Les parcs éoliens présentent moins de risques pour les oiseaux des champs que ce que l’on pouvait craindre, révèle une étude britannique.
Des chercheurs de l’Université de Newcastle ont mis en évidence que sur 23 espèces, seul le faisan était affecté par les éoliennes. Pour cela, ils ont étudié 3 000 oiseaux de 23 espèces différentes, dont cinq menacées, et ont notamment démontré que les éoliennes n’ont pas d’effet sur la répartition des espèces se nourrissant de semences. D’après l’étude, seuls les faisans communs ont été perturbés et aucune collision n’a été observée par les chercheurs.
"C’est la première preuve qui indique que l’implantation présente ou future d’un grand nombre d’éoliennes sur les terres agricoles européennes est peu susceptble d’avoir des effets préjudiciables sur les oiseaux des terres agricoles", indique le Dr Whittingham. "Cela devrait être une bonne nouvelle pour les associations de protection de la nature, les compagnies éoliennes et les politiques."
L’agriculture étant le premier poste d’utilisation des terres en Europe, de plus en plus d’éoliennes seront construites sur ce type de terrain. Il apparaissait nécessaire aux chercheurs de mesurer l’impact de ces implantations sur les espèces, alors même que l’Europe alloue des milliards d’euros afin d’accroître la biodiversité des terres agricoles.
Si les chercheurs avaient révélé des nuisances sur ces espèces, cela aurait pu mettre en contradiction deux politiques environnementales européennes : les objectifs de développement des énergies renouvelables d’une part et la protection de la biodiversité d’autre part.
"On observe une préoccupation grandissante concernant l’impact des éoliennes sur les espèces de ces zones, de sorte que les demandes de construction des nouvelles turbines se concentrent de plus en plus sur d’autres sites, en particulier sur les terres agricoles des plaines centrales et de l’Est de l’Angleterre" ajoute le Dr Whittingham.
L’étude ayant été réalisée au cours de l’hiver, d’autres devront être menées pendant la saison de reproduction de ces espèces agricoles.
Entre les antis qui signalent (mais le prouvent-ils ?) des monceaux d’oiseaux et de chauves-souris découpés menu au pied de chaque éolienne, et cette étude qui, après seulement un hiver (incluant les périodes de migration ?), conclue « Y a pas de ‘blème » …je doute de plus en plus de ces études, rapports, commisions et de leurs conclusions baclées, orientées, partiales, trompeuses, etc …Pas de méprise: je n’attaque pas l’éolien, mais si je voulais le défendre, je n’utiliserai certainement pas ces conclusions à la limite du ridicule tant qu’elle n’aura pas été validée par le temps, trop sujettes à critique, arme qui va être bien sûr utilisée avec délectation par les antis qui ne pourront qu’y trouver arguments chancelant et difficilement défendables comme moyen de prouver le contraire des premières conclusions hatives de cette étude.Car il est si facile, quand on ne peux prouver, de croire qu’on a raison uniquement parce que l’autre ne peut pas prouver qu’il a raison non plus !… Comme une photographie, instantanée d’un fugace instant, point de vue unique, qui ne peut prétendre conclure de la réalité d’une scène, ce rapport vient trop tôt pour contre-argumenter ceux qui considèrnt les éolienne comme des hachoirs à volatiles.
….ou assurément non . C’est le sel qui tue et sauve, la langue qui produit le pire ou le meilleur……etc Navette spatiale terre qui nous est d’absolu nous fait d’absolu sciences de terronautique. A l’identique de celles d’aéronautique que nous font nos aéronefs il ne nous est que de s’y d’intelligence et pouvoirs de mode binaire.Ainsi qu’on en soit de sciences ou non il n’en sera toujours pour le vivant que de deux sens à s’y faisant. Et celui qui s’y serait tel en « sablier » sur ordinateur s’y sera sous cette apparence toujours agent que de 1 ou 0. Il est sens faisant perdurer pour gente humaine potentialités de bons heurts pour passagers qui avec armes bagages et issues qui lui seraient agent en cela , de 1 et si non il se serait il lui serait de 0 . C’est à dire emprunteur qui tantsciemment qu’incosciemment s’en fait agent les lui faisant perdre tôt ou tard , disparaitre pour gente humaine et gente humaine avec Donc je nous souhaite que qui le peut commence par s’énonce déjà qu’il n’est, naît que terronautique à se raconter pour humain devenu de quotient intellectuel normal à bord de cette navette spatiale, tout comme à bord d’aéronefs il n’est, naît d’eux que de deux sens à se la raconter : ce qui est de sens pour leur faire demeurer potentialités de bons heurts pour notre gente qui leur sera en cela et ce qui ne faisant cela !