Les alertes répétées de la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité), sur le périmètre trop restreint d’évacuation de la population niponne suite à la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima en mars dernier, semble se vérifier.
En effet, les niveaux de radioactivité mesurés dans les sols de la ville de Fukushima, à 60 kilomètres de la centrale atomique, commencent sérieusement à inquièter les associations qui ont demandé un retrait des personnes les plus fragiles (enfants, femmes enceintes et personnes âgées).
Ainsi, une mesure de la radioactivité dans le sol a montré un taux de césium radioactif de 46.540 becquerels par kilogramme, alors que le taux maximum autorisé est de 10.000 becquerels au Japon. Trois autres prélèvements ont fait apparaître des taux compris entre 16.290 et 19.220 becquerels par kilogramme.
« La contamination des sols s’étend dans la ville », a alerté Tomoya Yamauchi, professeur à l’Université de Kobe spécialiste des radiations. « Les enfants jouent avec la terre… avec des substances hautement radioactives. L’évacuation doit être décrétée au plus vite », a-t-il affirmé.
Sur les 160.000 personnes proches de la centrale qui avaient quitté leur logement, la moitié a regagné depuis leur domicile, tandis que l’autre moitié située dans un rayon de 20 km du site accidenté, reste contrainte à l’exil.
Il y a 5 jours, Bruno Chareyron, ingénieur en physique nucléaire et membre de la Criirad, avait évoqué des "doses de radioactivité qui induisent des risques de cancer inacceptable, bien au-delà de la zone interdite de 20 km autour de la centrale". "On tolère sur place un taux de risque de cancer 20 fois supérieur à celui communément admis", avait t’il dénoncé.
comme a pu dire notre gouvernement érigé en porte parole officiel d’AREVA and co….
Ce genre de nouvelle va laminer pendant des mois l’opinion sur le nucléaire. Désespérer les chevalliers du nuke en ruinant leurs sermons , provoquer une défiance latente, une identification au peuple japonais privé de tout ce qu’il possède en quelques minutes. Si on ajoute les pays qui se débattent vainement dans une guerre froide locale comme l’Inde ou la Corée du sud, on réalise que la liste des 200 clients potentiels d’Areva se restreint comme peau de chagrin. Et cette fois , c’est pour longtemps car l’information au Japon n’est pas contrôllée comme en Chine. Les dépèches tomberont avec une régularité angoissante pendant des décennies…… S’il restait de braves gens pour accorder leur confiance à nos nucléocrates, elles ne seront plus aussi crédules
Pauves japonais, qui ont déjà tant été éprouvés par le nucléaire militaire, obligés aujourd’hui et pour des dizaines d’années de gérer les conséquences de cet accident. En France : plutôt que de dire « ça ne peut pas arriver chez nous », sommes-nous capables d’évaluer les conséquences d’un accident majeur sur chacune de nos centrales ? – ampleur de la zone contaminée (rayon de 20 km, le double ? le triple ?) – conséquence sur l’évacuation des personnes ; – conséquences sur la faune, la flore, les cultures (à titre d’exemple un accident au Blayais contaminerait définitivement tous les vignobles alentours, dont les célèbres crus du Médoc) ; – impact sanitaire et économique… Pourquoi ne pas rendre publique de telles études ?
Il existe un rapport rédigé par l’ASN intitulé : « CONSEQUENCES D’UN ACCIDENT NUCLEAIRE MAJEUR EN FRANCE » Il comporte une seule ligne : « SANS OBJET »
on fera grève ! Et meme qu’on brulera des pneus! Ca bousille les routes et ca fait de la belle fumée noire c’est sympa
La catastrophe de Fukushima n’a pas (pas de mort due au radiation) ou très peu (ouvrier de TEPCO tué lors des explosions d’Hydrogène) tué. Par tué j’entend tué dans un délai relativement court après la catastrophe. Les vrais conséquence d’un accident de se type sont plus : – La pollution/contamination des sols – L’attente à la santé des hommes et autres organismes vivants pouvant entrainer malformation, maladie et mort prématurée. Peut-on comparer un catastrophe du type marée noire de BP avec celle de Fukushima en termes de pollution et atteinte à la santé ? Si quelqu’un a des infos quantitatives je suis preneur.
Mes excuses pour ce commentaire cousu de fautes. Je ne trouve pas le moyen de l’éditer. Il fallait lire : La catastrophe de Fukushima n’a pas (pas de mort due au radiation) ou très peu (ouvrier de TEPCO tué lors des explosions d’Hydrogène) tué. Par tué j’entend tué dans un délai relativement court après la catastrophe. Les vraies conséquences d’un accident de ce type sont plus : – La pollution/contamination des sols – L’atteinte à la santé des hommes et autres organismes vivants pouvant entrainer malformation, maladie et mort prématurée. Peut-on comparer un catastrophe du type marée noire de BP avec celle de Fukushima en termes de pollution et atteinte à la santé ? Si quelqu’un a des infos quantitatives je suis preneur.
Votre plaisanterie est amusante Mais sur le fond, elle est injurieuse par raport au travail de fond réalisé en France La loi TSN de 2006 oblige à la transparence, profitez en pour vous cultiver
Braves amis antinuk, faites un petit effort pour vous cultiver un peu mieux. Ouvrez vos intelligences et apprenez à faire la part des choses. Il existe beaucoup de sites Web pour vous montrer que la pollution venant de l’électronuclèaire (Tchernobyl et Fukushima compris) ne représente que les 0.3% de la radioactivité générale? Savez-vous que la radioactivité venant de la médecine (radiographie et radiothérapie) est 80 fois plus importante que toutes les activités nucléiares civiles? (les déchets étant bien sécurisés dans leur conditionnement ad oc) Savez-vous qu’une centrale à charbon est trois fois plus radioactive qu’une centrale nucléaire de même puissance, à cause de l’uranium et du thorium inclu dans le carbon ? (sans compter toute la pollution chimique, demandez à Michel123) Bon courage dans votre recherche, et soyez droit dans votre discernement.
Pouvez vous m’aider comme vous le proposer gentiment, à « ouvrir ma modeste intelligence » ? Q 1 : Il existe des tas de poisons dans le monde et il se produit des catastrophes et pollutions diverses, d’accord. Mais en quoi est-ce que cela neutralise la pollution venant de l’électronucléaire ? Q 2 : Faut-il maintenir des contrôles de la radioactivité émise suite aux accidents nucléaires, puisque ces pollutions étant infinitésimales et les déchets étant bien « sécurisés » comme vous dites il n’y a pas grand chose à craindre pour la santé ni pour l’environnement ? Merci de vos réponses simples à la portée de mon cerveaux lents.
@ccsiaix Merci pour ce lien intéressant (on y voit notamment une animation du panache radioactif de Tchernobyl qui est très bien faite). En effet le nucléaire fait travailler et vivre beaucoup de gens très instruits et très bien payés pour faire plein de contrôles et écrire des tas de rapports très sérieux. Oui, il vaut mieux ça, il vaut mieux la transparence, que rien et l’opacité ! Mais permettez-moi de penser que la transparence n’empêche pas l’accident grave.
Je me permet d’intervenir pour apporter quelques éléments de réponse aux questions posées : R 1 : Je crois pas qu’il soit sujet de « neutraliser » quoi que ce soit… il s’agit plutôt de faire le choix du moindre mal… pour faire simple, je dirais que globalement le choix (immédiat) est à faire entre : – les inconvénients du manque d’énergie à disposition de l’Homme (qui s’échelonnent de « plus de télé ni de voyages aux Seychelles » jusqu’à « plus de produits industriels, plus de chauffage, de lumière, ni de cuisson des aliments »). – les inconvénients des filières pétrole/gaz/charbon : pollution locale (chimique et radioactive pour le cas du charbon) + rejets massifs de CO2 et de CH4 dans l’atmosphère et leurs conséquences + risques accidentels liés à la filière (marées noires, incendies, explosions, pollution durable des sous-sols exploités, contamination des réserves d’eau, etc.) + tensions géopolitiques et économiques – les inconvénients de la filière nucléaire : pollution radioactive locale pour certaines installations (traitement du combustible) + risques accidentels de l’exploitation ou du stockage (surexposition des travailleurs, contamination locale des sols, exposition/contamination du public avoisinant le lieu de l’accident) + risques liés au stockage R 2 : Oui, même dans les cas – nombreux – où il n’y a effectivement pas grand chose à craindre, il faut maintenir les contrôles. Les moyens actuels permettent de mesurer la radioactivité de façon particluèrement aisée et précise (ce qui n’est clairement pas le cas de toutes les pollutions !). Ces mesures constituent une base d’information qui permet ou permettra de comprendre les effets de ces pollutions, leur variation sur le long et très long terme, de les comparer à des effets et phénomènes naturels, etc. etc. On appelle celà la « science ». 😉 Le problème qui se pose et qu’une information provoque plus de terreur qu’un manque d’information… du moins pour le grand public (qui est plus prompt à prendre peur qu’à utiliser sa raison pour fonder son jugement… c’est un phénomène bien connu qui s’appelle l’instinct de survie 😉 )
@ ccsiaix Merci pour ce lien intéressant (on y voit notamment une animation du panache radioactif de Tchernobyl qui est très bien faite). En effet le nucléaire fait travailler et vivre beaucoup de gens très instruits et très bien payés pour faire plein de contrôles et écrire des tas de rapports très sérieux. Oui, il vaut mieux ça, il vaut mieux la transparence, que rien et l’opacité ! Mais permettez-moi de penser que la transparence n’empêche pas l’accident grave.
C balot qd mm hein… déjà qu’on n’avait plus grand chose à vendre à l’étranger comparé à ce qu’offre l’industrie allemande et bien là C sûr, c la balance commerciale française qui va encore trinquer… d’ailleurs pour mémoire, le mois dernier, BC Allemagne : + 15 Mds€ (dont 1,5 pour les ENR et les techno vertes) ; BC France : – 7 Mds€ A part ça tout va bien… Il faut se rendre à l’évidence : les choix faits par l’allemagne il y a déjà plus de 10 ans de cela sont en train de porter leur fruit. Pendant ce temps-là, la France, championne toutes catégories du – vivons sur nos acquis et surtout, surtout, ne changeons rien – commence à dévisser et on se demande bien comment l’hémoragie va s’arrêter… Il nous reste le tourisme et l’agriculture. Y a plus qu’à trouver des décideurs assez intelligents pour exploiter ces 2 gros potentiels et on peut p-ê encore espérer sauver notre peau?
D’accord à 100% L’étape suivante , c’est que le gvt fait le même diagnostic et plutôt que de se drapper dans son égocentrisme, il comprend que la mosition de prestataire est bien plus confortable que la position de prescripteur. Il donne un emploi bidon mais respectable à tous les gourous qui nous ont mis dans cette galère et il met aux postes de décideurs , de bons stratèges capables de tirer parti de la situation Il concentre tout le gratin de l’industrie européenne sur son merveilleux territoire et crée au passage des milliers d’emplois dans le tertiaire, dans l’industrie et finalement des emplois verts qui tomberont tous mûrs de l’arbre , puisque les gisements français sont parmi les meilleurs d’europe Après 15ans de service , d’accueil et de création de richesse, les partenariats se tissent naturellement avec ce qui restera de nos vieux champions nationnaux qui redeviendront prescripteurs … jusqu’à ce que les ultra nationalistes reviennent nous dire que la france , pays élu des dieux et plus intelligent que les autres , doit prendre en main son destin, virer tous les étrangers et retomber dans la situation où nous nous trouvons actuellement Re coup d ebâton, re profil bas et ainsi de suite La faillite d’un système le rend plus sociable…
Merci au journaliste d’écrire « a-t-il » et non « a t’il », une faute qu’on retrouve dans tous les articles probablement du même auteur
Résumons : l’alternative est donc entre le nucléaire et le pétrole/gaz/charbon et sans l’un ou l’autre point de salut, donc il faut accepter le « moindre mal » des pollutions et remercier la « science » car sans elle on ne pourra pas partir aux Seychelles ni regarder JP Pernaud à la télé ? Et pas de chauffage ni de cuisson en plus ? Pourtant j’ai entendu des gens qui affirment avoir fait le tour du monde ; (seychelles et autres et même plusieurs fois) avec la seule énergie du vent, certains ont même raconté ça dans des livres. D’autres qui prétendent avoir vu JP Pernaud en vrai sans utiliser un écran plazzzma (mon beau-frère notamment, même qu’il dit avoir joué au golf avec). Incroyable il y en a même soit-disant plusieurs milliards qui se chaufferaient sans gaz ni électricité mais avec … du bois ! ou qui feraient chauffer leur thé en utilisant (ne riez pas) de la bouse de yack. Et en plus ils prétendent se débrouiller tout seuls et ne manquer de rien alors que le premier hypermarché est à plusieurs jours de cheval. Allez le plus drôle, pour la fin, des peuplades orientales utiliseraient leurs …hum … excréments pour produire du gaz et faire cuire leur frichti aussi bien qu’avec une plaque à induction ! Ah, Ah, qu’est-ce qu’on peut nous raconter comme blagues quand même 😉 !
En effet, il y a le pétrole, le charbon, le gaz, il y a aussi l’alternative de retourner au moyen âge, vous avez raison.
Pour ce qui me concerne j’ai remplacé les archaïques grilles-pains supposés apporter le confort moderne à ma modeste chaumière par un chauffage au bois (chaudière à granulés). Après trois ans de service, au bilan c’est un confort est en fait largement amélioré et un budget chauffage divisé par deux. Remplacé aussi le gourmand cumulus par un chauffe-eau solaire. Remplacé EDF par Enercoop et ses fournisseurs EnR. Aucun regret, aucune régression dans tout ça mais l’impression d’aller vers le mieux au contraire. D’ailleurs la référence au moyen-âge que vous utilisez est flatteuse ! En vous renseignant un peu sur la civilisation médiévale (lisez Georges Duby par exemple) vous verrez que ce fut une période très riche notamment dans les échanges scientifiques avec les civilisations islamiques et bysantines. Que de grand progrès techniques on permis de mieux utiliser l’énergie éolienne et hydraulique (développement des moulins) ou d’augmenter considérablement la production agricole. C’est aussi une période de chantiers de construction prodigieux avec des réalisations inégalées qui nous émerveillent encore des siècles plus tard. Pour vous en convaincre, visitez la cathédrale de Chartres ou l’abbaye de Cluny, ça vaut largement le chantier de l’EPR 😉 .
J’avoue, mon commentaire était un peu provocateur… 😉 Pour vos consommations, quelques commentaires : En ce qui concerne le chauffage au bois, son bilan carbone est certes à peu près nul, mais ce mode de chauffage n’est pas anodin pour autant : la combustion du bois émet toujours des poussières, un peu de monoxyde de carbone et tout un tas d’autres saloperies problématiques pour l’environnement et la santé publique. C’est donc un bon moyen d’économiser de l’énergie… à petites doses. En ce qui concerne votre fournisseur d’électricité, il est certain que cet opérateur achète de l’électricité renouvelable sur le réseau, mais il utilise quand même les services système apportés par les centrales hydroélectriques/nucléaires/gaz/charbon pour la stabilité du réseau. Des efforts tout à fait louables donc, mais à nuancer. Enfin une question car je n’ai jamais vu de système de chauffe-eau solaire dans une habitation : comment est ce que ça fonctionne en hiver ? Vous êtes malgré tout obligé de revenir à l’électricité ?
Les solutions que vous proposez Revilo sont viables à l’échelle de quelques personnes, mais pas à celle d’une population de 9 milliards d’humains qui peuplent cette Terre. Ceci à la fois pour des questions financières (ça n’est pas dans les moyens de tout le monde de s’équiper en chauffe-eau solaire ou de rénover son habitat… des moyens techniques fantastiques existent mais on un cout !) et pout des raisons de disponibilité des ressources : imaginez que tous les français se chauffent au bois… question : d’où vient tout le bois nécessaire ? Je considère aussi que certaines autres s’inscrivent dans le cadre du premier point que j’évoquais : se déplacer à cheval ou traverser l’Atlantique à la voile plutôt qu’en avion, c’est faire pas mal de concessions sur le confort et la durée du trajet en échange d’économies d’énergie. Bref, certaines solutions techniques intéressantes existent (chauffe-eau solaire, production éolienne, voiture électrique…) mais nécessitent du temps et de l’argent en grande quantité pour pouvoir être mises en place. D’autres restent à peaufiner (avion solaire, stockage d’énergie…). Mais dans l’immédiat le choix est à faire entre « régression »/pétrole/nucléaire. S’il est entre guillemets, c’est que je n’aime pas le mot régression. Je préfère parler de concessions ou de modération d’appétit énergétique… car arrivé à un certain niveau, la débauche d’énergie n’est pas forcément synonyme de progression. Le tout est de trouver un juste milieu… à mon humble avis, dans la situation actuelle, le curseur « consommation de pétrole » est dangereusement trop haut… pour pallier la situation il n’y a que 2 solutions : monter ou au moins conserver en l’état les curseur « consommation nucléaire » et « modération d’appétit énergétique ». Sachant que dans le futur plus lointain, les solution techiques de long terme (énergies renouvellables etc.) qui prennent le relais au fur et à mesure finiront probablement par régler ce problème énergétique.
Sur un chauffe-eau solaire, en période hivernale on peut faire l’appoint avec un échangeur via la chaudière à bois, donc la résistance électrique est superflue. Côté émissions les chaudières sont équipées de filtre à particules et l’excellente qualité de la combustion permet de réduire le taux de poussières fines à 10mg/MJ (contre 7 500 pour une cheminée à foyer ouvert par exemple) la pollution est donc très réduite, pas de production de souffre dans cette combustion. Le taux de cendre est d’environ 1% du poids du combustible et le rendement de l’ordre de 95%. Sur la ressource en granulés aujourd’hui la production française est excédentaire au regard du marché intérieur et nous exportons massivement du granulé vers l’Italie, l’Espagne… donc on a encore une forte marge de progression même si elle n’est pas infinie. La mise en place de la réglementation thermique avec le BBC comme norme permettra de réduire très fortement la demande en kWh/m² et mécaniquement d’augmenter le potentiel des EnR thermiques pour le chauffage domestique.
« car arrivé à un certain niveau, la débauche d’énergie n’est pas forcément synonyme de progression. » Sans blagues ? Mais ça remet en cause beaucoup de chose un tel point de vue » pour pallier la situation il n’y a que 2 solutions : monter ou au moins conserver en l’état les curseur « consommation nucléaire » et « modération d’appétit énergétique ». » Vous mettez au même niveau la consommation nucléaire et la modération d’appétit énergétique ? Le premier produit des déchets, en plus des risques considérables qu’il fait courir aux populations. Le second demande juste de réfléchir un peu et d’arrêter de consommer aveuglement, mais surtout n’a aucune conséquence néfaste, si ce n’est la remise en cause de ce sport mondial qu’est la course à la croissance.
Je mets les deux au même niveau. Dans une démarche de limitation de la consommation de pétrole/charbon/gaz, ce sont deux leviers d’action efficace. Quant à « aucune conséquence néfaste » pour les baisses de consommation, je ne suis pas d’accord du tout. Certains économies peuvent être sans conséquences, mais ça n’est pas toujours le cas et c’est souvent sujet à discussion. Prenons un exemple (déjà mis en oeuvre à certains endroits en France) : arrêter d’éclairer les routes la nuit. L’économie est évidente. Est-ce que c’est sans conséquence d’un point de vue sécurité routière ? La question est toujours ouverte si je ne me trompe. Et s’il s’avère que ce genre d’économies diminue la sécurité routière, je préfère supporter l’épée nucléaire de Damoclès sur ma tête que de rouler sur des routes moins sûres. (n’importe quel être guidé par sa raison ne peut que faire de choix sachant que les conséquences humaines d’un accident grave de la route sont du même ordre que celles de l’accident de Fukushima ~ 2 ou 3 morts… et que les accidents de la route sont un rien plus fréquents que les accidents nucléaires de niveau 6)
Justement il s’avère que l’idée qu’un éclairage routier supplémentaire apportera plus de sécurité est très discutable voir totalement erronée. Fortuitement suite au vol de câbles de cuivre dans les systèmes d’éclairage on à plutôt constaté sur certaines autoroutes parisiennes un ralentissement de la vitesse de circulation … et des accidents. Phénomène similaire à Nantes où au final certains ponts vont cesser d’être éclairés toute la nuit.
Des Nucléocrates sont aux aguets dans les sites, ici il y en a , je leur propose d’assouvrir leur passion du nucléaire en allant en stage au japon aider les populations. Le Nucléaire faut être dégénéré pour en faire la promo, mérite 2 balles dans le tête, comme les blochos faisait a tous ceux qui auraient pu être des élites du faits de leur tenue, locutions, main non abimés… source les Blancs et les Rouges de dominique Vénner seul livre Francais sur la révolution Russe avec cartes. Le Nucléaires laisse des déchets comme le plutonium radioactif plus de 2OO.OOO ans !!! c’est monstrueux… le japon en produit plus d’une tonne/an, et nous connard on nous enmerde a trier nos déchets, fait pas si, fait pas ça… cela vas térs mal finir pour les Nucléocrates
Pour une fois je serais d’accord avec Reivilo. L’éclairage public n’a d’ailleurs pas été instauré pour des raisons de sécurité routière, mais pour faire baisser la criminalité dans les coupes gorges qu’étaient autrefois les sombres rues de nos villes.
« Le nucléaire faut être dégénéré pour en faire la promo, mérite deux balles dans la tête » Naaaaan c’est une blague… Z’êtes sérieux ? oO’ Je ne sais jamais trop s’il faut rire ou pas face à quelques commentaires anti-nucléaires. Soit ce sont de pures provocations potaches, soit il doit y avoir quelques péquenots alcooliques parmi les lecteurs ! 😀
Vous parlez de chauffe-eau à accumulation que vous « suplémentez » au granulé de bois en hiver, alors même que certains (pas vous) iraient jusqu’à dire que le chauffage solaire en hiver, no problem…. Si vous avez plus de chiffres sur votre bilan personnel, c’est interessant.
« chauffage solaire en hiver, no problem…. » Si on commençait par imposer la norme passive dans toutes les constructions récentes, on aurait déjà moins besoin de chauffages, et surtout plus de chauffage central avec un radiateur sous chaque fenêtre ou 1 grille-pain (convecteur) dans chaque pièce. Mais c’est sûr, les chauffagistes et les boîtes qui fabriquent des chaudières se trouveraient au chômage, de même que les installateurs de fenêtres PVC chinoises, une bonne partie des plaquistes (plus d’isolation par l’intérieur avec 2 boûts de laine de verre bourrée derrière des plaques de placo), …
A danger immédiat : arrêt immédiat. Pas dans 10ans, pas dans 20 ans. Au quotidien le principe de la destruction atomique civile et militaire, gentiment appelé « nucléaire », porte atteinte à la santé et à la vie. En savoir (beaucoup) plus : http://www.coordination-antinucleaire-sudest.org
Et maintenant un appel au meutre ! Décidément, le sujet déchaîne les passions les plus basses. @ Enerz, si vous effacez le post précédent (ce que vous devriez car il tombe sous le coup de la loi), merci d’expurger aussi ce début de message. Sur le fond de l’article, pour tous les mal-comprenant propagandistes, une seule chose à dire : la Criirad, pas plus que le Pr. Yamauchi n’ont fait de mesures. Pas la peine : il suffit de lire les rapports du NISA ou de l’IRSN pour avoir les chiffres. Le gouvernement japonais devrait certes redessiner la zone d’exclusion. Mais on ne parle pas d’irradiation aigües (sinon, on compterait déjà les morts). On parle de faibles voire très faibles doses. L’émergence de problèmes sanitaires éventuels serait causée par l’exposition au long terme à de très faibles doses, voisines du bruit naturel : on parle ici de quelques milliers de personnes exposées à un « excès » de 10 mSv/an. Autrement dit, déplacer les personnes maintenant et d’ici un an pourrait tout à fait suffir à les protéger. Est-ce pertinent, sachant que la limite pour un travailleur du nucléaire c’est 20 mSv/an ? Est-ce pertinent d’emmerder et traumatiser 100 000 personnes, déjà durement éprouvées par le tremblement de terre et le tsunami si l’occurrence de cas de cancers supplémentaires s’élève à quelques uns, voir quelques dizaines ? (on les soignera, et ils seront « indistingables » des milliers de cancers qui ont lieu naturellement). Bien sûr, je ne parle que des contaminations externes. Faudrait pas que les gens mangent la terre, ou se chauffent avec le bois qui a poussé dans le coin. Pour les légumes, faut voir au cas par cas… Rappel : la dose naturelle annuelle en France varie de 2 à 6 mSv/an, certaines régions dans le monde sont à plus de 50. Une radiographie du thorax, c’est 5 mSv (en quelques secondes), et un scanner corps entier 60 mSv (en quelques minutes). Donc beaucoup plus nuisible que 10 mSv (sur un an). L’ASN vient d’ailleurs de sortir un rapport sur les sur-expositions découlant d’examens radiographiques mal conduits, mal justifiés. Il s’agit là de vrais risques, dénoncés par une Autorité Indépendante, qui a déjà fait fermer certains services hospitaliers et condamner des médecins. Ce n’est pas des fantasmes ou des supputations sur des problèmes imaginaires. Mais, je conçois bien que tout le monde s’en foute sur un forum consacré à l’énergie et pas au médical.
On est bien d’accord… le problème de la sur-utilisation des rayons ionisants dans le médical (voire dans les aéroports aux US !) est bien plus sérieux… mais on n’en fait pas une montagne à la télé, donc les boeufs de base qui ne comprennent rien à rien et ne font même pas un effort pour éveiller leur raison s’en foutent royalement. Et puis pour les expositions médicales, y’a une ordonnance, c’est remboursé et en plus il n’y a pas de grosses cheminées avec de la fumée blanche c’est donc évident que ça n’est pas dangereux, n’est-ce pas ? @ Ducon : Etant en recherche d’emploi à cette période, j’ai effectivement postulé pour une mission dans une entreprise française qui intervient à Fukushima… non pas pour « assouvrir ma passion du nucléaire », mais oui pour « aider les populations » et surtout parce que le boulo était intéressant, pour voyager un peu et parce je ne vois pas de raison d’avoir peur (mais manifestement la raison semble être en option chez les humains). Pour tout vous avouer, je n’ai pas encore investit dans les instruments de mesure appropriés, mais je pense être plus exposé aux radiation ici, dans un bon vieux bâtiment en granit en Bretagne, que si j’avais été pris pour cette mission au Japon. Pour revenir rapidement sur l’histoire de l’éclairage public, vous n’avez pas bien compris mes propos : ne disposant pas d’éléments et de conaissance suffisante du sujet, je n’ai pas d’avis sur la question précise de l’éclairage public & la sécurité routière. Je donnais ça juste à titre d’exemple pour dire que certaines applications utilisatrices d’énergie sont soumises à controverse. J’admets que mon exemple était probablement mal choisi. Je vous en propose un autre : la climatisation l’été ? et dans les maisons de retraite ? Je pense qu’aucune ligne majeure ne peut être définie en la matière… seul le bon sens reste de mise (mais c’est une qualité assez rare dans notre monde). Ou un exemple plus pointu… aujourd’hui, dans les usines de traitement d’eau potable on continue en général de stériliser aux UV l’eau traitée par nanofiltration c’est à dire une eau parfaitement pure et vierge de toute contamination biologique. (Si je ne me trompe, c’est le cas par exemple pour presque 3/4 de la production à Méry-sur-Oise en région parisienne). Doit on continuer à stériliser une eau déjà pure et ainsi prévenir un risque de défailance ou de contamination accidentelle ou doit on économiser cette masse importante d’énergie « gâchée » et contribuer ainsi à prévenir les risques liés au nucléaire et à leurs déchets ? On en revient aux 3 choix que j’ai exposé précédemment (celui-ci est un bon exemple). « Gâcher » de l’énergie ou supporter un risque sanitaire accru ? Le choix actuel est de « gâcher » de l’énergie (nucléaire). Vaudrait-il mieux économiser l’énergie et supporter le risque sanitaire ? Vaudrait-il mieux « gâcher » de l’énergie gaz ou charbon ? La « bonne » réponse est loin d’être évidente…
WE ARE VERY VERY PROUD ABOUT EVERYONE FROM Sortirdunucleaire75.org and from Sortirdunucleaire.org…..VERY VERY DONE !!!! AWESOME GUYS !!!! YOU REALLY ROCK !!!! WELL DONE TO THE WHOLE TEAM !! YOU ARE THE REAL HEROS OF FRANCE !!!! THANKS A LOT !!!! WE ARE DAMN PROUD ABOUT YOU ….GREAT !!!!!!!!! Sortir du nucléaire Paris – Meeting AREVA – 8 juillet 2011 violence contre activistes – go to the highest european court for human rights – this is outrageous !!!! 2 PEACEFUL Activists ABSOLUTELY CREULLY BEATEN UP BY THE FRENCH POLICE !!!! Please « make friends » on Facebook and Twitter and send 10000 people an email to make friends with Sortir Du Nucleaire. Donate them as much money as you can…..the French Government wants to kill everyone with their nuclear bombs and their nuclear reactors !!!!
Les écolos c’est toujours dans les propositions qu’il faut les écouter. C’est comme le FN sur le programme économique : une supercherie. PS: Merci pour ces photos de vacances. Mais la prochaine fois, ayez l’air moins crispés! Et demandez à vos amis en bleus de pas emporter leurs uniformes la prochaine fois, c’est les vacances après tout.
Manifestation Anti Nucleaire Paris 11 juin journée d’action internationale Manifestation 14h30 – Départ République/Paris – 20 Réacteurs Nucléaire Zone Sismique >8,5 France (French Alps) + Flooding Danger due to Global Warming = 18x Super-GAU http://www.sortirdunucleaire75.org/ http://www.facebook.com/Sortirdunucleaire75 Videos Manifestation Anti Nucléaire Paris, 11 Juin 2011: http://www.youtube.com/watch?v=NJ1j0kFTzHA http://www.itele.fr/video/manifestation-anti-nucleaire-a-paris http://www.20minutes.fr/article/739817/trois-mois-apres-fukushima-manifestation-anti-nucleaire-paris videos.tf1.fr/jt-we/le-japon-marque-les-trois-mois-depuis-la-catastrophe-dans-le-nord-6529069.html vimeo.com/24996690 Dominique LALANNE,ex CNRS vimeo.com/24997292 Dominique MALVAUD, SUD-Rail vimeo.com/24998008 Parodie ASN Photos Manifestation Anti Nucléaire Paris, 11 Juin 2011: http://www.flickr.com/photos/26460028@N02/sets/72157626817494425 http://www.flickr.com/photos/26460028@N02/sets/72157626942287728 billancourt.blog50.fc2.com/blog-entry-477.html billancourt.blog50.fc2.com/blog-entry-478.html http://www.centpourcentnaturel.fr/post/2011/06/13/Journee-d-Action-mondiale-et-Manifestation-a-Paris-contre-le-nucleaire-11-Juin-2011 http://www.sortirdunucleaire75.org/photos/?photo=2011/06/11.manif
Le problème des panneaux solaires l’hiver c’est un pb de dimensionnement Si les panneaux sont dimensionnés « au plus juste » economique du jour, il faut un complément 6 mois de l’année (complément avec une resistance en général) Si l’électricité française était vendue à son vrai prix (en intégrant les assurances accident et le VRAI cout de la gestion du Neptunium 237 sur 20 millions d’années), il est certain qu’il deviendrait economique de s’équiper en panneau solaire pour la pire semaine de l’année* Evidemment, du coup s’est surdimensionné pour l’été, mais j’ai vu l’installation d’un allemand en France qui a fait cela en ajoutant un grand reservoir tampon: le surplus de l’été est dissipé dans ce reservoir super bien isolé. Il utilise ensuite ce tampon pour piocher des calories au plus fort de l’hiver et quand il reste encore de la chaleur dedans, il l’utilise en mars avril pour chauffer sa piscine * les habitations modernes pourraient et devraient etre bioclimatiques ou solaires passives, et donc intégrer de grandes masses à fortes inertie thermiques: surchauffe du jour accumulée et restituée en Infra rouge la nuit, surchauffe d’un jour d’hiver ensoleillé accumulée et resituée les jours gris suivants. C’est un peu différent des critères de la RT 2012
Beber5 a dit « Il existe beaucoup de sites Web pour vous montrer que la pollution venant de l’électronuclèaire (Tchernobyl et Fukushima compris) ne représente que les 0.3% de la radioactivité générale? » J’ai fait une recherche sur Google « pollution nucléaire 0,3% » Aucune réponse correspondante Quelle est votre source? Supposons qu’il y en ait une (c’est trés possible) 0,3% de quoi? 0,3% de la radioactivité ambiante (rayons cosmiques + rayonnement tellurique)? 0,3% des doses reçues (idem+Potassium40 dans le corps+contamination aérienne au radon)? Comment est comptée la radioactivité ambiante? Sur tourte la surface de la terre ou juste par les doses reçues par les hommes? Est ce en Bq/kg de déchets rapporté au Bq par kg de planète terre? Bon en résumé, on peut faire dire un peu ce qu’on veut aux chiffres 0.3% c’est meme surement un peu beaucoup Le vrai pb, c’est la contamination aigue: l’ADN se debrouille trés bien avec la radioactivité naturelle mais peut generer des cancers qd il reçoit une dose un peu forte Donc il faut un controle des matières!! Un accident, c’est un peu le contraire du controle Le stockage sur 20 millions d’année aussi La radioactivité naturelle est certes partout, mais diffuse et faible La radioactivité de l’électronucléaire est trés forte et concentrée Si on divise tout le Neptunium 237 par l’ unité de dose létale, on pourrait surement tuer 6 milliards de personnes en la leur administrant dans un verre d’eau Donc on ne le fait pas Mais on a des accidents, qui disséminent de petites doses de neptunium partout autour (dans le pacifique par exemple) Ou des stockages géologiques non étanches à l’eau qui pourraient bien entrainer des particules dans l’eau potable Avantage: c’est un peu dilué, mais ce sont des métaux lourds: il y a concentration dans la chaine alimentaire. Ce n’est donc pas comme le radon par exemple. Les animaux au sommet de la chaine alimentaire vont donc charger!
A Maxxx et Beber5 « R 1 : Je crois pas qu’il soit sujet de « neutraliser » quoi que ce soit… il s’agit plutôt de faire le choix du moindre mal… » Et bien si le Neptunium 237 et le Plutonium 239 c’est « un moindre mal », qu’est que ça doit etre le reste? Pour progresser dans les débats sur ce sites, que diriez vous d’arretez d’énoncer ces fausses alternatives Du type – préférez vous votre père ou votre mère – votre fille ou votre fils? – voulez vous la peste ou le cholera? – le charbon ou le nuke? – etc Il n’y a pas à choisir, d’autant plus qu’on peut faire autrement – aimer son fils ET sa fille – faire des économies d’énergie avec des renouvelables Ah oui, autre rengaine, que nous pourrions solder: -les renouvelables ne peuvent remplacer la production de pétro-nuke donc ça sert à rien Réponses répétitives de la tendance écolo sur le site – c’est vrai, les renouvelables ne pourront sans doute pas remplacer la production de 86 millions de barils par jour – et c’est pourquoi il faut poser le problème autrement: en gérant non pas la production d’énergie mais les services de l’énergie, on se rend compte qu’on peut faire mieux, moins cher, avec plus d’emplois: les économies d’énergie SOBRIETE, EFFICACITE – d’autant plus qu’on l’a déjà fait en France. rappelez vous les années 70 et le slogan » En France on n’a pas de pétrole mais on a des idées » cf NEGAWATT et évolution énergétique Ah oui j’oubliais Il y a aussi les accusations – vous etes contre le nuke et les fossiles donc vous etes pour le retour à l’age de pierre/moyen age/autre période moins glorieuse (faites votre choix) Que diriez vous d’arretez et de debattre sur les travaux de Negawatt qui calculent que – on peut faire sans nuke, sans charbon, sans pétrole, ET AVEC NIVEAU DE VIE EN PROGRESSION Sinon, ça n’avancera jamais: les pro nuke se repètent et et les anti nuke aussi Faisons un bon gros débat sur Negawatt: les études alternatives sont les bienvenues Toutes ces redites sont puériles à mon avis Comme dit Einstein « Un problème sans solution est un problème mal posé. » En référence à l’opposition (générale) du gotha du monde scientifique à sa théorie de la relativité restreinte « Peu d’êtres sont capables d’exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d’arriver à formuler de telles opinions. »
Vous avez mal lu… Vous avez du passer sur la notion d’immédiateté que j’ai pourtant rappellé plusieurs fois (en gras même) dans mes propos. Toutes les solution que vous évoquez sont des choses qui prennent énormément de temps et d’argent (et comme l’argent c’est du temps… ça nécéssite double dose de temps). Je vous rejoins totalement quant à la nécessité de développer ces solutions durables, mais je me contrains par ailleurs à garder un point de vue réaliste… particulièrement au niveau des délais nécessaires à ce que ces moyens durables couvrent l’ensemble des besoins (qui se comptent probablement plus en décénnies ou en siècles qu’en mois ou en années). Et dans cette perspective, oui, je maintiens : quelques tonnes de Neptunium 237 de Plutonium 239 enfouie au fond d’un grand trou peuvent être « un moindre mal ». Vous manquez cruellement d’imagination si vous n’êtes pas capable d’envisager les problèmes liés à une forte montée des eaux ou à une forte diminution immédiate, disons par 100 ou 1000, de la consommation énergétique dans des pays industrialisés comme le notre, l’Asie ou l’Amérique du nord. Et pour revenir sur votre citation… c’est effectivement une belle citation que je m’efforce moi même de garder à l’esprit devant tout problème qui paraît insoluble à première vue… mais, même si je vous concède le fait que ça donne l’air très très intelligent de citer Einstein, je ne comprends pas en quoi cette citation s’applique dans le cadre de notre présente discussion. Si le problème dont il est question est bien celui du choix de politique énergétique, ce n’est clairement pas un problème sans solution… je crois même avoir évoqué 3 solutions différentes ! (et les 3 sont en usage dans le monde d’ailleurs, ce qui conforte fatalement leur statut de solution au problème… j’en profite pour caser aussi ma petite citation : « Ce qui est, est. » … il me semble que c’est de R.Barjavel dans l’un de ses romans.)
« il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé ». Einstein aussi. Blague à part, le thème de la brève c’est Fukushima, pas Négawatt. Lancez la discussion sur l’espace réservé à cet effet. Et vous nous parlerez PAC vs convecteur. Cette question a été abordée maintes fois. Je ne vais pas faire mon Dan1, en me citant moi-même (ou mieux : en citant Pamina et Dan1). Nous sommes tous d’accord pour dire qu’il faut faire des économies. Oui, mais de quoi ? tCO2eq, NegaTep ou NégaWatt ? En Allemagne, en Chine, au Danemark, cela revient au même. En France, au Canada, en Finlande, c’est radicalement pas pareil. Blabla, je me répète, alors j’arrête.
Merci à Lion et Maxxx pour leurs commentaires. Merci à Enerz d’enlever le post odieux et pénalement répréhensible du 7/7 à 18h59… C’est sûrement de l’humour, mais c’est choquant, même si je ne me sens pas visé.