EDF Energies Nouvelles a annoncé l’achèvement du chantier du parc éolien en mer de Teesside construit par EDF Energy Renewables**, ainsi que la mise en production des 13 premières éoliennes de cette centrale d’une puissance de 62 MW.
Les 27 éoliennes du parc éolien de Teesside, fabriquées par Siemens, ont été installées au large des côtes de Redcar, au nord-est de l’Angleterre. Le chantier en mer, engagé en février 2012 avec la mise en place de fondations monopieu, s’achève par le raccordement progressif au réseau électrique de la totalité des turbines, avant une mise en service du parc prévue dans le courant de l’été 2013.
Co-détenu par EDF Energy et EDF Energies renouvelables et géré par leur filiale commune EDF Energy Renewables, le parc éolien de Teesside a été pris en charge dans son intégralité par le Groupe qui a maîtrisé l’ensemble du processus développement, ingénierie et construction.
"Le parc de Teesside démontre notre savoir-faire industriel dans l’éolien en mer. Avec l’achèvement de ce chantier, nous affirmons notre position d’acteur de référence dans l’éolien offshore et nous sommes confiants dans notre capacité à entreprendre de nouveaux projets sur les marchés britanniques et français" a déclaré Antoine Cahuzac, Directeur Général d’EDF Energies Nouvelles.
Présent depuis plus de 10 ans dans l’éolien offshore et forte de sa participation dès le démarrage au projet éolien en mer de C-Power, EDF Energies Nouvelles bénéficie de l’expérience d’un premier parc de 325 MW en Belgique dont 215 MW sont en service et la dernière tranche de 110 MW en phase finale de construction.
Le Groupe EDF indique qu’il va poursuivre sa croissance en Europe avec de nouveaux projets qui se caractériseront par un changement d’échelle.
En Grande Bretagne, le projet de Navitus Bay, d’une capacité potentielle de 1.100 MW, est développé en partenariat avec Eneco Wind UK Ltd. En France, trois projets totalisant près de 1 400 MW sont également en cours de développement au sein d’un consortium dont EDF EN est chef de file, et font l’objet de débats publics de mars à juillet 2013.
** filiale commune d’EDF Energy et d’EDF Energies Nouvelles
le marché du gaz mondial sera bouleversé à la baisse pour 50ans à cause du schiste. Les pays intelligents auront amorti leurs investissements et les nouveaux (dont fera partie la France, toujours en retard d’une guerre sur le plan économique, bientôt de deux par idéologie écologique) ne pourront plus amortir leurs premiers investissements à cause de la chute des prix. Alors nous ne ferons que donner des concessions d’exploitation une par une sur le territoire français à des compagnies étrangères qui en tireront du fric, tout comme le Moyen Orient durant les 70 premières années du 20° siècle…. Bravo
Euh, quels investissements, vu qu’ils sont à refaire de zéro pour chaque puit, et que je voudrais bien voir au pire pourquoi les vendeurs d’équipement américain refuseraient de vendre aux sociétés françaises ? Au passage Total est déjà aux US, d’ailleurs ils bloquent les investissement pur gaz de schiste car ils seraient rentable à 6$ le mmbtu, pas aux 4 actuels : « avions fait nos études de rentabilité sur un prix qui était à plus de 6 dollars le million de BTU, aujourd’hui, on est à 3,2 dollars, et ça ne passe pas ! » « Les champs sont toujours là, les permis toujours valides et les productions redémarreront quand les prix du gaz repasseront au-dessus du prix de revient. » En Ohio, Total exploite un mélange huile de schistes et gaz, dans le bassin parisien c’est d’ailleurs à priori le genre de chose qui est présente, plus que du gaz pur.