste ceux qui montent le projet et/ou qui ont des billes dedant). Par contre la c’est du nucléaire… les arguments dveloppés dans l’article sont une vrai propagande, et en rien réalistes. L’eau de mer a un effet corrosif fort (certains métaux, en effet, y sont peu exposés… mais pas à long terme), ensuite, l’argument selon lequel l’eau protège des radiation n’ets pas complète: des particules radioactives peuvent par contre circuler dans les eaux en cas de problèmes ou de fuite (ça arrive, on ne nous le dis pas, mais ça arrive… imaginez donc dans la mer…), celles ci iront infecté un lieu impacté par les courants. Enfin, poser des câbles, et faire une conectique demande aussi un entretient particulier et très très couteux. Je trouve que l’article fait l’impasse sur tout ce qui peut être négatif… un peu trop. Après, en France ou ailleurs, il est si facile d’influencer les gens en les harcelants, en leur montrant des images de rêves asceptisés dans des pubs, et ça marche. Areva… une énorme boite à polluer (après, on nous fait la leçon sur nos comportement alors que à eux tout seuls ils polluent bien plus et ils seront prêt à tout pour vous faire consommer plus, toujours plus, encore plus). qui se font passer pour des écologistes… vaste programme de propagande visant à influencer les électeurs et consommateurs… ils ont déjà été capable de refourguer leurs déchets radio-actifs dans des parcs pour enfants (charmant n’est ce pas?) et d’acheter leurs contrôleurs potentiels (et vos consciences grâce à la pub à gogo et ce genre d’article)… ceux ci (les contrôleurs) sont au service d’Areva et dépendent d’eux… ils se basent sur des études datant de tchernobyl et dépassés… aussi, ils placent des capteurs la ou il n’y a rien… incroyable… ce sont pas des gens responsables réellement, si il y a un problème… ils ne payeront jamais car si ça se fait c’est que des vermines politiquent trempent dedans… ça me dégoute, ces gens m’écoeure de leur manque total d’état d’âme ou de sens morale. et après ça y’en a encore pour trouver ça super… pauvre France, pauvre monde… complêtement sous influence et inconsciente. c’est bien, continuez à voter pour des tricheurs et des menteurs pour pleurer par la suite, continuez à regarder votre gourou la pub et vous comportez comme des adeptes de secte, bons qu’à payer, se pouponner une image, gober toutes les conneries du premier verreux qui passe et dormez bien.
Des « petits » réacteurs nucléaires modulaires de petite et moyenne puissance(de 50 à 300 MW), seront installés à des profondeur de 100 m et plus, dans un milieu marin extrêmement hostile avec son lot de problèmes insolubles et surtout imprévisibles. Ils fonctionneront bien entendu, automatiquement, sans surveillance humaine directe. Tout cela me semble être une idée TERIFIANTE ET EXTRÊMEMENT DANGEREUSE. Sans parler des problèmes de déchets nucléaires que personne au monde, n’a réussi à résoudre. Il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de le dire. On ne rigole pas avec ça. En cas de problème et il y en aura, dans de telles conditions sous-marines, on assistera alors, à une somme de mini catastrophes nucléaires dont les conséquences seront plus graves que celles de Tchernobyl. Et si par malheur on sera devant ce cas de figure, on assistera alors, à la destruction , pour des siècles et des siècles, de la faune et la flore, des côtes, des économies locales de toutes les régions concernées et de la vie tout court, dans ces endroits, au sens strict et large du terme. En revanche, le projet DESERTEC est la solution idéale. Grâce à ce projet, toutes les énergies fossiles(Pétrole, gaz, uranium, GNC) seront remplacées, pour toujours, par des énergies renouvelables, sans aucun danger pour la planète, pour produire de l’énergie et pour l’industrie. Même le problème de l’intermittence en sur le point d’être résolu définitivement.
Des « petits » réacteurs nucléaires modulaires de petite et moyenne puissance(de 50 à 300 MW), seront installés à des profondeur de 100 m et plus, dans un milieu marin extrêmement hostile avec son lot de problèmes insolubles (corrosion notamment) et surtout imprévisibles. Même les alliages de titane se fragiliseront à très court terme, dans de telles conditions. Ces installations fonctionneront bien entendu, automatiquement, sans surveillance humaine directe. Tout cela me semble être une idée TERIFIANTE ET EXTRÊMEMENT DANGEREUSE. Sans parler des problèmes de déchets nucléaires que personne au monde, n’a réussi à résoudre. Il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de le dire. On ne rigole pas avec ça. En cas de problème et il y en aura, dans de telles conditions sous-marines, on assistera alors, à une somme de mini catastrophes nucléaires dont les conséquences seront plus graves que celles de Tchernobyl. Et si par malheur on sera devant ce cas de figure, on assistera alors, à la destruction , pour des siècles et des siècles, de la faune et la flore, des côtes, des économies locales de toutes les régions concernées et de la vie tout court, dans ces endroits, au sens strict et large du terme. En revanche, le projet DESERTEC est la solution idéale. Grâce à ce projet, toutes les énergies fossiles(Pétrole, gaz, uranium, GNC) seront remplacées, pour toujours, par des énergies renouvelables, sans aucun danger pour la planète, pour produire de l’énergie et pour l’industrie. Même le problème de l’intermittence en sur le point d’être résolu définitivement.
Circulez, y’a plus rien à voir pour Desertec depuis la sortie de ce document de greenpeace: Avec 200GW de solaire en Espagne, 130 en Italie et 80 en France (en2050), les tuyaux sont un peu bouchés! « Même le problème de l’intermittence est sur le point d’être résolu définitivement » dites-vous? Vous auriez un début d’explication, voire une maquette?
Moi, ce qui me semble « TERRIFIANT ET EXTREMEMENT DANGEREUX » pour reprendre vos termes, c’est qu’on ne pose la question des déchets qu’au nucléaire. Quoi, le chauffage gaz n’émet rien ? On maîtrise ce qu’on fait des cendres des centrales fioul et charbon ? Qui sait qu’on est en train d’incorporer les machefers (dont certains sont radioactifs ou plein de métaux lourds !) dans les matériaux de construction qui vont bien isoler nos logements neufs ? Qui se préoccupe des centaines de milliers de tonnes de béton noyés dans la bonne terre agricole, et de son effet en terme d’alcalinisation des sols ? Ce qui à horizon de 10 ans est dangereux, c’est le changement climatique (j’ai pas dit réchauffement), qui va bouleverser la géopolitique et faire apparaître les guerres du XXè siècle pour de douces farces. Voilà ce qui est est extrêmement dangereux, et non pas les malheureux 4500 m3 de verre radioactif inerte produit par 60 ans d’électronucléaire français…
Il n’YAKA lire Greenpeace pour savoir ce qui se passe ailleurs : Bon aller, je vous donne le lien direct : Vous n’oublierez pas de me donner la demi-vie de tous les déchets nocifs répertoriés (il faut quand même penser aux générations futures). Pour les déchets du charbon Robin des bois n’est pas mal non plus : Le lien direct :
inch allah La terre tourne autour du soleil La lune tourne autour de la terre Et vous ?
@ Sicetaitsimple L’Espagne est un partenaire et partie prenante, dans le projet Desertec, au même titre que l’Allemagne et plusieurs autres pays et surtout de très grandes entreprises multinationales Européennes. Je pense que les puissances électriques, que vous évoquez sont très éloignées de la réalité. Avant de s’attaquer à un projet comme Desertec, qui est très important pour la planète, il faut avoir toutes les données en main. On voit bien, que vous faites de la propagande pour le nucléaire, dans vos commentaires. C’est claire @ Devoirdereserve J’accepte et vos critiques constructives et votre point de vue différent du mien. Cependant, je pense que je me suis mal fait comprendre au sujet des déchets nucléaires, que vous avez évoqué. Je n’ai jamais parlé des anciens déchets des centrales existantes, car ce problème existe dans tous les pays industrialisés du monde. Dans mon propos, je ne parle que des futures déchets des futures mini centrales nucléaires sous-marines, évoquées dans l’article publié ci-dessus et qu’on est en train de développer. Il faut reconnaître la grande dangerosité des déchets nucléaires des futures mini centrales nucléaires sous-marines en question, qui pourraient être enfouis au fond de la mer et dont le nombre serait incalculable. Les mer et les océans représentent des sources de la vie, pour l’humanité toute entière. Ce sont des endroits tellement sensibles et tellement vitaux, qu’il ne faut pas les souiller avec ce poison mortel : les futures déchets nucléaires des futures mini-centrales en question. S’agissant de l’usage ou du « recyclage » de certaines mâchefers, résidus des incinérateurs, que vous avez évoqué dans votre commentaire, je partage totalement votre avis. Quant au dernier point de votre commentaire (conséquences du réchauffement climatique), je rappelle que les GES sont les principaux facteurs aggravants. Leur réduction, je dis bien leur réduction au niveau planétaire, le plus rapidement possible, permettra d’une part, de réduire d’une manière significative les dangers (Tsunamis, inondations de certaines régions du monde…) et d’autre part de stabilisation de l’élévation de la température moyenne de la planète. Et pour ces dangers là, il y a une possibilité, d’agir, certes très difficile, mais on a une chance. En revanche, s’agissant du danger des déchets nucléaires, on ne peut malheureusement rien faire.
Vous vous êtes mal exprimé dites-vous ? OK. Vous ne vous préoccupiez donc que des déchets de ces futurs mini-réacteurs ? Alors juste deux remarques pour dissiper d’éventuelles inquiétudes : 1- mini-réacteur = mini déchets. En gros, un mini-250MW produira 5 fois moins qu’un maxi 1250MW. 2- ce sont les même combustibles que ceux utilisés dans les réacteurs. Que croyez-vous qu’on en fasse actuellement ? On les laisse pourrir à Brest ? Ou on les retraite ? Enfin, pour reprendre la fin de votre réponse, j’aimerai faire un commentaire : je ne suis pas le seul à penser que les questions environnementales doivent se traiter suivant leur degrés d’urgence. Pas de critère subjectif, pas de critère pseudo-religieux, ou culturel, ou émotif. Juste : quand est-ce qu’on re-prendra le boomerang dans la figure, et quelle est la taille du boomerang. Or pour le changement climatique, nous avons 10-20 ans pour agir, et le risque concerne grosso-modo 3 milliards d’humains. Pour les déchets nucléaires, quelle que soit la méthode de gestion subsurface, enfouissage réversible profond, enfouissage irréversible, les horizons temporels sont plus lointains que cela (respectivement 60, 200, et 100 000 ans à la louche), et les conséquences seraient (très éventuellement) locales. C’est une sacrée différence. Et si pour passer le cap du XXIè siécle, il faut produire un peu de déchets nucléaires à gérer au XXII ou XXIIIè, il faut le faire. Sinon, il n’y aura personne pour s’en préoccuper, de toutes façons…
@ Devoirdereserve 5 mini-réacteurs de 250 MW = 1 gros réacteur de 1250 MW. Vu la taille de ces mini-réacteurs, leurs promoteurs envisagent de les installer partout, pas loin des côtes, où ils seront immergés à plus de 100 m, dans un milieu marin extrêmement hostile. Une surveillance humaine permanente dans ces endroits est impossible. En plus des déchets classiques, qui seront stockés en surface, de manière classique, les fuites radioactives à répétition, de tous ces mini-réacteurs, en profondeur, seront inévitables à très court terme. Ils causeront des dégâts irréparables, déjà évoqués dans plusieurs commentaires de plusieurs internautes. Je ne suis pas le seul à le dire. On a eu un débat utile et constructif. Je souhaite clore ce dossier du nucléaire et passer à autre chose. Je vous souhaite une bonne journée. Cordialement.
Pour citizen, il faut d’urgence se préoccuper des déchets nucléaires… mais on ne peut rien faire, en revanche pour le réchauffement climatique, c’est difficile mais on peut agir. Mouais, c’est terriblement visionnaire et j’espère que le changement climatique n’est qu’une grosse escroquerie mise en musique par le GIEC, sinon le réveil des générations futures va être douloureux ! Espérons que l’Allègre prophète dise vrai. Je note également qu’on se préoccupe depuis longtemps des déchets nucléaires et que c’est « un peu moins vrai » pour d’autres déchets :
« Je pense que les puissances électriques, que vous évoquez sont très éloignées de la réalité. Avant de s’attaquer à un projet comme Desertec, qui est très important pour la planète, il faut avoir toutes les données en main. On voit bien, que vous faites de la propagande pour le nucléaire, dans vos commentaires. C’est claire » dites vous… Les chiffres que j’évoque ne sont pas les miens, ce sont ceux de Greenpeace, référez-vous au lien .Si vous n’avez pas compris qu’ils me font sourire…. Concernant Desertec, comme il semble que vous veniez d’arriver, prenez le temps de taper Desertec dans la zone de recherche, vous verrez qu’il y déjà eu beaucoup de débats à ce sujet. Pour ce qui me concerne, c’est bien le modêle économique de Desertec qui pose problème. Car effectivement ( c’est l’hypothèse Greenpeace), si le solaire devient « compétitf », on ne voit absolument pas pourquoi Espagne, Italie ou France iraient construire en Afrique pour ensuite transporter le courant vers l’Europe. Voilà, je ne fais pas spécifiquement de propagande pour le nucléaire, j’essaie de réfléchir et d’avoir le plus de cartes en main possible! Bienvenue sur Enerzine.Cordialement.
N’importe quel plongeur un peu expérimenté ou bien un petit bateau discret avec une bombe ou une simple torpille sera capable de faire péter ce genre de « centrale » nucléaire détruisant ainsi la vie en mer et près des côtes durant plusieurs siècles ! Vraiment l’industrie française nucléaire doit être en manque de marché pour proposer des projets aussi dangereux, et ce je suppose avec la bénédiction des politiciens ayant travailler ou qui travailleront un jour dans l’industrie nucléaire française… Et pendant ce temps 308 éoliennes offshores ont été installé en Europe en 2010 mais bizarrement aucune en France pourtant deuxième gisement éolien européen ! Et après on ose venir nous dire que le lobby nucléaire français qui bloquent le développement des énergies renouvelables depuis plusieurs décennies n’est qu’une imagination de écologistes et d’organisation comme Greenpeace !
A tout les fanatiques anti-nicléaire, bien au chaud dans leur maison francaise avec le chauffage et l’élec! Excellent moyen de donner de l’énergie au MILLIARD de personnes sur terre qui n’ont pas d’électricité et qui vivent en bord de mer! Et sans émetre 3x de CO2 que maintenant! Et au niveau du retraitement des déchets, c’est le top! On ne pollue pas ces pays là, On ramène dans nos usines toutes les merdes. Je prefere ca à des immenses centrales élec au charbon qui pollue l’air de ces villes et tue des gens chaque jours!
Même si le concept DCNS est à manier avec précaution, il ne faut pas oublier qu’il peut aussi faire rêver des pays qui voudraient bien un dixième de notre confort. Car beaucoup, ont un niveau de vie et d’accès à l’électricité bien inférieur au notre, mais payent déjà le kWh plein pot (plus de 2 fois notre tarif malgré des dispositifs sociaux et absence ou faiblesse des taxes) avec en prime les nuisances maximales et les carences du service. L’augmentation des prix du pétrole va les toucher doublement de plein fouet (c’est déjà le cas à chaque pic), eux qui arbitrent déjà souvent entre le logement, la nourriture et l’électricité… quand ils l’ont ! Car un pétrole cher signifie souvent déplacement cher + électricité cher. Ils vivent dans un contexte où l’irradiation (à faible dose) est un luxe inaccessible (par exemple le scanner). En revanche l’accès au choléra est parfaitement gratuit et quasi permanent ! On va peut être avoir du mal à leur faire peur avec un réacteur bien construit.
si nous n’avons que ce genre de zinzin à leur proposer(cad vendre), c’est certain qu’ils vont être rassurés sur les intentions du monde dit occidental…
Vous affirmez : »N’importe quel plongeur un peu expérimenté ou bien un petit bateau discret avec une bombe ou une simple torpille sera capable de faire péter ce genre de « centrale » nucléaire détruisant ainsi la vie en mer et près des côtes durant plusieurs siècles » Les désatres survenus sur les sous marins nucléaires russes nous ont montrés que la vie en mer n’est pas complétement détruites dans ce cas. Des études de sureté et de sécurité sont faites sur les conséquences des actes de malveillance. Je ne sais pas si je vous rassure. ? Les éoliennes offshoresproduisent de l’électricité par intermittence, elles ne peuvent donc être mise en concurrence avec ce réacteur qui produit de l’électricité en permanence.
@ Sicetaitsimple Merci pour la bienvenue sur le site enerzine.com Je réponds donc à la question que vous m’avez posée et qui concerne l’intermittence, qui est sur le point d’être résolue définitivement. Vous m’avez demandé un début d’explication. Je rappelle que le potentiel solaire de l’intégralité du Sahara est hors norme. La partie centrale seulement, du Sahara, constitue un gisement solaire, qui dépasse les 5 milliards de GWh par an. L’énergie moyenne reçue dans cette partie du monde est d’environ 2900 kWh/m2/an. Grâce à : a/- à un ensoleillement extraordinaire, depuis des siècles, régulier et à longueur d’année, (3900 Heures d’ensoleillement environ, par an) ; b/- à un fluide caloporteur optimisé, spécial (secret de fabrication des industriels impliqués dans le projet) ; c/- à un circuit de vapeur sous haute pression et à son stockage prolongé de plusieurs heures (secret de fabrication des industriels impliqués dans le projet) ; d/- à une chaudière de haute technologie et des capteurs concentrateurs de rayons solaire, à haut rendement (secret de fabrication des industriels impliqués dans le projet) ; l’intermittence des centrales solaires thermiques est sur le point d’être résolue définitivement. Cordialement.
Je lis vos arguments, mais ne suis pas pour autant convaincu: -a/,b/ et d/, ça va dans le sens d’une augmentation des performances thermodynamiques, mais 1/ de toutes façons Carnot et Rankine ont existé et il y a des limites 2/ dans le Sahara il n’y a pas d’eau et donc les limites sont encore plus faibles 3/ s’agissant d’une ressource « gratuite » l’amélioration des performances n’est pas forcément l’objectif N°1, ce qu’i faut viser dans ces régions ce sont des coûts d’installation les plus bas possibles et une « rusticité » permettant d’assurer une bonne fiabilité. Dans tous les cas, on n’est pas dans le problème d’intermittence. Quant au c/,stocker en masse de la vapeur à haute pression, là c’est vraiment un secret de fabrication! On souhaite en savoir plus sur les principes, même si les détails sont secrets… Et ça ne répond pas à ma question sur le modèle économique. Cordialement.
@ Sicetaitsimple Pour ce qui est du problème de l’eau, je vous signale qu’il existe, dans la grande région concernée, du Sahara, des nappes phréatiques souterraines gigantesques, qui vont jusqu’en Libye, qui l’exploite d’ailleurs, par pipeline, depuis deux décennies, avec succès, pour ses propres besoins en eau potable et pour l’agriculture. D’ailleurs, l’eau utilisée pour produire de la vapeur sera recyclée proprement, en permanence. Donc l’eau n’est pas un problème, dans de tels endroits, où la vie est vraiment extrêmement difficile, tout comme l’ensoleillement. La nature nous réserve parfois, de très bonnes surprises. Pour votre question concernant le stockage très spécial, en question, il faut s’adresser aux industriels eux-mêmes, impliqués dans le projet Desertec, qui s’est transformé en un consortium d’industriels internationaux. Il s’appelle maintenant DII, depuis 2009. Ces industriels ont déjà testé avec succès, en Allemagne, ce mode de stockage, qu’ils gardent secret et c’est normal, car ils ont investi des centaines de millions d’euros, avec le soutien du gouvernement Allemand, à ce projet futuriste, en matière d’énergie propre, qui remplacera, je suis convaincu, les centrales nucléaires, progressivement. Et ce serait une avancée considérable, pour l’humanité. Le prix du kWh produit sera forcément compétitif étant donné, que ces centrales produiront 24h sur 24. Je pense que ces industriels ont étudié la question et ont trouvé une solution. L’objectif d’une entreprise, c’est gagner de l’argent, autrement, ils ne.0 seraient jamais aventurés à investir des sommes astronomiques dans le projet. On parle d’ailleurs, dans la presse, de 400 milliards d’euros d’investissements, sur plusieurs années. Je n’ai aucune idée sur la technologie, que ces industriels ont utilisé, pour obtenir de tels résultats ( le stockage de la vapeur), en réponse à la question, que vous m’avez posée, à ce sujet. Aucune donnée chiffrée, n’a été publiée, à ce jour, au sujet du rendement de ces installations. Cordialement
Je ne sais quoi vous répondre sans partir dans un cours sur le fonctionnement des centrales « à vapeur » qui serait un peu fastidieux, pour moi et peut-être aussi pour vous. Soyez au moins bien sûr qu’utiser l’eau des nappes sahariennes pour condenser la vapeur serait un gachis gigantesque. Le marché des centrales CSP existe déjà et est en pleine expansion ( USA notamment), si les industriels allemands avaient développé un concept révolutionnaire de stockage, soyez bien sûr qu’il serait sur le marché sans attendre Desertec. Quant au prix forcément compétitif, et bien écoutez, on en reparlera…J’ai exprimé mes doutes sur le « business model »de Desertec, comme on dit, vous pouvez vous référer par ailleurs aux liens cités ci-dessus. Cordialement.
@ Sicetaitsimple Le commentaire que vous m’avez adressé, m’oblige à vous répondre. Vous dites : « Je ne sais quoi vous répondre sans partir dans un cours sur le fonctionnement des centrales « à vapeur » qui serait un peu fastidieux, pour moi et peut-être aussi pour vous. Soyez au moins bien sûr qu’utiliser l’eau des nappes sahariennes pour condenser la vapeur serait un gâchis gigantesque ». Je trouve vos propos déplacés. Je suis ouvert au dialogue constructif, mais pas à ça. Vous croyez que j’ai attendu votre point de vue, pour savoir que l’eau des nappes phréatiques souterraines du Sahara, n’est pas renouvelable? Une partie négligeable de l’eau de ces nappes gigantesques, sera utilisée pour les besoins des centrales en question et qui est recyclée en circuit fermé et réutilisée en permanence. Le projet Desertec est flexible et très complet. Il comprend des centrales solaires thermiques, des centrales solaires photovoltaïques, des centrales solaires hybrides et des fermes éoliennes. Ces centrales évolueront avec l’évolution des technologies et seront mis à jour en temps réel. Et je ne vous demande pas d’être convaincu ou pas. J’ai essayé de répondre à vos questions de la manière la plus simple, qui respecte tout le monde. Je suis dans forum et non dans une conférence de scientifiques spécialisés. Je ne vais pas m’amuser dans un forum, à me lancer dans des calculs de rendement de centrales solaires, de dimensionnement des installations, d’étude de fluide caloporteur, d’échangeurs, de générateur de vapeur, ou de stockage à des températures élevées. Cela n’intéresse pas tous les internautes. Vous dites : « stocker en masse de la vapeur à haute pression, là c’est vraiment un secret de fabrication! On souhaite en savoir plus sur les principes, même si les détails sont secrets… ». Vous dites on souhaite au lieu de je souhaite. Du coup je ne sais pas à qui j’ai affaire. J’étais réticent à répondre à cette question et à vous communiquer des connaissances que vous ignorez. Votre façon de répondre dans votre dernier commentaire, n’arrange pas les choses. Vous faites également de la propagande pour le nucléaire et non pour avoir plusieurs cartes en mains, comme vous dites. Je vous l’ai déjà dit honnêtement, auparavant. Je souhaite en arrêter là cet échange et passer à autre chose. Sans rancune aucune. Bonne journée Monsieur.
Vous drapper dans votre dignité est certainement une façon d’éviter le débat.J’en suis désolé pour vous si vous arrivez sur ce forum, mais il y a quelques intervenants qui demandent plus que des déclarations d’intentions ou des annonces ronflantes pour être convaincus.. C’est mon cas, d’où mon pseudo. Donc on peut effectivement arréter de disuter de Desertec, ou poser quelques questions précises, déjà posées ci-dessus: – comment stocke-t-on de la vapeur? – Si on veut avoir un rendement correct du cycle, comment fait-on sans évaporer de l’eau?( je précise , il ne s’agit pas de l’eau du cycle eau-vapeur en circuit fermé dont je parle, mais de la source de condensation. – Comment , si les technologies solaires font des progrès en termes de coût du MWh produit( et elles en feront)le projet Desertec est-il compatible avec ce qui se développera naturellement en Espagne, Italie et Sud de la France ( les troies voies d’acheminement) avec les mêmes technologies? Le ‘on », c’est moi en premier lieu, mais aussi d’autres..Encore une fois, il y a quelques participants qui s’interessent à ces sujets. Cordialement.
Je suis d’accord avec Sitetaitsimple et pamina. En plus, j’ai une question de béotien : Est-ce qu’une infime partie de cette eau du désert ne pourrait pas servir à l’exploitation d’une mine d’uranium ?
pour ce qui est du retour attendons de voir ce qui se passe en Egypte : Les Egyptiens vont installer de grandes centrales solaires notamment dans le cadre de DESERTEC : Comme c’est un pays stable, nous devrions rapidement avoir une bonne idée de la faisabilité de la production d’une part non négligeable de l’électricité européenne au Maghreb. Sinon, il y a aussi le Maroc, l’Algérie, la Lybie et la tunisie. Regardons attentivement l’expérience de 2011 et n’ayons pas peur du retour !
@ enrzine.com – 18h27/30-1-11 l’armée est notre mr c’est l qi nous nourrit ici pour l’heure o nuclér mi-cigare mi-torpille mi-agosta voila qi va mettre en colr à juste titre les bl populations cô1/3 (en soront ri1 sous la coupe de dictateurs parait bail qe ces trucs sont ox tuyox) des sous-mar1 atomic (pour repêcher les noyers) pour 1 pays o tout p’tit bout de côte co1c entre 2 gants-va et surtout population dans la mizr victime d’inondations dqplées ox chang’mans/24h climatic (CC) armée ra6te le savons (de marseille) pas 1 école de la douceur se ml d’aid les civils or l (et hardi) les a-i école du pacifisme pl1 de salr ox militr et cs de bricoler de complex 6tm d’armes ou – complex vaSSaliz h-a dettes
Vous avez un sacre sens de l’humour ds. votre dernier post : » comme c’est un Pays stable …. en parlant de l’Egypte » ! Merci de mettre tout le Maghreb ( y compris la Lybie ! ) sous ce vocable ….Mouais ! Wait and see ( et vraisemblablement pas des decades ) J’avais deja exprime mon opinion sur ce » bete » aspect du probleme …
Bien évidemment, j’ai choisi l’Egypte eu égard à l’actualité. Dans les mois qui viennent, nous allons mesurer plus finement la stabilité du maghreb ! Mais j’ai également choisi l’Egypte pour une autre raison non évoquée : L’Egypte est pionnière en matière de centrale solaire à concentration. 1912, vous pensez ! Elle a failli avoir un retour d’expérience d’un siècle avec la centrale de Maadi (ou Meadi) : Malheureusement, la première guerre mondiale en a décidé autrement et la suprématie du pétrole à stérilisé les efforts accomplis dans cette voie. Là, je suis vraiment désolé, mais je n’ai pas pu trouver d’implication possible et plausible du lobby nucléaire dans la fin de cette belle aventure.
C’est la première utilisation des réacteurs nucléaires qui a été faite ans l’histoire : celle des sous-marins. Capacité immédiatement déployable, le projet a beaucoup d’atouts. En cas d’intervention humanitaire française on pourra ainsi rapidement déployer le module et assurer une fourniture constante d’électricité. Pourquoi ne pas imaginer demain des RNR de petite puissance (comme cela a déjà exister) pour propulser les navires de transport maritimes ? La France a toutes ces compétences à sa disposition. Et relancer les chantiers européens face à un pétrole de toute façon condamné face à la diminution de production qui est inéluctable.
pour faire une critique il faut connaitre le sujet pour ma part le nucleaire me fait peur, mais si on fait un pas en arriere tout le monde stop son ordinateur , son portable, jete son auto , enleve les ampoules etccccccc, nous sommes victimes de notre progres , meme les Greenpace ont des montres avec des piles , des autos, des bateaux qui fument la vigilance est le mot juste , mais on doit avancer comme les autres pays je suis sur le projet hydro , est chaque projet est bien epluche y compris le nucleaire , nous avons a des cerveaux et une consience pour les personnes qui vont arriver sur terre apres nous
ton idée est deja dans l’emploie du temps de cette entreprise soit patient
C’est pas parce qu’on a un réacteur nucléaire qu’on peut produire de l’électricité avec pour autant! Les technologies, le combustible sont différents, même si pour la marine française en l’occurence, les réacteurs de propulsion navale sont bien des REP alimentant en électricité le sous-marin (alors que pour la marine US, je crois bien qu’on est plutôt sur une propulsion vapeur et non électrique). Bref, une utilisation pour produire de l’électricité n’est pas vraiment envisageable, même si l’idée peut paraître intéressante, et n’aurait de toute façon aucun sens économique, les combustibles étant « spéciaux » (on charge le coeur pour une trentaine d’années je crois bien), et une utilisation pour produire de l’électricité « commerciale » aurait forcément un impact sur la durée de vie de ces combustibles. Ce n’est que mon avis, je ne suis pas spécialiste.
L’anti nucléaire est devenu une religion et quand on veux tuer son chien on dit qu’il a la rage! nous qui avons la chance d’avoir une culture nucléaire forte qui vient de loin avec les Curie, Becquerel, Joliot, Langevin et beaucoup d’autres dont des capitaines d’industrie de très grande valeur les Giraud ou Besse et une forte compétence en Génie Maritime nous avons tous les atouts pour une aventure technnico industrielle réussie. Quel beau projet mais peut être l’ère des pionniers est-elle révolue, Il ne resterait que les pantouflards, ceux qui ont peur de leur ombre ? Je suis persuadé que non, nos jeunes valent mieux que cela.
L’anti nucléaire est devenu une religion et quand on veux tuer son chien on dit qu’il a la rage! nous qui avons la chance d’avoir une culture nucléaire forte qui vient de loin avec les Curie, Becquerel, Joliot, Langevin et beaucoup d’autres dont des capitaines d’industrie de très grande valeur les Giraud ou Besse et une forte compétence en Génie Maritime nous avons tous les atouts pour une aventure technnico industrielle réussie. Quel beau projet mais peut être l’ère des pionniers est-elle révolue, Il ne resterait que les pantouflards, ceux qui ont peur de leur ombre ? Je suis persuadé que non, nos jeunes valent mieux que cela.