Une étude franco-britannique tend à démontrer qu’en été, les glaces de l’Antarctique fondent 10 fois plus vite qu’il y a 1.000 ans, avec une phase d’accélération à partir du milieu du 20ème siècle.
Il y a 5 ans, une équipe de scientifiques a réalisé un forage d’une profondeur de 364 mètres sur l’île James Ross, près de la pointe nord de la calotte antarctique afin d’y mesurer les températures au long court. Ils ont découvert que la carotte de glace extraite pouvait également founir un aperçu unique et inattendu de la fonte des glaces dans la région.
Les strates ainsi examinées de la carotte de glace ont fait ressortir des périodes successives de fonte et de regel. En mesurant l’épaisseur de ces strates, les scientifiques ont pu reconstituer l’historique de la fonte des glaces en fonction des variations de température au cours du dernier millénaire.
[ Le camp de base ]
"Nous avons constaté que les conditions les plus froides sur la péninsule antarctique et la plus petite quantité de glace fondue en période estivale s’était produite il y a près de 600 ans" a expliqué l’auteur principal, le Dr Abram Nerilie du British Antarctic Survey. "A cette époque, les températures étaient de 1,6°C inférieures à celles enregistrées à la fin du 20e siècle tandis que la quantité de neige tombée annuellement ayant fondu puis regelé était de 0,5%. Aujourd’hui, la quantité de neige fondant chaque année demeure 10 fois plus importantes (5%)".
C’est la première fois qu’il est démontré que les niveaux de fonte des glaces sur la calotte antarctique ont été particulièrement sensibles à l’augmentation de la température au cours du 20ème siècle. "Cela signifie que la calotte glacière s’est réchauffée à un niveau où même de légères augmentations de température peuvent causer une forte accélération de la fonte dans des endroits où les températures estivales sont proches de 0°C" a ajouté le Dr Abram avant de conclure : "tout cela a des implications importantes dans l’instabilité de la glace et dans l’élévation du niveau de la mer dans un contexte de réchauffement climatique".
Encore de la propagande du lobby écolo bobo à la solde des vilains scientifiques du GIEC, qui rappelont le, ne cherchent qu’à faire renouveller le financement de leurs études en nous faisant peur. Pour les lourds c’est de l’ironie.
En France nous ne risquons pas grand chose. C’est la corde sensible de ceux qui crient à la propagande. Pourtant toutes les MESURES réalisées sur plusieurs années montrent une progression spectaculaire des banquises. On ne peut pas se tromper vu l’ampleur du phénomène. Et ça c’est peut-être une hallucination ? : Et les réfugiés climatiques ils existent pas c’est ça peut-être ? Alors continuons d’aller au boulot tout seul dans sa voiture, assis sur des tonnes inutiles de métal, ça ne fait rien ! Et continuons de crier à la propagande, de belles autruches qui se transforment en taupes sanguinaires !
Apres avoir découvert que la terre était ronde , longtemps une petite minorité à continué à se faire croire que la terre était plate ! Je lis souvent ici sur le forum , des commentaires invoquant le complot quand il s’agit d’entrevoir un réchauffement climatique . Il y a fort à parier que la plupart d’entres eux craignent une remise en question de leurs connaissances. Il suffit de lire les bouquins de Claude Allègre , Pape de la science infuse et de l’idéologie du » j’ai toujours raison » pour comprendre que la prise en compte d’une telle information et la considération des conséquences qui en découlent implique un changement d’envergure dans nos sociétés. Et si nous nous appuyons collectivement, sur des décideurs incapable de se remettre en question pour intégrer les nouvelles connaissances scientifiques, nous pouvons nous mettre à construire des bateaux pour s’adapter à la hausse éventuelle du niveau de la mer. Au dela du discours CO2 centré de l’IPCC, pratiquement l’ensemble de nos infrastructures énérgétiques générent des pollutions sanitaires et environnementales à l’échelle de la planète. Ces pollutions ne doivent pas faire peur à cette meme minorité , pourtant ces différents aspects commencent à pénétrer les consciences et c’est par l’intégration de nouvelle connaissance qu’apparaitra le changement .
Graphique tiré de l’étude en question: On voit que cette température sans précédant a été atteinte plusieurs fois au cours des siècles passés. Mais avec un peu d’ingénierie statistique (des filtres et des moyennes), on peut faire avouer aux données ce qu’elles se refusent à dire sans torture. D’autre part, titrer que l’antarctique (environ 1,5 fois les USA en superficie) fond à partir de l’étude d’une seule carotte forée à l’extrême nord de la péninsule antarctique (une montagne qui coupe la circulation atmosphérique) est un peu fort de café. Maintenant le cherry picking si cher à la climatologie. La veille, le 14 avril était publié une étude dans le même journal portant sur tout l’antarctique ouest (20 carottes à peu près), qui concluait que la fonte actuelle était parfaite banale depuis 2000 an. Steig et al 2013: New ice core research suggests that, while the changes are dramatic, they cannot be attributed with confidence to human-caused global warming, said Eric Steig, a University of Washington professor of Earth and space sciences. “If we could look back at this region of Antarctica in the 1940s and 1830s, we would find that the regional climate would look a lot like it does today, and I think we also would find the glaciers retreating much as they are today,” said Steig, lead author of a paper on the findings published online April 14 in Nature Geoscience. Pas assez sexy pour les médias.
Bien évidemment que ces éléments de recherche sont scientifiquement discutables, néanmoins il n’y a pas que la hausse des températures du globe (d’origine anthropique ou non) qui s’opère actuellement. Et cette recherche intègre un mouvement de fond qui vise à appréhender les interactions entre l’homme et son environnement. Et les interactions sont nombreuses ! Elles impliquent des déséquilibres majeures à l’échelle de l’écosystème globale : désertification, disparition des forêts, effondrement de la biodiversité, disparitions massives d’insectes pollinisateurs, trou dans la couche d’ozone, accumulation sans précèdent de Co2 dans l’atmosphère, pollution océanique, disparition des coraux, des poissons….. Les enjeux sont colossaux et ce n’est pas rien de le dire ! L’énergie là-dedans ? Colonne vertébrale des activités humaines, participe activement à l’accentuation des déséquilibres ; alors après on peut se cacher derrière une pseudo utilité productive mais un jour il va falloir assumer nos responsabilités collectives . Et après avoir lu cette article et le premier commentaire réfutant toute idée de hausse climatique, je me suis permis de réintégrer ou d’insérer le Co2 dans un cadre plus large, celui des impacts sanitaires et environnementaux des affaires humaines. Les solutions sont d’ores et déjà disponibles, il n’y a pas de problématique sans solution ! Mais pendant combien de temps encore allons-nous collectivement faire semblant qu’il ne se passe rien ? …
Bien évidemment que ces éléments de recherche sont scientifiquement discutables Je n’ai pas vu une seule soit-disant preuve du réchauffement climatique anthropique qui ne soit pas discutable. A chaque fois, si vous allez dans les détails, vous tombez sur des trucages grossiers, des variations observées inférieures à la précision de l’appareil de mesure, des protocoles douteux, des données corrigées à l’aide de modèles radiatifs pour démontrer la validité d’autre modèles radiatifs, l’usage à tour de bras d’astuces statistiques, des résultats irreproductibles ou statistiquement sans signification … etc … Vous voulez connaitre tous les vices possibles qui font une pseudoscience, étudiez la climatologie. néanmoins il n’y a pas que la hausse des températures du globe (d’origine anthropique ou non) qui s’opère actuellement Et ça veut dire quoi justement « la hausse des températures du globe », vous la mesurez comment ? En additionnant les températures (une grandeur intensive) comme le font les climatologues ?
Comment peut-on essayer de nous faire croire que la banquise antarctique ( surveillée dans toute son étendue) se porte à merveille et que la calotte , à plus haute latitude fond à vitesse grand V
Comment peut-on essayer de nous faire croire que la banquise antarctique ( surveillée dans toute son étendue) se porte à merveille et que la calotte , à plus haute latitude fond à vitesse grand V
Je ne suis pas spécialiste de climatologie :), et je ne doute pas une seule seconde de vos affirmations! Vous pouvez trouver des élèments de réponse à votre question dans cette publication. Evidence for global runoff increase related to climate warming « Abstract Ongoing global climatic change initiated by the anthropogenic release of carbon dioxide is a matter of intense debate. We focus both on the impact of these climatic changes on the global hydrological cycle and on the amplitude of the increase of global and continental runoff over the last century, in relation to measured temperature increases. In this contribution, we propose an original statistical wavelet-based method for the reconstruction of the monthly discharges of worldwide largest rivers. This method provides a data-based approximation of the evolution of the annual continental and global runoffs over the last century. A consistent correlation is highlighted between global annual temperature and runoff, suggesting a 4% global runoff increase by 1 °C global temperature rise. However, this global trend should be qualified at the regional scale where both increasing and decreasing trends are identified. North America runoffs appear to be the most sensitive to the recent climatic changes. Finally, this contribution provides the first experimental data-based evidence demonstrating the link between the global warming and the intensification of the global hydrological cycle. This corresponds to more intense evaporation over oceans coupled to continental precipitation increase or continental evaporation decrease. This process finally leads to an increase of the global continental runoff. » et aussi ici : The phase relation between atmospheric carbon dioxide and global temperature « Abstract Using data series on atmospheric carbon dioxide and global temperatures we investigate the phase relation (leads/lags) between these for the period January 1980 to December 2011. Ice cores show atmospheric CO2variations to lag behind atmospheric temperature changes on a century to millennium scale, but modern temperature is expected to lag changes in atmospheric CO2, as the atmospheric temperature increase since about 1975 generally is assumed to be caused by the modern increase in CO2. In our analysis we use eight well-known datasets: 1) globally averaged well-mixed marine boundary layer CO2data, 2) HadCRUT3 surface air temperature data, 3) GISS surface air temperature data, 4) NCDC surface air temperature data, 5) HadSST2 sea surface data, 6) UAH lower troposphere temperature data series, 7) CDIAC data on release of anthropogene CO2, and 8) GWP data on volcanic eruptions. Annual cycles are present in all datasets except 7) and 8), and to remove the influence of these we analyze 12-month averaged data. We find a high degree of co-variation between all data series except 7) and 8), but with changes in CO2always lagging changes in temperature. The maximum positive correlation between CO2and temperature is found for CO2lagging 11–12 months in relation to global sea surface temperature, 9.5–10 months to global surface air temperature, and about 9 months to global lower troposphere temperature. The correlation between changes in ocean temperatures and atmospheric CO2is high, but do not explain all observed changes. »
Attention aux copier-coller de nom, ils se traduisent souvent par du code html dans le texte. Sur la première étude. Ils comparent la période 1900-1975 à la période 1925-1994 (plus chaude). Ce n’est absolument pas convainquant. Durant la période 1910-1940 ou a eu lieu une hausse des température de même ampleur à celle de la fin du siècle, les « crues » (je ne sait pas ce qu’il veulent dire par runoff exactement) ont dramatiquement diminué. Annuellement,l ils trouvent un coefficient de corrélation entre la température et les crues de 0,24, je vous laisse calculer le R2 en carton (une image du nuage de point est page 10). Alors on moyenne comme d’hab et on oublie le R2 pour passer à un test had oc, ici le Student. La question qui n’est pas posée dans l’article, est sur quelles bases physiques et géographiques on peut relier la température du globe avec le débit de la Seine par exemple ? De toutes façons, que l’indice mondial de la température ait augmenté, personne ne le conteste, le débat porte sur le rôle du CO2. La deuxième étude porte sur la variation du CO2 dans l’atmosphère qui suit les variations des températures de surface de l’air et de l’eau. C’est un papier sceptique hardcore qui pose la question de l’origine humaine de l’augmentation de la concentration de CO2 atmosphérique. Je n’ai pas envie de la lire pour la réfuter.
La science se nourrit d’échanges, il est légitime de vouloir réfuter certaines observations en l’absence de mesures effectuées par soi-même, il me semble qu’il faut redoubler de discernement et faire preuve d’intégrité. Après, il est envisageable que certains ne veulent pas voir scier la branche sur laquelle ils s’épanouissent … J La plupart des scientifiques font preuve d’intégrité ; le papier proposé est sensiblement transparent, il se propose d’apporter des éléments de réponse en s’appuyant sur l’observation des ruissèlements (run-off). Libre à chacun d’apprécier ou non sa pertinence. Néanmoins, il fait état d’une tendance dont vous faites l’écho ; » l’indice mondial de la température ait augmenté, personne ne le conteste » J’ai simplement répondu à votre interrogation portant sur la hausse des températures du globe, après je ne suis pas là pour convaincre, ni réfuter vos arguments. Par ailleurs, j’indiquais être d’accord avec votre observation concernant les travaux « non-recevables », car je sais qu’aujourd’hui la logique productiviste conditionne les travaux des chercheurs dans la recherche d’un volume de publication, plutôt que dans une recherche de pertinence. Donc la tendance de réchauffement climatique qu’elle soit d’origine anthropique ou non, m’importe peu car, dans l’observation des affaires humaines, ça reviendraient à focaliser son attention sur une toute petite partie des déséquilibres en cours ! Bon Week-end, @badrien C’était un message codé destiné à nicias 🙂 ! On peut y trouver une certaine forme esthétisme 🙂
La science se nourrit d’échanges, il est légitime de vouloir réfuter certaines observations en l’absence de mesures effectuées par soi-même, il me semble qu’il faut redoubler de discernement et faire preuve d’intégrité. Après, il est envisageable que certains ne veulent pas voir scier la branche sur laquelle ils s’épanouissent … La plupart des scientifiques font preuve d’intégrité ; le papier proposé est sensiblement transparent, il se propose d’apporter des éléments de réponse en s’appuyant sur l’observation des ruissèlements (run-off). Libre à chacun d’apprécier ou non sa pertinence. Néanmoins, il fait état d’une tendance dont vous faites l’écho ; « l’indice mondial de la température ait augmenté, personne ne le conteste » J’ai simplement répondu à votre interrogation portant sur la hausse des températures du globe, après je ne suis pas là pour convaincre, ni réfuter vos arguments. Par ailleurs, j’indiquais être d’accord avec votre observation concernant les travaux « non-recevables », car je sais qu’aujourd’hui la logique productiviste conditionne les travaux des chercheurs dans la recherche d’un volume de publication, plutôt que dans une recherche de pertinence. Donc la tendance de réchauffement climatique qu’elle soit d’origine anthropique ou non, m’importe peu car, dans l’observation des affaires humaines, ça reviendraient à focaliser son attention sur une toute petite partie des déséquilibres en cours ! Bon Week-end, @badrien C’était un message codé destiné à nicias :), On peut y trouver une certaine forme esthétisme 🙂
Pour être plus clair, je pense que la hausse de la concentration du CO2 dans l’air est d’origine humaine. Tant que le taux de CO2 ne baissera pas je ne m’informerai pas plus sur le sujet, pas le temps. Pour le méthane, je suis plus perplexe… J’ai simplement répondu à votre interrogation portant sur la hausse des températures du globe Ou ça ? je ne me pose plus vraiment de question sur ce sujet. L’indice de la température mondiale monte mais ne nous dit rien sur la quantité d’énergie dans le système terre. Très bon w-e à vous.
c’est le titre de l’article : « enfin démontré » Quoi ? Il fallait être « sur » de la catstrophe annoncée ? Un bout de carotte sur une surface de 14millions de km² « démontrerait » (enfin !) que les glaces de l’Anatrctique fondent plsu vite (que quoi ?). Et encore des mélanges entre CO2 et pollution, mais ça devient une habitude;