Entre 20 et 30 éoliennes pourraient être implantées en pleine mer, au large de Boulogne-sur-Mer, selon le projet étudié par la société Neoen.
Le projet n’en est qu’au stade de la réflexion, rapporte la Voix du Nord. Il devra ensuite passer par une importante phase de concertation avec les acteurs concernés.
Toutefois, la société Neoen, filiale de Direct Energie, a déjà une idée du visage que prendrait ce parc éolien : à 10 km au large d’Equihen-Plage, entre 20 et 30 éoliennes seraient installées. Espacées de 500 mètres pour permettre la navigation, chaque turbine fournirait entre 3 et 5 MW de puissance installée.
Interrogé par le quotidien local, Philippe Dechelotte, directeur de Neoen, évoque des machines d’une hauteur de 80 m munies de pales de 120 m de diamètre. Deux ou trois lignes seraient implantées, chacune distante de 800 m de l’autre.
Le projet représente un investissement de 350 millions d’euros, dont "24 millions retomberaient dans l’économie locale", sur une durée d’exploitation de 20 ans, précise le PDG.
Une telle installation semble plus acceptable que dans nos paysages ruraux.Plus rentable à coup sûr:le régime des vents n’étant en rien comparable. Seule question:peut -on espérer que ces machines nous éviterons le saccage de quelques sites ou ne feront-elles que s’ajouter aux terrestres?
« nous éviteronT » T outes mes excuses,il faut toujours se relire,sur cette damnée machine.
Le vent est omniprésent quasiment partout, et serait captable de délivrer à partir de 2 m/s une durée de production, certes souvent faible, d’environ 5000 heures par an ……………….. Entre le sol et une hauteur de 100 m, on gagne environ 35 à 40 % ………… Et c’est là que cela se gâte : au lieu de travailler à améliorer les gains de 40 % en augmentant les prises au vent au sol , …………. la quasi totalité des professionnels de Panurge a suivi le mouvement en montant toujours plus haut, au plus grand mépris de quelques inconvénients majeurs qui se dessinent petit à petit……. : refus des riverains, montages et maintenances plus que doublés, structures de T & D considérablement multipliées etc…… Voilà comment la » Panurgitude » peut conduire à des erreurs collectives : de multiples éoliennes à vents faibles, invisibles de loin et répartissables ad libitum auraient permis un réel envol des ENR à un coût indolore pour le marché et surtout très créateur d’emplois locaux…….
Vu comme cela, au premier abord, évidemment Tartempion! Sauf « qu’améliorer les gains de 40% » etc ne veut rien dire quand on compare un gain de « 35 à 40% » en puissance à une augmentation de surface… De plus, si l’on prend en compte le rendement réel et faible d’une machine par vents faibles (par exemple les machines à axe vertical) et son fonctionnement (en zone très perturbée au niveau du sol), ce ne serait surement pas de 40%. « Panurgiquement » vôtre