La quantité de CO2 absorbée par les océans augmente, et ce sont de minuscules organismes marins qui en font les frais.
En raison de l’acidité légèrement croissante des océans, les foraminifères ont de plus en plus de mal à former leur carapace, ont observé des chercheurs de l’Université de Tasmanie.
Or, ces protozoaires jouent une rôle important dans l’absorption du CO2 par les océans. En effet, lorsqu’ils meurent, ils emportent aux fonds la quantité de carbone qu’ils ont absorbée. Celle-ci se retrouve alors piégée dans les profondeurs marines.
Selon les chercheurs William Howard et Andrew Moy, de l’Université de Tasmanie, cette fragilité nouvelle du protozoaire pourrait directement entretenir les changeents climatiques, et porter atteinte à l’écosystème.
Cette découverte représente la première preuve de l’impact de l’acidification sur les organismes marins.Le phénomène pourrait bien représenter un danger pour d’autres espèces qui forment une coquille, comme l’huitre, la moule ou l’escargot de mer.
….les données numériques: Il y a 50 000 gigatonnes de carbone dissous dans les océans. Avec 6Gt/an nous faisons figure de rigolos devant cette énormité. Et on ne connaît pas même le flux de carbone qui se piège définitivement dans le fond de l’océan… Une fois de plus à force de jouer les Cassandres ils perde,t leur crédibilité.
Avez-vous déjà entendu parler de la notion d’équilibre? Savez-vous que la disparition d’une seule espèce, surtout lorsqu’elle est présente en grand nombre, peut affecter tout un écosystème? Vous saisissez l’occasion d’une simple inquiétude sur la pérennité d’une espèce (et de ses possibles conséquences sur l’équilibre de l’absorption d’une partie de CO2) pour faire passer de l’idéologie à la Claude Alègre… Les 50 000Gt dont vous parlez, c’est près de 2milliards d’années d’accumulation, et nous faisons du 6Gt par an…c’est une donnée qui, remise dans son contexte, nous montre une considérable remise en cause de l’équilibre climatique. Après sur les conséquences possibles et propables, personne n’en sait vraiment rien, nous savons juste qu’il y a un grand risque de boulversement climatique.
« Le phénomène pourrait bien représenter un danger pour d’autres espèces qui forment une coquille, comme l’huitre, la moule ou l’escargot de mer. » Au moins,comme ça ,on verra vraiment s’il y a des vraies conséquences,au lieu de devoir se fier à des déclaration de foi de mauvais scientifiques racontant n’importe quoi pour faire parler d’eux et obtenir des crédits indus. S’il y a vraiment une forte chute généralisée dans le monde des productions d’huitres et de moules dù à la fragilisation de leurs coquilles ;ça ne passera pas inaperçu et sera vraiment indiscutable. A suivre donc …