De la France aux États-unis en passant par l’Allemagne, les pays qui ont misé sur l’énergie nucléaire se trouvent aujourd’hui confrontés à un nouveau défi : "le démantèlement de leurs centrales vieillissantes ou définitivement mises à l’arrêt."
Voici quarante ans, leurs concepteurs n’avaient pas prévu que, devenus trop vieux et donc dangereux, ces réacteurs devraient être un jour démontés, et qu’il faudrait stocker leurs déchets hautement radioactifs. Si les opérateurs et les autorités de la sûreté nucléaire assurent pouvoir maîtriser ce processus de démantèlement, la réalité est tout autre.
Après les documentaires "Médiator, histoire d’une dérive" et "France Télécom Orange, malade à en mourir", déjà diffusés par arte, Bernard Nicolas s’attaque cette fois à l’industrie nucléaire.
"Dans sa nouvelle enquête, ce spécialiste de l’investigation dévoile l’aventurisme des politiques de démantèlement en cours, reposant sur des techniques complexes que nul ne maîtrise à ce jour, en dépit des déclarations rassurantes des autorités et des gestionnaires du nucléaire."
"Entre problèmes techniques à répétition, risques permanents de contamination pour l’homme et l’environnement, et surtout impossibilité de stocker en toute sécurité des déchets nucléaires (dont certains resteront dangereux pendant des centaines de milliers d’années), le réalisateur revient sur le passage leur coût exorbitant. Celui-ci a été totalement sous-évalué – ce qui, en période de restrictions budgétaires, rend le problème encore plus insurmontable."
"Bernard nicolas dénonce également le lobbying, parfois outrancier, d’opérateurs nucléaires qui pratiquent le chantage à l’emploi ou subventionnent à tour de bras, pour faire accepter aux populations la proximité de centres de stockage de déchets."
"Au fil des témoignages – physiciens, militants d’associations antinucléaires, mais aussi salariés du nucléaire –, on découvre l’imprévoyance totale d’une industrie qui se targue pourtant d’une expertise scientifique sans faille. Une enquête sans concessions qui dresse un bilan préoccupant de l’état du parc nucléaire dans les pays développés."
ARTE
CENTRALES NUCLEAIRES, DEMANTELEMENT IMPOSSIBLE ?
Mardi 21 mai à 20.50 sur ARTE
Documentaire de Bernard Nicolas (France, 2013, 1h07mn)
Coproduction : ArteFrance, Eclectic presse
Soirée présentée par émilie Aubry. Le documentaire sera suivi d’un débat avec la participation de corinne lepage.
… il va devenir impossible de démanteler la moindre installation nucléaire. En effet, le lobby anti-nuc (devinez qui le finance? c’est celui qui en profite) dans sa paranoïa ne cesse de faire peur aux politiciens – imbéciles mais avides de plaire – afin de mettre des bâtons dans les roues du nuc. On voit que fermer Brennilis est devenu une histoire sans fin où le chat (EdF) joue avec la souris et profite de « l’opposition » pour retarder ad libitum les travaux finaux. Alors un jour on dira: « puisque c’est devenu impossible, autant les rénover, les maintenir en service indéfiniment et comme ça pas de gâchis financier et pas de démantèlement »… Bravo, c’est gagné !
On en a vu (et lu) des théories du complot écologiste mais là vous faites TRES, TRES fort. Donc selon vous, c’est EDF qui finance sortir du nucléaire pour faire caboter ses propres projets ? N’ayez crainte, je doute que des personnages tel que S. Lhomme (qui fait depuis quelque temps cavalier seul), n’ont nul besoin de ce type de carotte pour mener leur combat (qui, même si parfois un peu excessif, est loin d’être inutile selon moi). Chacun défend ses intérets, et celui d’EDF est, même s’il vous en déplait, de démanteler au plus vite. Quoi qu’il en soit, le démantèlement devra avoir lieu tôt ou tard. Et financièrement, il vaut mieux que ce soit au plus tôt. Tout comme l’intéret d’EDF est de tout mettre en oeuvre pour éviter un accident nucléaire qui serait synonyme d’un très gros coup de massu sur 75% de son activité !
et la caravane passe . La question n’est pas technique , c’est une optimisation entre la nécessité de réutiliser le terrain et les couts engendrés . Le démantelement se fera ,sans doute , en plusieurs séquences (secondaire , annexes actives et batiment reacteur ) étalées sur un siècle avec un aspect industriel de série ce qui dimineura considérablement les couts . C’est ainsi qu’il a était procédé pour les opérations lourdes de maintenance en milieu fortement radioactif ( changement des générateurs de vapeur ,couvercles cuve ,travaux sur les internes ,échangeurs divers …) .Ici techniquement les problèmes seront plus simples car il n’y aura pas de controles après montage (soudures ,us …) ni de questions de sureté . Pour le stokage des déchets (hormis les résidus du combustible après retraitement -mais ce n’est pas une question concernant le démantelement ) les filières sont en place . En outre il ne faut pas confondre les questions de demantelement du graphite-gaz ou à au lourde avec celles du REP .
Les mots n’ont décidément plus beaucoup de sens quand il s’agit d’écrire un titre ou une introduction à un article « sensationnaliste ». Ce défis n’a absolument rien de nouveau, évidement. Ce qui risque par contre d’être nouveau, pour nous tous, c’est la manière dont ce défis a été organisé, plannifié, financé, sécurisé. Ce qui risque d’être nouveau, c’est son cout réel, voire notre incapacité technique à démonter totalement un site nucléaire, à le rendre à d’autres activités par exemple dans un délais de deux ou trois ans. Bennilis semble prouver déjà que cela est impossible. En tout cas, ce n’est pas fait aujourd’hui après de nombreuses années de travaux pharaonniques. Quelle histoire, Brenilis… Un autre point qui n’est pas nouveau, mais dont la conscience et la culture n’est pas commune encore pour nous autres, citoyens et usagers, c’est le caractère définitif des poluants (déchets, produits dérivés, pièces contaminées, etc) et donc de la necessité de gérer pour l’éternité des concentrations extraordinaires, ainsi que des volumes idem, de poison radical. Seront nous réellement protégés, et à quel prix, et sans dérives? Ces déchets et combustibles usagés seront ils recyclables un jour? Faudra il sanctuarisé des sites pour des milénaires? Il n’y a pas de réponse logique à ces questions, pas de réponse rassurante et fondée en raison en tout cas. Il n’y a que des suppositions outrageursement optimistes du côté des promoteurs du Nuke.
Comment Arte compte manipuler l’opinion le 21 mai Enerzine, comptez vous poster cette réponse, qui relève que Arte fait clairement de la désinformation?
Les Etats-Unis ont démantelé les REP de Maine Yankee (900 MW), Connecticut Yankee(600 MW), Trojan (1100 MW), Rancho Seco (900 MW) (cf energie-crise), tous sans surcoûts majeurs, et avec des délais parfois assez court. Le démantellement de Rancho Seco s’est étalé sur 20 ans, mais sans exploser les coûts qui étaient prévus dans les 300 millions de dollar. Enfin sur le chantage à l’emploi, quand on explique à ceux qui protestent contre des éoliennes qu’ils trouvent trop hautes et trop visible que ça va créer des tas d’emplois (en fait, très peu localement dès la fin de la construction), curieusement le terme là n’est plus utilisé.
Et que sont devenus les réacteurs et les déchets ultimes sur ces sites démantelés? Il me semble que la méthode US c’est : « on enlève tout le bazar d’ici pour le stocker ailleurs et pour la suite on verra. » Je me trompe?
Relever la partialité de Arte, ce qui est un raisonnement tronqué d’ailleurs, ne vous absout pas du même défaut. Votre procès d’intention a Arte est une illustration plus bête encore de la théorie du complot que vsou croyez dénoncer. C’est pourtant une posture que l’on attribue plus facilement, a priori, aux écolos, car c’est le seul moyen de défense à leur portée bien souvent – et que je ne cautionne pas bien sûr. Dire que Arte est une chaine idéologique qui sert uniformément et unilatéralement un grand projet égémonique pro allemand est un peu ridicule. C’est le sens de votre démonstration malheureusement. Vous devriez regarder plus assuement pour comprendre que Arte est avant tout une chaine qui offre une tribune à une expression de qualité, qui ne peut emmergée ailleurs. Et rien ne nsou empêche d’être critique car c’est bien à cela que nous incite une chaine dite culturelle justement. Par ailleurs, vous ne faites pas l’économie de la partialité a plus affirmée. Elle transpire de votre prose de manière assez caricaturale. Vous nous ramenez loin en arrière en tentant encore et toujours d’opposer le Nuke au ENR. Diviser pour mieux affirmer? Il est pourtant acquis maintenant que les ENR vont se développer, au détriment d’autres systémes, au fur et à mesure des moyens alloués, de l’évolution des techniques, etc. Cette évolution et bien d’autres paramètres généreront probablement un surenchérissement de l’énergie, et cela ne sera pas de la faute de Corinne Lepage ou de DCNS. Ce sera en partie imputable à notre méthode actuelle de production qui ne tient pas assez compte des couts cachés et des évolutons necessaires en méthodes, infrastructures, etc. Prettez nous au moins la capacité de regarder Arte (et TF1!) sans en être totalement abrutis ou idolâtres. Vos pseudos dénonciations n’apportent rien au débat si ce n’est de l’aigreur et le discrédit sur vos propres thèses.
Bonjour , plus d’infos Ma zone contrôlée…va mal ! Conditions de travail et santé des salariés dans le nucléaire…maintenant vous saurez. Sous traitant OUI … Esclave NON … Citoyen L’homme est le maillon FIABLE , seulement quand celui-ci est RESPECTE !
Bonjour , plus d’infos Sous-traitant Oui Esclave Non CITOYEN Par avance merci de votre soutient
Arte ne brille pas par son souci d’éclairer la vérité. J’ai vu il y a quelques temps un reportage sur les gaz de schistes à faire mourrir de rire. On vous explique (entre autres) que le sable de silice (largement présent sur nos plages) est hautement cancérigène… Meme les polluants agricoles sont attribués à l’exploitation du gaz!!! Du grand n’importe quoi Et le choix des intervenants, on aurait apprécié un géologue,… Non on a Bové… et comme a chaque fois, le seul intervenant qui n’était pas contre est un politique allemand (qui a fait de trés bonnes remarques, par ailleurs mais inaudibles…). Franchement, nous pendre pour des cons à ce point là c’est navrant.
Je confirme qu’ARTE ne brille pas par l’objectivité des reportages qui sont majoritairement très orientés voire franchement partisans. Je regarde quand même car il y a des éléments intéressants, il suffit juste de chausser les bonnes lunettes avec une grille de filtrage des informations. Il est tout de même recommandé de vérifier soigneusement ce qui y est affirmé avant de l’enregistrer… à moins de vouloir gober intégralement « l’information ». Personnellement, je trouve ARTE trop partisane. C’est dommage, elle devrait s’ouvrir plus à la pluralité des opinions. D’autant qu’il y a une place énorme à prendre dans le domaine de l’information équilibrée des citoyens dans les domaines techniques et scientifiques vu que sur les autres chaînes c’est quasi systématiquement du gros superficiel distillé par des journalistes-présentateurs qui ne comprennent pas toujours ce qu’ils expliquent.
Vous allez un peu vite en besogne ! En effet les documentaires de la série « thema » diffusés en prime time sont le plus souvent « à charge ». Mais c’est assez normal c’est une forme de journalisme d’investigation et c’est pareil sur toutes les chaines (sur des thématiques différentes, regardez les docs de canal ou autre…) Si vous voulez voir des reportages sur les centrales et qui sont plus axés sur la pédagogie, il y en a aussi ! (xenius…)
Le lobby nucléaire nous a toujours fait croire qu’on trouverait solution au démantèlement, au stockage. On se retrouve aujourd’hui dans une impasse gravissime avec des centrales vieillissantes où se dénombrent de plus en plus d’incidents. On nous disait que notre nucléaire Cocorico était à l’abri de tout accident ; aujourd’hui on commence à nous dire que l’accident est possible. Bientôt il sera même probable, c’est évident, si nous n’agissons pas plus pour aider les énergies renouvelables (le retard de la France est dramatique dans ce domaine !) et organiser au mieux le démantèlement de nos « cocotte-minutes » avant l’explosion. Cessons de faire l’autruche ! A courte vue, le nucléaire est économique, mais les centrales nucléaires vieillissent et leur dangerosité et leur coût augmentent considérablement avec le temps.Pouvez-vous citer une seule industrie qui ne connaît jamais d’accident ? Sommes-nous à l’abri d’un acte terroriste ? Bien sûr que non, nous sommes l’un des pays les plus vulnérables au monde avec toutes ces centrales proches de chacun de nous dans l’hexagone ! Il faut savoir que notre « légère » facture d’électricité tient au fait que l’Etat finance une bonne partie du nucléaire, et ça coûte très cher, mais c’est qui l’Etat au fait ? Les déchets radioactifs s’amoncellent pour des centaines d’années. Surtout en France, poubelle nucléaire des pays voisins. LES ENERGIES ALTERNATIVES EXISTENT, d’autres sont à développer. Elles créent des emplois à l’étranger, il faut sans plus tarder se diriger dans cette voie d’avenir, pour cela il faut investir comme d’autres pays dans ces énergies de demain! Le Kwh de l’EPR coûtera plus cher que le kwh éolien ! Il faut dépasser le nucléaire, ENERGIE CHERE, DANGEREUSE ET EXTREMEMENT POLLUANTE. L’avenir de la planète est en jeu. Alors on continue le jeu de la roulette russe ? Inactifs aujourd’hui, radioactifs demain ! Voir le blog
@ Bob1 Que le documentaire soit à charge, c’est une chose, et à la limite pourquoi pas. Mais dans ce cas, le débat qui suit devrait contre-balancer l’argumentaire foireux et rétablir la réalité. Ce n’est souvent pas le cas, au contraire il enfonce le clou.
A juanasol. Voilà la prose classique d’un antinucléaire ringard : « Il faut savoir que notre « légère » facture d’électricité tient au fait que l’Etat finance une bonne partie du nucléaire, et ça coûte très cher, mais c’est qui l’Etat au fait ? » A moins que vous ne soyez capable d’apporter la moindre preuve de ce vous avez écrit… ce que personne n’a fait jusqu’à maintenant sur Enerzine. Si vous êtes sincérement antinucléaire (ce qui se conçoit), n’avez vous rien de plus subtil pour assoir votre crédibilité ?
Débattre sur la partialité d’un rélaisateur, d’un documentaire ou d’un diffuseur? Pourquoi faire…? Ne sommes nous pas assez grands et intelligents et libres pour faire la part des choses, et surtout faire évoluer nos avis au gré de l’élévation de notre esprit. Par ailleurs, un documentaire n’est pas un tribunal impartial, c’est un parti pris par nature. C’est l’expression d’un choix éditorial, d’une vision, d’un axe, c’est un point de vue. Celui qui l’ignore est bête, celui qui fait semblant de l’ignorer est de mauvaise foi. Cela n’enlève rien au message, à la valeur et à la vérité le cas échéant de ce qui est exposé. Débattre de la partialité du support pour éviter de parler de ce qui fache, du fond, du contenu? J’ai mon idée là dessus…
… argumenter ? Dans les posts, que des opinions, des idées reçues et des préjugés, assumés sans vergogne.
« Débattre de la partialité du support pour éviter de parler de ce qui fache, du fond, du contenu? J’ai mon idée là dessus… » L’article cité hier à 12h21 par O.rage me semble pourtant très bien débattre du fond…
A stephsea. J’aime bien votre formulation : « Cela n’enlève rien au message, à la valeur et à la vérité le cas échéant de ce qui est exposé. » Ben oui, il n’y a qu’à dire que la vérité est en option, à moins que ce soit le message ou la valeur que nous pourrions découvrir à l’occasion !
En effet, on ne peut pas reprocher à ce reportage d’être partisan, tout le monde l’est. En revanche, on lui reproche d’être mensonger : « Entre problèmes techniques à répétition, risques permanents de contamination pour l’homme et l’environnement, et surtout impossibilité de stocker en toute sécurité des déchets nucléaires (dont certains resteront dangereux pendant des centaines de milliers d’années), le réalisateur revient sur le passage leur coût exorbitant » Pourtant le stockage des déchets nucléaires n’a à ce jour jamais posé de vrai problème sanitaire ou économique… Connaissez vous une seule personne qui soit tombée malade à cause de ces déchets ? Et, jusqu’à présent, les démantèlements n’ont principalement pas été retenus par « des problèmes techniques à répétition », mais par la volonté des exploitants de prendre leur temps, et surtout par la guerilla administrative à laquelle se livrent les antinucléaires.
Et quand on parle de stockage des déchets nucléaires, on ne peut occulter le fait que la France est bien plus en avance que l’Allemagne avec ses CASTOR : Sauf que l’Allemagne devrait démanteler plus vite que la France, alors que va-t-elle faire de ses déchets ? ARTE veut peut être mettre en exergue ce paradoxe ?
Voilà la solution actuelle en Allemagne : L’élevage de CASTOR a de beau jour devant lui ! En France, on va les mettre à 500 mètres sous terre.
Je reproche aux reportages d’ARTE de présenter les choses sous un jour désespérant. Je ne les regarde plus simplement pour éviter de déprimer. Ok je ne viens pas pour croiser le fer avec les pronukes. Mon unique souhait est de laisser se développer les alternatives (surtout EnR) , empècher le secteur nucléaire de les tuer grâce à sa position dominante. Ceci fait , les EnR doivent encore prouver qu’elle peuvent se substituer au nucléaire et au charbon. Personnellement , j’en suis persuadé et j’ai même investi mes deniers dans cette hypothèse. Mais il y a un delta entre parier et réussir. Ce dernier obstacle sera franchi par le stockage d’énergie. Il faudra encore patienter une génération pour que la fin du nuke électrogène et du charbon soient actés mais une fois le stockage possible, plus rien ne pourra arrèter les EnR. Le challenge est donc encore ouvert et spéculatif, surtout que je ne crois absolument pas aux économies d’énergie systématiques, au contraire , je pense qu’il faudra en consommer à la place des solutions chimiques actuelles. Donc le stockage aura le dernier mot , et quelques décennies plus tard , la gestion des déchets nucléaires sera limitée aux années folles 1970-2030
mes condoléances pour vos économies… (j’ai fait pareil il y a maintenant quelques années et ej n’en suis plus « qu’à » -48%, ouf, ça a été pire). Je crains qu’il ne faille attendre plus d’une génération pour résoudre le problème N°1 des enr qu’est le stockage, même si des solutions existent « sur le papier ». D’un autre côté c’est le mix énergétique qui sera la solution, et le débat n’est pas pro ou anti ceci ou cela, mais quelle part « raisonnable » de telle ou telle forme d’énergie, en utilisant les solutions éprouvées et robustes bien adaptées à la sociologie et la géographie de l’endroit, ville, région , pays ou autre ensemble.