A partir d’une modèlisation climatique capable d’analyser les effets de millions d’éoliennes sur le climat, des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont découvert que les installations d’éoliennes terrestres à grande échelle pourraient faire augmenter la température.
Alors que l’objectif des Etats-Unis est d’installer 20% de capacités éoliennes d’ici 2030, les chercheurs ont étudié ce qu’il adviendrait à la température de l’air à proximité de ces fermes éoliennes. Ils ont découvert que les températures grimperaient d’environ 1° Celsius lorsque les éoliennes seront en capacité de fournir 10% de la demande énergétique mondiale. A l’inverse, les chercheurs ont constaté que les éoliennes installées en mer avec la même densité de turbines entraîneraient une baisse de la température de 1° Celsius.
Ces changements de température seraient dus à un trop grand nombre d’éoliennes, réduisant la force de turbulence du vent et donc l’évacuation de la chaleur hors de la zone environnante. Les chercheurs ont toutefois indiqué que cette annonce ne devrait pas être utilisée comme argument anti-éolien. "Nous ne sommes pas pessimistes quant à la technologie éolienne", a noté Ron Prinn, professeur de science atmosphérique au TEPCO. "Nous n’avons absolument pas prouvé cet effet, et nous préférons attendre que d’autres équipes réalisent des études plus poussées."
Dans leurs champs d’expérimentation, ils ont également noté que la mise en place d’une énergie éolienne de masse pourrait se révéler certes vertueuse pour l’environnement mais économiquement coûteuse. En effet, l’énergie éolienne est par nature intermittente et cette lacune devra être résolue.
Pourtant on n’est pas encore le 1er avril…
L’an dernier le poisson d’avril était bien le premier avril avec les éoliennes qui ralentissaient la rotation terrestre. Un peu d’avance cette année ?
Amateur d’articles d’actualités et/ou scientifiques sur les énergies, je ne vais pas tarder à changer de site de référence si c’est pour lire des infos de ce genre. A bon entendeur.
Enerzine diffuse des « informations » de toute première importance : pertinantes elle permet de mieux comprendre le très fort impact de ces moulins à vent sur le climat ! Résumont : – Une éolienne sur TERRE : c’est dangeureux pour le climat (+ 1°C vous imaginez !) – Une éolienne en mer : c’est – 1°C ! Vital et SCIENTIFIQUEMENT prouvé par le MIT vous imaginez le sérieux ! Je me demande juste si le fait le peindre en blanc diminue ou baisse la température des électrons qu’elle produit ? ;o) Faudrait leur demander au MIT..
« Nous ne sommes pas pessimistes quant à la technologie éolienne », a noté Ron Prinn, professeur de science atmosphérique au TEPCO. « Nous n’avons absolument pas prouvé cet effet, et nous préférons attendre que d’autres équipes réalisent des études plus poussées. » Vous faites des articles sur un sujet polémique à cout de supposition ? Quel est le prochain ? « Les éoliennes ferait peut être perdre les cheveux ? revenir l’etre aimé ? »
Pourquoi prendre Enerzine à partie ? Nous relayons une information du MIT. Le MIT nous semble t’il, reste un organisme de recherche des plus crédibles. Libre à vous de lire cette info. ou non, de la commenter ou non. La rédaction
mais pourquoi rejeter les « modèles », à la base des conclusions, certains driaient alarmistes, du GIEC ? (du MIT quand même, c’est pas rigolos !) Positivons : éoliennes en mer si les « modèles » « prouvent » que la temperature se réchauffe, et sur terre dans le cas contraire ! Donc, par principe de précaution couvrir tous les espaces disponibles sur terre et dans la mer d’éoliennes, avec lesquelles on « jouerait » à réguler la température mondiale. Un bien bel exemple de géoingénierie en perspective ! (un futur « windgate » ?) PS et la chaleur dégagée par les panneaux PV ?
Chez Enerzine on relaie aussi des tracts de SDN, qui semble être un organisme de recherche des plus crédibles.
Dans ce cas là, vous faîtes un procès à toute la presse en générale. Les quotidiens nationaux / régionaux en ont parlé également. Concernant notre ligne éditoriale, nous ne considérons pas la censure comme un outil de travail intéressant. Nous savons bien que les informations qui sortent du « politiquement correct » ne plaisent pas à tout le monde… Aussi, c’est notre choix et nous l’assumons. La rédaction.
Bonjour, Je vient de lire quelques posts a ce sujet qui apparement choc, je vous rassure je ne suis spécialiste en rien ou en tous cas pas dans ce créneau mais quand on pense qu’une perssonne il y a de cela quelquesssssss années a annoncé que la terre était ronde, on n’a pas attendu internet et tous ce qui va avec pour démentir et traiter cette perssone de fous. Donc je pense que cette info a le droit d’être communiquée avec toute la réserve qui a été mensionnée. Personne n’est a même de créditer ou de discréditer cette information alors ok ca parrait énorme mais … pour quoi pas vers une certaine réalité. Voila c’est mon avis. BAV
D’abord quel est l’organisme qui a asuré le contrôle externe du MIT? En assurance qualité, c’est la règle. S’il n’y en a pas, c’est grave pour le renom du MIT. Car l’énormité des chiffres fait frémir et réfléchir: – prenons l’hypothèse de 200.000 MW d’éoliennes installées avec un rendement de 0,33 et qui délivrent une énergie à moitié à finalité thermique; l’énergie éolienne annuelle transformée en thermique serait de: 200.000 x 3 x 2000H x 50% = 600.000.000 MWH. – si en face on prend l’énergie fossile annuelle consommée (cf WIKIPEDIA) actualisée à 150.000 milliards de kWH transformés en thermique à 50% (?) soit 75 milliards de MWH on constate un rapport de plus de 1.200 !! pour une augmentation de température de 2°C environ, soit un rapport final de l’ordre de 600 !! Même si mon raisonnement est loin d’être exact,car il ne tient pas compte des échanges ou des transformations thermiques, les ordres de grandeur semblent montrer une impossibilité des chiffres du MIT, d’où ma stupéfaction. Enfin, même si ces chiffres étaient vrais, quelle serait l’augmentation de température avec une autre énergie en substitution ? Au moins du même ordre…. Merci pour tout commentaire
ça alors, ça fait mal sur la page d’accueil bonne journée à tous
le « CELCIUS » est-ce une nouvelle unité de mesure pour les températures sur notre planète ?
Si ma mémoire est bonne, la puissance thermique dégagée par une éolienne à pleine puissance c’est 30kW. Soit la moitié de la puissance thermique perdue par un moteur de voiture de 30kW mécaniques. 200 000MW = 50 000 éoliennes de 4MW de moyenne (dans 10 ans) = 25 000 voitures. Négligeable. CQFD
ou du selsius ? non, c’est du celcius pauvre Celsius , à quelle sauce vas tu finir ?
c’est bien « modèle »… pour une projection en 2100, toujours pratique en 2010 (personnellement je ne serai plus là et me contenterai de bien en rire depuis mon petiit nuage au paradis)
Merci, l’auteur appréciera. Il a bien été précisé 1°C : « à proximité de ces fermes éoliennes ». Cdlt.
J’ai beau être partisan d’un monde plus sain et plus vert, d’un monde avec plus d’éoliennes et de panneaux solaires, je ne me fais aucune illusion: a grande echelle les éoliennes auront des impacts sur la circulation des flux d’airs sur la planète, de ce genre sans aucun doute, de cette valeur ça c’est impossible à savoir, même pour le MIT. Pas la peine de mettre Enerzine sur le bûcher pour ça, bande d’obscurantistes. Ce qu’il faut retenir de notre époque, c’est le principe de globalisation, on ne peut pas agir massivement dans un sens ou dans l’autre et penser qu’il n’y aura pas de conséquence. C’est valable pour les gaz à effets de serre, ça sera valable pour les éoliennes ou les panneaux solaires ou tout ce qu’on imaginera à partir du moment où ça devient planétaire, forcément ça a des répercutions, c’est une pure question d’échelle. Et ce genre d’article doit aider à cette prise de conscience. Est-ce si difficile à comprendre? Vraiment c’est à désespérer de voir que ceux qui sont censés être pro-écologie n’ont finallement pas plus compris le problème que les autres, c’est juste qu’en lançant la pièce il sont tombés sur l’autre face. Mais vous êtes tout aussi obtus. et puis c’est juste un article quoi, c’est une théorie, un axe de réfléxion, un modèle, ça permet de réfléchir à ce qu’on fait et comment le faire mieux, calmez-vous on se croirait sur youtube
Il est clair que cette étude est du même tonneau que celle qui annonçait il y a peu que la production de biocarburants par les algues consommait plus d’énergie et d’engrais que la production de biocarburants en plein champs ( en prenant pour base des cultures d’algues destinées à la cosmétologie dont les méthodes de production n’ont rien à voir avec les futurs biocarburants ) Cela fait partie de cette contre offensive généralisée pilotée depuis 1 ou 2 ans par le secteur pétrolier américain et les compagnies pétrolières de l’opep dans le but de ralentir le passage aux énergies de substitution . Le principe est simple , on prend un fait réel que l’on sort de son contexte (ici le fait que le réchauffement est localisé ) et l’on titre en gros LES EOLIENNES FAVORISENT LE RECHAUFFEMENT en oubliant LOCALEMENT et voilà une vraie fausse nouvelle qui est jettée en pature aux gens qui ne savent pas lire entre les lignes d’un article tendancieux . MC
Certes, sauf que l’effet d’ilots de chaleur urbains pourrait expliquer tout ou partie du réchauffement global, si on fait des moyennes de stations existantes dont la majorité sont ou sont devenues de plus en plus « urbaines » depuis 1880. Si c’est pas anthropique tout ça (urbanisation, bétonnage, chauffage et clim°, circulation automobile etc…), ça y ressemble furieusement (CO2 ou pas CO2)
Pourquoi évoquer cet « inconnu » SDN ? Si c’est sortir du nucléaire, c’est un peu osé de qualifier cet association d’organisme de recherche. A part rechercher des contre vérités et faire de la démagogie, je n’ai jamais trouvé d’informations sérieuses dans SDN
@enerzine : ce n’est pas « à proximité » des éoliennes que l’élévation de température est indiquée mais dans une partie des régions correspondant à la définition de la grid utilisée… Ici c’est T42 ce qui doit correspondre à des régions d’à peu près 200 km x 300 km et la première couche verticale dont il est question se trouve entre 0 et 1000 mètres au dessus du sol… On peut difficilement parler de « proximité » à ce niveau là… Et il y a parfois élévation et parfois diminution y compris sur les éoliennes terrestres… Par exemple le Sahara « diminuerait »… Il y a des correspondances scientifiques qui se sont comptés en dizaines d’années, c’est pas pour rien qu’il faut prendre le temps de l’analyse… (ceci dit la faute est au moins partagé par le service de presse du MIT qui a la facheuse tendance toute américaine a présenté tout ce qui sort de chez eux comme une nouvelle révolution…).
Merci Chelya pour cette précision qui éclaire il est vrai assez bien l’article. Dans tous les cas, la rédaction tient à remercier tous les commentateurs qui s’expriment au quotidien… C’est aussi grâce à vous que ce site continue d’exister…
L’article original est là, mais il y a relativement peu de choses à en tirer. On sait que produire 10% de l’électricité mondiale aujourd’hui via l’éolien signifierait émettre bien moins de chaleur directe (les centrales thermiques fossiles et nucléaires génèrent directement énormément de chaleur rejeté dans l’environnement et de vapeur d’eau à basse altitude mais aussi diminuerait substantiellement l’émission d’aérosols divers (qui passent pour modérer le réchauffement anthropique) et de CO2 (qui lui réchauffe nous sommes d’accord). Je tire mon chapeau à qui prétend pouvoir quantifier tout ça et faire des prévisions. Combinée au fait que la machine climatique est d’une féroce complexité et que nous avons encore pas mal de choses à apprendre je dirais qu’il n’y a aucune raison de lever le pied sur le déploiement des éoliennes. Pour mémoire notre agriculture (et nos gourmandises carnées) ont profondément modifié l’albedo des sols et la charge en carbone de ceux-ci, une étude récente montre que les transports sont l’agent de réchauffement majeur (avant d’être dépassés en 2040 par la production d’énergie) . Que n’a t’on fait une étude il y a un siècle montrant la dangerosité de l’automobile dans le réchauffement local et global… Et si en 2100, la place supposée de l’éolien était occupée par le charbon ou le nucléaire, quel serait la différence ? Ils n’en disent rien bien sûr. Au demeurant il s’agit bien de modifications de la température « locale », mais il y aura un effet global à cette échelle à quantifier.
Rien à ajouter…Annonce « débile » de chercheurs qui se doivent de publier sur leur sujet , et qui ne sont pas capables ( ou plutôt ne s’autorisent pas car il faut bien qu’ils justifient leur job) de regarder un peu plus loin que le bout de leur nez. D’ici à ce que les éoliennes modifient suffisamment l’équilibre des vents, il y a un temps. C’est un peu comme le débat sur les rejets radioactifs par rapport aus variations de la radiactivité naturelle…Et puis, soyons positifs, au moins en Europe ou l’éolien produit surtout en hiver, qu’il participe en plus à un réchauffement même minime de la température moyenne devrait être mis à son actif!Ca produit en base et de façon intermittente mais en même temps ça diminue le besoin de pointe! Mot compte double…..
C’est quand même intéressant de voir que des labos reconnus font des études pour essayer de connaître l’impact de ces éoliennes qui nous envahissent à la hâte et bafouant toute démocratie, sans la moindre réflexion écologique et ce uniquement pour faire plaisir à quelques industrieux ! Du moins heureusement que des contre-pouvoirs indépendants sont bel et bien là et existent, essayant de balayer toutes les inepties béates qu’on veut bien nous faire gober en ce moment sur le bien fondé du déploiement éolien… BRAVO le MIT pour poser les cartes de la clairvoyance, même si la précision des annonces n’est pas forcément là. La démarche est essentielle !!
Même quand une publi provient d’un organisme prestigieux, il est toujours intéressant de vérifier les hypothèses et les ordres de grandeur. Dans le doc il est bien mentionné 13 millions de turbines (~1MW) fonctionnant avec un facteur de charge de 1/3 ce qui fait une puissance moyenne de 4.4 TW et une production annuelle d’énergie de 37960 TWh (=4.4 x 365 x 24). Bref cette quantité colossale d’énergie correspond à 2.4 fois la quantité totale d’électricité produite annuellement dans le monde actuellement. La densité d’énergie est de 0.22 MW/km², ce qui fait pour la France 123 GW et on pose cette hypothèse pour toute la surface terrestre du globe + de l’offshore sur toutes les cotes. D’après mes sources : la production annuelle d’électricité mondialement est de 16000 TWh.
… au lieu de crier au canular, comme le suggère doudou196 et la rédaction d’Enerzine. Voici comment je comprends cet article: La raison d’être des vents est d’évacuer la chaleur des tropiques (qui recoivent plus d’énergie solaire) vers les poles, qui en recoivent moins. On sait que si l’atmosphère était figée, les tropiques seraient beaucoup plus chauds et les pôles beaucoup plus froids. Donc, le raisonnement du MIT est le suivant: Si des millions d’éoliennes freinent les vents, les zones chaudes et couvertes d’éoliennes resteront plus chaudes et les zones polaires resteront plus froides. Ce n’est effectivement pas idiot, mais avant qu’il y ait suffisemment d’éoliennes pour que cet effet soit sensible, on n’a pas trop de soucis à se faire.
Ce constat vient du très sérieux site : Au lieu de dire « c’est quoi cette connerie », sachons attendre et voir où vont les choses. Comme dit un internaute, quelqu’un a dit un jour que la Terre était ronde et on ne l’a pas cru tout de suite….. Et puis vous n’imaginez tout de même pas que les milliers d’éoliennes qu’on va mettre sur Terre n’auront absolument AUCUN effet colatéral ? euh, Sicetaitsimple : « les éoliennes en Europe produisent surtout en hiver » ???????? Elles sont bien élevées vos éoliennes ! Chapeau !
Que dit l’article sur les éoliennes en mer(off shore)? -« A l’inverse, les chercheurs ont constaté que les éoliennes installées en mer avec la même densité de turbines entraîneraient une baisse de la température de 1° Celsius. » Or les éoliennes installées en mer (en off shore)ont un plus grand facteur de charge(de l’ordre de 28% à 40% de facteur de charge) que les éoliennes terrestres et l’avenir pour la plus grande quantité des éoliennes au niveau mondial(et aussi pour les plus puissantes),c’est l’off shore éolien.Donc les éoliennes du futur(qui seront majoritairement en mer),en très grand nombre et très puissantes combattront le réchauffement et non l’inverse.Le titre de l’article aurait du être plutôt: « Les parcs éoliens du futur,parceque majoritairement off shore feront baisser la température. »
Ah, le MIT, toujours en avance, et donc toujours honni. Dans les années 70, les travaux de D. Meadows intitulé « the Limits to Growth », devenus la bible des « décroissistes » (alors que les scénarios allaient du collapsus total de l’Humanité au « buisness-as-usual », à la maîtrise sévère de la démographie en passant par le high-tech à outrance), restent comme l’une des études les plus unanimement incomprise et détestée…. Au tour maintenant de celle-ci… Mais vous êtes donc incapables de comprendre que les résultats numériques n’en ont rien à fiche de votre avis, de vos présupposés, de vos idéologies ?! Dans le cas de Meadows comme ici, une équation différentielle, c’est une équation différentielle. Celui qui la résout sans se tromper a raison, contre vos idées, et vous devez abdiquer ou passer pour un imbécile. Comme si vous souteniez que 2+2=5…
Sortez-nous l’équation géniale qui fait qu’avec une carte de température comme celle-là (voir l’anomalie thermique en zone arctique) la couverture de glace en arctique est celle-ci. Les équations cherchent à expliquer la réalité mais n’expliquent qu’un sous-ensemble de celle-ci parfois dérisoire. On dit « GIGO » (Garbage In garbage out) en informatique. Il faudra vérifier les calculs et les mettre en perspective, voilà tout.
vous documenter sur l’éolien . bonne journée(avec du vent) à tous
Il est sympathique votre poisson d’avril… J’en ai une autre pour vous… Les pompes à chaleur serait responsable d’une accéleration de l’entreé dans l’air glacière de la planête. En effet le principe d’une pompe à chaleur est de dépouillé l’air de ses calories pour les redistribué dans le circuit de chauffage. En règle général, les pompe à chaleur (aérothermique) expulse un air dépuouillé de 2 à 3 degré par rapport à l’air capté en hiver en mode chauffage. Rassurez-vous l’été les pompes à chaleur font encore pire elle accentue le phénomène de rechauffement. En effet l’été le circuit s’inverse!!!! On capte la chaleur à l’intérieur de l’habitat pour l’expulsé à l’extérieur… Quel beau monde… On va bientôt enfin pouvoir avoir de vrais été et de vrais hiver.
Merci Hypothese: Ce n’est qu’un question de circulation de l’air qui serait perturbé localement. Donc cela ne change pas le bilan de temperature global. l’eefet global sur la temperature devrait etre nul. Seul la temperature locale autour des fermes eoliennes pourrait augmenter. En gros c’est une non information.