Perturbations du cycle de l’eau, élévation du niveau des océans, disparition de certaines espèces, événements climatiques extrêmes mais aussi épidémies ou récessions économiques pourraient être à terme les conséquences du réchauffement climatique.
La communauté internationale s’est fixé pour objectif à Cancun de limiter la hausse de la température moyenne en dessous de + 2°C par rapport à l’ère préindustrielle. D’après les évaluations du GIEC, cet objectif requiert une division par deux des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2050 et une réduction d’au moins 80 % en 2050 pour les pays de l’OCDE.
Dans une conjoncture de sortie de crise économique et à la veille de la Conférence de Durban, la feuille de route pour atteindre cet objectif en 2050 fait l’objet de vifs débats. Alors que l’Union européenne a adopté en 2008 sous présidence française les mesures lui permettant de réduire ses émissions de 20 % en 2020, la Commission européenne estime à présent que le scénario le plus efficace pour parvenir à l’objectif serait une réduction de 25 % en 2020, 40 % en 2030 et 60 % en 2040.
Du fait de l’opposition polonaise à tout nouvel engagement, la discussion n’a pas pu progresser au Conseil européen de 21 juin. La France, quant à elle, ne s’est pas encore positionnée officiellement sur la question d’un relèvement de l’engagement en 2020.
En effet cette accélération de la transition vers une économie décarbonée doit être envisagée à l’aulne d’une réflexion nationale approfondie sur la meilleure trajectoire pour atteindre l’objectif 2050. Sur quelle base partager l’effort entre les différents secteurs de l’économie? Quels seraient les impacts sur la compétitivité des entreprises et le marché de l’emploi ? Comment évaluer les investissements nécessaires à un relèvement de nos ambitions et les moyens de leur financement ? Quels sont les instruments à mettre en place pour concilier l’ambition climatique à l’efficacité économique et sociale ?
Pour répondre à ces questions et contribuer au débat international sur les jalons qui doivent nous mener à une économie décarbonée en 2050, Nathalie Kosciusko-Morizet (ministre de l’Écologie), a lancé le 27 juin 2011 un groupe de réflexion pour identifier les meilleurs scénarios de réduction de gaz à effet de serre pour la France.
Intitulé « Trajectoires 2020-2050 – Vers une économie décarbonée », ce comité, présidé par Christian De Perthuis, professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine et expert de l’économie du climat, et appuyé par le Centre d’analyse stratégique (CAS), rassemble une quarantaine d’acteurs.
Il analysera d’ici octobre 2011 les différents scénarios possibles, en prenant en compte l’ensemble des impacts économiques, sociaux, sanitaires et environnementaux. Ses travaux permettront d’orienter les stratégies de réductions d’émissions et l’investissement à long terme au niveau national, et de préciser la position française sur le relèvement de l’ambition en 2020.
« La crise économique ne doit pas nous faire oublier la question urgente du climat. Les échéances 2020 et 2050 peuvent paraître lointaines mais se préparent dès aujourd’hui. Se doter d’une feuille de route permettra aux différents acteurs d’anticiper la transition de notre économie et d’en faire une opportunité de croissance et d’emploi », a précisé Nathalie Kosciusko-Morizet.
tout le monde sait que le dégagement de co2 est reparti à la hausse , les efforts (méritoires) pour endiguer cette montée inéluctable de ces gaz sont notablement insuffisants . D’ici 2020 les émissions de co se retrouveront sans doute au même taux qu’actuellement ( dans le meilleur des cas ) le taux de co2 monte de 2 ppm par an et n’est pas prés de ralentir son ascention nous avons dépassé et de loin le taux le plus élevé relevé depuis 800 000 ans (les carottes polaires les plus profondes) c’est à dire 260 PPM et abordont la ligne des 400 ppm qui sera franchie dans deux ans au plus tard. Cet andouille de luc Ferry (le philosophe , ancien ministre , glandouilleur de métier ) peut déclarer dans sa voiture de sport que taxer le co2 ce n’est pas le problème . Ce n’est effectivement pas son problème lui qui fait semblant de travailler mais n’oublie pas de se faire rémunèrer . Visiblement ses petits enfants s’il en a ne le préoccupe pas , il a bien assez à s’occuper avec lui même .
J’aimerais bien croire à ces -80% en 2050, mais honnêtement ça me semble très difficile à atteindre, si ce n’est impossible. Quand on voit que le trafic routier est en augmentation constante, que la voiture électrique ne prendra probablement que quelques pourcents du marché d’ici 2050, que le trafic aérien connaît une augmentation encore plus nette, sans aucune énergie de remplacement possible… Et du côté électricité, l’abandon du nucléaire par l’allemagne et l’italie, qui vont devoir inévitablement devoir recourir au gaz en attendant que les EnR soient en mesure de compenser ne va pas faciliter les choses. Certes on peut espèrer d’importantes mesure d’efficience énergétique, mais de là à arriver à 80% de réduction en 2050, ça semble difficile. Je serais très curieux de voir la feuille de route qui explique, par poste de consommation, comment arriver à cet objectif.
Bravo pour votre message Michel123 ; d’ailleurs vos messages sont toujours trrès intéressant. Cordialement.
2020, c’est demain, et -25%, vu la tendance actuelle, et la probable fermeture des centrales nucléaires les plus anciennes, c’est énorme. Hélas, seule une grave crise pourrait nous permettre d’atteindre cet objectif, et, 2 fois hélas, celle-ci pourrait bien être déclenchée par la très probable et prochaine pénurie d’énergies fossiles.
A moins que nous ne retournions à l’âge des cavernes, en mangeant crues nos cuisses de diplodocus, en respirant une fois sur deux pour limiter les émissions de CO2 anthropique (celui-là l’est à 100%…), en nous déplaçant en chars à boeufs, en nous éclairant à la bougie, et en communiquant par signaux de fumée ou par pigeons voyageurs, car Internet aura été supprimé, je ne vois pas comment les 9 Milliards d’êtres humains que nous serons en 2050 pourraient réduire de 80% leurs émissions de CO2… Avant de sortir de telles âneries irréalistes, il vaudrait mieux que nos braves technocrates fassent une étude prospective sérieuse, qui montrerait que la réduction de 80% est impossible…..
Ce qui me scie dans l’article et les commentaires, c’est la part de concret : il n’a été question que de la voiture de luc ferry et de cuisson d’aliments ! En dehors d’accuser tout le monde, il y a des chantiers qui intéressent les particuliers : le développement du télétravail permettrait de gagner sur les déplacements tout de suite et de consommer moins par point de croissance ensuite. Les déplacements de proximité à vélo (electrique), la mise en place de diverses collectes par véhicule non molluant, le ferroutage, etc.. où en est on ? n’y a-t-il que du désespoir et de la rédemption sur la ligne ? Personnellement , je fais 1500km/an en velo et j’évite l’avion quand c’est possible quitte à me lever tôt mais si je vais voir ma mairie pour organiser une collecte de déchets végétaux en vélo, j’apprends que ma commune est la plus verte du monde , pour un peu elle deviendrait à énergie positive. Pourtant les collectes sont toujours faites avec d’horribles camions puants et la ligne de bus qui dessert le plateau voisin continue à monter la côte en faisant hurler son diesel.. Les trolleybus sont ils complètement enterrés ?
Curieux de remarquer le silence des partisans de l’arret du nucléaire devant ces constatations. Je n’en retient qu’une °5% d’emissions de CO2 en 2010
luc ferry n’est là que pour la déco : c’est le prototype parfait de l’égoiste irresponsable . Je suis pourtant clair dans ma conclusion : la seule solution c’est de taxer les produits fossiles carbonés pour en renchérir le coût progressivement en détaxant parallèlement les produits neutres Ces mesures orienteraient alors mécaniquement vers les produits décarbonnés et ce d’autant plus vite que le différentiel de prix se creusera .
Le scenario retenu par la Commissions Européenne n’est pas arbitraire, ce n’est pas une proposition parmi d’autres et encore moins un sondage d’opinion. Il s’agit d’une traduction de l’engagement « 2°C max » en termes un peu plus explicites et accessibles à un plus grand nombre. Les bases en ont été négociées au niveau mondial et la position de la Commission est cohérente avec les engagements pris à Copenhague et consolidés à Cancun (on a beaucoup parlé de l’échec de Copenhague tandis que la couverture médiatique de Cancun était plus modeste – et pourtant, qui s’est rendu compte de l’énormité des accords qui étaient en train d’émerger? ). Impossible, irréaliste, utopiste, précisions donc notre pensée: s’agit-il de remettre en cause les « 2°C max » et sa traduction devenue tellement explicite en termes de réduction de nos émissions de GES? S’agit-il de s’avouer vaincus et d’accepter les conséquences de l’échec, puisque finalement, tout est trop tard? S’agit-il de proposer une alternative dans le cadre « 2°C max »? Ou bien s’agit-il d’accepter ce parcours de réduction des émissions de GES comme une indication claire des défis auxquels nous devons faire face? Dans le premier cas, qui sort du cadre de la brève, je suggère d’ouvrir une nouvelle brève remettant en cause les connaissances actuelles telles qu’elles sont synthétisées par le GIEC. Le second cas est celui que l’action internationale tente – enfin ! – d’éviter, même au regard de la démesure de la tâche. Si vous vous trouvez dans le troisième cas, commencez par vous signaler auprès du groupe de réflexion « Trajectoires 2020-2050 », vous devriez y être écouté avec grand intérêt (pensez à écrire une brève sur Enerzine !). Le dernier cas est l’objet de l’action internationale qui émerge après plus d’un quart de siècle d’études et de débats. Face à cela, j’accepte humblement le résumé synthétique de la Commission Européenne comme une indication claire du choix qu’il nous reste pour éviter le cas no. 2 et en l’absence de cas no. 3 crédible – c’est dire! Acceptons donc, ne serait-ce que le temps d’une contribution sur cette page, le scénario proposé comme un impératif incontournable. Dès lors, quels sont les degrés de liberté qui restent? Quels sont les modes de vie que l’on peut envisager? Quelle économie serait « durable »? Quelles énergies – et combien? Comment gérer la transition, même plutôt brutale? Pas évident, et souvent déplaisant, n’est-ce pas? Et attendez, c’est pire encore, puisqu’il ne s’agit là « que » de la dimension « changement climatique »! Ajoutons-y l’eau, d’autres déséquilibres naturels, la crise financière, la pauvreté… C’est vrai que c’est démesuré et inimaginable – impossible même ! – dans le luxe du choix, dans la liberté du doute, dans l’abandon au désespoir ou dans l’espoir d’un miracle. Mais de retour dans l’acceptation de l’impératif tel qu’il est présenté aujourd’hui par la Commission, cela demande des changements, des bouleversements, des ruptures qui ne correspondent pas à l’extrapolation de nos modes de vie. Le seul avantage de ce scénario décidément peu attrayant, c’est qu’il nous reste encore quelques choix sur le chemin à suivre. Après tout, « nous » sommes encore en démocratie, les rationnements sont rares, les règlementations assez tolérantes… Heureusement, ceux qui d’une façon ou d’une autre prennent conscience de la nécessité de changer de comportements (et quelle que soit leur motivation pour cela) sont de plus en plus nombreux. Toujours largement minoritaires, certes, mais plus solides dans leur démarche, mieux préparés aussi aux défis de demain matin. Et même si ces efforts paraissent modestes – c’est vrai, il le sont souvent devant les fameux 80% – ils sont autant de contributions positives et de sources d’inspiration. Comme Lionel, j’essaie, comme je peux, de faire au mieux, de m’instruire, d’agir, de changer, d’informer… Je suis certain qu’il y en a bien d’autres parmi vous, lecteurs et contributeurs à Enerzine. Pas question de baisser les bras, même si l’adaptation mérite de plus en plus d’attention en parallèle. J’attends donc avec impatience et intérêt de voir les conclusions de la Commission « Trajectoires 2020-2030 ». D’ailleurs, notre énergie commune sur Enerzine pourrait y contribuer utilement. Enerzine, l’occasion de créer une page dédié à ce sujet pour recueillir les propositions?
@jl06 L’hypothèse du GIEC, selon laquelle le CO2 aurait un rôle pivot sur T, est tout simplement issue de la surprenante rhétorique suivante : » depuis 150 ans, nous avons un réchauffement que l’on ne sait pas expliquer, donc il est dû au CO2″. Belle manière de raisonner : on bouche un trou et on construit à partir de là une « usine à gaz » pour tenter de justifier son hypothèse, quoique cette dernière n’ait jamais été prouvée de quelque façon que ce soit (on le saurait!…). Voici les données d’observation récentes : stabilisation de la température moyenne globale depuis 1999, malgré l’augmentation continue du taux de CO2 troposphérique (mesures au Mona Loa), léger refroidissement des océans depuis 2003 (mesures des 3350 sondes ARGO), tendance à la stabilisation des niveaux océaniques à moins d’1 mm/an. Comment voulez-vous accorder du crédit au GIEC, dont les travaux reposent sur des hypothèses jamais vérifiées, réfutées par les données d’observation, et trop imparfaits : pas de modélisation de la vapeur d’eau, des nuages, des aérosols, des échanges dynamiques d’air et d’énergie, des rayons cosmiques, des grands courants marins, paramétrages « pifométriques pour que cela « marche » sur une courte période de temps», …. En ignorant tout cela, on fait n’importe quoi, comme le font nos politiques actuels dont les seules références sont les projections cataclysmiques des modèles numériques du GIEC….. Le fait que les travaux sur le climat soient entrés dans la sphère politico-écolo-médiatique a engendré le dogme du Réchauffement Climatique Anthropique, les bourses d’échange carbone, sources de nombreuses malversations, et les taxes carbone avec des effets négatifs sur le pouvoir d’achat des citoyens.
la température loin de se stabiliser augmente de façon linéaire de 0,2 degrés par décennies . Si vous regardiez des sites de référence : la nasa par exemple vous sauriez que 2010 est l’année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des mesures (à égalité avec 2005 ) Que la décennie 2000- 2010 est la plus chaude jamais connue depuis le début des mesures que jamais depuis 800 000 ans (calote polaire) et 2000 000 millions d’années ( étude de carbonate de calcium sur les coquillage) le taux de co2 n’a dépassé 260 ppm et que nous franchirons le cap des 400 ppm dans é ans avec une augmentation de éppm par an , une augmentation qui s’accélère (elle était de 1,5 ppm il y a deux décénnies) Le niveau de océans augmente de façon régulière De 3,4 mm par an et ce mouvement ne fait que s’accélérer . Quand on met en ligne de tel résultats on va les pêcher sur un site de référencce et non pas chez des incompétents de mauvaise foi comme claude allègre(qui ne connait rien à la climatologie, il est chimiste de son état) ou autres amateurs
Qui a parlé de baisser les bras? Evidemment il y a beaucoup de possibilités, faire des économies d’énergie dans le bâtiment, développer le transport en commun, le fret ferroviaire au lieu de la route, les productions locales au détriment des produits importés depuis l’autre bout du monde, etc… Mais donner des objectifs aussi ambitieux que tout le monde sait irréalisables, et sans même aligner derrière la volonté politique (y compris les sacrifices) qui serait indispensable pour y arriver (taxation massive des énergies émettrices de CO2, véritable soutien aux EnR, bridage …) je ne vois pas trop l’intérêt. Mieux vaudrait annoncer quelque chose de faisable, et le faire! Lisez donc ce livre: Les méthodes et mesures utilisées y sont bien détaillées, et à l’évidence ça n’a rien du « pifomètre ». Evidemment certains points, comme l’influence de la vapeur d’eau et des nuages, ou l’effet de l’activité solaire, sont mal connus, ce que le GIEC reconnait volontiers, mais leurs études restent à l’heure actuelle ce qu’il y a de plus précis. Entre des amateurs qui croient tout savoir parce qu’ils s’intéressent un peu au sujet comme Allègre, et des centaines de climatologues qui passent leur vie dessus, je ferais plutot confiance aux seconds. Un sondage en 2009 montrait que 97% des climatologues estimaient que l’homme avait un effet sur le changement climatique, contre 47% des géologues… demande-t-on à un climatologue ce qu’il pense des risques sismiques?
L’influence ou non du CO2 sur le réchauffement climatique n’a aucune importance puisque quoi qu’il arrive nous devons diminuer nos émissions polluantes, et ce ne serait-ce que pour notre santé ! Ou bien pour nous préparer à l’arrivée de 3 autres milliards d’êtres humains d’ici à trente ans…
Je lis vos réactions un peu tard .. Michel, votre synthèse est excellente , Blu a un bon diagnostic. Je ne crois pas à une taxation massive des carburants. Je pense que c’est une fausse bonne idée. Derrière la question « réduire de 80%… » il y a une question grise : « garder notre niveau de vie » voire « rester en vie.. » Taxer un peu plus qu’aujourd’hui permettrait de renflouer l’état ce qui semble le plus urgent maintenant, je ne pense pas que les grecs se sentent très concernés par ces questions désormais , pas plus que les soudannais. En cas de crise économique majeure , on ne réduira rien du tout. Une fois cette question résolue, il faut garder en tête que si nous sommes grands émetteurs , c’est parce que nous avons un des meilleurs niveau de vie, il nous appartient de préserver celui-ci tout en réduisant … tout en créant des emplois … Bloquer l’accès à l’énergie à nos entreprises alors que les autres pays ne le font pas ne peut que saborder tous nos efforts Je déteste le gachis et j’aimerais tellement que les gens s’approprient ce problème en brûlant moins de fossile mais la taxe n’aura pour effet que de détruire le peu de compétitivité qui nous reste. D’autres pays ont une approche que je comprends mieux, ils ont compris que pour garder une économie viable et poursuivre un objectif de réduction massive des émissions il faut de la technologie et de l’industrie.. La créativité ne suffit pas, il faut industrialiser les découvertes pour les mettre à l’échelle. D’autre part , je ne suis pas sûr que nous soyons tellement plus intelligents que des pays qui ont un niveau de vie très bas. Nous avons des infrastructures certes et un système éducatif certes mais rien de tout cela n’est déterminant, on n’a pas assez réfléchi à toutes les contraintes de ce problème en france, on s’est contentés d’accuser d’autres présumés encore moins vertueux que nous et reléguer la baisse des émissions au niveau de l’initiative individuelle non-concertée. Or pour développer des techniques et les industrialiser , on a besoin d’un tissu de services extrèmement imbriqués , dont chaque maillon est un émetteur potentiel. Mon scheme est :Emettons maintenant pour se construire un avenir moins emetteur ! Comme une restructuration coute cher à une entreprise généralement aux abois, réduire les émissions coute cher en carbone émis afin de parvenir à un futur ordinaire moins emetteur La question est : Quelle émission d’aujourdhui me permettrait d’émettre moins demain ? et de façon pérenne.. Les Danois qui émettent comme des flibustiers, ont développé le marché éolien qui permet de ne plus émettre demain, les allemands qui carbonisent l’atmosphère avec leur voitures de luxe , conçoivent un réseau électrique qui sera à terme beaucoup moins émetteur que le réseau français dont les centrales nucléaires émettent certes peu de carbonne , mais beaucoup plus que l’éolien (regarder les chiffres) A ceux qui pensent qu’un retour à la nature massif ou un renoncement à toute consommation carbonnée, je suis au regret de dire qu’ils discréditent la cause et font une fixation sur la rédemption des fautes de nos aïeux qui émettaient sans compter…. en se construisant une vie de renoncement et d’abnégation. Pour avoir vécu dans d’autre pays , je sais que ce travers nous met en position de faillite personnelle et collective. C’est le problème récurrent de cette cause. L’énoncé du problème c’est qu’on n’a pas de solution actuellement, il ne sert à rien de nous entre-pourrir la vie au motif que vivre dans un tonneau comme Diogène est moins emetteur que de prendre une douche tous les matins. A coté de celà on a les comportement inverses et incroyablement conservateurs en France. Le télétravail est perçu par le management comme une insurrection, quelqu’un qui ne moisit pas dans le petro pendant 2h/j ne mériterait pas son salaire…. Seule la technologie peut nous sortir de là , la video conférence est disponible gratuitement dans toutes les entreprises , non ! on ne fait pas comme ça ici ! Et l’internet, le smart grid, l’éolien, et leurs conséquences sur notre quotidien ne sont actuellement pas perçus de la bonnne manière en France qui accuse un déficit énorme en matière d’innovation mais aussi d’activité, les forums comme énerzine ne mène qu’à un échange d’opinion alors que la communauté des contributeurs est bien plus forte que leus entités individuelles, d’où ma conclusion : importez de ces pays ce qu’ils ont de meilleur et laissez leur ce qu’ils ont de mauvais !!!!!! mais importons car , la solution n’est pas à paris notre-dame , elle est éparpillée dans tous les pays qui ont le même niveau de vie que nous.
« les allemands qui carbonisent l’atmosphère avec leur voitures de luxe , conçoivent un réseau électrique qui sera à terme beaucoup moins émetteur que le réseau français dont les centrales nucléaires émettent certes peu de carbonne, mais beaucoup plus que l’éolien (regarder les chiffres) » Si vous voulez que l’on regarde les chiffres, il faut commencer par les donner ! Je vous signale que ce n’est pas le réseau qui émet des GES (ou très peu, par exemple du SF6), c’est les centrales qu’on y connecte. Entre l’Allemagne et la France, le niveau d’émission des centrales électriques est encore dans un rapport 10 à 1, il y a donc effectivement une marge de progrès, mais je ne vois pas l’Allemagne parvenir à 1 rapidement… en fermant ses centrales nucléaires dans 10 ans.
J’ai regardé Dan, je suis tombé sur un article de l’expansion qui fait une comparaison en stipulant qu’une éolienne dure 20ans puis on la démonte on enlève le béton, on refait le béton, puis le mât et on change la turbine … Je n’ai pas envie de parler chiffres à cause de ça : même sans douter de l’explication ils ne sont pas vérifiables sans expérience réelle. Une éolienne dure au moins 50ans et on ne change que quelques pièces comme dans toute mécanique contrainte : la transmission, les pales se réparent sur place, le reste de la machine ressemble à un tank où tout est surdimensionné, robuste, increvable Je dois croire un plouc de l’expansion dont je n’avais jamais entendu parler ou mes yeux et mes oreilles ? oui , ce sont les centrales qui émettent mais le système electrique est articulé autour d’un réseau avec plusieurs types de producteurs et de consommateurs. Quant je dis le réseau, comme pour l’internet, je parle aussi des centrales. (sémantique) on dit bien « faire une recherche sur internet » et non pas « chercher sur les serveurs » C’est vrai que le kwh allemand sera plus carbonné que le français pour encore longtemps.. vers 2050 par contre , la tendance s’inversera : Une partie du cabone naturel de la biomasse s’échappe sous forme de CH4 est déja valorisé en allemagne : même quantité de CO², valorisation énergétique coté allemand – rien coté français si on restait nucléaire .. ~78 GW d’éolien et ?? solaire en allemagne en prolongation tendancielle mais : La France est le seul pays qui ait une telle divergeance avec l’allemagne, en gros les autre se disent qu’ils forcent un peu le process dans lequel tout le monde se trouvé déjà, font la course en tête mais vers 2050 tout le monde les aura rattrappé/dépassé Je veux dire : si l’allemagne développe (comme la suisse) un gros parc de machines pour absorber les pointes de production, tout le monde lui vendra ses pointes y compris la france mais surtout la scandinavie et l’angleterre mieux lotis en gisement EnR .. L’affrontement franco allemand sur le modèle énergétique est un phénomène pontuel, politique qui n’a rien à voir avec le marché de gros des années 2050 où tous ces problèmes seront complètement oubliés Autrement dit , le productible allemand ne s’arrète pas à ses frontières ! loin de là le prix de gros en photopiles est en moyenne de 1.20€ Wc en juillet 2011 (une bulle de stocks a éclaté apparement) Mais d’ici 2030, les unités de fab chinoises seront amorties, les cellules organiques (qui s’impriment sur rouleaux) etc.. la baisse des couts eoliens sera aussi très nette puisque unités de fab amorties et fondations déjà construites et amorties… on arrive à un prix si bas que l’europe de nord sera équipée et la mer du nord en particulier .. (potentiel de la mer du nord nettement au dessus des besoins de l’allemagne..) La question qui reste : une fois les couts de EnR au plancher : quel potentiel maximum pourra-t-on en tirer et notre consommation restera-t-elle linéaire ? je pense qu’elle va sérieusement augmenter en dépit de ce que disent les écolos. On va multiplier les conversions dont le rendement restera moyen (carburant liquide notamment) et les besoins vont exploser à cause du pétrole qui aura disparu Si la france veut garder une part de nuke, c’est dans un scénario de ce type là qu’il faut l’insérer et arrèter de combattre l’inévitable ascention des renouvelables (90mds$ en 2010) Autrement dit , le nucléaire a perdu la course au prix du mwh mais pas celui de l’hydrogène .. or c’est exactement l’axe de recherche qui a été abandonné!! Dans quel journal nos décideurs ont ils lu un scenario aussi lineaire ? on croirait un retour aux années 70 Le vrai challenge pour tout le monde : les hydrocarbures liquides, le naphte, hydrates de méthane ….
« Je n’ai pas envie de parler chiffres à cause de ça : même sans douter de l’explication ils ne sont pas vérifiables sans expérience réelle. » Envie ou pas, ma question est précise et répond à une de vos assertions : « beaucoup moins émetteur que le réseau français dont les centrales nucléaires émettent certes peu de carbonne, mais beaucoup plus que l’éolien (regarder les chiffres) » Vous me répondez par un délayage évasif en faisant l’amalgame avec le réseau. Donc il faut savoir avec des chiffres que vous allez nous expliquer car vous n’êtes pas un plaisantin qui fuit au premier « grain ». D’ailleurs, inutile de passer des heures à surfer sur internet, les réponses se trouvent déjà sur Enerzine.
Les chiffres auxquels je me référais étaient entre autres ceux de JMJancovici J’ai vu des chiffres sans marquer les pages car la veille technologique ne me sert pas de cartouche à tirer sur un contestateur qui veut faire des soustractions. Il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas voir que les énormes machines qui transportent les cochonneries fissiles consomment au moins 50L/100km chacune (des dizaines par convoi) Il faut être simple d’esprit pour ne pas comprendre que la protection des 19 centrales met l’aviation de chasse française en alerte permanente Ce qu’il faut retenir , c’est qu’un champ d’éoliennes a une production de co² nulle dés lors que les visites se font en véhicule propre, 60ans de production sans émettre plus que la respiration d’un (petit) chien D’autre part , le « moyen-orient électrique » aime à mépriser les quelques kw d’une exploitation agricole, en cassant les prix du kwh, il décourage la méthanisation au profit du compost. Il présuppose que le minimum rentable d’une unité de méthanisation est tellement élevé qu’il faut aller chercher des tonnes de biomasse à des km ce qui génère beaucoup de méthane pour les autres et brûle beaucoup de carburant pour les unités jugées rentables last but not least On atteind jamais un site éolien sans accepter de marcher une demi heure dans un chemin caillouteux et plein de boue en hiver. C’est ce dernier point qui effraye nos élites au dernier degré parce que leurs pompes cirées coutent la peau des fesses alors qu’une centrale nucléaire a une entrée VIP ou on peut garer deux ou trois SUV au pied de la porte. Le cauchemar du parisien : marcher dans la boue et pas avoir d’étude chiffrée sur le cout d’entretien des lavabos, son argument préféré pour nous faire croire qu’il manage et qu’il comprend quelque chose à ce qui se passe Le nuke pollue plus que toutes les autres industries réunies, provoque une montée de 2% des cancers tous les ans, son combustible est manipulé par des gouffres à gazoline et ses poubelles vont hanter 10mille générations de brave gens Maintenant que VOTRE management VOUS a mis dans une situation déséspérée , vous cherchez la sympathie sur des sites web multi-énergies en ironisant sur votre gloire passée et vos calculs insensés pour trouver de pauvres bougres qui , comme vous, veulent encore croire qu’en mentant comme des arracheurs de dents , on a encore une chance d’embrouiller tout lemonde . Cela n’arrivera pas Dan
mais vous savez qu’on fera au mieux un petit 40% et je pense inutile de s’arrèter sur le delta entre 80 et 40 , quatre décénniez avant la dead line. Il est surtout nécessaire de laisser toutes les filières évoluer à leur rythme en essaynt d’en bloquer aucune C’est exactement le contraire de ce que vous faites En en retournant le problème on voit vite que si on pouvait reboiser les 9 millions de km² du Sahara, celui-ci stockerait une quantité de carbone suffisante pour remettre le calcul dans les clous. Plus proche de notre conversation, si on se montre capables de replacer 50Mtep de carburant fossile par du carburant de synthèse qui puise son carbone dans le co² atmosphérique , on a fait un bond. Je vous laisse le soin de le chiffrer Mais si je peux vous suggérer une action plus utile dans le sujet qui nous occupe : commencez par me dire à combien de dollars vos inévitables centrales nucléaires pourraient nous synthétiser 159L de gazole ou d’essence Le nucléaire a une bonne régularité de production , génial , étonnez moi, et nous tous : les machines adorent les alimentations stables Il y a deux raisons de produire de l’H² 1. Pour produire le CH4 2. Pour hydro-craquer les cires de issues d’une tour Fischer-Tropsch Au boulot , épatez nous, nous sommes toute ouïe
« Il faut être aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas voir que les énormes machines qui transportent les cochonneries fissiles consomment au moins 50L/100km chacune (des dizaines par convoi) Il faut être simple d’esprit pour ne pas comprendre que la protection des 19 centrales met l’aviation de chasse française en alerte permanente » Vous ne voulez pas répondre à la question parce que vous ne savez pas ou bien parce que la réponse ne va pas dans le sens de votre prose. Ce n’est parce qu’un poids lourd consomme entre 30 et 40 litres au cent (ce n’est déjà plus 50) que la filière nucléaire française émet plus de CO2 que l’éolien. Je vous rappelle que le CO2/kWh dépend du nombre de kWh produits sur la durée de vie du système. Pour la France, les 58 réacteurs produiront au moins 18 000 milliards de kWh et ils sont plus qu’à mis chemin puisqu’ils ont déjà produit 10 000 milliards de kWh. Si je prends 10 g de CO2/kWh comme résultat de l’analyse de cycle de vie, cela voudrait dire que le système nucléaire français aurait provoqué l’émission de 180 millions de tonnes de CO2. Cela ne passe pas inaperçu et je ne suis pas sûr que le poids du transport de combustible soit alors prépondérant. S’agissant de l’éolien, le CO2 imputé est comme pour le nucléaire issu d’une ACV et c’est bien sûr la construction qui est prépondérante notamment à cause de l’acier et du béton nécessaires en plus grande quantité pour obtenir le même résultat.
@sansNom : J’ai toujours félicité mJancovici pour son travail de fond. Aujourd’hui, j’ai un problème avec la rhétorique qu’il a popularisé et qui représente le problème de fond : La chasse impitoyable aux autres technologies, l’utilisation des fonds publics pour détruire la concurrence, des emplois, du commerce extérieur et des hommes bien. Ce reproche je l’adresse à tout le marketing nucléaire depuis environ 10 ans. La « revanche » de l’éolien était visible depuis 2004 de façon certaine, l’industrie s’est bouché les yeux et fait beaucoup de mal a des projets dont le pays avait besoin. Il est urgent de changer de méthode et se montrer moins sectaire avant que cette industrie mette toute l’ingénierie française au chômage L’autre problème de l’industrie nucléaire est qu’à ne vendre que des EPR, elle a perdu sa spécificité. Elle a effectivement des atouts sur les autres sources mais elle s’acharne à les concurrencer au point de se faire « renverser » par elles – principalement parce que les pays étrangers ne sont pas sensibles à la rhétorique française (qu’ils se font traduire par google) et ne peuvent pas être inquiétés par le monopole français (qui ne fait de mal qu’aux autres français). Si l’objectif de cet article est de réussir à réduire nos émissions de 4/5emes, toutes les technologies et tous les hommes capables sont requis, pas uniquement une partie d’entre eux. Il y a quelque chose qui ne va pas dans ce paradigme qui fera toujours échouer toutes les parties @lion : oui on peut faire du méthane en capturant le carbone atmosphérique avec un rendement +60% (plus probablement 50%) de l’énergie convertible de l’hydrogène (méthode chimique) La Nasa utilise le même principe pour convertir le co² expiré des astronautes en eau (rejetée dans notre cas). Il y a au moins deux autres axes de recherche pour produire du carburant de façon biologique . Ces recherches ont connu d’importantes ruptures récemment et sont sûrement promises à une exploitation commerciale dans la décennie (dans le haut de gamme au moins) @Rouget : je crois que le réseau de gaz français dans les années 40-50 fournissait un mélange H2 CH4 à 50%. Un carburant pour bus urbain nommé Hytane est à l’essai en France (moteur à combustion) La recherche sur l’hydrogène est la mieux financée au monde depuis 10 ans. Mais il s’agit de grands labos privés, militaires, spacial ou missions critiques , l’information sur internet est quasi-introuvable mais les applications très avancées. Les majors de l’industrie mondiale protègent leur recherche jusqu’au dernier moment… La France ne s’est jamais montrée interressée mais la scandinavie beaucoup.
Je vous cite: « Plus proche de notre conversation, si on se montre capables de replacer 50Mtep de carburant fossile par du carburant de synthèse qui puise son carbone dans le co² atmosphérique , on a fait un bond. Je vous laisse le soin de le chiffrer’ Ah ça c’est c’est formidable! Vous évoquez depuis quelques semaines la « réaction de Sabatier », bien connue de certains intervenants sur Enerzine, et chaque fois que je vous demande ( avec insistance)de nous en dire plus sur le process et son économie, c’est soit pas de réponse, soit en bout de course » vous n’allez pas réveler des secrets industriels »? et là, vous renvoyez la question à un autre!! Je n’ai jamais vu attitude aussi faux-cul sur Enerzine! Autre perle savoureuse: « même sans douter de l’explication ils ne sont pas vérifiables sans expérience réelle. Une éolienne dure au moins 50ans et on ne change que quelques pièces comme dans toute mécanique contrainte » Euh , vous connassez une expérience réelle (« sic ») d’une éolienne qui produit depuis 50 ans (‘ »sic again »)?????? On attend vos exemples de retour d’expérience avec impatience, Mr Troll..
merci pour les docs siemens. Aeg est très actif aussi mais publie peu Comprenez moi, quand je fais une erreur de calcul , mon projet foire, il m’est arrivé de déceler une énergie supérieure au big bang dans un ventilateur (une série de processeurs intel avait un bug dans sa fpu) Les seuls documents que je produis sont des documentations. Pour le coeur de mon job, les algorithmes sont utilisés pour obtenir des automatismes qui peuvent « devenir fous » si mon calcul est faux.. on ne fait pas le même job les calculs que vous produisez sont des lissages statistiques sur de trop longues périodes pour être significatifs. Parfois je vous met en boite et j’ai sans doute tort de faire cela. Ce que je ne comprends pas , c’est la finalité de votre stat , s’agit-il de faire une grille tarifaire ? D’évaluer les couts pour une gestion de projet ? d’un rapport environnemental ? Diviser une emission carbonnée par la durée d’une vie humaine.. déterminer le coût d’un kwh sur 60ans de production .. il y a 60 ans: les « anciens » francs.. , combien de fois le coût d’un baguette , d’un big mac , d’un bol de riz Sans ironie, je fais beaucoup de stats en SQL et génère toute sorte de charts, camemberts, courbes, mais si vous ne m’en dites pas plus sur votre référentiel, je ne comprends pas pourquoi calculer une valeur aussi approximative. S’agit-il de comparer ce chiffre à une pulication nationale ou européenne ? Dans ce cas le constructeur a des obligations légales et au moins ses méthodes statistiques sont certifiées. En termes d’émission, vous n’ignorez pas que la photosynthèse absorbe le carbone atmosphérique et qu’une sécheresse a des conséquences bien pires qu’un super-tanker en feu .. Je connais un parc éolien à port leucate , et si vous y alliez jeter un oeil ? c’est au bord de la mer , vous pouvez rester là des heures et constater l’activité réelle du parc Donc, les chiffres peuvent avoir des conséquences telles que je ne prendrai pas la responsabilité d’une estimation sans la ventiler et sans connaitre les méthodes utilisées pour calculer les autre valeurs auxquelles la mienne sera comparée … même si vous m’accusezou me menacez ou établissez que je suis faux ou imposteur , je ne le ferai pas Une fois que vous avez défini tout cela , il me semble facile de faire votre propre calcul. Votre document, votre calcul, votre responsabilité, votre hypothèse, votre oeuvre.. peut être aurez vous un prix nobel pour cela.. Ceci fait, quelqu’un vous dira que vous avez tout faux et vous comprendrez… (un jour ou l’autre , tout le monde comprend)
Au troll prolyxe. Petit recentrage sur la question posée afin de ne pas l’oublier après délayage. Vous avez affirmé : « les allemands qui carbonisent l’atmosphère avec leur voitures de luxe , conçoivent un réseau électrique qui sera à terme beaucoup moins émetteur que le réseau français dont les centrales nucléaires émettent certes peu de carbonne, mais beaucoup plus que l’éolien (regarder les chiffres) » Question : où avez-vous trouvé les chiffres et quels sont-ils ? je vous signale que beaucoup d’autres personnes ont pris la responsabilité de calculer cela et de soumettre les calculs à la critique. Les ACV étaient même un argument en faveur de l’éolien qui semble « rembourser » assez rapidement l’énergie grise dépensée à la construction. Si vous n’êtes pas trop ignorant vous allez me répondre… à moins que votre pusillanimité l’emporte.
je ne délaye pas , je refuse de répondre à une question dont toutes les réponses sont mauvaises car c’est une question piégée. En bon soldat, je refuserai d’y répondre même sous la torture, à moins que je ne trouve une valeur qui vous infligeraient de lourdes pertes Vous me signalez que beaucoup de personnes on déjà répondu à cette question, vous avez donc déjà votre réponse Je vous ai déjà dit que JMJancovici, donne une fourcette sur son site (que vous trouverez via google avec une comparaison sur les autres types d’énergie
Le bon soldat note le refus d’obstacle du mauvais cheval. Si vous ne voulez pas répondre à la question alors n’évoquez plus ce sujet qui est pourtant de mieux en mieux documenté et qui a été maintes débattu sur Enerzine. Et nous n’avons pas eu recours à JMJ. Essayez tout de même de trouver une valeur « Dan-icide », il y en a mais on sait déjà comment les occire !
Si vous voulez produire des stats recevables, vous devez renoncer aux seuls 4 opérateurs d’une calculette Apprenez au moins la méthode des quotas et surtout : PROCUREZ VOUS DES BASES DE DONNEES SQL permet de faire des stats « à la volée » sur des bases de milliards d’informations en quelques minutes. Vos méthodes donnent des résultats faux dans la totalité (100%) des cas. La raison de vos erreurs est l’absence d’observation, toutes vos données sont des estimations auxquelles vous appliquez des logarithmes qui multiplient l’erreur par des facteurs exponentiels Vous ne vérifiez jamais vos résultats intermédiaires Vous n’avez aucune politique d’arrondi, tout est « au pif » Vous ne fixez pas vos méthodes dans un document électronique qui permettrait au moins de corriger les erreurs et de « relancer » le calcul Vous ne donnez aucune explication aux mots savants dont vous abusez qui induisent des ambiguïtés , une chance que vous n’abusiez pas du latin ! Vos méthodes non expliquées, vos résultats non croisés, vos sous-totaux absents de vos décomptes Il n’y a pas un commencement d’indice qui montre que vous avez suivi une démarche cohérente d’un bout à l’autre de votre calcul Vous prenez un chiffre de chez JMJ en 2002, que vous multipliez par un facteur de chez EDF en 2006. Vous divisez le tout par un ratio de chez peugeot que vous venez de copier-coller chez énerzine Puis vous annoncez fièrement votre résultat… Ou sont vos chiffres d’émission éoliennes ? Ou est la comparaison avec les autre énergies calculées avec les mêmes méthodes ? Vous incarnez la caricature du cauchemar d’un ingénieur , des données arbitraires complètement fausses , que vous imposez avec une rare hystérie
Cessez votre bla-bla si vous en êtes capable et dites-moi quel est l’émission en CO2 (ACV) / kWh du système nucléaire français et accessoirement d’une éolienne. Economisez l’énergie car elle est vaine.
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Je suis d’accord EnerZ, je ne réponds plus
@lionel_fr ca vous arrange bien et cela nous fait des vacances