Aérowatt, producteur d’électricité verte en France, annonce avoir été retenu comme développeur d’un projet éolien participatif par la Communauté de Communes des Monts du Pilat (Loire).
Cette sélection fait suite à un processus d’appel d’offres mené par la Communauté de Communes en concertation avec l’association Energies Communes Renouvelables. Cette association, qui promeut les économies d’énergie et les énergies renouvelables, travaille notamment à l’appropriation par les citoyens et les collectivités des projets éoliens ou photovoltaïques sur leur territoire. La démarche de création d’une Zone de Développement de l’Eolien a été portée par la Communauté de Communes des Monts du Pilat et approuvée par le Préfet de la Loire fin 2011.
En pratique, une société de projet, détenue à 50% par Aérowatt, sera créée pour développer, construire et exploiter un parc éolien dans la Zone de développement éolien (ZDE) Forêt de Taillard. Le solde du capital sera détenu par les collectivités et des citoyens volontaires (habitants de la Communauté de Communes des Monts du Pilat et adhérents d’Energies Communes). La gestion de la société et des études sera assurée par Aérowatt, et l’objectif des partenaires du projet est d’implanter une centrale éolienne de 20 MW.
En 2011, un premier projet éolien citoyen dans la Creuse pour Aérowatt
Démarche encore trop rare en France, au contraire de pays européens beaucoup plus avancés dans le domaine des énergies renouvelables et du dialogue social comme l’Allemagne ou le Danemark, la participation citoyenne s’inscrit dans une démarche positive de concertation non seulement avec les élus locaux mais également et surtout avec les riverains.
Aérowatt a déjà mis en œuvre une démarche équivalente dans le cadre du projet éolien citoyen de Cassini dans la Creuse où des habitants de la commune sont copropriétaires, aux côté d’Aérowatt, de la société en charge du développement du projet.
La forêt de Taillard est (était?) un massif magnifique et sauvage, accessoirement inclus dans un parc régional et dans une ZNIEFF. Comment peut-on y implanter aussi facilement une installation industrielle? Pourquoi ici? Pourquoi pas plus au N du massif du Pilat, zone déjà fortement urbanisée et industrialisée (et sous mes yeux, tant pis…)? Les paysages font aussi partie de notre patrimoine à préserver. Surtout quand le bénéfice lié à leur saccage est peanuts à coté de nos besoins énergétiques
Pourquoivouloir persister avec l’éolien terrestre mal implanté , quand on à connaissance de toutes les nuisances induites, sonores, visuelles, impactant les surfaces cultivables et forèts…c’était à implanter quasimment partout, sinon dans cet endroit;;;pétition.
le syndrome NIMBY vous connaissez ? Not In My Back Yard, ou en Français « pas dans mon jardin ». Faut arreter avec les discours écolos si on est pas capable d’assumer les conséquences ! Il n’y a pas de solution miracle à part : ne pas consommer d’électricité. Le développement de l’éolien et des autres énergies renouvelables, combiné à un travail important de réduction de nos consommations énergétiques, sont la solution qui semble la plus pertinente pour progressivement arreter de consommer des ressources fosciles (pétrole, charbon, uranium) afin d’atteindre une indépendance énergétique. A mon sens on a rien sans rien, les paysages OK ils sont superbes en France, mais ils traduisent les modes de vie et les croyances des ses habitants : vous croyez à un futur plus vert ? Alors acceptez de voir des éoliennes dans vos paysages ! Soyez objectifs, elles ne sont pas plus inhestétiques que des poteaux de lignes haute tension, que des lotissements standards ou que les zones industrielles !!
Pourquoi faire passer des lignes THT dans de magnifiques paysages et dans des parcs naturels alors que ces lignes pourraient être réalisées en HVDC (courant continu haute tension) et enterrées. C’est un peu plus cher, mais pas excessif. Et au moins, pas de risques avec les fortes intempéries (tempètes, neige). Et les lignes THT causent la mort de nombreux oiseaux comme le souligne la LPO et comme EDF a fini par le reconnaître. Ce qui n’est pas le cas des éoliennes. En cause : produits chimiques dans les champs, chats, véhicules routiers, façades vitrées des grands immeubles, lignes électriques.
« Il n’y a pas de solution miracle à part : ne pas consommer d’électricité »: tout à fait d’accord, et d’ailleurs 1 € investi dans l’isolation est beaucoup plus rentable énergétiquement et financièrement qu’1 € investi dans l’éolien. « acceptez de voir des éoliennes dans vos paysages ! »: c’est une pénitence que vous nous proposez?, je préfère me flageller… Blague à part, il y aurait fort à dire sur la psycho-sociologie de l’éolien: alibi de comportement, compensation, remise en cause… expliquant en partie la violence des débats. Enfin, « elles ne sont pas plus inestétiques que des poteaux de lignes haute tension, que des lotissements standards ou que les zones industrielles », certes (…quoique), mais on n’a pas le droit de construire ces choses là sur le massif du Taillard, et EDF ne peut plus construire de nouvelles lignes THT, à cause d’une opposition très efficace de ceux qui par ailleurs promeuvent les éoliennes. Ce qui est « marrant » (bof…), c’est que si on développe l’éolien et le PV, on devra sérieusement étoffer le réseau THT, comme le font les Allemands.
c’est souvent une majorité qui décide! si une majorité de « locaux » sont pour, alors pourquoi pas. surtout si le site est venteux. auquel cas le bruit du vent sans éolienne est aussi gênant! en réduisant leur consommation il pourraient aussi réduire la taille des éoliennes ;o) et les citoyens si ils le sont vraiment devraient abandonner une partie de leurs « bénéfices » au profit de structures publiques hopitaux, dispensaires, écoles, bibliothèques, mairies, gymnases, piscines, etc, etc, etc, …
Siègeant à la Commission des sites de la Loire (CDNPS ) j’ai pu constaté comment le paysage était considéré par les participants. 11 ont voté POUR les éoliennes, ( dont la LPO) , 7 seulement se sont opposés au saccage d’un lieu magnifique:les architectes ,le paysagiste , des associatifs. Le PNR du Pilat a voté « pour » les machines, poussé par un élu totalement indifférent à la beauté du lieu, et alors même que ce site était reconnu comme d’un intérêt paysager majeur . Après cet épisode on comprend que ce que dit par le lobby éolien à propos du respect des sites perd toute crédibilité. On comprend aussi qu’un Parc régional n’a de naturel que le nom.
La crête de la forêt de Tallard ou devraient être construites ces éoliennes, outre son environnement forestier et naturel magnifique, jouit d’un panorama extraordinaire, à 50 kms avec le Gerbier des Joncs, jusqu’à 150 kms avec le Puy de Dôme, 200 kms avec le Mont Blanc, La Meije ou le Ventoux. Oui cette crête est visible jusqu’à 200 kms de distance !!! L’industrialisation d’un tel paysage naturel pour récolter très peu d’électricité est scandaleuse !
« ce que dit le lobby …
Fervent supporter des éoliennes, je suis d’avis d’en installer beaucoup. Cela dit je comprends qu’une zone naturelle protégée avec laquelle on a un feeling particulier, passé son enfance ou des moments importants.. Ce n’est pas facile à admettre. Il y a les autoroutes qui sont pires selon moi car elles détruisent irrémédiablement la géologie d’un lieu, mais les éoliennes géantes couvrent une surface visuelle très importante et ce n’est pas marrant pour ceux qui ont un passé là. Si en plus on a un genre de parti politique comme vent de colère soutenu par un concurrent comme le lobbie nuke et que ces gens affirment que la production éolienne est insignifiante, ce doit être assez insupportable. Ce qui est doublement faux dans les arguments de vent de colère : c’est que les éoliennes produisent peu. Elles sont certes imposantes mais leur production est à mettre en perspective avec leur coût et la spécificité de l’éolien qui ne requiert aucun carburant et ne génère pas de déchet ni solide ni gazeux. Quand un modèle de 2.3Mw a un taux de charge de 20%, cela fait quand même 2300 x 0.2 = 460 kw en moyenne et cela représente 460 kg de charbon par heure ou encore 400 litres de fuel, c’est énorme ! Ensuite le site où est implantée l’éolienne est de facto protégé des constructions à 500m à la ronde et les dégats au sol sont totalement réversibles, n’affectent pas l’utilisation des sols alentour (nappes phéatiques)et rapporte suffisement d’argent pour faire vivre les communes voisines. Maintenant pour le paysage naturel, je ne vais pas prétendre que c’est cool. Ca ne l’est pas. Si je devais encore trouver un argument, je pense que l’éolien a vocation à s’expatrier en mer où il ne gène personne et que l’éolien terrestre sera moins stratégique dans une génération. Donc celui qui voit se construire des éoliennes dans le parc qu’il traversait pour aller à l’école, cela va effectivement changer l’ambiance des lieux mais sans attirer de traffic ni changer la végétation ni créer des « no mans land » rien de tout cela. En outre , on peut très bien imaginer que certaines de ces éoliennes ne seront pas « repowerées » quand elles arriveront en fin de vie. Les questions énergétiques seront alors moins cruciales qu’aujourd’hui ou bien peut être les éoliennes seront si courantes dans les paysages qu’on pourra en enlever une ou deux là ou les paysages sont les plus affectés. En Suisse la question posée est d’équiper le sommet des chaines alpines de machines géantes et ça ne les enchante pas non plus. Pourtant ils vont peut être s’y résoudre.
Bon Vent au projet du Pilat : Quand les citoyens se mobilisent pour être acteurs du développement des énergies renouvelables cela promet de belles énergies : non seulement une production électrique propre , mais aussi une dynamique citoyenne qui permettra une réflexion collective sur nos usages et gaspillages de l’énergie. Cette réappropriation de l’énergie par les territooires : citoyens et collectivités et un gage de réussite de la transition énergétique permettabnt de sortir des énergies fossiles, de limiter le réchauffement climatique et de revitaliser les zones rurales. Ceci s’insrit dans une dynamique qui prend de l’ampleur et qui est accompagné par un mouvement : Energie Partagée (energie-partagee.org) donnat des outils aux porteurs de projets citoyens pour arriver à leurs objectifs. dépassons le Nynby, les informations fausses (il n’y a plus de défiscalisation dans les projets éoliens) pour être constructifs tout en respectant les enjeux sociaux, paysagers, écologiques et climatiques. Bon Vent! Michel leclercq , vice président d’Eoliennes en Pays de Vilaine (www.eolien-citoyen.fr) et d’Energie Partagée
Pour abonder dans le sens des posts de Michel et de certains autres ci-dessus, si les locaux en voient l’intérêt, c’est leur Back Yard (càd leur jardin), c’est à eux de décider, pas que les occasionnels des w -e et périodes fériées (comme évoqué ci-dessus)… Il est clair aussi que l’évacuation des MWhs de courant devra être faite par des lignes enterrées (jusqu’au relai proche ou si loin, par HVDC ou courant continu HT?) pour une intégration plus heureuse… De toute manière, l’ID c’est de produire AU PLUS PRèS des usagers, pour justement éviter des pylones et lignes THT sur des longues distances. Pour ce qui est des éoliennes, il faut qu’elles respectent un Cahier des Charges cohérent, taille adéquate par rapport à la ressource »vent », avec une intégration paysagée harmonieuse, avec couleurs ad hoc (oui, on peut faire!) , des distances aux maisons ad hoc (càd > 500m),…avec consultation des locaux, et leur implication en APL (Actionnariat Populaire Local), le tout, comme le dit Michel, pour prendre conscience: réflexion collective sur nos usages et gaspillages de l’énergie ! Produire au plus près ! Voir: http://www.energie-partagee.org, pour plus d’infos sur la Charte et des exemples de projets à financement APL en cours. A+ Salutations Guydegif(91)
« De toute manière, l’ID c’est de produire AU PLUS PRèS des usagers, pour justement éviter des pylones et lignes THT sur des longues distances. » Cette idée est séduisante mais trompeuse, car le problème majeur n’est pas de produire de grande quantité de kWh, ce que l’éolien peut faire en moyenne sur une année. Le problème essentiel est de fournir aux consommateurs les kWh dont ils ont besoins, quand ils en ont besoin et là où ils en ont besoin. Ce qui apporte cette garantie essentielle ce ne sont pas tant les divers moyens de production, mais le réseau sur lequel ils sont connecté. Et c’est bien pour ça que le responsable de l’équilibre précaire production-consommation est le gestionnaire de réseau qui s’appelle RTE en France. Produire localement de grosse quantité d’éolien ou de PV ne fera pas diminuer le nombre de ligne THT mais au contraire obligera à renforcer le réseau. Et c’est bien ce que les Allemands sont obligés de faire : Il ne faut donc pas confondre le développement des EnR en réseau et les EnR autonome en sites isolés avec stockage.
Bon, on sait pas encore combien il faudra de milliards d’investissement dans les lignes à haute tension pour sortir du nucléaire. Cela peut sembler paradoxal après tout ce que nous ont raconté nos écologistes dogmatique antinucléaires.
Corrigez-moi si je me trompe, mais je crois que le cas allemand est différent du notre. S’ils doivent construire pour des milliards de lignes THT, c’est pour relier le Nord grand producteur d’énergie avec les parcs offshore existants et futurs et le Sud grand consommateur d’énergie. Il ne me semble pas que nous ayons exactement cette problématqieu là en France, même s’il faudra bien acheminer l’électricité jusqu’au consommateur. Il me semble d’ailleurs que les schémas régionaux climat air énergie (SRCAE) seront suivis par des schémas régionaux de raccordement des EnR au réseau.
@ Nature, je m’étonne de votre commentaire. La commission des sites c’est donc réunie et a donc voté à 11 voix pour et 7 contre. Il y a donc plus de gens pour que contre… et cela pose un problème pour vous? mais il me semble que cela est tout à fait démocratique non? Et de quel droit osez vous remettre cela en cause? A cause des paysages, aspect totalement subjectif. De plus remettre en cause le vote de la LPO pour des aspect paysagers, si ils ont voté favorablement c’est surement que ce projet aura peu d’impact sur l’avifaune.
j’étais dans le vexin ce week-end pour la fête des jardins, et je dois vous dire que dans certaines plaines de culture de ce parc « naturel » on pourrait installer quelques éoliennes, cela briserait la monotonie d’un espace que l’éradication systématique des haies, a rendu « fade ». mais bien sur il faut regarder au cas par cas et avec l’aval d’un majorité des citoyens concernés.
Pour Rom. Je ne me permettrez pas de vous corriger, mais plutôt de vous apporter quelques éléments de réflexion. Pour l’instant l’Allemagne possède essentiellement un très gros parc d’éolien terrestre (près de 30 GW) et le problème de transfert d’énergie du Nord au sud se pose déjà. Il sera exacerbé si on y rajoute de l’éolien offshore qui ne pourra se trouver qu’au nord. En France, c’est un peu différent, mais le problème existera car le parc éoliens offshore ont pour l’instant besoin de hauts fonds (bancs de profondeur 10 à 30 mètres) qui ne se trouve qu’à l’ouest et au nord. De toute façon l’éolien de masse reste une production qui a besoin d’un réseau très robuste qui assure le dispatching. et la garantie de service avec d’autres centrales électriques qui compensent les fluctuations de production de l’éolien. Le cas danois est très révélateur à ce sujet.
Dire que le paysage est affaire de subjectivité est une proposition qui ne résiste pas à l’examen. Sans vouloir entrer dans un exposé détaillé il est évident que la subjectivité permet le choix individuel mais ne suffit pas àlui donner une légitimité publique. Les statues de Maillol aux Tuileries » ne se comparent pas aux nains de jardin, même si ces sujets ornent quelques espaces privés. D’une part la valeur de certains paysages fait l’unanimité (cf:les classements et les sites « touristiques »),d’autre part qui peut, sans cultiver le paradoxe ,préférer les zones commerciales informes à l’entrée de nos villes aux allées d’arbres encore préservées , C’est la fonction d’une CDNPS , avec les Architectes des Bâtiments de France que de défendre la beauté des paysages .Ils sont une richesse collective.et non la propriété d’une collectivité locale. Malheureusement sa composition donne parfois la majorité à des personnes qui obéissent à d’autres intérêts .Cette composition est bien sûre le reflet d’une politique utilitariste ,peu encline à défendre ce qui ne rapporte pas d’argent.
Le projet est sur la crête la plus protégée du parc naturel régional du Pilat. Dans tout le parc la moindre construction doit suivre tout une foule de contraintes liées à la protection de l’environnement (architecture, matériaux, raccordements …). Mais pour les éoliennes il est permis de mettre au moins 10.000 tonnes de béton, une dizaine de mats d’acier de 100 métres , plus de 1000 tonnes de cuivre, terre rare et autres fibres de carbone en pleine forêt, à 1300 mètres d’altitude !
Sauf erreur de ma part je ne pense pas que le permis de construire de ce parc éolien soit accordé, pour l’instant ce n’est qu’un projet en étude non? Il devra donc suivre toutes les contraintes liées à la protection de l’environnement dont vous parlez et peut être même encore plus. Et si jamais ce projet répond à toutes ces contraintes et que le permis de construire est accordé c’est à dire pas avant 3/4 ans, vous serez donc en accord avec ce projet. Et puis il faut arréter avec le terme « Naturel », plus rien sur terre n’est naturel puisque tout a été anthropisé. Et encore sauf erreur de ma part il semblerait que cette forêt soit exploitée non? Enfin dernière précision lorsque l’exploitation du parc est terminée la loi oblige à démenteler le parc, il n’y aura donc plus ni béton, ni acier, ni cuivre…
Bon, en accord avec Dan1. Il n’y a a ma connaissance personne qui ne nie que le développement des renouvelables ( nous parlons d’un cas comme l’Euope) ne pourra se faire sans développement importants des grands réseaux. L’exemple de l’Allemagne, de l’Espagne, du Danemark sont pour un passé récents assez significatifs. Remarquez, ce n’est qu’un problème de taille. Tant que la production « décentralisée » reste marginale , il n’ y a rien à faire. Mais quand 20000MW d’éolien ou de solaire soufflent ou brillent en allemagne ( et pourquoi pas un mix des deux), là il faut vraiment s’en occuper, et ça ne passe pour l’instant que par le réseau. L’ID est sympathique, mais complètement erronée.
D’une part certains sites restent naturels: baie des Trépassés, certains sommets alpins ,etc Mais surtout le mot nature ne signifie pas « originel » mais bien site à dominante de végétal et à présence animale non domestiquée. C’est ce type de paysage que personne ne confond avec les lieux transformés par l’activité humaine avec plus ou moins de bonheur.Dans ces sites l’industrie n’a pas imposé sa marque et les éoliennes sont inopportunes.
Bien cela confirme donc que le site des Monts du Pilat n’est en rien « Naturel » et effectivement un parc naturel régional n’a de Naturel que le nom, c’est seulement un moyen d’avoir quelques subventions et de donner de l’importance à certaines personnes… Biensur cela n’a rien à voir avec les Parcs Nationaux qui eux ont un véritable intérêt. Bref je ne voit pas d’incompatibilité entre éoliennes et PNR, biensur il faut que le projet réponde à toutes les problématiques environnementales et paysagères par des études poussées et que tout cela soit validé par les services de l’Etat par l’obtention ou non d’un permis de construire.