Le Gouvernement a saisi la Commission de Régulation de l’Énergie mercredi dans le but de préparer le 1er appel d’offres visant à installer des éoliennes en mer dans les 5 zones retenues.
En parallèle, il a lancé une consultation jusqu’au 28 février 2011 afin de finaliser les modalités techniques et renforcer ainsi les conditions de succès du programme.
Le plan de développement des énergies renouvelables de la France issu du Grenelle de l’Environnement prévoit une accélération du développement de l’énergie éolienne en mer et des énergies marines, et vise une puissance totale installée de 6 000 MW à l’horizon 2020, soit environ 1 200 éoliennes produisant 3,5 % de la consommation française d’électricité. Ce programme représente un investissement d’environ 20 milliards d’euros.
Les 3 ministres (Nathalie Kosciusko-Morizet), la ministre de l’Écologie, (Christine Lagarde), la ministre de l’Economie et (Eric Besson), le ministre chargé de l’Énergie ont ainsi précisé le 1er février les modalités de ce programme.
Il sera mis en œuvre grâce au lancement successif d’appels d’offres visant à installer des éoliennes en mer dans des zones identifiées comme propices à l’issue d’une démarche de concertation. Le premier appel d’offres portera sur les zones de Courseulles-sur-Mer, Fécamp, Dieppe-Le-Tréport, Saint-Brieuc et Saint-Nazaire. L’objectif est d’installer jusqu’à 3 000 MW.
Les offres seront jugées sur les critères suivants : tarif de rachat proposé par les candidats, qualité du volet industriel, et prise en compte de l’environnement.
Les Ministres saisissent la Commission de Régulation de l’Énergie qui sera chargée de la mise en œuvre de la procédure. Ils lancent en parallèle une consultation sur les modalités techniques de l’appel d’offres.
L’appel d’offres permettra d’apporter un soutien adapté aux différentes zones et de sélectionner des projets respectueux de l’environnement et des usages de la mer, tout en s’assurant de la maîtrise des coûts pour la collectivité et de l’émergence de projets industriels ambitieux.
Pour prendre part à la consultation, un questionnaire à remplir est accessible en ligne >>>>> ICI
Donc une production decentralisée de petite importance propice au developpement de PME . A non ?!? meme avec 2 millions d’investissements on peut aller ce rhabiller , pas suffisament gros. Parce que en parallele les zones sur terre ou il y a parité réseau (donc suffisament venté et ou l’etat n’aurait rien a dire ) sont maintenant interdit si elle de sont pas en ZDE , zone qui avait ete crée pour encadrer le dvpt subventionné…. a les coquins , il est vrai que contrairement aux dirigents des grands groupes, nous ne mangeons pas avec des decideurs politiques et nos sociétés ne finance pas les partis politiques ( alors que nos impots oui !!! par le remboursement d’une partie des campagnes) j’ai un peu l’impression de me faire avoir avec cette nouvelle politique d’appel d’offre non ?
1e critère de choix : la vente de l’électricité. et devinez qui est le mieux placé pour revendre son éléctricité au prix le plus bas. qui connait aussi les tarifs des concurrents ???…
Votre message est subliminal…Vous pouvez préciser ? Parce que quand vous dites « revendre son électricité au prix le plus bas », c’est bien ce qu’on attend, non?
salut je tien a te dire que les eoliennes fonctionnent avec le vent sale trimard ecoute mwa bolosse c’est un bon conseil