Les sociétés QUADRAN et IDEOL ont annoncé le 11 octobre la signature d’un partenariat commun pour développer 500 MW d’éoliens offshore flottants à l’horizon 2020 en France, une innovation relayée plusieurs fois sur Enerzine.
IDEOL a développé une ‘fondation flottante‘ pour l’éolien en mer, compatible avec l’ensemble des éoliennes existantes et compétitives dès 35 mètres de fond par rapport aux fondations classiques posées au sol. Cette prouesse a été rendue possible grâce à une technologie brevetée qui atténue les mouvements induits par la houle : le Damping Pool.
Les éoliennes flottantes possèdent la capacité de s’affranchir de la contrainte de profondeur imposée par les fondations classiques. Elles peuvent être installées plus loin en mer, où les vents sont plus forts et plus réguliers, permettant d’exploiter au mieux la ressource tout en apportant des réponses intéressantes au niveau de l’impact visuel et aux contraintes des riverains et des pêcheurs.
D’autre part, la solution de fondations flottantes développée par IDEOL marque une rupture technologique permettant de réduire les coûts de l’éolien en mer. Selon le concepteur, des essais en bassin ont d’ores et déjà démontré la faisabilité et l’intérêt de la solution.
Un démonstrateur grandeur nature de 2 MW sera d’ailleurs installé au large des Iles Canaries dès 2015.
Développer 500 MW d’éolien offshore à l’horizon 2020
Paul de la Guérivière, PDG d’IDEOL a fait part de "sa satisfaction de travailler avec un opérateur majeur de la production d’énergies vertes, capable de mener des projets en parfaite concertation avec l’ensemble des parties prenantes, et de pouvoir ainsi avancer". De son côté, Jérôme Billerey, Directeur Général de QUADRAN en profite pour "demander aux pouvoirs publics de lancer au plus tôt un appel d’offres pour des fermes pilotes flottantes, étape essentielle dans un contexte de concurrence internationale, pour la structuration d’un tissu industriel qui pourrait représenter très rapidement une formidable opportunité énergétique et industrielle pour la France".
En effet, le marché supplémentaire de l’éolien en mer, rendu accessible en France et dans le monde grâce aux fondations flottantes, serait considérable.
* QUADRAN exploite un parc de 136 centrales en France métropolitaine et en Outre-mer. La société vise 330 MW installés fin 2013 et un chiffre d’affaires annuel de 70 ME. Avec plus de 700 GWh d’électricité verte produite dans l’année, QUADRAN est en mesure de couvrir la consommation annuelle de 600.000 habitants.
* Basée à La Ciotat, IDEOL a développé une solution de fondation flottante reposant sur le concept breveté Damping Pool®, visant une transformation majeure du potentiel de l’éolien en mer en s’affranchissant de la contrainte de profondeur.
Perpectives intéressantes en effet avec ces solutions flottantes, permettant, en allant plus au large de capter des vents plus réguliers et plus forts. Solution plus light, plus flexible et , last not least, déplaçable le jour où requis! Frais de démantellement minimes par rapport à une embase posée ou coulée! Oui, il faudrait des AO ASAP pour proposer ces solutions en face et au large des côtes françaises, de métropole et DOM-TOM ! Bonne continuation! A+ salutations Guydegif(91)
Le concept semble intéressant mais cette plate forme résistera t elle aux tempêtes décénales qui sont l’écueil principal à toutes ces idées novatrices mais qui échouent sur le milieu hostile et corrosif ? On note cependant une faible prise au vent et à la houle déderlante, ce qui est un bon point pour cette structure.
Le truc à l’air énorme, j’essaye de visualiser un homme à coté des barrières que l’on distingue. Il faudrait qu’ils représentent un EPR à côté pour qu’on ai une meilleure idée de la taille du machin de 2 GW.
Je trouve le truc un peu balèze aussi , il doit y avoir moyen de faire un truc plus light ou plus simple et donc moins cher , on dirait une plateforme pétrolière comparé à la taille du bonhomme.
L’éolienne flottante fait 2 Mégawatts(2MW),pas 2 Gigawatts(Pas 2GW). Le parc ne fait que 500 MW.Soit 250 fois 2MW . Et l’EPR apparaitrait bien plus large qu’un seul de ces engins flottants.
… pour Nexans (câbles) ??? si j’ai bien compris, plus on s’éloigne des côtes, meilleure est le rendement ? Quant à l’entretien et l’acheminement du courant produit (pertes ?) un jour on va se retrouver dans les eaux internationales…
Gazéolsol, Oui c’est une coquille, merci, bien sur qu’il faut 1000 ou 2000 de ces mastodontes pour produire autant qu’un EPR
« …équivalent à un EPR pour lequel il faudrait dans les 275 machins flottants (rendement de 36% pour l’EPR d’aprés le wiki mais je n’y connais rien à vérifier) » 275 x 6 MW = 1 650 MW donc en puissance, on a la même chose qu’un EPR avec 275 éolienne de 6 MW… sauf que pour le service rendu au réseau et in fine au consommateur, ce n’est pas du tout équivalent. En effet, un EPR de 1 650 MW est prévu pour produire à pleine puissance, en moyenne sur un grand nombre d’années, 7 971 heures par an (91% du temps). on notera d’ailleurs que certaines année, il pourra produire 8 760 heures / 8 760. Or, un parc éolien placé sous le même régime de vent ne sera jamais capable d’atteindre ce NIVEAU de SERVICE avec des puissances raisonnables et sûrement pas avec la même puissance qu’un EPR, ni même avec le double ou le triple. Ce qui importe c’est le niveau du service rendu à la collectivité par rapport à l’investissement consenti. L’éolien, fût-il offshore et bien venté (même aux Shetland) n’apportera jamais le même niveau de service qu’un EPR… sauf à trouver et financer le système de stockage de masse à longue constante de temps (pulsieurs mois) qui va avec. Pour mémoire un EPR en bonne santé, c’est 13 TWh/an (13 milliards de kWh) débités comme un métronome et accessoirement un peu moins mais débité à la demande s’il fait du suivi de charge en 25% et 100% de la puissance. En un mot l’EPR est un moyen pilotable à la hausse et à la baisse quand l’éolien est uniquement pilotable à la baisse quand il produit trop d’électricité.
On peut toujours attendre. Un EPR en bonne santé, on n’en a encore jamais vu. Pas plus que d’EPR en fonctionnement.
Ben oui, mais maintenant, le risque est très élevé que cela arrive. Allez donc faire un tour du côté de la Finlande (ou de la Chine) : On ne pas exclure l’éventualité d’une mise en service rapide de cet EPR !
« L’intermittence n’est pas un vrai problème » Suffit de l’affirmer sans preuve… sauf que : Si, c’est un problème et pas seulement l’intermittence. Je rappelle que l’éolien est intermittent et aléatoire. Cela fait deux problèmes à résoudre pour que l’éolien joue dans la cour des grands (charbon, pétrole, gaz et nucléaire). Car la demande d’électricité n’est ni vraiment intermittente ni vraiment aléatoire à l’échelle d’un pays. Les courbes de charge sont connues et font l’objet de prévisions. Il faut alors que la production s’adapte au besoin avec très peu de stockage tampon. « arrêtez avec ça il y a l’augmentation des STEP en France et la possibilité norvégienne au pire » ben non, je n’ai aucune raison d’arrêter car je ne vois où est, en France le potentiel d’augmentation des STEP à la hauteur de l’intermittence et de l’aléa de l’éolien ? Quand à la Norvège, il y a aura tellement de clients que cela restreindra les capacités pour chacun des pays. Et n’oubliez surtout de mettre entre les deux un réseau super costaud pour faire transiter tous ces TWh dans les deux sens turbinage et pompage. Avec tout, ça va en faire des lignes à haute tension vertes ! Conclusion, avec 825 machins flottants vous ne serez toujours pas équivalent à un EPR en matière de service rendu.
Non l’éolient n’est pas intermittent mais simplement variable et tout à fait prévisible. Aléatoire non plus il y a toujours plus ou moins de vent. Il nécessite simplement un équilibrage plus fin de la production et de la consommation qui ne plaît pas à nos ingénieurs des Mines et autres nucléocrates invétérés mais tant pis. Quant aux services rendus par l’EPR, on va attendre un peu pour en juger mais on peut déjà se documenter sur ses surcoûts (records) le dépassement des délais (imbattable) et le peu de respect de la réglementation du travail sur le site, notamment sur la non déclaration des accidents du travail dans ce chantier exemplaire en ce domaine.
Aléatoire ( mais l’aléa peut tomber à quasiment 0, on peut chercher une courbe mensuelle RTE à l’échelle France si c’est vraiment indispensable pour convaincre) mais prévisible ( la prévision étant avec une incertitude énorme à 3 jours et s’affinant peuà peu , devant pas trop mauvaise en J-1 et plutôt bonne en H-1, voilà les adjectifs qui me conviendraient. Donc Dan1 a tord, 1 à 3h avant l’heure H, la prévision de production éolienne est excellente, même si cette prévision peut être dans certains cas de 2 ou 3% de la puissance installée.
Mouais, si l’éolien n’est ni aléatoire ni intermittent, il est quoi alors ? Juste prévisiblement variable ? Evidemment, si vous attendez l’arrêt complet du parc (0 MW) vous n’aurez jamais d’intermittence. Cependant, dans le parc allemand, il arrive des creux inférieurs à 1% de la puissance installée, ce n’est pas de l’arrêt mais ça commence à y ressembler. Pas plus tard qu’hier, à la mi journée (à 14h00) vous aviez ceci : 400 MW d’éolien pour un parc installé de de 31 837 MW : 1,25 % de facteur de charge instantané ce n’est pas de l’intermittence… alors ça s’appelle comment ?
Ben c’est sûr que si un système de production de d’électricité en masse est considéré comme non aléatoire lorsqu’on prévoir à peu près sa production à 12h00 ou 24h00, alors j’ai tord de qualifier l’éolien d’aléatoire. Sauf que ce n’est pas avec ces prévisions à courte vue que l’on va garantir l’approvisionnement de la France et l’activité économique d’un pays industrialisé (si il en reste encore en France !). Après, si on se contente des « garanties » de service de certains pays d’Afrique, je ne ferme pas la porte à l’éolien de masse car on a alors affaire à une population très entraînée à la gestion de pénurie dans un contexte où on ne parle pas de coupure de courant mais plutôt de présence d’électricité.
OK, ça peut être moins de 2 à 3%….
Non, je suis bien d’accord avec l’adjectif « aléatoire ». Fernand Raynaud l’a toujours dit, « ça dépend….,si y’a du vent…. »
D’accord et d’accord avec Fernand Raynaud. Je trouve que l’éolien marche plutôt bien quand il y a un vent fort et régulier. Ce n’est donc pas l’éolien qu’il faut incriminer mais plutôt le vent. les antiéoliens (dont je ne suis pas) font fausse route en attaquant l’outil de production plutôt que la matière première.
D’accord et d’accord avec Fernand Raynaud. Je trouve que l’éolien marche plutôt bien quand il y a un vent fort et régulier. Ce n’est donc pas l’éolien qu’il faut incriminer mais plutôt le vent. les antiéoliens (dont je ne suis pas) font fausse route en attaquant l’outil de production plutôt que la matière première.
Nous convergeons, « alèatoire » (entre quasiment 0 et environ 70% de la puissance installée une fois foisonné au niveau d’un pays) et « prévisible » plus on se rapproche de l’échéance, mais pas grand chose de très sérieux avant H-24. C’est juste comme ça, si reilvilo veut prouver le contraire nous l’écoutons.
A machin77 « L’Europe peut multiplier par 3,5 sa capacité de pompage turbinage rien qu’en connectant des réservoirs existants, et par 10 en ajoutant un reservoir là où il y en a déjà un » Oui, soit, on multiplie le potentiel par 10 demain. Mais en partant de quoi au juste ? Pouvez vous nous donner la capacité actuelle des STEP françaises. Vous nous indiquerez la capacité totale de stockage et la durée du déstockage. Cela permettra à tous les lecteurs de se faire une idée du problème en facteur 1 ou facteur 10. Vous pouvez parler en GWh et en heures et comparer cela à la consommation journalière de la France.
Merci pour le lien vers l’étude, mais celle-ci est typique d’une approche très globale basée sur des bases de données SIG. Après quand il s’agit d’aller plus loin et meme sans prise en compte de facteurs économiques, on s’apercoit très souvent qu’il y a toujours une bonne raison pour que ça ne marche pas. Très honnêtement, vous pensez que si il s’agissait « juste » de rajouter une conduite forcée et une pompe turbine entre deux réservoirs existants, les hydrauliciens européens n’y auraient pas pensé? PS: à noter que et de loin le plus gros potentiel identifié est en Turquie.
Attention, on ne peut pas compter comme ça. Le cout de 2ct/Kwh, c’est un cout calculé pour une Step adossée a un besoin de stockage journalier utilisé toute l’année. ( par exemple le lissage d’un mix a forte composante nucléaire). L’éolien fait moins de cycles et necessite en // plus de capacité de stokage pour couvrir plusieurs jours sans vent. (en fait in faudra du coup quand même y adjoindre un moyen thermique en sus car un stockage par step pour garantir la fourniture serait hors de prix). Donc 2ct/Kwh, c’est peut être possible mais a condition que la capacité STEP soit trés basse en rapport du besoin de manière a ce qu’elle soit trés sollicitée en ne lissant qu’une toute petite partie du besoin.
@dan1 l’éolien allemand est terrestre et pas très bien venté. Là on aprle d’éolien marin bien plus abondant, plus puissant, plus régulier et plus prévisible que le vent à terre en Allemagne. Le stockage est un problème qui se règle en faisant des heures creuses à plusieurs niveaux et des heures plein tarif en fonction de la production réelle. En face on met un smartgrid. Et sur le smartgrid on va trouver plein de choses qui vont se charger en EnR pas chère : les voitures électriques, les chauffages à accumulation. On peut aussi développer le STEP mais y’en a pour 5 milliards d’euros du moindre projet sérieux. les calmes plats existent en mer : en été, quand on peut avoir un max de solaire électrique par PV. Jamais en hiver là où on a le plus besoin d’électricité En clair comparer de l’éolien off shore avec un Pmax de 50% et une production 46 soit 96% de temps de production, avec du solaire PV et un smartgrid => tous les avantages de l’EPR ont été gommés ! bref çà fait sens de batir une stratégie éolien marin. Bon, de toute façon on va avoir la réponse. Les allemands ont mis en chantier plus de 50 GW marins à mettre en oeuvre dans les 20 / 30 prochaines années avec suppression du nuke et du charbon.
Bon, en bref on verra cela dans les trentes prochaines années grâce à l’exemple allemand qui boutera le nucléaire et le charbon-lignite en même temps. Car je le rappelle, l’Allemagne est un magnifique exemple… pas forcément à suivre !
« Jumper: Le stockage est un problème qui se règle en faisant des heures creuses à plusieurs niveaux et des heures plein tarif en fonction de la production réelle. En face on met un smartgrid. Et sur le smartgrid on va trouver plein de choses qui vont se charger en EnR pas chère : les voitures électriques, les chauffages à accumulation. » Si on regarde le succés des contrat Tempo, j’ai de sérieux doutes sur l’acceptabilité de ce type de solution par la majorité des clients. Si différer la conso du chauffage de quelques heures de temps en temps n’est pas trop un souci, ça n’ira pas guère au delà. Quant au concept D’ENR « pas cher », il faudrait creuser un peu car pour le moment hors hydrau, j’en vois pas trop.
Ce sujet (STEP, interconnexionx) a plusieurs a été maintes fois discuté sur Enerzine. Par exemple ici: « Tous ces petits projets actuels mis bout à bout dans le désordre , vont constituer le réseau nécessaire « d’eux même ». » nous dites vous. Ah, c’est sûr que des « petits projets » d’interconnexions sous-marines de quelques milliers de MW et 500 à 1000km, ça paut aider! Mais bon, référez vous-dans un premier aux échanges cités, ça m’évitera de répéter car c’est assez long.
Complément car j’ai oublié ma question: Ca sort d’où, quelles sont les hypothèses? Parce que en l’état ça ne veut absolument rien dire
de celui qui n’a rien à montrer a l’appui de ses dires….. A la question: « d’où sort le 2c€/kWh, quelles sont les hypothèses » la réponse est « Pourquoi ce chiffre ne vous plaît pas ? », plus une référence au nucléaire britannique qui n’a rien à voir dans l’affaire. On avance….Quelle qualité dans l’argumentation!
Ca faisait logtemps qu’on n’en avait pas parlé sur Enerzine…(vous pouvez faire une recherce). Ceci dit, tout n’est pas à jeter dans le papier de M. Lempérière, mais ce n’est pas parce qu’il affirme au moins 4 fois dans l’article sans aucune démonstration que c’est 2c€/kWh que c’est vrai. C’est sa raison de vivre depuis ? annéees (?=beaucoup), personne n’a dû lui dire que les réglementations avaient un peu évolué et qu’un projet comme celui-là n’a quasiment aucune chance de sortir. La loi littoral, par exemple, vous connaissez?
Moi qui est l’habitucde d’aller au bord de la mer, là ou se trouveront les futurs parcs éoliens, je n’irai plus, c’est une véritable catastrophe pour eux, je vais à l’île d’yeu, je n’ai aucune envie de voir des éoliennes en bordure de mer, c’est de la folie .
Oui c’est très bien lorsque l’on voit dans les bureaux, on dessine dans les bureaux n’importe quoi ! sans penser à toutes les personnes qui ne vivent que du tourisme ? Pourquoi ne pas les mettre dans le sud ? oui je sais il n’y a pas assez de vent . Je croyais que Carnac devait être calssé au patrimoine de l’unesco mais avec des éoliennes toutes les plages de Bretagne du Contentin de la Manche et les pêcheurs, les oiseaux, la faune marine, les prix des terrains vont s’écrouler, les touristes ne viendront plus c’est encore tout une économie qui s’écroule, et on replonge c’est le cas !! On essaie de sortir la tête de cette crise et le gouvernement nous y replonge, oui j’oubliais il faut les en remercier
¤ Ceux qui ont un minimum de connaissances en photographie constateront que toutes les photos des opposants aux éoliennes sont prises au téléobjectif. Cela donne l’impression de géants agglutinés à proximité du rivage ou des maisons. Avec un objectif dont les caractéristiques sont identiques à celles de la vision humaine, ce qu’on voit est tout différent et bien paisible. Pour le tourisme : « L’expansion en milieu rural des nouvelles énergies permet de valoriser des territoires jusque-là délaissés par les touristes. Le concept est si porteur qu’il fait l’objet en Allemagne d’un guide touristique entièrement dédié aux énergies renouvelables. » « Afin de satisfaire aux mieux les visiteurs toujours plus nombreux venus des quatre coins de la planète visiter Güssing, des circuits touristiques ont été spécialement créés. L’expansion des énergies renouvelables en milieu rural a en effet entraîné dans son sillon l’émergence d’un nouveau type de touriste : à la fois ouvert aux nouvelles technologies et sensible aux enjeux écologiques. »