Une équipe de chercheurs de l’Université de Caroline du Nord et de l’Université de Géorgie travaillent actuellement sur la création d’une version modifiée de l’Extrêmophile, une super bactérie capable de produire du butanol.
« La plupart des biocarburants comme l’éthanol et le butanol, sont créés par la fermentation des sucres produits par les plantes via la photosynthèse. Notre projet serait d’utiliser des organismes qui captent le dioxyde de carbone et l’hydrogène pour produire directement des biocarburants », explique le Dr Robert Kelly, professeur en génie moléculaire à l’Université NC.
La bactérie en question aurait la capacité de shunter la phase de photosynthèse. En revanche, elle serait en mesure de produire directement des combustibles liquides à partir de l’hydrogène et du dioxyde de carbone. Comme elle n’a pas besoin de lumière, cela signifie qu’une installation qui utiliserait ces bactéries pour créer des biocarburants pourrait être située n’importe où – voire sous terre.
Les extrêmophiles – organismes primitifs – qui se trouvent en eaux douces ou salées ont évolué bien avant les organismes photosynthétiques. Ils sont localisés dans des environnements hydrothermaux avec des températures pouvant atteindre les 100 degrés Celsius.
Ces microbes absorbent le dioxyde de carbone dans son environnement afin de produire des molécules complexes, dont l’une d’entre elle est connue sous le nom de "acétyl-CoA". Les chercheurs ont ainsi l’intention de modifier génétiquement le Pyrococcus afin d’inclure des éléments du Metallosphaera. La création de cette super-bactérie "serait capable de capter le dioxyde de carbone et l’hydrogène, puis de produire du biocarburant".
"L’utilisation de ces microbes reste avantageuse car ils restent stables même à des températures élevées. Des installations de biocarburants devront utiliser les hautes températures pour distiller des biocarburants à partir de l’eau où ces organismes vivent", précise R. Kelly. "En raison de leur tolérance à la chaleur, les microbes vont continuer à prospérer alors même que les biocarburants sont distillés, ce qui rend le processus beaucoup plus efficace."
tout organisme a besoin d’une forme d’énergie pour produire des composés hydrocarbonés…. Si ce n’est pas le soleil avec la phto synthèse il faut lui donner quelque chose à manger ou à dégrader pour tirer l’énergie exothermique necessaire à la synthèse (réaction endothermique) du butanol . Il manque un point essentiel à ce shéma , l’origine de l’énergie . Il faut pas prendre les gens pour des benets !!!!
si je comprends bien, cette source d’energie externe est la chaleur. mais produiront-ils plus d’energie qu’ils en consomment ? autre point : on commence a voir reellement les pb lies aux plantes GM. si on commence a balancer des microbes GM dans la nature, qui peut imaginer ce que ca peut donner ? d’autant plus qu’ils annoncent comme un avantage que ces microbes resistent a la distillation et que donc on les retrouvera dans le carburant (ni bio ni agro pour le coup) : on est loin du milieu confine !!!
Les mystères de la voiture à eau C.P. Kouropoulos ——————————————————————————– Voilà un sujet qui fleure bon la légende urbaine! À titre d’exemple, voici ceci: Des collègues de Mr Lucien Vuffray, ingénieur aujourd’hui à la retraite, attirent son attention sur un article paru dans le Dauphinois libéré concernant le projet de Mr Hector-Pierre Vaes, de mettre sur le marché un système permettant à une voiture de ne plus consommer qu’un peu de gaz et de l’eau, utilisant des électrodes constituées de membranes métalliques poreuses commercialisées au Japon. Grâce au prestige de l’entreprise où il travaillait, Mr Vuffray entrera en contact avec Mr Vaes. Celui-ci traversa plusieurs frontières avec sa voiture et, comme l’indique l’article ci-dessus, se gara dans la cour de la Tribune de Genève où l’attendaient Mr Vuffray, le journaliste de la Tribune et d’autres membres de la rédaction. L’année suivante, Mr Vaes fera constater devant huissier le montage sur sa Chevrolet modifiée pour rouler au GPL d’une cellule électrolytique produisant de l’hydrogène et de l’oxygène, l’un injecté dans l’admission, l’autre dans l’entrée d’air. L’huissier apposa des scellés sur le réservoir de GPL de 60 litres, la voiture roula durant 56 jours en parcourant 1855Km sur les routes de France et de Belgique, puis l’huissier retira les scellés et constata que le réservoir contenait encore du GPL. Selon les dires de Mr Vuffray, le GPL était surtout utilisé au démarrage et l’échappement était «quasiment inodore, bien qu’avec un arrière-goût âcre et doucereux rappelant l’alcool à brûler des machines à vapeur des jouets de son enfance». Noter la contenance ridicule du réservoir d’eau, de 4litres, alors que du point de vue purement électrochimique, plus de cinquante litres d’eau seraient consommés par heure. Selon l’article paru dans le Dauphiné Libéré, un journal de la région jurassienne française, la consommation de la Chevrolet de Mr Vaes avant conversion aurait été de 20 litres aux 100Km (12mpg), et de 0.9 litre d’eau et trois de GPL ensuite. Noter aussi la consommation tout aussi ridicule des électrodes en courant continu, bien que l’alimentation du «maser» n’ait pas été prise en compte et puisse s’élever à quelques centaines de Watts. Et voici le diagramme tracé par Mr Vuffray de la cellule à électrolyse à partir de la description orale de Mr Vaes qui, en en recevant une copie, la qualifiera plus tard par courrier d’«exacte, excepté pour les enroulements situés plus bas.» Mr Vaes ironisa en précisant qu’il ne resterait plus, à son correspondant, «que de s’acheter un gilet pare-balles et un coffre-fort à l’UBS pour engranger les bénéfices.» Selon Mr Vuffray, que je tiens à remercier pour ces précisions, une lueur orangée émanait des parois cylindriques de la cuve en plastique, ainsi que de l’alimentation du «maser» lorsque l’engin fonctionnait. Voilà donc une étrange légende urbaine que celle-ci, qui vint de Belgique se garer dans la cour de la Tribune de Genève, puis traversa plusieurs frontières de pays francophones en un tour de France original ; dont on put ouvrir le capot, la cellule d’électrolyse et renifler l’échappement! Mr Vaes, un commercial, mentionnait déjà en 1980 que la chose déplaisait fort au gouvernement Français pour des raisons fiscales. En privé, il avoua que cette commercialisation lui avait été «fermement déconseillée par certains visiteurs au ton inquiétant». Il avait espéré que la France de Mitterrand adoptât une politique plus favorable à son projet. Mais âgé et en mauvaise santé, il décéda quelques mois plus tard. Dans l’article qui suit, je tenterai d’en percer le secret. La voiture à vapeur Si nous ne considérons superficiellement que les lois de la thermodynamique, une possibilité intéressante serait l’injection d’une petite quantité d’eau, de l’ordre de 10%, afin d’améliorer le rendement d’un moteur à explosion. Le cycle typique est l’injection de fines gouttelettes après compression et échauffement de l’air par le turbo, ce qui le refroidit par évaporation et augmente sa densité à l’admission, et donc celle de l’oxygène. Lors de la combustion de l’hydrocarbure, de la vapeur additionnelle est générée. Au final, la phase d’expansion est amplifiée par le dégagement additionnel de la chaleur initialement «volée» au turbo, lors de sa condensation ultérieure en fin de cycle. L’eau est aussi utilisable sous forme d’une émulsion avec le carburant, ce qui pose un problème de stabilité. L’amélioration du rendement serait de l’ordre de 10%. Mais Rudolf Gunnermann alimentait ses moteurs avec une émulsion contenant jusqu’à 50% d’eau avec une amélioration de 27% du rendement. Son système exigeait une couronne en Nickel autour des bougies, laquelle était donc soumise à une polarisation électrique importante, ce qui avait en outre pour effet de «craquer», c’est-à-dire de casser et d’hydrogéner les hydrocarbures lourds en présence de vapeur. C’est là le principe des «super-carburateurs» qui augmentent le taux d’octane du carburant volatilisé en présence de vapeur d’eau et d’un catalyseur, qui augmentent substantiellement le rendement des moteurs en remplaçant la combustion progressive, très inefficace et partielle de mélanges d’hydrocarbures divers à points de vaporisation différents, par la détonation d’hydrocarbures légers et volatils. L’efficacité réelle des moteurs à combustion, parfois proche de 7%, en serait multipliée au-delà de 26%. De ce point de vue, le GPL ou son mélange avec de l’hydrogène a un résultat similaire. Le premier «super-carburateur» fut celui de Charles N. Pogue, breveté en 1930 et testé avec succès par Ford, mais que les compagnies pétrolières s’empressèrent de rendre inopérant en ajoutant du plomb à l’essence l’année d’après, de façon à en empoisonner le catalyseur. Des générations de citadins ont été intoxiquées par ce métal lourd pour le bénéfice des administrations fiscales et des pétroliers. Dans ses mémoires, le général Rommel attribuait la victoire alliée en Afrique à un carburateur à vapeur américain top secret. Le plan de Rommel était de battre en retraite dans le désert en visitant tour à tour ses dépôts secrets de carburant. Quand les américains seraient à sec, il attaquerait. Ce ne fut pas le cas et ils le rattrapèrent à sa troisième escale. John Pogue, le frère de Charles révéla publiquement qu’il contribua à l’installation du fameux carburateur dans les Jeeps et les blindés qui furent utilisés. De nombreux témoignages de mécaniciens le confirment. Contrairement au citoyen lambda, l’armée n’eût aucun mal à se procurer du carburant sans plomb. Toutefois, la seule détonation chimique ne suffit pas à expliquer les réductions extrêmes de la consommation de certaines voitures à «super-carburation» ou à hydrogène, ni le fait que leurs moteurs restent froids. Produire de l’hydrogène Maints systèmes à hydrogène, tel que celui mentionné plus haut, utilisent l’électrolyse. Selon la loi de Faraday, la quantité de molécules dissociées par unité de temps est proportionnelle, au-dessus d’une tension seuil qui est de 1.47V pour l’eau, au seul courant. Entre 1.23 et 1.47V, de l’énergie thermique aléatoire contribuerait aussi à la dissociation, avec un facteur sur-unité atteignant 19% selon certains auteurs. Nous sommes bien loin des rendements de l’ordre de plusieurs dizaines qui seraient nécessaires au fonctionnement du système japonais ou bien de la cellule de Stanley Meyer, mort mystérieusement. Est-il possible d’utiliser la résonance pour briser le lien de la molécule d’eau avec moins du dixième de l’énergie nécessaire, ainsi que le prétendait Stanley Meyer ou l’inventeur japonais? La réponse fondée sur les lois de la chimie et de la thermodynamique est sans ambiguïté: tout au plus, le rendement sera-t-il optimal à la résonance, mais généralement inférieur à l’unité. En outre, les quantités d’hydrogène produites restent dérisoires. Puisque de tels montages ont manifestement fonctionné avec des résultats inexplicables, la conclusion s’impose qu’ils ont utilisé une autre source d’énergie. Laquelle? Le mécanisme le plus efficace pour briser les liens de la molécule d’eau fut découvert en 1910 par Mme Marie Curie: la radiolyse. Elle explique que des ampoules scellées contenant une solution de sels de radium finissaient par exploser, sous la seule pression de l’eau dissociée. Le procédé fut utilisé par maints inventeurs depuis cette époque et récemment redécouvert et décrit par Bruce André Perrault. Lors d’une désintégration radioactive dans de l’eau, 95% de l’énergie ionisante est directement convertie en molécules d’oxygène et d’hydrogène, qui ne se recombinent pas. À noter que cela vaut pour tout rayonnement ionisant de haute énergie: alpha, bêta ou gamma émanant d’une réaction nucléaire, de la radioactivité naturelle ou stimulée, de réactions de fusion. Les rayonnements alpha, suivis de près par les bêta sont idéaux du fait que leur section efficace chimique domine très nettement son équivalent nucléaire. Ces deux rayonnements dominent dans la radioactivité. Le moteur à radiolyse de Joseph Papp Papp utilisait des gaz nobles en tant que tampon thermodynamique en circuit fermé. La chambre d’admission contient un excitateur électromagnétique agissant sur un oxyde d’Uranium ou de Thorium électrisé en accélérant sa désintégration naturelle en présence de la vapeur d’eau qui y est injectée: elle subit une radiolyse et le mélange d’oxygène, d’hydrogène et de gaz rares est alors dirigé vers un moteur à combustion classique. Le procédé peut comporter plusieurs étages avant l’injection afin de d’optimiser la désintégration stimulée du radon. L’échappement contient les mêmes gaz rares, de la vapeur d’eau et est recyclé. Dans la mesure où la radioactivité stimulée inactive complètement le combustible nucléaire et le convertit en hélium et en plomb, pour un moteur traditionnel fournissant 50KW mécaniques, la consommation sera donc de 250KW thermiques. En supposant que toute l’énergie provient de la conversion de l’Uranium en Plomb, une heure de fonctionnement en convertira 47mg, et agira sur un flux de 14g d’eau par seconde. Une telle voiture, utilisée deux heures par jour convertira donc, dans cette hypothèse, 35 grammes d’Uranium en Plomb chaque année. Le problème est de réussir le maximum de cette conversion dans les étages précédant la combustion de façon à minimiser l’encrassement du moteur, tout en évitant l’explosion prématurée du mélange ou le grippage, ce qui arriva avec l’un des prototypes de Papp qui explosa et blessa grièvement trois techniciens. Un autre problème est que la radioactivité de l’Uranium, bien qu’elle soit accélérée de nombreux ordres de grandeur, est bien loin de la désintégration flash, sauf dans la chambre de combustion, qui implique du gaz de Brown, d’où une augmentation du taux de radium et d’autres isotopes de demi-vie plus brève, particulièrement dans la chambre d’admission, ce qui rend son recyclage délicat. De ce point de vue, le thorium est préférable bien qu’il ne résolve pas complètement la question. Dans la suite de cet article, nous verrons que la consommation de Thorium et la contamination du moteur par ses filles, radioactives ou non, ont été surestimées, celui-ci possédant une autre source d’énergie, essentielle à son fonctionnement et aux vertus «auto-nettoyantes», permettant en outre de substituer au Thorium pur du Tungstène thorié ou d’autres substances. De plus, il apparaîtra que son rendement thermodynamique est proche de l’unité, ce qui explique qu’il restait froid, divisant sa consommation par cinq relativement à la description précédente. Garder à l’esprit qu’une telle voiture consommerait 3 tonnes d’essence, rejetterait 8.3 tonnes de CO2 en pompant 8.8 tonnes de notre précieux oxygène chaque année! Pour un taxi, ces chiffres sont à multiplier par quatre ou cinq, et encore par quelques millions dans les grandes villes, où les taux d’oxygène sont tellement bas que l’on n’ose pas les publier. Nombreux moururent asphyxiés par la combinaison de la chaleur, de l’ozone et d’autres sources de pollution dans les villes lors de la canicule de l’été 2003. Peut-on faire mieux? D’une part, on peut minimiser la quantité de Thorium présente, afin de rendre le recyclage des composants moins délicat. Mais cela nécessite sa désintégration flash. Faisons donc appel à une énergie supplémentaire capable de diminuer la consommation de Thorium tout en contribuant à sa désintégration: la fusion. Sa version dite froide donna lieu à maintes controverses lors de son annonce quelque peu prématurée par Pons et Fleischmann en 1989, essentiellement parce que les conditions de sa reproductibilité étaient mal connues. Mais de réels progrès, tant expérimentaux que théoriques ont été faits par maints chercheurs depuis, hélas quasi ignorés par le monde académique. Les conditions de la fusion froide Plusieurs mécanismes semblent jouer un rôle important : – La fusion catalysée par des agrégats de un à plusieurs électrons, qui permettent de vaincre la barrière de Coulomb entre deux noyaux en orbitales serrées selon les règles standard de la mécanique quantique. (Un anneau compact de n électrons liés par leur moment magnétique anomal se succédant à une distance de quelques fermi permet la fusion de deux noyaux de nombre atomique < n l’orbitant de part et d’autre. La molécule exotique peut avoir une charge allant du nombre atomique à zéro, voire une valeur négative.) Dans la fusion dite froide, des développements récents montrent, selon l’idée de Teller, Chubbs et al., que celle-ci a lieu sur une surface métallique chargée en isotope d’hydrogène surtout lorsque quelques demi-longueurs de l’onde de de Broglie des oscillation du point zéro de cet isotope tiennent dans l’espacement du réseau métallique, ce qui expliquerait la compatibilité du nickel avec l’hydrogène et du palladium avec le deutérium pour ce type de réactions. Selon Santilli et al, les doublets électroniques de la chimie, par exemple ceux des couches s, des électrons de valence ou de la conduction métallique, formeraient des pico-entités compactes et métastables. La molécule à orbitales nucléaires la plus commune serait celle de deux isotopes d’hydrogène autour d’un électron ou d’un doublet, sa formation étant aidée à la surface d’un métal compatible. Les agrégats multi-électroniques, plus rares mais plus intéressants car permettant des pico-molécules exotiques massives et négativement chargées, donc très réactives et capables de participer à des réactions impliquant des noyaux lourds, apparaîtraient spontanément sur des irrégularités ou dendrites de cathodes pulsées, lors de courants importants, lors de l’attaque par des acides de grains métalliques, dans des hydrures métalliques ou des métaux cristallins soumis à des contraintes mécaniques intenses, à des arcs ou micro-arcs, ainsi que dans les décharges électriques. C’est-à-dire dans des phénomènes loin de l’équilibre. Ces pico-molécules à orbitales nucléaires peuvent s’associer par les forces électriques et de Van der Waals, et conduiraient rapidement, via l’intéraction forte puis faible, à un fluide nucléaire exotique métastable et capable de nucléosynthèse. Les plus simples pico-molécules se forment aussi lors de l’attaque d’un métal par un acide impliquant deux hydrogènes opposés, en présence d’une magnétisation perpendiculaire à la surface qui peut venir du métal, par exemple de grains monodomaines de Fer ou de Nickel, lors de l’électrolyse sur une cathode ferromagnétique en dessous de sa température de Curie. Elle pourrait se faire dans des conditions similaires lors de la réduction de l’eau sur une anode chaude ferromagnétique faiblement polarisée, comme dans le GEET ou la cellule de Gardner Watts. La pico-molécule la plus simple est idéalement adapté à la fusion inertielle rapide, et à la fusion froide ou tiède (~104°K). Par contre, la forte de densité des rayonnements de la fusion chaude à tokamak ou foyer gazeux et les durées importantes de confinement en briseraient les liens, mettant fin au processus. – La forte densité électronique au voisinage des noyaux lourds, comme le Tungstène ou le Thorium, réduit l’énergie thermique de la fusion de deux protons ou deutérons de plus de quatre ordres de grandeur, à moins d’un kilovolt, valeur qui pourrait être obtenue dans des micro-décharges ou sous l’effet d’ondes de choc acoustiques. À cause de leur rayon de 614 Fermi, les molécules exotiques à orbitales nucléoniques les plus simples voient leur probabilité de fusion mutuelle, déjà importante, augmenter dans cet environnement. À son tour, cette fusion stimule la désintégration radioactive des éléments lourds instables. – La réalisation de micro-singularités dans la cavitation, dans lesquelles des noyaux en orbitales serrées autour d’agrégats électroniques, et même des plasmas tièdes d’isotopes d’hydrogène vont fusionner plus rapidement par ondes de choc successives, au cours de la phase implosive, en présence d’éléments plus lourds. En particulier lors de l’implosion d’une bulle contre la surface du métal chargé de l’isotope d’hydrogène idoine. Voilà qui explique la production massive de chaleur et de produits de transmutation nucléaire dans une cellule à électrolyse soumise à des ultrasons intenses de haute fréquence (~1MHz) générés par un transducteur à lame de quartz. Dans le cas d’un moteur à explosion, le but recherché n’est pas de chauffer la cellule à électrolyse en consommant sur place l’hydrex produit; la cavitation y sera donc plus modeste, visant surtout à évacuer les bulles. – Selon certains chercheurs, des phénomènes électroniques collectifs dans les métaux peuvent contribuer, vraisemblablement en catalysant la formation inter-atomique des agrégats électroniques mentionnés. De même, des états collectifs nucléaires cohérents de deutérons ou de protons dans des hydrures métalliques peuvent favoriser la formation de systèmes nucléaires orbitaux de type deutex. Dans le dégagement anormal de chaleur par électrolyse, on constate qu’un champ magnétique perpendiculaire à la surface, des ondes acoustiques ou électromagnétiques sous forme de rayonnement HF ou laser améliorent le rendement. Le rayonnement solaire aurait le même effet, peut-être parce qu’il contient le rayonnement quadrupôle de désexcitation de la pico-molécule exotique d’hydrogène. Ainsi que l’utilisation d’électrodes d’Uranium, de Thorium ou de Tungstène thorié, dont la désintégration peut être stimulée, ce qui suggère une synergie fusion-fission, la radiolyse stimulant la fusion par cavitation sonoluminescente et cette dernière stimulant la radioactivité induite. Et il y a les matériaux catalyseurs: les cathodes en Nickel pour la formation de l’hydrex, en Titane ou en Palladium pour le deutex, en combinaison avec certains gaz ou électrolytes. La stimulation de la fusion froide par résonance acoustique et par laser, aujourd’hui confirmée par la communauté des chercheurs en fusion froide, avait été initialement découverte par Stanley Meyer dans les années 1980 et décrite dans ses brevets, même si sa méthode de stimulation acoustique par formation de bulles est considérée inefficace et difficile à maîtriser. De même pour l’optimisation de la cavitation à basse pression, qui est obtenue par l’effet de succion du moteur dans les cellules à électrolyse reliées à l’admission. Quant au rôle de la radiolyse dans une cellule à résonance acoustique, il faut mentionner Stephen Horvath et son brevet de 1976. Hydrex et moteur à combustion Les mécanismes évoqués plus haut, en particulier concernant l’électrolyse de l’eau sur cathodes de nickel ont pour conséquence la production de pico-molécules d’hydrex, soit deux protons autour d’un électron. Vu de loin, l’hydrex a la charge et quasiment la masse du noyau de deutérium, mais avec un volume des milliers voire, dans son état excité, des millions de fois supérieur. Au départ, cette entité sera fortement excitée. Mais sa désexcitation implique du rayonnement quadrupôle, de faible probabilité. Sa durée de vie en sera donc allongée. Outre la transition radiative, fortement supprimée, il y a possibilité de transfert énergétique vers un ou plusieurs électrons dès que ce pseudo-noyau en capture ou interagit chimiquement avec d’autres atomes, par transfert de l’énergie dans les électrons des orbitales atomiques ou moléculaires. En conséquence, une telle entité va participer de nombreuses fois à des processus de recombinaison ionique ou chimique, puis d’ionisation violente, avec émission d’ultraviolets et d’électrons de moyenne énergie, eux-mêmes ionisants. Et c’est vraisemblablement là l’origine de la mystérieuse augmentation du rendement du moteur à explosion en présence des émanations ténues d’une cellule à électrolyse, du fait que ce rayonnement secondaire va aider à cracker les molécules d’hydrocarbures lourds, s’il y en a, multipliant leur pouvoir calorique; et il va, encore et encore, ioniser les atomes d’hydrex puis casser les molécules d’eau à peine formées par combustion de cet isotope anormal dans l’oxygène, ce qui va multiplier son pouvoir calorifique des milliers de fois. C’est ce qui explique aussi les moteurs capables de fonctionner uniquement avec une petite cellule d’électrolyse. Il va de soi que la cellule d’électrolyse sera située immédiatement avant l’admission d’air aux cylindres, ses émanations métastables tendant à se désexciter durant tout stockage ou circuit trop long. La cellule de Stanley Meyer Il s’agit d’électrodes parallèles très proches (~3mm) en acier inox séparées par de l’eau quasiment pure, excitées par un circuit résonnant rectifié de façon à y faire périodiquement monter la tension jusqu’à quelques kilovolts en présence d’un rayonnement laser obtenu par des diodes. Plusieurs telles cellules peuvent être connectées en série verticalement, de façon à totalement désintégrer le catalyseur radioactif, s’il y en a, et à désexciter et fusionner les noyaux en orbitales serrées de type hydrex qui sont produits. Les fréquences des trains d’impulsions et des impulsions elles-mêmes sont de quelques dizaines de KHz et choisies de façon à correspondre aux fréquences acoustiques du système, lesquelles s’abaissent quand la densité des bulles, qui dépend de l’intensité acoustique, augmente. La production rythmique de bulles sur les électrodes a lieu dans les ventres acoustiques, qui seuls doivent être excités de façon à créer une sonoluminescence résonante. La cathode peut être préparée de façon à avoir des dendrites de nickel en surface. De la sorte, des agrégats d’un ou plusieurs électrons forment le centre de systèmes orbitaux à deux noyaux, dont certains vont se désexciter et fusionner sur place, en contribuant à la dissociation de l’eau par radiolyse. D’autres auront une durée de vie assez longue pour ne le faire que dans la cellule suivante ou la chambre à combustion en y fournissant une énergie supplémentaire. On aurait donc tort de ne juger de l’efficacité d’une telle cellule que sur la quantité d’eau dissociée. Le fort dégagement de rayonnement divers, l’implosion résonante de la cavitation, qui engendre des plasmas d’une dizaine de milliers de degrés et vraisemblablement des singularités internes plus petites et bien plus chaudes liées à des ondes de chocs, la présence de molécules exotiques d’isotopes d’hydrogène à orbitales nucléaires serrées, tous ces facteurs sont idéaux pour désintégrer le Thorium de la cathode. Si toute l’énergie des cellules de Meyer provenait de la seule radiolyse par désintégration flash du Thorium, l’eau devrait en contenir 1mg/litre, et la consommation pour 50KW mécaniques serait de plus de 50 litres d’eau par heure. Or, la consommation d’eau rapportée par les utilisateurs de tels engins est bien moindre que le volume d’essence équivalent qui eût été nécessaire, de 5 litres environ par heure. Selon certains expérimentateurs travaillant avec des anodes en acier inox, il existerait des réactions électrochimiques impliquant l’ion hydroxyl OH- et les composantes de l’air, capables de générer un gaz qui y est combustible (N(OH)2 ou plutôt NH2-OH-HNO3, qui serait détonnant à l’instar de l’hydroxyde et du nitrite d’ammonium) s’ajoutant à l’hydrogène, ce qui nécessiterait l’injection de petites quantités d’air dans les cellules sous basse pression. La réaction serait améliorée avec un champ magnétique sur l’anode. Tout cela reste à vérifier et à préciser. Bruce Perrault proposa la conversion de l’oxygène de l’air par ionisation radiative en ozone combustible. Mais ni la cellule de Meyer, ni celle que souhaitait commercialiser Mr Vaes ne semblent, au premier abord, avoir eu une entrée d’air. En outre, la consommation d’eau resterait importante. Autre procédé classique ayant un excellent rendement, avec un facteur sur-unité de 29, l’oxydation d’une anode consommable en acier doux et la réduction de l’eau en dessous du voltage seuil traditionnel, la cathode étant en acier nickelé, avec production d’hydrogène, ainsi que d’hydrex, sur la cathode et l’anode. Un système similaire inventé par François Cornish convertit du fil d’Aluminium en oxyde sous haute tension. Mais cela appartiendrait encore à un procédé différent, puisque ni le système japonais ni celui de Stanley Meyer n’utilisaient d’anodes consommables. Des expériences rigoureuses montrent qu’une énergie supplémentaire considérable peut être dégagée en aval, dans les cylindres, par la désexcitation et fusion en deutérium de molécules exotiques métastables d’hydrex selon le mécanisme proposé par Maric, Dragic, Vigier et al. Leur désexcitation et fusion dans la cellule d’électrolyse même diminue substantiellement la quantité d’électricité ou de Thorium nécessaire pour entretenir le processus et le même mécanisme dans la chambre à combustion explique les volumes minimes d’eau consommée dans le système présenté en introduction, ainsi que dans d’autres, à anode ou surface métallique consommable ou non. Si toute l’énergie dégagée dans les cylindres venait de la fusion mutuelle des composants de l’hydrex, qui dégage 1.46MeV, 25mg ou 27 centilitres d’hydrogène seraient convertis en deutérium chaque heure dans notre voiture de 50KW mécaniques. Cette énergie serait encore multipliée si l’un des protons orbitant deux ou trois électrons d’un système de type hydrex fusionnait avec d’autres noyaux plus lourds: de lithium, de bore ou de carbone, ou bien si un tel système, formait un di-neutron lequel fusionnerait ensuite avec ces éléments plus lourds. Les transmutations à basse énergie joueraient un rôle majeur dans le fonctionnement de la mythique voiture à eau. La synergie fusion-fission joue un rôle crucial dans la stimulation électromagnétique de la radioactivité en présence d’eau liquide ou de vapeur par la formation, désexcitation et fusion de hydrex, ainsi que le montrèrent Jacques Dufour et al. Une part non négligeable de l’énergie libérée dans le moteur de Papp vient donc de la fusion dans l’excitateur en amont, d’hydrex, sans lequel il ne fonctionnerait vraisemblablement pas, et qui nécessairement contribuera au bilan énergétique dans la chambre de combustion en aval, ainsi qu’à la neutralisation flash, dans celle-ci du Radon. D’où l’on déduit que le débit d’eau et la consommation d’Uranium ou de Thorium en avaient été surestimés ainsi que la contamination par le Radon et ses filles radioactives du moteur, la combustion de l’hydrex ayant un puissant effet neutralisant, qui se manifeste dans le gaz de Brown. Mais la cellule de type Meyer est évidemment bien plus propre, puisqu’elle tire l’essentiel, voire toute son énergie de la fusion, la radiolyse par radioactivité stimulée ne jouant qu’un rôle catalyseur secondaire, peut-être optionnel, ce que démontrent les faibles volumes d’eau consommés. Voilà qui explique le mystère du système japonais: Vu l’utilisation de GPL, déjà constitué de molécules courtes et volatiles (propane et butane), vu la quantité minime d’eau consommée et donc d’hydrogène produite, l’augmentation du rendement par la seule amélioration de la dynamique de la combustion, par le «craquage» de molécules lourdes ou bien par la contribution énergétique du seul hydrogène est improbable. Reste l’hydrex. Je vais supposer qu’il s’agit d’une cellule à résonance acoustique analogue à celle de Meyer, mais où la production de bulles et autres phénomènes dynamiques sont confinés dans les électrodes poreuses et à leur surface, sur un ventre, ce qui leur évite d’affecter sensiblement la fréquence de résonance d’ensemble. 1/ La sonofusion est induite dans les électrodes polarisées en fibres agglomérées ou en tissu de Nickel par les micro-décharges qu’y créent les courants de Foucault, induits par les enroulements reliés au «maser», vraisemblablement un magnétron ou un générateur HF, pulsé à la résonance acoustique. Puisque les courants de Foucault réalisent l’essentiel de la production d’hydrex et sa fusion par micro-décharges et cavitation, source de la luminosité orangée constatée, on en déduit que, s’il comporte un magnétron ou un générateur VHF, il est relié à des enroulements d’une seule spire autour d’un aimant annulaire en ferrite, pour la polarisation continue des électrodes, avec une diode de Gunn pour y créer un signal en dents de scie asymétrique et que, s’il s’agit d’un circuit d’une dizaine de KHz, ce qui autorise un cœur toroïdal en ferrite magnétostrictif et la magnétisation pulsée des électrodes, les impulsions en sont aussi carrées que possible, afin d’avoir un maximum de tension induite à une harmonique de la fondamentale acoustique. Les membranes étant espacées de 4cm et situées dans les ventres, la fréquence acoustique des pulsations serait inférieure à 17.875KHz. 2/ L’alternative aux courants de Foucault en surface est la décharge capacitative à haute tension en micro-ondes pulsées, ou aux seules fréquences acoustiques, entre les membranes en Nickel et la surface adjacente métallique des aimants, ainsi qu’entre les aimants-électrodes annulaires. Dans ce cas, la connexion des électrodes à la batterie devrait comporter un filtre ou une bobine d’arrêt, excepté si une électrode HF était ajoutée (une grille entre les aimants), ou retranchée (un seul aimant). Les surfaces de toutes les électrodes se faisant face devraient être considérées comme des ventres acoustiques. Il est possible que du dioxyde de Thorium ait été incorporé aux électrodes, ainsi que du noir ou de la mousse de Platine, de telles électrodes étant disponibles dans l’industrie chimique. En conclusion Le moteur à eau fonctionne. Mais si l’on ignore l’origine de l’énergie, seuls les habitants d’environnements riches en hydrex, ou de régions productrices d’Uranium ou de Thorium et dont l’eau ou les productions sidérurgiques en sont contaminées ont une chance d’en voir fonctionner certaines versions au régime optimal. La connaissance des synergies impliquées permet de réduire jusqu’à un niveau infime l’utilisation de ces derniers matériaux critiques, par ailleurs neutralisés par le procédé, de les incorporer aux électrodes, voire de substituer à leurs sels ou oxydes purs ceux d’alliages avec du Tungstène ou d’autres substances, essentiellement consommées et donc rendues inoffensives. La fusion aux basses énergies est loin de n’être qu’«une curiosité de laboratoire sans grand intérêt pratique», puisque ses applications existaient déjà bien avant que Pons et Fleischmann n’annoncent leurs travaux. (La première voiture à eau fonctionna, paraît-il, aux USA en 1929, et un moteur à électrolyse fut décrit en septembre 1946 dans une fiction de Amazing Stories) Les intérêts financiers expliquent pourquoi le sujet des réactions nucléaires à basse énergie est resté tabou dans le monde académique des principaux pays ayant des intérêts pétroliers, sauf… au Japon, qui n’a ni ressources ni intérêts pétroliers majeurs. Il en va de même de la Chine et de l’Inde, dont on imagine mal que les deux milliards d’habitants auront chacun accès à une voiture individuelle consommant chacune plus de huit tonnes d’oxygène et rejetant la même quantité de dioxyde de carbone chaque année. En outre, la possibilité de tirer l’essentiel de l’énergie de la fusion de molécules exotiques ouvre d’importantes perspectives dans le domaine aéronautique de systèmes de type Meyer plus propres, légers et compacts que ceux à radioactivité stimulée… fût-ce par la fusion. Vu sa consommation minime d’eau, la mythique cellule électriquement polarisée de Joe X serait, sur ses importantes surfaces métalliques, essentiellement un générateur d’hydrex. Mais l’eau doit être préalablement enrichie par ce matériau qui s’y accumule, d’où un délai de rodage avec généralement la nécessité d’utiliser un générateur auxiliaire de pré-traitement en poste fixe. La faible excitation dans les cylindres par la combustion de l’hydrogène et l’absence d’étages pré-excitateurs de type Meyer en expliqueraient le fonctionnement réputé capricieux. Quant à la fraîcheur du moteur, elle est due au rendement thermodynamique très élevé des micro-détonations, en réalité extrêmement «chaudes, abruptes et sèches» car dominées par le rayonnement énergique et ionisant de la désexcitation-fusion que leur dissociation interrompt brusquement, mais localisées et amorties par le tampon de l’air (ou d’un gaz inerte dans le moteur de Papp). Bien que la puissance soit quasiment convertie en expansion mécanique et non en chaleur, le phénomène pose toutefois des problèmes de délai de combustion que Meyer avait résolu grâce à ses pré-excitateurs.(*) Pour résumer: les cellules électrolytiques qui dissocient une quantité anormale d’eau par rapport à la puissance électrique fournie reposent nécessairement sur une radiolyse in situ, par fission accélérée d’éléments tels que le Thorium en synergie avec l’hydrex et ses réactions, tandis que celles parvenant à faire tourner un moteur avec des quantités minimes d’eau, comme la cellule de Joe X, sont essentiellement des générateurs d’hydrex. Tant ce dernier que la fission stimulée qu’il induit dans des isotopes instables, par la température très élevée des micro-explosions qui résultent dans un milieu tampon, sont capables, en tant que combustibles, de substantiellement élever le rendement thermodynamique des moteurs.(*) Les problèmes: l’adaptation des voitures contrôlées par senseurs et microprocesseurs, la variabilité de la résonance dans les cellules de type Meyer à eau liquide et, dans les pays aux hivers froids, le gel de l’eau, qui affecte aussi les réacteurs à injection de vapeur, ainsi que l’aéronautique en altitude et dont la solution serait l’utilisation d’un antigel compatible, ou bien la production d’hydrocarbures, d’alcools ou d’additifs à base de ou générant de l’hydrex, et leur synthèse in situ dans la mesure où ils sont métastables. La surface de la chambre de combustion et particulièrement la couronne autour des bougies, siège d’une importante polarisation électrique, gagneront à être en Nickel. Dernière question: comment compenser la perte fiscale liée aux revenus de l’essence? Au fur et à mesure que les automobiles seront converties, la vignette et d’autres taxes automobiles sur les carburants classiques devront certes augmenter, complémentées par une taxe anticipée sur le retraitement des électrodes usagées, comme on le fait déjà avec le matériel informatique. Et l’eau ultra-pure contenant des traces de Thorium et quelques additifs, nécessaires à certains systèmes, est un produit industriel également susceptible d’être taxé, de même que certains additifs générateurs d’hydrex. En revanche, il y aura des économies sur les caisses maladies liées à la dépollution des villes, sur la balance commerciale des états par la productivité accrue de leur économie, ce type de système s’adaptant au fonctionnement des turbines pour la génération d’électricité, au transport aérien, ferroviaire et maritime. De nombreux secteurs industriels comme la métallurgie verront leurs coûts baisser et une activité dynamique d’équipement sera générée, source de rentrées fiscales. Les compagnies pétrolières s’orienteront davantage vers la pétrochimie et les systèmes d’énergies alternatives et connaîtront quelques restructurations et fusions. Quant aux états producteurs de pétrole, cela les incitera à développer leur pétrochimie, qui a une valeur ajoutée supérieure au produit brut, d’augmenter leurs prix, de diminuer leur production et d’assurer une perspective de développement à plus long terme, puisqu’au taux de consommation actuel, les ressources pétrolières seront entièrement épuisées d’ici à quelques décennies. La production d’une électricité bon marché leur permettra en outre de déssaliniser l’eau de mer, fera verdir leurs déserts et développera leur agriculture. Plus personne ne parlera de guerres de l’eau ou du pétrole, sources d’incertitudes politiques et donc de stagnation, voir de récession économique. Quant à la surpopulation, il est maintenant amplement démontré qu’il s’agit d’un phénomène lié à l’illettrisme, et qu’au fur et à mesure que les sociétés se développent, leur taux de natalité baisse. Dans les régions les plus développées, on craint plutôt le dépeuplement. Remarquons qu’une utilisation industrielle modérée de l’Uranium, du Thorium en combinaison avec des éléments lourds comme le Tungstène, en synergie avec la fusion de l’hydrex ou du deutex, est économique, écologique et durable, du fait de la consommation complète des matériaux naturels initiaux, de la prépondérance de l’énergie de fusion, de la haute efficacité thermodynamique, de l’absence de déchets radioactifs et des coûteux cycles d’enrichissement et de retraitement. Les filières nucléaires traditionnelles à eau légère fissionnent 1.5% environ de l’Uranium naturel (en comptant l’utilisation ultérieure du plutonium produit après retraitements multiples) et produisent de l’Uranium appauvri, généralement dispersé dans des munitions toxiques sur des pays pauvres, des déchets radioactifs de fission et du plutonium mortels, susceptibles de servir à la fabrication d’armes nucléaires. Idéalement, l’Uranium devrait être consommé et neutralisé à doses catalytiques dans des cycles fermés propres, plutôt qu’inhalé par des soldats ou des civils à doses massives (l’impact d’un obus d’Uranium appauvri contenant souvent des traces de Plutonium en vaporise la moitié, et son tir une fraction non négligeable). Puisque moins de 2% de l’Uranium est utilisé par fission dans les centrales, et que cette portion infime produit essentiellement des déchets de longue durée de vie, sans compter les risques d’accidents, il s’agit là du gâchis et de la dilapidation scandaleuse d’une ressource naturelle précieuse: au rythme actuel de consommation, les réserves mondiales d’Uranium seraient épuisées en cinquante-cinq ans. Quant au Thorium, nul ne sait aujourd’hui quoi en faire, à cause de la psychose irrationnelle concernant tout élément même faiblement radioactif. En revanche, l’utilisation synergétique minimale de ces éléments avec la fusion, quand nécessaire, permettrait aux réserves mondiales de durer plus d’une dizaine de millénaires. Rappelons que l’estimation de 40 ans de réserves pétrolières est plutôt optimiste: les USA ont atteint le pic de leur production en 1970, et la Grande-Bretagne vers 1986, avec une baisse substantielle à la fois en quantité et en profitabilité depuis. L’Arabie Saoudite et le Koweit atteindront leur pic d’ici à vingt ans, et l’Irak, si sa production redémarrait maintenant, dans une douzaine d’années, à l’instar des gisements de la CEI. Le pic de la production mondiale est attendu vers 2020, après quoi le pétrole naturel deviendra rare et coûtera de plus en plus cher. Tout autant que les hydrocarbures que l’on peut produire à base de charbon, son utilisation restreinte à la pétrochimie est préférable du point de vue écologique. Quelques références: Sur la baisse inquiétante du taux d’oxygène ces dernières décennies, particulièrement dans les grandes villes: . Cet article de R.M. Santilli critique l’utilisation purement chimique de l’hydrogène dans les moteurs ou les cellules de combustible et propose l’utilisation de Magnegas (TM). G.W. Hefferlin; Burn Water For Fuel, Amazing stories Magazine, Vol 20, no. #6, Sept 1946. Dans cette fiction, une bobine de Tesla à haute tension créait un arc dans une chambre contenant de la vapeur d’eau et libérait des gaz combustibles. Le moteur d’avion à ailes circulaires de Hefferlin aurait fonctionné à l’eau pendant les années 1930. Durant la guerre, Hefferlin dit être rentré aux USA de ses fantastiques voyages dans des Mondes souterrains rescapés de civilisations disparues, notamment au Tibet, mais aussi en Afrique, pour échapper aux nazis et empêcher son invention de prendre part à leur machine de guerre. Nous nageons là en plein fantastique à la Indiana Jones, Lobsang Rampa, Baird T.Spalding et Blavatsky, sans oublier les races de reptiliens à nouveau à la mode, Agartha et le Nouvel Ordre Mondial. Les idées de moteur à hydrogène et d’avions à ailes circulaires, ces derniers étant testés par l’USAF de cette époque, furent-elles incorporées aux récits fantastiques de l’auteur et accolés aux délires schizophrènes de Shaver afin d’en ridiculiser les témoignages d’observateurs éventuels ou de mécaniciens trop bavards? Sur la radiolyse: et le brevet de Joseph Papp de 1968 en pdf Cellule à électrolyse résonante et radiolyse: le brevet U.S. 4,107,008 de S. Horvath de 1976 Cellule à électrolyse résonnante mentionnant un catalyseur: À flux d’air, cathode et anode inox: ; ; Systèmes à anode consommable: (Consomme une anode en acier doux à 1.2Volts dans un bain d’acide citrique); (La voiture de François Cornish datant de la fin des années 1970: un véhicule de 900Kg et 2l consomme 166g de fil d’Aluminium et 3.33litres d’eau aux 100Km pour produire 1litre de vapeur et H2/seconde, ce qui montre que la source d’énergie ne peut être chimique: idéalement, 166g d’eau environ (18.4g de H2) seraient dissociés chimiquement, une partie additionnelle par électrolyse et le reste des 3.33l transformé en vapeur. La quantité d’hydrogène mentionnée ne pourrait même pas faire tourner le moteur au ralenti et à l’arrêt durant une heure. Faire rouler une telle voiture sur 100Km consommerait l’hydrogène de dizaines de litres d’eau). On en déduit que la source d’énergie est l’hydrex. La voiture fut testée par BMW. Sur les agrégats d’électrons: K. Shoulders ; voir et Sur la micro-fusion chaude par cavitation: Et l’article suivant sur les états liés de deux protons autour d’un électron: Dragic, Z. Maric, J.P.Vigier: New quantum mechanical tight bound states and ‘cold fusion’ experiments; Phys Lett A. 265 (2000)pp163-7 L’état d’énergie minimale pour deux protons autour d’un électron a n=4, R=614fm et E~ -1.7KeV, car n
Et il faut rajouter la consommation d’hydrogène!!! Quel interêt de fabriquer de l’hydrogène pour ensuite le transformer en biocarburants à l’aide d’une bactérie alors que cela doit déjà être possible par le biais de la chimie ?
L’énergie nécessaire dont parle Michel123 viendra du potentiel chimique du dihydrogène. Il restera donc le problème de la production en masse d’hydrogène. Mais de grands progrès sont en cours dans le domaine de l’électrochimie, notamment dans la direction des nanotechnologies. Il ne faut donc pas perdre espoir.