Le Ghana souhaite se doter de l’énergie nucléaire d’ici 2018, afin de disposer de 400 MW de capacité supplémentaire.
Selon le ministre de la communication, Benjamin Aggrey-Ntim, le Ghana est parvenu à assurer son autosuffisance jusque récemment. Des problèmes d’approvisionnement en électricité poussent désormais le pays à envisager de recourir à de nouvelles sources d’énergie.
Selon le ministre, le retard pris par le continent en matière de nucléaire est dû avant tout à sa méconnaissance par la population, cause de méfiance.
Il a officiellement lancé le programme de formation, auquel participe 15 pays sous l’égide de l’AIEA et de la Commission Ghanéenne pour l’Energie Atomique (GAEC).
Actuellement, la majeure partie de l’électricité consommée au Ghana est d’origine hydraulique.