La tempête de ces derniers jours a rendu une éolienne du Finistère incontrôlable. Entrainée par des vents soufflant à plus de 100 km/h, elle n’a pu être arrêtée qu’à la faveur d’une accalmie, mercredi.
Lundi, la coupure de courant survenue dans la région aurait empêché le système d’arrêt d’urgence de l’éolienne de fonctionner. Une fois emballée, il a fallut attendre une fenêtre météo pour reprendre le contrôle de la machine.
Selon le propriétaire de l’appareil, "un boulon de sécurité manquant sur une pièce de contrôle", pourrait également être à l’origine de l’incident. Incident qui n’aura causé que des dégâts mineurs, mais provoqué l’inquiétude des autorités, et ravivé la colère des opposants aux éoliennes.
Fabriquée aux Pays-Bas, cette petite éolienne de 300kW fait partie du parc de Dinéault, au centre du Finistère. Le propriétaire se définit lui-même comme "un artisan" plutôt que comme un industriel.
Une éolienne folle !Comme si une machine pouvait avoir de l’intelligence !Arrêtez de promouvoir ce genre de nouvelles.Une éolienne est une machine. Dans le cas présent l’éolienne est tombée en panne un point c’est tout.Le rotor a certainement tourné à une vitesse anormalement importante.Si aucun morceau ne s’est détaché l’incident est clos hormis qu’il va quand même falloir trouver les raisons exactes de cette panne pour éviter qu’elle ne se reproduise.
Et pourquoi devrait t’on mettre sous silence ce genre d’information ?Je pense que le public a le droit de savoir qu’une éolienne peut subir ce genre d’avarie …Quant au titre qui fait référence à l’éolienne folle, je pense plutôt que c’est de l’humour au 3ème degré, mais j’en suis pas à 100% sure !Si quelqu’un pouvait me le confirmer ?
L’art de communiquer dans notre société nécessite des titres accrocheurs… folie ou pas folie, ça ne me paraît pas être l’essentiel. Ce qui m’inquiète plus c’est : « Le propriétaire se définit lui-même comme « un artisan » plutôt que comme un industriel ». En effet, si la France, sous la pression de l’Europe, veut se lancer dans l’éolien à grande échelle (des TWh produits), il faut le faire de façon professionnelle et très encadrée. Il n’y a plus alors de place pour l’artisanat. Ces « merveilleux » moulins à vent des temps modernes doivent être considérés dès le départ comme un moyen de production industriel. Il faut imposer des garanties dans la durée et des programmes de maintenance stricts faisant l’objet de contrôles par une autorité indépendante. Si on laisse les éoliennes foisonner, tout se passera bien les premières années lorsqu’elles seront neuves, pas chères à l’entretien et très rentables au prix du kWh acheté. Lorsqu’elles vieilliront et que la rentabilité se détériorera, je crains que les incidents augmentent très rapidement. La bonne façon d’aborder les problèmes de l’énergie, c’est le long terme.
Merci à ce propriétaire qui a bravé les contraintes administratives pour un monde qui pourrait rester viable pour nos enfants.
Les futures générations lui remettrons même une médaille! La seule éolienne à ne pas s’être désintégrée au cours d’une si furieuse révolution… une performance!
« la coupure de courant survenue dans la région aurait empêché le système d’arrêt d’urgence de l’éolienne de fonctionner »Personne ne relève ? On parle d’un générateur électrique… dont le système de sécurité ne semble pas pouvoir fonctionner sans apport d’énergie externe ! Il y a donc mensonge et culot. Le système de sécurité est peut-être tout simplement absent ou en panne depuis longtemps. C’est peut-être le côté artisanal… de l’entretien. »un boulon de sécurité manquant sur une pièce de contrôle pourrait également être à l’origine de l’incident »Cela fait partie des choses invérifiables pour le grand public. Cependant, cela ressemble plus à une réponse pour le grand public qu’au résultat d’une enquête sérieuse… sinon le propriétaire n’aurait pas utilisé le conditionnel.Le côté « artisanal » ne m’étonne pas : ces machines sont très loin d’être des bijoux technologiques. C’est de la rusticité à l’état pur : l’effort de recherche est quasi nul, malgré les sommes considérables englouties en R&D (il arrivent souvent de payer une équipe de chercheurs… qui cherchent, mais ne trouvent pas ! – incompétence ? Manque de motivation ?).Pour preuve, regardez l’histoire des moteur d’avion :Les premiers moteurs utilisaient une simple hélice. Bipale, tripale, quadripale, etc…C’est exactement le fonctionnement actuel des éoliennes dites « industrielles » à trois pales.Les recherches en aérodynamique ont mis en évidence une perte considérable de rendement des hélices à cause de la dépression créée en son centre par force centrifuge. Cela a fait aboutir à la solution carénée des turbo-réacteurs afin d’empêcher le flux d’air d’être éjecté radialement vers l’extérieur.Si un quelconque effort un peu sérieux avait été fait, nous n’aurions pas des moulins à vent remis au goût du jour dans nos champs, mais des générateurs en forme de moteur d’avion, version turboréacteur, avec une plage de vitesse de fonctionnement accrue et un rendement au minimum double.Cordialement.
Passer de l’explication supposée d’un défaut d’entretien à une nouvelle architecture d’éolienne au rendement double est assez audacieux. Première objection : l’hélice est assez performante à basse vitesse : voir le rendement des gros turbopropulseurs et l’exemple de l’Airbus A 400 M successeur du Transall. Jusqu’à plus de 300 noeuds c’est largement jouable et plus rentable que le turboréacteur même à haute dilution. Deuxième objection : Sachant que les grandes éoliennes actuelles ont un rendement maximal supérieur à 30 % par rapport à l’énergie cinétique de la masse d’air, c’est à dire supérieur à 50 % par rapport à la limite de Betz : comment fait-on pour doubler leur rendement actuel ? Troisième objection : la puissance d’une éolienne étant proportionnelle à la surface du disque balayé, comment fait-on pour caréner une éolienne de 2 MW sans créer un monstre sans commune mesure avec ce qui existe ??? C’est quoi un générateur en forme de moteur d’avion dans un champ ??
excellent, ce que vous dites semble être sur le point d’émerger :
Il faudrait juste un peu soi-même savoir de quoi l’on parle! Surtout avant de taper sur la R&D!!! Si l’on peut « un peu » parler de rusticité quant aux aérogénérateurs, c’est que le coût du kWh impose effectivement d’avoir des machines robustes et fiables. Tout n’est effectivement pas encore optilmisé, mais rassurons-nous, s’il n’y a pas grand chose en France, les centres éoliens nordiques ou allemands y travaillent depuis une trentaine d’année et les améliorations sont constantes. A ce titre, par exemple, les rendements de rotors eux-mêmes sont proches des 95% et n’ont donc rien à envier aux hélices traditionelles. Les spécialistes de R&D sont souvent proches des spécialistes de l’aéronautiques. Pour ceux qui est des éoliennes carénées, vieille idée qui ressort régulièrement, il faudrait penser, avant de dire n’importe quoi, aux régimes de vitesse…et Aqua, je suis sur que vous le comprendrez facilement, une éolienne ne fonctionne pas du tout sur une plage de fonctionnement « Avion ». En creusant un peu si vous en avez envie, vous verrez même que ce n’est pas la même aéro qui intervient (compressible/incomprésible). Ah, j’oubliais, quand on compare des machines qui tournent à 10-30 tr/mn, vous comprendrez aisément que ce n’est pas non plus la même chose qu’une hélice à 900 tr/mn. Je m’interroge aussi (enfin pas vraiment, comme Dan 🙂 sur l’impact esthétique de telles installations… Pour revenir à « l’artisanal », on peut effectivement en parler quant on compare l’éolienne qui s’est emballée aux éoliennes actuelles. Cette 300 kW hollandaise, vraisemblablement une Windmaster ou HMZ, est du même type que celles de Dunkerque qui ont été arrêtées après la destruction de l’une d’elle. Ces machines sont issues de design du début des années 90 et les boîtes hollandaises n’existent plus depuis longtemps. Il y en a eu très peu d’installées en France (les implantations pionnières). Mais quid de leur maintenance et de leur fiabilité 15 ans plus tard? Dans d’autres pays, ces machines font l’objet de remplacement (retrofit).
Il me semble bien qu’on appelle « folle » une roue libre en mécanique ? Et sans rapport avec l’intelligence.
Bien que je sois pas pro-éolien, je ne veux pas jeter la pierre à un défaut isolé d’une nouvelle technologie. Par contre mon opposition réside dans des données intangibles: Une paire d’éoliennes aperçues à 3km de l’autoroute, ça fait bienl, du nouveau et en 1 minute on ne la voit plus et oublions. Mais à 8mWpic par km² et max 20% d’équivalent de puissance annuelle moyenne, ça nous donne 1.6MW/km² moyen. Pour remplacer un EPR il en faut 1000km² et là la musique change et on se demande comment les gens vont vivre? Bien sûr on peut les répartir mais regardez la Bretagne qui commence à en être couverte: La puissance pic (400Mw en gros) ne couvre pas même 5% de l’électricité appellée par cette région en pointe ! L’éolien est une tentative de solution trahie par la trop faible densité d’énergie du vent. Allez aux Kerguélen ou en Patagonie et là une surface 10 fois plus petite suffira à en faire la meilleure solution.Pouquoi soudain n’y a-t-il plus de déclaration de victoire sur « la progression fantastique de l’éolien en Europe » comme tantôt? Simple, regardez l’Allemagne qui, champion des énergies nouvelles, doit rapidement construire 20 centrales au Charbon pour ne pas manquer de courant !!! Bien du CO² en perspective et leur bilan CO² va s’alourdir au lieu des prévisions assourdissantes de tantôt: Retour à la Réalité. La voie que j’appuie est celle du Solaire thermodynamique (en attendant un photovoltaïque abordable) avec stockage chaleur souterrain pour les nuits: A une densité de puissance au km² 60 fois supérieure, l’empreinte sol devient tolérable même si bien plus grande qu’un EPR. Les pays à vocation non nucléaire auraient là une direction fructueuse.
Le solaire thermodynamique, je suis aussi à fond pour, mais il ne faut pas se tromper sur l’occupation au sol. Le solaire thermodynamique n’a prouvé son efficacité que pour des centrales de tailles importantes (et encore), et en dédiant des surfaces du territoire à son seul usage. Ce n’est pas le cas de l’éolien, pour lequel l’occupation réelle au sol est très faible : 1000 m2 pour une éolienne de 2 MW c’est souvent le grand maximum. Pour certaines éoliennes de cette taille seul un chemin de 50 m par 4 m de large représente l’emprise sur la zone cultivable. 1000 m2 pour 2 MW ça nous fait du 2 GW au km2 tout à fait comparable au nucléaire, si on s’en tient uniquement à la surface PRISE sur autre chose. Nucléaire pour lequel on oublie souvent de compter la surface des mines d’extraction qui sont loin d’être négligeables, mais qui ont l’avantage de ne pas perturber notre cher paysage. Il y a certes l’emprise visuelle qui elle s’étale sur des km2, mais là on est dans le subjectif quand on n’aime pas l’éolien pour une raison ou pour une autre, on trouve cela inacceptable, mais attention de ne pas confondre cette emprise visuelle avec l’emprise réelle au sol. Enfin se déclarer favorable à une énergie renouvelables plus qu’à une autre c’est un peu dévoyer le concept même du renouvelable, celui-ci repose sur une synergie entre les différentes sources. A l’échelle individuelle on obtient souvent de meilleurs résultats en diversifiant, un demi-panneau PV plus une demi-éolienne seront plus efficace qu’un système mono source. Pour cette histoire d’éolienne folle, je crois qu’il s’agit d’une machine Hmz Windmaster de 300 kW qui doit bien avoir une bonne quinzaine d’années et qui n’a évidemment rien à voir avec ce qui se fait maintenant. Merci de ne pas prendre ce cas isolé pour la généralité, cela serait comme condamner l’ensemble du transport routier parce qu’un vieux semi-remorque à bout de souffle s’est crashé à pleine charge en bas d’une descente particulièrement raide. PS : comment fait-on une mise ne page décente sur cet éditeur ? pourquoi les retours à la ligne ne sont-ils pas pris en compte?
En ce qui concerne la densité de puissance de l’éolien au km2, il me semble que les valeurs couramment employées sont comprises entre 7 et 10 MW/km2. A première vue c’est raisonnable et cela rend compte du fait que plus les éoliennes sont grandes plus il faut les espacer. Voici ce que donne le site espace-éolien : « éolienne terrestre : 1,5 MW, 70 m de diamètre, distance entre éoliennes : 6 D, soit 420 m, densité de puissance installable : 8 MW par km² éolienne en mer : 5 MW, 110 m de diamètre, distance entre éoliennes : 7 D, soit 770 m, densité de puissance installable : 8 MW par km² » Evidemment, ces km2 ne sont pas complètement inutilisables surtout pour la culture. L’ennui c’est que, a contrario, il faut aussi tenir compte d’une zone d’exclusion pour les habitations qui pourrait bien s’agrandir au fil du temps et ne se calcule plus selon des critères purement techniques. En imaginant, une « ferme » éolienne de 10 éoliennes de 1,5 MW et une distance minimale de 500 mètres aux habitations, il est difficile de déterminer une zone d’exclusion inférieure à 5 km2. On serait donc à environ 3 MW au km2. A cette condition, la puissance de 2 EPR représenterait 1000 km2, mais l’équivalent en production annuelle : 4000 km2 (0,7 % du territoire). A titre indicatif, le site espace-éolien donne la projection suivante : pour les sites terrestres : 11 GW installables pour 29,5 TWh/an produits avec 7 500 éoliennes occupant 1 400 km2. Cependant, en reprenant le raisonnement d’une zone d’exclusion des habitations, on trouverait que 11 GW d’éoliennes représente une zone de 3 600 km2 soit 2,6 fois plus! Qui a tort ? qui a raison ?
Cette solution est a priori séduisante à cause du rendement et d’une relative simplicité (en tout cas pour le particulier). Avec de bons capteurs on peut espérer récupérer plus de 500 kWh par m2/an. Pour le chauffage ne nécessitant pas de haute température (max 40°C en plancher chauffant), c’est jouable. Le hic, c’est que l’on a 15 % de l’énergie disponible quand on en a besoin de 85 % (3 mois d’hiver) et inversement. Donc il faudrait stocker en été et utiliser en hiver (stockage très longue durée). Pour une maison individuelle ayant besoin de 20 000 kWh d’eau chaude, il suffirait de réchauffer un réservoir d’eau de 10°C (35 à 45° C) et ayant une contenance de 2000 m3 (cela s’appelle une piscine olympique !) superisolé (perte = 0), tout cela alimenté par 40 m2 de capteur. Pas simple. Là ou le solaire thermique aurait le moins de perte, c’est le chauffage mais c’est déjà difficile à mettre en application. Pour l’utilisation dans des machines thermodynamique, le stockage va augmenter les pertes déjà conséquentes de transformation de l’énergie thermique en énergie mécanique et électrique. Je ne vois pas comment on peut exploiter cela à très grande échelle (des dizaines de TWh). Encore une fois, il faudrait des sockages très performants sur une longue durée (l’année ?).
Le stockage de chaleur en petites unités est lourdement pénalisé par les pertes et une faible constante de temps. Par contre pour de gros volumes, 1 million de m3, la terre suffit a avoir des constantes de temps de refroidissement très longues, rapidement supérieures à plusiseurs années ce qui fait que la perte annuelle relative est minuscule. Une sphère de 1km de diamètre plongée à 3000m de profondeur a déjà une constante de temps de refroidissement de l’ordre du million d’années. Avec une taille industrielle de 100m de diamètre on an encore des dizaines de milliers d’années. Evidemment mon chauffage à accumulation familial ne peut pas lutter avec!
Je comprends bien l’intérêt de la sphère (minimiser le rapport surface-volume) et de la taille. A ce moment là, on entre dans le domaine industriel, adieu l’autonomie résidentielle (je n’y crois pas à grande échelle). Le stockage en profondeur est techniquement faisable et on peut même aller plus loin, en profitant de la chaleur de la terre. On s’approche de la géothermie profonde et du projet de Soultz sous forêt.Pourtant là encore, j’ai du mal à croire à une vrai rentabilité à très grande échelle. A ce niveau, les débits et les températures sont déterminants. Le rendement de nos réacteurs nucléaire n’est déjà pas au top à 300°C, je crois que l’on obtient de meilleures températures et rendements avec les centrales à flamme (qui ont aussi malheureusement un meilleur rendement en CO2).Je ne sais pas si la solution du stockage massif d’énergie solaire en terre à basse température a été testée (projet de stockage sous les routes peut être ? il me semble avoir vu un article à ce sujet). A très grande échelle, ça ne ne me paraît pas vraiment neutre.Ordre de grandeur : si j’avais installé une PAC eau-eau sur nappe phréatique, au pire de l’hiver, j’aurai eu besoin d’un débit compris entre 3 et 5 m3/heure (besoin max = 250 kWh/jour).
Voici le lien d’une réalisation modeste du stockage sur l’année Je ne sais pas ce que cela donne ?
Au sujet de l’emprise au sol pour l’éolien les dimensions des voies d’accès sont communément celles données dans les études d’impact, dans la réalité toutes sont revues à la hausse et vont du simple au double, voire triple pour les virages…avec promesses de revégétalisation, voeu pieu puisqu’il peut être à tout moment nécessaire de ramener les grues pour la maintenance… Je reconnais que les sites d’extractions ne soient pas non plus anodins mais s’employer à grand frais à vouloir produire de l’électricité de masse avec de l’éolien sur un territoire comme la France où nul part ne subsiste d’espace assez important genre désertique pour les accueillir est un non sens. Certe si l’emprise visuelle semble si subjective n’est-ce pas plutôt le fait de l’attrait financier qui la rende si subjective? Le fait est qu’elles attirent constament le regard et que les flashs les soirs d’été sont plutôt mal vécus. Le milieu rural a encore cet avantage de ne pas être encore pollué par les enseignes lumineuses des villes, pour certains c’est l’un des atouts à préserver. Les EnR demeurent une bonne solution pour les locaux des collectivités et pour l’individuel, point. Vouloir en faire une production de masse est forcément préjudiciable. Après l’emprise verticale on propose l’emprise à l’horizontale d’hectare de panneaux solaires, quand est-ce que va cesser ces fumisteries? Dan va peut-être me corriger ou confirmer cette info lu dans la presse locale que « 23 hectares de panneaux solaire équivaut à 2 éoliennes de nouvelle génération », je suppose de 2 MW chacune? On est loin de l’excellence énergétique…
« 23 hectares de panneaux solaire équivaut à 2 éoliennes de nouvelle génération » ?? C’est peu crédible. Sachant que les panneaux photovoltaïques ont souvent un rendement maximal de 12 % on obtient 120 W/m2 puisque le rayonnement maximal au niveau du sol est de 1000 W/m2 (référence des constructeurs). En moyenne en France, on obtient 132 kWh sur l’année avec ce type de panneau. Avec 23 hectares on obtient environ 30 GWh pour une puissance totale installée de 27,6 MW. Pour faire la même chose en éolien, il faut 13 MW installés tournant en moyenne 2300 heures par an à pleine puissance. cela ne peut se faire avec deux éoliennes même offshore (record = 6 MW ?). Il faudrait une « ferme » de 9 éoliennes de 1,5 MW ou au moins 5 de 2,5 MW. Deux site intéressant pour le photovoltaïque : Potentiel européen : Retour d’expérience : Pour le PV, l’emprise horizontale peut être en partie traitée par l’intégration en toiture. J’ai 80 m2 de toit orienté plein sud à 35° d’inclinaison qui attendent des panneaux photovoltaïques… 10 fois moins cher au moins. Restera le problème de l’intégration au réseau, de l’intermittence… Les EnR en production de masse, c’est pas demain. Pour l’instant les projets foisonnent, certains pour prouver ce que l’on sait déjà ! Les suisses ont trouvé une solution, ils ont mis une éolienne de 2 MW à l’entrée du pays (Collonges). Elle est très visible bien que souvent arrêtée. Ce n’est pas très cher, ça s’intègre assez bien au paysage et c’est surtout excellent pour la communication. A part cela, les suisses ne sont pas très en avance sur l’éolien (quelques MW installés) mais ils ne font pas partie de la communauté européenne bien que parfois en position d’arbitre pour les transferts d’électricité.
Bonjour,Ah!!! Mon Dieu, une éolienne a été pris d’un coup de « vent » de folie!!! Faut tout arrêter de suite, d’ailleurs, j’ai entendu dire que ça faisait tourner le lait des vaches qui paissaient tranquillement à côté de ces engins de mort, et je ne vous parle pas de l’hécatombe parmi les oiseaux migrateurs, pire qu’une troupe avinée de chasseurs le jour de l’ouverture, si!! si!! ma brave dame!!!Mais par contre, sur les incidents à répétition dasn nos très chères et très onéreuses centrales nucléaires, que disent-ils, nos chers opposants aux éoliennes, ben!! heu!!! C’est même pas vrai, c’est encore de l’intox de la part des bobos écolos!!! De même que sur la catastrophe de Tchernobyl, encore un sujet qui ne nous concerne pas, nous autres franchouillards cocorico-on-est-les-meilleurs, et puis Tchernobyl, c’est même pas en France, alors on a pas à s’inquiéter!!! Le nuage s’est même arrêté de lui-même à la frontière suisse, même que c’est un certain N.Sarkozy à l’époque qui l’a annoncé, depuis, il a fait du chemin le petit!!!Quand est-ce que ces atrophiés du bulbe arrêterons de tirer la sornette d’alarme pour une vétille et crierons au loup quand vraiment il sera temps???Jamais, je pense, depuis plus de 30 ans, les sbires d’Areva et consort nous sortent des conneries plus grosses que leurs tours de refroidissement, mais ça passe encore dans les journaux!!! Bonne journée.G.Lecoq.
le opposants aux éoliennes ou supposés tels sont des enfants de coeur par rapport aux opposants au nucléaire beaucoup mieux structurés, entraînés, financés… Lorsque l’on voit les actions de Greenpeace contre le nucléaire (ascencion de tour aéroréfrigérante, blocage de convoi de déchets…) ou contre la chasse à la baleine (assaut de baleiniers japonais), on ne peut que reconnaître le professionnalisme au service de l’action de terrain. De même la communicatuion est orchestrée depuis des décennies de main de maître au niveau internationale. A côté de cela, les antiéoliens sont des amateurs ! Les incidents dans les centrales nucléaires sont suivis et médiatisés depuis longtemps et bien documentés. Celui qui veut savoir sait, voir à ce sujet le document suivant : Rapport IRSN-2006/73 Rev 1 (R&D relative aux accidents graves dans les réacteurs à eau pressurisée : Bilan et perspectives) Ce rapport semble assez bien décrire les incidents ou accidents possibles bien qu’improbables, même le risque hydrogène et fissuration de l’enceinte de confinement. 226 pages de saine lecture ! Conséquences de Tchernobyl : ce dramatique accident a été l’occasion à l’époque de beaucoup de fantasmes et de communications fantaisistes. Je ne me souviens pas des interventions de Greenpeace au moment de la catastrophe (où étaient-ils ?). L’affaire de l’arrêt du nuage à la frontière est évidemmment une « connerie médiatique » telement il est facile de mesurer la radioactivité contrairement à d’autres pollutions. Pour les vrais conséquences 20 ans après, lire le rapport de l’OMS du 5 septembre 2005. Ce rapport très contesté (à l’OMS, ils tous pronucléaires ?) brosse une situation certes dramatique mais pas aussi catastrophique que certains l’auraient souhaitée. Dans l’horreur, Bhopal, ça donne quoi ? Bien sûr le nucléaire est dangereux, tout le monde le sait. Et le charbon c’est comment ? (certains antinucléaires accepteraient volontiers cette solution pour remplacer le nucléaire honni, de toute façon les chinois s’en charge… à leur échelle), sinon voir les 4000 morts à Londres en 1952. Le problème hyperdogmatique pro-anti est dépassé, sauf pour quelques irréductibles. Je dis quelques car seulement 0,1 % des abonnés EDF ont souscrit un contrat pour les fournisseurs alternatifs ! Donc la problématique écologique (je ne suis pas écologiste) est : que faire pour contrer l’émission des GES. Nous avons déjà abondamment débattu de l’intérêt de l’éolien sur Enerzine. Que peut-il faire de concret pour baisser l’émission des GES en France dans la production d’électricité : à vos calculettes ! Je suis anti rien du tout mais résolumment pro tout ce qui marche. On fait comment ?
Dans l’info des 23 ha de PV il n’est évidemment pas question d’une intégration sur les toitures mais plutôt au beau milieu d’une guarrigue, d’un terrain sans trop d’intérêt agricole dévolu à cet effet… Quand il semble que du PV sur une toiture gène plus l’Architecte des Bâtiments de France qu’un site éolien, j’ai du mal à comprendre…Je me suis sans doute mal exprimée ce n’est pas une production de masse mais des installations massives pour une production négligeable… Mais ça plait à l’idéo-écolo d’autant que AREVA et consors, British Petroleum, Total se sont lancés dans la course verte, ce qui doit certainement être apprécié par leur détracteurs?!
Vous faites des calculs avec des éoliennes à pales séparées du mât et donc presque toujours très grandes et bruyantes. Il a existé de petites éoliennes à pales verticales, peu onéreuses produisant environ 50 kws/h si mises sur des toits c’est-à-dire qu’on utilise la toiture pour une plus grande prise au vent; en mettant une petite éolienne de ce type à chaque angle rentrant et sortant des toitures et si la toiture est très grande assez loin l’une de l’autre sur la longueur, on peut sûrement parvenir à un bon rendement d’autant plus que plus le vent souffle, plus l’éolienne produit et ne s’arrête pas. Seulement, voilà, ces éoliennes ne coûtent pas cher; bon, elles ne produisent pas beaucoup; mais que peut-on donc mettre à l’angle d’une toiture et ce serait un plus…
Malheureusement, les éoliennes les plus performantes sont les très grandes éoliennes de plusieurs MW. le rendement maximal est d’environ 25 % par rapport à l’énergie de la masse d’air et de 40 % par rapport à la limite théorique de Betz. C’est beaucoup car les ingénieurs ont très bien travaillé à l’optimisation des machines qui ont, il faut l’avouer, un excellent rendement instantané et corrélativement une faible marge de progrès. Cependant pour le pays, le rendement instantané ne suffit pas, il faut que l’énergie soit produite quand on en a besoin, faut-il le redire. Le mythe de la petite éolienne résidentielle rentable reste un mythe ou une réalisation de passionné absolument pas généralisable. Les rendements seront très inférieurs dans des écoulements d’air absolument pas laminaires et beaucoup moins forts. Conclusion, sauf si on habite un endroit très isolé, on se raccorde à RTE-EDF. C’est largement aussi écologique que d’installer 30 millions d’éoliennes chez les abonnés pour s’apercevoir qu’il faut quand même un réseau et des centrales thermiques ou autre ! L’énergie à l’échelle d’un pays, c’est des calculs ennuyeux et beaucoup de rêves qui s’effondrent.
simple petite question pourquoi parler du nucleaire avec les eoliennes qui normalement sont uniquement pour les GES madame la directrice de l’ademe a meme fait un courier au canard enchainé pour les informer l’article est meme dispo sur le web donc jamais un kw éolien ne remplacera un kw nucléaire…. deplus il est peut etre temps de demander a l’ademe de sortir les vrais chiffres de production de l’eolien et des informations a l’avantage des promotteurs!!!!!
Nous sommes quelques uns à être convaincu que l’éolien ne peut être opposé au nucléaire puisqu’ils ne jouent pas dans la même cour. l’un produit en base et l’autre en complément. C’est comme ça partout dans le monde et le restera jusqu’à ce qu’un génie invente le système de stockage en masse de l’électricté sur une longue durée. Dans le mix électrique d’un pays, on pourrait donc à l’extrême avoir 85 % de nucléaire et 15 % d’éolien (combinaison de la France et du Danemark), mais pas l’inverse. Cette solution purement artificielle n’est pas souhaitable et transposable à tous les pays. En France, on peut rester à 80 % nucléaire et 20 % renouvelable (dont 10 à 12 % hydraulique et 8 à 10 % nouvelles EnR). Cela semble faisable sans tout casser. Cela permettrait d’intégrer un peu d’éolien et d’autres énergies. Seulement, si le nucléaire revient sans arrêt sur le devant de la scène, c’est à cause du dogme antinucléaire. Certains veulent arriver à leur but final : éradiquer le nucléaire en France (en Russie et en Chine, c’est moins sûr). Dans ce but tout les arguments portent et certains sont même prêts à revenir au charbon, voici ci-dessous un extrait de la lettre N° 76 de 1997 du comité STOP NOGENT : « Une stratégie de sortie rapide du nucléaire, pour être crédible et acceptable par la population, ne doit compter que sur les technologies directement utilisables actuellement, c’est à dire, outre l’hydraulique, par la production d’énergie électrique à partir des combustibles fossiles le fioul, le gaz et le charbon. Et cela n’est pas délirant puisque la plus grande partie de l’énergie électrique utilisée dans les pays industrialisés provient de ces technologies. » Je crois que c’est lucide et courageux ! Seulement depuis, l’augmentation de l’effet de serre a fait grand bruit et cela n’était pas prévu dans les anciens plans de communication. Alors je cite un autre article (à propos des évaluations des GES par le CITEPA) trouvé sur le site électricité-verte.com : « La France, pays exemplaire ? Avec des émissions par habitant inférieures de 25% à la moyenne européenne et inférieures de 30 à 40% à celles de ses grands voisins, la France est l’un des pays européens les plus sobres en carbone. Faut-il se réjouir de cette situation? Bien sûr mais elle n’est pas sans rappeler que ces bons résultats sont en grande partie imputables à la part considérable que représente l’énergie nucléaire dans notre-mix énergétique. En 2007, le nucléaire produisait 77% de la production totale d’électricité alors que les énergies renouvelables seulement 1,4% (hors hydraulique). Ce choix énergétique, permet à la France d’être peu émettrice de gaz à effet de serre mais ne la protège pas des pollutions liées aux déchets radioactifs émis par les centrales. La France ne doit donc pas se satisfaire de ces chiffres et doit poursuivre les efforts de sa politique climatique. » Là on reconnaît l’une des vertus du nucléaire mais on insiste sur les déchêts radioactifs émis par les centrales. Dans ce cadre on mélange deux problématiques très différentes : les émissions de GES et les déchêts nucléaires. Je ne vois pas en quoi, les efforts contre l’effet de serre vont régler le problème des déchêts nucléaire (sauf à arrêter nos centrales pour les passer au charbon ou au gaz !). Voilà un éclairage sûrement partial et partiel du pourquoi le nucléaire ressurgit dans les débats. Les chiffres de production de l’éolien sont disponibles sur le site de RTE « bilan 2007″(4 TWh) et sur le site Observ’ER.
Bonjour,Et si la solution venait en effet que chaque logement puisse être équiper dorénavant d’un système éolien-solaire pour pallier efficacement au Réchauffement climatique et donc de faire baisser de manière significative ces saletés de réacteurs nucléaires.Les effets de la catastrophe de Tchernobyl sont encore mesurables, et une cassette est à la disposition de tous les curieux sur l’intervention des russes, les « liquidateurs », lors de cet « incident ».Aller voir sur le site du « Réseau Sortir du Nucléaire », c’est très instructif et évitera à certains de sortir pas mal de conneries.Se renseigner également sur le rapport entre l’OMS et L’AIEA finiront bien par ouvrir les yeux de quelques uns, mais bien sur i lest plus facile de se cacher derrière des faits comme « ou était GreenPeace » lors de telle ou telle catastrophe, n’est-ce pas??G.Lecoq.ps: certaines éoliennes de type verticales peuvent être facilement installée sur les toits, en complément à des panneaux solaires et si la place manque, les traqueurs sont , eux aussi efficaces.
Banco : il suffit de me prouver qu’on peut faire vivre toutes les familles de France avec une éolienne et un capteur sur le toit de la maison et sans ces saletés de réacteurs nucléaires. Est-ce que c’est faisable en Saône et loire ? êtes vous raccordé au réseau électrique avec ses 77 % d’électrons nucléaires (85 % pour le seul fournisseur EDF). Moi aussi, j’aimerai bien qu’un pays comme la France puisse vivre d’énergies alternatives et renouvelables. Sauf qu’aucun grand pays n’y est parvenu. Seul la Norvège fait plus de 95% avec l’hydraulique, sauf que son économie est très majoritairement appuyée sur le pétrole ! d’ailleurs les solutions qu’elles maîtrise pour les plates-formes pétrolières pourraient servir pour les grosses éoliennes offshore qui seront peut être vendues par AREVA (Multibrid). Le monde est compliqué. J’ai vu votre site, je n’ai pas les caractéristiques des éoliennes que vous souhaitez commercialiser, mais celles de ROPATEC sont suffisantes. Une éolienne à axe verticale de 6 kW (abonnement standard) fait 800 kg et 12 m2. Je ne vois pas comment il serait écologique d’installer cela à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires en France pour accèder à une illusoire autonomie. Ces solutions sont valables pour les cas particuliers pas en général. L’acharnement antinucléaire a un prix, il sera lourd dans le monde futur car non seulement vous aurez le nucléaire mais aussi le charbon à très grande échelle (la peste et le choléra !). Je fais deux suggestions pour gagner en efficacité : 1) aller militer contre le nucléaire et le charbon en Chine, 2) aller implanter des éoliennes et panneaux solaires là où il y en a le plus besoin, c’est à dire en Afrique (l’ennui, c’est qu’ils n’ont pas d’argent !). Reste le plus facile : militer contre le nucléaire en France et implanter des panneaux solaires en Allemagne ! mais là on s’écarte de l’écologie et de la maîtrise des GES. Sinon bon courage pour votre entreprise.
J’avais oublié un point essentiel au début, le parallèle scabreux entre réchauffement climatique et nucléaire. Où est le lien de cause à effet. Ce genre d’argument est-il validé par les vrais écologiste ? Voir l’article sur les centrales à charbon aux Etats Unis et la base de donnée CARMA. Anti d’accord, mais avec de bons arguments !
Bonjour,Je vous remercie pour la visite de mon site, en effet, il n’y a pas encore d’éoliennes domestiques telles que j’en préconise la pose sur les toits des chaumières françaises, voir allemandes , mais cela ne veut aucunement dire que ce type de matériel n’existe pas.Mon petit site n’a aucunement la prétention d’être un catalogue de références dans ce qui se fait partout dans le monde en matière d’innovation éolienne, cela me prendrait beaucoup trop de temps.Quand à militer contre le nucléaire ici et vendre en Allemagne, bof, en matière d’argument, j’ai connu mieux.Quand à la coopération avec l’Afrique c’est quelque chose que j’envisage, je bûche depuis pas mal de temps sur un prototype regroupant éolien et solaire, facilement transportable, donc utilisable de suite, et je connais pertinemment les problèmes financiers que connait, en partie grâce à nos sociétés occidentales qui la pille à qui mieux mieux depuis des lustres, et n’ai donc pas besoin de vos conseils en la matière.Je reste persuadé que le nucléaire représente un réel danger, que certes, j’ai encore ma ligne électrique alimentée par EDF, mais qu’hélas, ma Micro-Entreprise ne me permet pas encore d’être plus indépendant vis à vis d’eux.Le démantellement de la plupart de nos centrales obsolètes n’est toujours pas budgétisé par EDF et l’Etat, malgré les bénéfices de cette Entreprise, et cela est aussi une pierre à apporter dasn le jardin de l’Etat? Certes, on nous raconte, pub d’Areva, que ces centrales ne rejettent pas de CO2 et ne participent pas au Réchauffement Climatique, mais la contamination radioactive n’est-elle pas aussi dangereuse, voir plus, que le CO2???Je suis, en tout cas, ravi d’échanger nos points de vue sur ces thèmes.Cordialement.G.Lecoq.ps: vous pouvez bien sur, toujours passer commande d’une éolienne de type verticale quand bon vous semble.:)
Je vous souhaite bon courage pour l’Afrique. Ils ont des besoins, mais hormis les programmes subventionnés et très limités, il n’existe pas grand chose, c’est dur d’en vivre. Vieille antienne « anti » : le démantèlement des centrales nucléaires n’est pas budgétisé : je vous invite à lire le rapport Charpin de 2000 (274 pages), à la page 56 on trouve le tableau qui explique les coûts et notamment que le démantèlement est comptabilisé dans l’investissement. Notons au passage que 80 % de l’investissement est déjà réalisé. Sinon une synthèse plus abordable sur ce site « ». Le démantèlement, vous le payez déjà ! Re vieille antienne « anti » : la contamination radioactive des centrales. J’habite pas loin d’une centrale et je n’ai pas connaissance de contamination dangereuse. Si c’était le cas, il y a longtemps qu’il y aurait eu un scandale. Quels sont vos éléments chiffrés et vos références qui permettent d’affirmer cela. le zéro rejet n’existant pas, ni en nucléaire, ni dans l’industrie, ni en médical, je regarde le rapport de l’ASN du 2 novembre 2007 (176 pages), je n’y vois pas une raison d’arrêter de dormir. Comme je l’ai déjà écrit, pour les rejet je préfère mille fois une centrale nucléaire plutôt qu’un incinérateur ou une centrale à charbon (ce que préconise le comité stop Nogent). La population mondiale est plus exposée aux rejets dus aux essais nucléaires aériens (mais c’était, il y a quarante ans) et aux rejets médicaux, qu’à ceux des centrales. Conclusion : je suis pour… un peu de lecture.