Pour la première fois depuis 1996, l’installation de nouvelles capacités éoliennes a chuté dans le monde pour atteindre un niveau en deçà de celui affiché en 2009, selon les dernières données publiées hier par le Conseil mondial de l’énergie éolienne (GWEC).
Ainsi, en 2013, les nouvelles capacités de production d’électricité d’origine éolienne étaient de 35.467 mégawatts, soit une baisse de 22% par rapport à 2012.
Par ailleurs, le parc installé continue de croître en affichant une hausse modérée de 12,5% contre 18,8% en 2012. Fin 2013, la capacité éolienne cumulée sur la planète a dépassé le seuil des 300 gigawatts (318,1 GW), soit 5 ans après avoir dépassé celle des 100 GW.
"Si 2013 a été une nouvelle année pleine de difficultés pour le secteur, les perspectives pour cette année et au-delà s’avèrent bien meilleures", a affirmé le GWEC.
"En Europe, le nombre d’installations a baissé de 8%, mais avec une concentration malsaine du marché sur deux pays, l’Allemagne et le Royaume-Uni", a expliqué le secrétaire général du GWEC, Steve Sawyer. "En dehors de l’Europe et des Etats-Unis, le marché mondial n’a progressé que modestement l’an dernier, tiré par la Chine et par le Canada", a t-il ajouté dans un communiqué.
"La Chine demeure un marché en croissance, de bon augure pour l’industrie. L’engagement du gouvernement chinois envers l’énergie éolienne a été renforcé encore une fois par l’augmentation de l’objectif officiel pour 2020 à 200 GW, et l’industrie a répondu présent."
La capacité installée éolienne de la Chine était de 91,4 GW à la fin de 2013, en hausse de 75,3 GW par rapport à la fin de 2012. Suivent les Etats-Unis (61,1 GW), l’Allemagne (34,2 GW), l’Espagne (23,0 GW), l’Inde (20,1 GW), le Royaume-Uni (10,5 GW), l’Italie (8,6 GW) et la France (8,3 GW), au huitième rang mondial.
Toujours d’après le GWEC, le marché de l’éolien devrait cette année – au moins – revenir au niveau de 2012 (45,2 GW), et probablement le dépasser.
En 2013, quelque 45,4% des nouvelles capacités éoliennes ont été installées en Chine (16,1 GW), selon le GWEC, devant l’Allemagne (3,2 GW), le Royaume-Uni (1,9 GW), l’Inde (1,7 GW), le Canada (1,6 GW) et les Etats-Unis (1,1 GW).
La France qui a installé seulement 0,6 GW en 2013 a été éjectée du top 10 mondial, tout comme l’Espagne, qui a coupé ses aides aux énergies renouvelables.
Titre (encore…) erronné (volontairement?): ce n’est pas l’éolien qui recule, mais sa croissance…. Mon prof de math dirait que vous confondez la fonction et sa dérivée… De même ligne 5: « Ainsi, en 2013, la capacité totale de production d’électricité d’origine éolienne était de 35.467 mégawatts, soit une baisse de 22% »: ce n’est pas la capacité, mais la capacité nouvellement installée… Merci de corriger si vous voulez garder un minimum de crédibilité!
Le soutien public à l’éolien, remis en question dans de nombreux pays, explique cette baisse: Espagne, Allemagne, Royaume-Uni, USA .. Avec pour motif le coût trop élevé pour le consommateur final. L’impact sur le bilan carbone de l’application des directives européennes en matière d’énergies renouvelables est nul voir négatif. Les investissements nécessaires, sur les réseaux de transport, pour le développement de l’éolien sont colossaux. Mais nous, en France, on ne l’a pas encore compris! Mais nous avons bien les moyens.. !?
Ce n’est pas en copiant/collant un commentaire et en remplaçant tous les termes EnR par nucléaire que vous gagnez en crédibilité. Le recul de l’éolien est mondial, et vous évoquez le cas des EPR en France / Finlande (hors sujet ?). Vu l’intermittence de l’éolien et le surcroît d’interconnexions / dispositifs de stockage qu’il implique, il est parfaitement objectif de dire que les investissements dans l’éolien sont colossaux. Nécessaires pour nous et nos enfants, nous sommes bien d’accord, mais non moins colossaux. Si vous voulez changer la donne, acceptez ce fait, et placez votre argent d’un livret A à des actions dans des entreprises éoliennes. Il n’y a que comme ça que les EnR auront la place qu’elles méritent. Pas en attendant vainement que des banquiers court-termistes et des politiques électorialistes changent leur façon de faire.
Les tarifs d’achats pour l’éolien sont pas si élevés que ca, 8c€/kwh pour 10 ans puis entre 2 et 8 pour les 5 ans suivants Tout nouveau moyen de production nécéssite des investissements que ce soit pour l’éolien ou pour du gaz ou du nucléaire Il est completement faux de dire que ca entraine un surcout « colossal » pour le réseau de transport. De plus, on produit l’énergie au plus proche de la ou elle est consommée. COntrairement aux grosses centrales pour lesquels c’est plu compliqué d’évacuer de si grosses puissances
@Bob1 Pas d’accord avec vous, l’électricité éolienne est transportée : en Allemagne le nord la produit le sud la consomme à grands frais prévus car les reseaux sont sous-dimensionnés, elle peut être exportée également. Pour le tarif : les promoteurs s’arrangent pour ne pas produire au delà du seuil de changement de tarif. C’est donc 9cts/kwh. De nouveaux transformateurs géants sont créés pour justement monter en tension l’électricité en vue du transport (400 000volt). Exemple à ST Victor, sud Aveyron ou la densité de population ne permet pas la consommation des quantités produites ou prévues sachant que la région produit déjà énormément d’hydroélectricité.
Le dernier rapport sur la crise du système électrique Européen publié par le CGSP est édifiant . L’intégration massive d’énergies renouvelables subventionnées et prioritaires sur le réseau conduit à une situation de surcapacité. les prix de détail de l’électricité ont nettement augmenté pour les ménages européens, d’environ 27 % entre 2008 et 2013. Ils ont doublé sur dix ans en Allemagne, au point de devenir un problème politique majeur dans ce pays, mais aussi en Espagne. Il importe également de revoir les politiques de soutien au développement des ENR, en remplaçant, pour les technologies matures, les tarifs d’achat par des mécanismes plus compatibles avec le marché, et en faisant participer les ENR à l’équilibrage du réseau. En complément de cette révision, il faudra soutenir une politique de recherche et développement ambitieuse et coordonnée au niveau européen pour les technologies non matures (stockage, efficacité énergétique, smart grids). Heureusement que Lapalisse était là !!! et dans ce rapport seul l’éolien est remis en cause , le PV lui, se sera pour plus tard .Ce qui serait intéressant de savoir c’est : Combien de milliards nous à coûté l’arrivée des EnR éolien et PV depuis 2005 , Autrement dit , la première transition énergétique .
« Il importe également de revoir les politiques de soutien au développement des ENR, en remplaçant, pour les technologies matures, les tarifs d’achat par des mécanismes plus compatibles avec le marché, et en faisant participer les ENR à l’équilibrage du réseau. » objection votre honneur: vous faîtes supporter aux ENR la responsabilité de l’irruption massive du charbon US liée elle-même au développement US des gaz de schiste. Vous êtes bien silencieux sur ce point trop content de faire porter le chapeau aux ENR, ça c’est fait. Revoir les politiques de soutien est une chose, interrompre le développement de l’éolien terrestre en France, qui est compétitif, en est une autre, on le voit bien dans cette brève où la France est sortie des écrans radar en terme de puissance installée, vous pouvez donc vous réjouir !
C’est le grand retour du tout-nuke contre le reste du monde…. Ici sur un article concernant l’éolien, mais aussi celui où on parle d’hydrogène… Quel que soit le sujet , voici super nukeman qui sort de son chapeau la vieille fable du merveilleux nuke qui fait le maximum pour pas cher. Résumons : un réseau conçu pour les giga-centrales n’est pas conçu pour une production distribuée dont l’intermittence est décorrélée à la demande. Soit ! L’éolien, le PV, l’hydrogène-énergie industriels ont 10ans d’existence. Les giga-centrales ont au moins un siècle. C’est surtout la lutte des centralisés contre les distibués. Pourtant, on ne risque pas de revenir au vieux temps : le numérique est passé par là et le réseau internet que vous utilisez tous, nous apprend à concevoir des topologie réseau complexes où tout le monde est à la fois producteur et consommateur. C’est cette spécificité qui est irréversible , bien plus que la technologie de production Or on sait ce qui est advenu du minitel, technologie développée par l’état, hyper-rentable et bien maitrisée… Le nucléaire a quand même quelques casserolles aux fesses qu’aucune méthode de déni ne parviendra à faire taire . Quant à l’éolien, PV, Hydrogène… s’ils étaient vraiment abscons, rien ne les maintiendrait au top des investissements mondiaux. L’éolien se porte très bien marci pour lui, comme vous le constaterez en relisant l’article, l’année 2014 s’annonce excellente, aucune croissance n’est linéaire, on a des problèmes financiers et technologiques , certes Mais l’éolien reste un excellent moyen d’assurer une production électrique locale sans risque important. Tous les pays l’ont compris , tous les pays gèrent les problèmes au fur et à mesure de leur apparition et aucun à ce jour n’a renoncé aux EnR pour les remplacer par du nucléaire Le rapport détaillé du GWEC est ici : il devrait faire référence pour un an … il n’y a pas vraiment de scoop dans cette brève
Concernant le transport d’électricité, vous ne faites encore que parler d’investissements qui sont quoi qu’il arrive nécéssaires. On ne peut pas mettre sur le compte de l’éolien la réféction du réseau électrique entier… Le problème de l’allemagne n’est pa qu’ils installent des éoliennes, c’est que tout est centralisé au nord, et que leur réseau a des faiblesses (comme notre PACA et bretagne) L’espagne a plus de 20% d’éolien dans son mix, sans rencontrer de problèemes insurmontables. Le prix de leur électricité n’est pas le meme qu’en france, mais encore une fois il faut bien de l’investissement pour se développer On peut pas tourner a vie sur des machines du siecle dernier
Bon, le titre est quand même un peu fort… On parle de recul de l’éolien pour un simple ralentissement de capacité installée. Mais cette dernière continue d’augmenter. Moins vite que les années précédentes, mais elle augmente tout de même. De même, la Chine installe beaucoup d’éolien. Plus que la France et même que l’Allemagne… Pas vraiment exceptionnel pour un pays bien plus important en termes de surface et en terme de population… Il serait intéressant d’avoir les mêmes chiffres moyennés par la population par exemple.Je ne suis alors pas vraiment sûre que la Chine soit si bonne… On retrouverai les Allemands, les Danois et autres vrais leaders de l’éolien… Et arrêtez de sortir le nuke à tout bout de champs, c’est vraiment hors sujet sur cet article – -‘. On parle de l’éolien mondial, le nuke est une spécificité française. On aime ou pas, mais prière de ne pas nous le reservir à tout les plats et même en dessert…
merci pour le lien vers le rapport GWEC , il n’était effectivement pas dans la brève (je constate d’ailleurs qu’Enerzine met beaucoup moins de liens vers ses sources).
@Bob1 Désolé Bob, mais créer de nouvelles lignes ou augmenter la capacité de transport ce n’est pas renover le système. La consommation est quasi-stable, mais le besoin d’échanges et l’apport des éoliennes éparpillées oblige la création de ces nouvelles lignes et structures d’acceuil. Ce qui ne sera pas évident même en Allemagne, car bizarrement outre Rhin ils acceuillent mieux les éoliennes que les pylones HT qui leurs sont nécessaires… On parle tout de même de dizaines de Miliards d’euros. Qui paye? Le producteur ou le consommateur?
Peut être tout simplement que les meilleurs « spots » éoliens commencent à êtr équipés ? Peut être que l’intermittence, couplée à de nécessaires centrales de back-up au charbon ou au lignite commence à agacer y compris les (certains) « écologistes » locaux ? Peut être que léolien a (trop ?) été considéré comme une opportunité fiscale ou financières (subventions, tarifs de rachat) ? Peut être que l’avenir de l’éolien est dans les grands « champs off shore », qui demandent un autre ordre de grandeur technique et financière, sans parler des contraintes de maintenance et son incidence sur le prix de production d’un KW ? Guess what ?
¤ En fait, le réseau électrique français est conçu pour absorber la pointe de consommation du soir en hiver, dont plus de 40% concerne le chauffage. Voir le graphique page 8 : Sur un maximum de puissance journalière moyenne de 95 MW, la consommation hors chauffage est seulement de 55 MW, le chauffage comptant pour 40 GW. Le maxima à 102 GW (la pointe) ne serait jamais atteint sans le chauffage électrique. Et le réseau est dimentionné pour passer davantage. Pour compléter le tableau, ne jamais oublier que lorsque les promoteurs ont mis du chauffage électrique, pour économiser leur investissement et augmenter leur marge bénéficiaire, il n’y a pas de gaz dans l’immeuble. Et donc, cuisine à l’électricité … vers 19h-20h. Ce qui augmente les dégâts.
Il est normal que l’éolien, après avoir atteint un stade industriel, ne poursuive pas une évolution exponentielle ! Cette nouvelle n’a rien de bon ou mauvais en soit, tant qu’on continue à en installer dans les marchés qui n’en sont pas équipés dans des proportions raisonnables.
Plus de 12% de progression en puissance installée, c’est vraiment satisfaisant, il y a peu de secteurs qui suivent un telle pente de progression depuis bientôt 20 ans. Si on fait un focus sur la France, il y a fort à parier que dès cette année on puisse rejoindre le top 10 car il y a eu beaucoup d’autorisations délivrées, après les ralentissements dus aux modifications réglementaires et à la frilosité des zinzins dans cette période de crise. Au final il y a des milliers de MW en projet ou déjà en file d’attente et on peut espérer atteindre les 10 000 MW installés fin 2014. (8 465 au 1er janvier) Vive le vent !
Et avec un bon quart de notre électricité en production renouvelable ces derniers jours je propose à JP dc et aux autre « antis » de réduire illico de 25% leur consommation pour ne pas se laisser polluer par ces électrons impis. JP peut aussi se renseigner sur la façon dont on organise l’intégration des EnR sur le réseau et quelle est la participation des producteurs éoliens et solaires à cette modernisation.
et qui explique une bonne partie de ces chiffres, ce sont les USA. Plus de 12000MW installés en 2012 si mes souvenirs sont bons, 1000 en 2013, et en 2014 ça parait repartir pour plus de 10000MW, tout ça du fait des incertitudes (levées) sur le mécanisme d’incitation en vigueur là-bas, le Production Tax Credit ( PTC). Comme quoi sans mécanismes ce n’est pas encore tout-à-fait mûr…
Bien entendu, le réseau francais ( transport et distribution) est a priori dimensionné pour couvrir les besoins francais, certes marqués par une utilisation importante des usages thermiques. Et alors, je ne comprends pas ce que vous voulez démontrer? Si l’éolien sujet de l’article, qui produit plus en hiver qu’en été, est amené à se développer, c’est plutôt une bonne chose, non?
Par contre y’a des domaines ou on se demande ou va l’argent.. => résultats
Les ENR coûtent chers ! Que dire du nucléaire, qui a englouti des centaines de milliards en recherche depuis les années 60, qui a paralysé toutes recherches dans d’autres domaines, notamment énergétiques, qui auraient pu faire de nous le fer de lance de l’efficacité énergétique et de l’énergie renouvelable mondiale. Mais on persiste aujourd’hui dans la même direction avec les programmes EPR et ITER. Que dire du coût du traitement des déchets nucléaires : par ailleurs ce n’est même pas une question de coût, personne ne sait comment les gérer. Que dire du coût du démantèlement des centrales : nous ne sommes plus assez riches pour le prendre en charge. A tel point que des centrales prévues pour durer 30 ans, nous les avons prolongé à 40 ans, et maintenant bientôt 50 ans : on ne sait pas faire autrement puisqu’on n’a pas l’argent pour les démanteler. Et pour faire quoi des centaines de milliers de tonnes de déchets nucléaires supplémentaires générés ? Jusqu’où prolongera-t-on ? Jusqu’à ce qu’un gouvernement ait « le courage » de mettre fin à la politique nucléaire ==> cela ne se produira pas. Donc il reste 2 issues : un FUKUSHIMA à la Française (à force de prolonger …), ou quand nos voisins Européens auront bien engagé leur transition énergétique, une injonction de l’Europe pour fermer nos « dangeureuses installations », et nos voisins s’empresseront de nous proposer leurs technologies en ENR pour nous aider. Encore une opportunité de perdue de développer une industrie et des emplois pour la France. Quelqu’un voit-il une autre issue réaliste à notre politique électricité à 80% nucléaire » ? Les pespectives environnementales, économiques, de développement durable local des territoires, d’emplois, sont autrement plus positives avec les énergies renouvelables. Phil
Merci Zoziau de ces précisions Mais je n’ai rien dit contre l’hydro et suis conscient de son pouvoir de régulation. Par contre le document RTE montre bien sur la journée qu’ à tous moments nous exportions plus que l’éolien ne produisait. Et donc je n’ai pas à diminuer ma consommation car les electrons verts éoliens sont certainement vendus à perte à l’étranger.
Par contre les électrons noirs nucléaires en excès on va les vendre une petite fortune cette nuit ! (c’est pourtant pas compliqué d’arrêter un réacteur) Pour info et par exemple Languedoc-Roussillon a importé pas mal aujourd’hui. Des petits électrons verts espagnols ?
@Zoziau « Par contre les électrons noirs nucléaires en excès on va les vendre une petite fortune cette nuit ! (c’est pourtant pas compliqué d’arrêter un réacteur) » On n’a pas empêché de tourner les éoliennes non plus cette nuit, c’est pourtant facile. Bonjour la note ! Moi qui croyais naïvement que l’électricité coûtait moins cher la nuit.
Erreur ! l’électricité coûte autant à produire la nuit ou le jour, c’est simplement parce qu’il n’est pas possible de réguler le nucléaire qu’EDF a mis en place un tarif heure creuse. Passez chez un fournisseur d’électricité d’origine renouvelable comme Enercoop vous verrez qu’il n’y a qu’un seul tarif au kWh.
Vous êtes idiot ou alors vous le faites exprès? Quelle est l’énergie miracle que la France aurait dévellopé?
Et sans votre condescendance Madame, sa donne quoi ? Par contre le titre est vraiment raccoleur et totalement faux, il aurait été plus raisonnable de dire « L »installation de nouvelles capacités éolien mondial en recul pour la premiére fois .. » Et au final pour dire quoi ? Que les croissances exponentielles ne peuvent évidemment pas tenir dans la duré, waaah quelle scoop ! Pour infos, la capacité est telle aujourd’hui que même une croissance minime est en capacité, considérable … Cordialement,
déchets => stockage ou réacteurs 4 gen Plus emplois avec de l’énergie chère et intermittente? Tu fumes quoi? En quoi nos centrales sont très vieilles?
1) C’est Monsieur. 2) La condescendance face à ces débilités n’est pas en option. 3) Quelle énergie la France aurait développée si elle n’avait pas investi sur le nucléaire? Qui d’autre a développée cette énergie? (Les réponses sont : aucune et personne.)
Autant pour moi, je considérais votre pseudo comme féminin, mais c’est vrai qu’on est en pleine rabattage médiatique sur la théorie du genre en ce moment mdr La condescendance face à une idée OUI, la condescendance voir l’insulte sur l’individus NON « En quoi nos centrales sont très vieilles? » Vous êtes au courant qu’actuellement, EDF déplois des efforts considérable pour rallongés à 50 voir 60 ans des centrales conçus pour une durée initiale de 40 ans ou bien vous zappés l’actualités qui ne vous convient pas ? Cordialement,
j’ai retrouvé trace du tableau de bord du Ministere Ecologie, il indique 1737MW d’éolien en attente de raccordement, avec 7900MW déjà raccordés. Reste à savoir quelle part sera effectivement raccordée, compte tenu du flou sur tarif achat ou pas, ce qui doit pas simplifier financement…
L’éolien en recul ! Pourquoi ? Oui, l’éolien çà ne pollue pas, tout est recyclable, çà n’hypothèque pas la vie de nos enfants, de tout vivants sur la planète. Mais l’investissement doit trouver retour financier et humain. Ors, le matériel éolien est physiquement irrationnel, de là peu productif, d’une fiabilité douteuse. Participatif ou autre, l’efficience est impérative, et ne pas voir l’aspect économique, c’est marcher à côté de ses souliers. Et, pas de capitalisme de subventions, pas de culture de l’irresponsabilité ! Un éolien durable, productif, tout le monde en rêvera, et son recul, le recul de la vie cessera.