Areva a annoncé jeudi 2 août l’apaisement de ses relations avec le Niger et le renouvellement des contrats miniers interrompus.
La semaine dernière, le directeur local d’Areva, Dominique Pin, s’était vu expulser du pays, accusé par le pouvoir d’avoir financé une rébellion touareg. Accusations formellement démenties par Areva. Lors d’une allocution télévisée, le président du Niger, Mamadou Tandja, a déclaré qu’il n’avait "nullement l’intention de chasser" le Groupe nucléaire français, mais qu’il désirait que "chacun trouve son compte dans l’exploitation de l’uranium", évoquant les prix d’achats pratiqués par Areva très inférieurs aux prix du marché. Areva est le premier employeur du pays après l’Etat. Le groupe possède deux mines à Cominak et Somair, dans le nord-ouest du Niger. Elles ont produit en 2006 près de 2 260 tonnes d’uranium. Le Niger représente 30% des importations d’uranium françaises. |
C’est du pillage de la part de l’occident, c’est pareil depuis des siècles, il ce passe + ou – la même chose au Darfour, les milices qui déciment des villages entier sans raisons sont financée par des gouvernements pour avoir le champ libre pour le pétrole, c’est scandaleux, ont pillent et ont exploitent l’ Afrique et ensuite ont leurs dit qu’ils ont une dette, sous les yeux de tout le monde en toute légitimité, en tenant des discours de morale insensé et irrespectueux tels ceux de notre chef d’état au Sénégal réssament.