Partant du principe que l’air est toujours chargé d’eau, l’entreprise Dutch Rainmaker, originaire de la région de la Frise aux Pays-Bas, a créé une éolienne capable de produire de l’eau potable à partir de l’air.
La totalité de l’énergie créée par les pales de l’éolienne est consacrée à la production d’eau. La turbine actionne un compresseur relié à un système frigorifique installé dans le pylône. Un ventilateur aspire l’air par le bas et l’amène à traverser ce système, entraînant la condensation de l’eau présente dans l’air. Les gouttes d’eau produites coulent alors le long des parois et sont stockées dans un réservoir. L’eau ainsi recueillie peut être utilisée comme eau potable ou d’irrigation.
Une éolienne de ce type a déjà été construite à Wetsalt (Harlingen) afin de vérifier la quantité d’eau produite. Le prototype produit environ 500 litres d’eau par jour, mais une installation plus imposante est déjà à l’étude et pourra produire de 7 à 8 m- d’eau par jour. Dans les régions arides du globe, cela pourrait devenir une solution au manque d’eau, en sachant que si aux Pays-Bas l’utilisation moyenne d’eau par jour et par habitant est de l’ordre de 140 litres, elle n’est par contre que de 20 litres dans les régions où l’eau est plus rare. Une seule éolienne serait alors suffisante pour alimenter un village de 2000 habitants. Cependant, l’éolienne de Dutch Rainmaker n’est pas adaptée par exemple aux conditions extrêmes du Sahara, car l’air y est tout simplement trop aride.
L’entreprise a aussi créé une autre version de son éolienne, qui produit également de l’eau potable mais cette fois à partir d’eau salée ou polluée. Cette dernière est pompée et réchauffée par un échangeur de chaleur actionné grâce aux pales de l’éolienne. La vapeur ainsi créée est ensuite refroidie, produisant de l’eau pure qui coule vers un réservoir de stockage. Le rendement de ce système atteint 50 à 60 m- d’eau par jour, soit beaucoup plus que le premier type d’éolienne.
BE Pays-Bas numéro 31 (22/12/2008) – Ambassade de France aux Pays-Bas / ADIT – http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/57119.htm
…d’une énergie fugace car son « produit » (l’eau) peut se stocker facilement. La seconde histoire « d’échangeur de chaleur actionné par les pales de l’éolienne » est totalement aberrante: Celui qui rapporte cette instatllation n’y a absolument rien compris. Il est probbale qu’il s’agit d’osmose inverse, procédé le moins gourmand en énergie au m3. De toutes façons, une aussi bonne utilisation plutôt que de l’électricité fugace jouissant d’une obligation d’achat aux frais des clients EdF.
Si j’ai bien compris, on peut faire de l’eau dans les zones où il pleut donc là où l’on n’en a pas besoin mais pas dans les déserts là où se serait nécessaire. Comme si l’installation d’éoliennes pour une fourniture alléatoire d’électricité ne suffisait pas, il faudrait maintenant en ajouter pour qu’elles ne servent à rien. Où va-t-on ?
on peut aussi utiliser ces eoliennes sur des iles, par exemple ténérifeles terres sont arides mais l’air marin est humide.de toute façon « semez semez, il y aura toujours une idée qui germera, toutes invention est la bienvenue pour le devellopement de l’énergei de demain »
Je rejoins Lo dans son approche d’optimiste positif: semez semez !….qq fois ce n’est pas ce qu’on cherchait qu’on trouve, mais dans la mesure où on trouve qq chose c’est positif, en général… !Pour l’appli 1, l’1 des limites est l’humidité de l’air de départ ! relativisons donc qq peu, mais gardons l’idée qui est bonne.Pour l’appli 2, eau potable à partir d’eau salée, dans la mesure où on chauffe pour vaporiser puis condenser, l’on pourrait mettre en // l’aide du soleil pour contribuer à chauffer l’eau comme pour le cas d’1 ECS. Les 2 en // (vent+soleil) permettrons de gagner en efficacité globale.Bonne continuation à nos amis de la Frise hollandaise….A+ Salutations Guydegif(91)
Je rejoins Lo dans son approche d’optimiste positif: semez semez !….qq fois ce n’est pas ce qu’on cherchait qu’on trouve, mais dans la mesure où on trouve qq chose c’est positif, en général… !Pour l’appli 1, l’1 des limites est l’humidité de l’air de départ ! relativisons donc qq peu, mais gardons l’idée qui est bonne.Pour l’appli 2, eau potable à partir d’eau salée, dans la mesure où on chauffe pour vaporiser puis condenser, l’on pourrait mettre en // l’aide du soleil pour contribuer à chauffer l’eau comme pour le cas d’1 ECS. Les 2 en // (vent+soleil) permettrons de gagner en efficacité globale.Bonne continuation à nos amis de la Frise hollandaise….A+ Salutations Guydegif(91)
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Je rejoins Lo dans son approche d’optimiste positif: semez semez !….qq fois ce n’est pas ce qu’on cherchait qu’on trouve, mais dans la mesure où on trouve qq chose c’est positif, en général… !Pour l’appli 1, l’1 des limites est l’humidité de l’air de départ ! relativisons donc qq peu, mais gardons l’idée qui est bonne.Pour l’appli 2, eau potable à partir d’eau salée, dans la mesure où on chauffe pour vaporiser puis condenser, l’on pourrait mettre en // l’aide du soleil pour contribuer à chauffer l’eau comme pour le cas d’1 ECS. Les 2 en // (vent+soleil) permettrons de gagner en efficacité globale.Bonne continuation à nos amis de la Frise hollandaise….A+ Salutations Guydegif(91)
Je rejoins Lo dans son approche d’optimiste positif: semez semez !….qq fois ce n’est pas ce qu’on cherchait qu’on trouve, mais dans la mesure où on trouve qq chose c’est positif, en général… !Pour l’appli 1, l’1 des limites est l’humidité de l’air de départ ! relativisons donc qq peu, mais gardons l’idée qui est bonne.Pour l’appli 2, eau potable à partir d’eau salée, dans la mesure où on chauffe pour vaporiser puis condenser, l’on pourrait mettre en // l’aide du soleil pour contribuer à chauffer l’eau comme pour le cas d’1 ECS. Les 2 en // (vent+soleil) permettrons de gagner en efficacité globale.Bonne continuation à nos amis de la Frise hollandaise….A+ Salutations Guydegif(91)
Je rejoins Lo dans son approche d’optimiste positif: semez semez !….qq fois ce n’est pas ce qu’on cherchait qu’on trouve, mais dans la mesure où on trouve qq chose c’est positif, en général… !Pour l’appli 1, l’1 des limites est l’humidité de l’air de départ ! relativisons donc qq peu, mais gardons l’idée qui est bonne.Pour l’appli 2, eau potable à partir d’eau salée, dans la mesure où on chauffe pour vaporiser puis condenser, l’on pourrait mettre en // l’aide du soleil pour contribuer à chauffer l’eau comme pour le cas d’1 ECS. Les 2 en // (vent+soleil) permettrons de gagner en efficacité globale.Bonne continuation à nos amis de la Frise hollandaise….A+ Salutations Guydegif(91)
je sus d’accord aussi sur l’intéret de la première technologies dans certaines région s ou les conditions sont réunies.c’est comme pour tout, « ce n’est pas par ce que ce n’est pas bien pour tout que c’est bien pour rien »… reflex bien franco-français ! @ Guydegif:l’information donnée par Pasnaïf concernant l’erreur de comprehenssion/explication du journaliste méritait qu’on s’y attarde un peu plus , car à bien y regarder , sur le petit shémat de principe , on ne voit pas d’échangeur ou autre cirutit de vaporisation , mais plutôt des pompe de mise ne préssion du liquid, il y’a pourtant bien un échangeur de chaleur certe, mais à mon avis il est tout simplement là pour réchauffer l’eau de mer afin d’augmenter le rendment des cartouche à osmose inverse… Avec ce procédé de filtration très répandu aussi en eau douce, il faut savoir que plus l’eau est froide, plus on génère de perméat( l’eau non filtrè qui est rejetée/gaspillée), et comme déjà à bon rendement on obtient seulement qu’1/3 d’eau filtrée pour 2/3 de permeat, on comprend donc vite pourquoi il est très recommander de préchauffer légèrement l’eau (par ex la rammener à t° ambiante) qd elle arrive froide (par ex en sortie des conduite d’adduction d’eau de ville), sinon on arrive à des rendements encore plus dramatiques!Là ce que je ne comprends pas, c’est l’interet d’aller chercher un haut rendement puisqu’on ne risque pas de vider la mer, alors que les osmoseur d’eau douce,engendrent qt à eux une multiplication de la conso d’eau potable par 3 à 5!!! chose que les propriétaires de toute ces fontaines à osomose inverse de cuisine semblent ignoré! de toute façon le permeat peux y être rejeté puisque la mer est brassée mélangé, et qu’on ne risque pas vriament d’attindre des problème de concentration de polluant…Par contre s’il s’agit de puisser dans un lac sallé, ou lac tout court, alors le fait de renoyé le perméat peut poser problème à ce niveau… donc autant optimiser le rendement pour produire plus d’eau propre en prelevant moins au milieux… J’me plante là les amis?
Le brevet officiel de l’éolienne à production d’eau a été validé cette semaine par une entreprise française(que je n’arrive pas à retrouver car site pas actualisé PACA ou CENTRE ?) Je n’aime pas trop voir la terre pourrir comme un vieux fruit et laisser nos enfants vivre sur les ruines de nos conneries . Ce n’est pas 30 avions de chasse rafale que ….brézil…? Recréer un écosystème en plein désert est possible ! . Je suis partant (technicien et homme de terrain) Alors qui seront les courageux pour dire à maman et les enfants »je pars six mois ou plus pur reconstruire notre planète » ?
Cordialement, C.Verna
Qu’est ce qui se passe ?
Niko 83 ferme ta gueule !!!!!!