Le groupe de matériaux de construction Lafarge s’est allié avec Nareva Holding, filiale du groupe marocain ONA pour développer et exploiter conjointement un parc éolien de 100MW de capacité.
Cette alliance porte sur le développement et l’exploitation par Nareva d’un parc éolien pouvant atteindre une capacité de 100 MW et dont l’énergie produite sera fournie exclusivement à Lafarge.
L’investissement associé à ce projet, opérationnel à l’horizon 2010, est estimé à 1,5 Milliard de Dirhams, soit environ 131,5 millions d’euros.
Lafarge explique dans un communiqué chercher à diversifier ses sources énergétiques et de recourir davantage aux énergies vertes pour sécuriser ses besoins en énergie.
Au Maroc, Lafarge dispose depuis 2005 d’un parc éolien en exploitation à Tétouan, d’une capacité de 10 MW.
Cette expérience probante l’encourage à s’investir de nouveau dans les énergies propres par une extension de son parc de Tétouan et le partenariat conclu avec Nareva Holding.
Depuis que je parle de béton pour les éoliennes, vous savez les millions de tonnes des fondations ! je suis heureux que Lafarge, l’un des bénéficaires avec Arcelor du boom éolien dans le monde, s’équipe enfin d’éoliennes pour produire un béton vert. Il n’y a aucune limite au « verdissement » de notre économie. Dire qu’il y a encore des dinosaures qui croient que le béton c’est gris !
salut cet article est incomplet et insuffisant pour tout comprendre, je m’explique: un investissement en eolien pour produire de l’energie …verte…tout ca c’est tres bien; la production sera destinee exclusivement a lafarge!!! aie pourquoi ca!!!??? est ce pour accompagner une extension ou multiplication des usines lafarges ? c’est toujours bien sinon pourquoi ne pas vendre l’excedent d’electricite via le reseau ONE, si excedent il y a est ce une condition imposee par lafarge pour rester? les quotes part de chacune des entreprises dans le capital et et et…… merci
La fabrication du ciment produit énormément de CO2, de deux façons : – avec la décomposition du carbonate de calcium du calcaire en gaz carbonique et en chaux : CaCO3 donne CO2 + CaO – avec le chauffage à 1450°C du mélange calcaire + argile Lafarge se prépare à la compensation (très partielle) du CO2 émis par ses cimenteries afin de réduire le coût futur de la taxe carbone. Lafarge se moque de l’écologie et n’a qu’une perception financière et publicitaire des choses, en se faisant passer pour une entreprise « verte ». Un pour cent de vert pour cacher 99% de noir.
Si le ciment produit autant de CO2 et que les cimentiers se moque de l’écologie. Pourquoi ne dit-on pas qu’il y a en moyenne 800 tonnes de béton dans une éolienne de 1,5 à 2 MW ?
Parce que la masse du béton varie et que l’on préfèrera dire 300-350 m3 de béton.
On ne dit pas qu’il y a en moyenne 800 t de béton/éolienne et des dizaines de km de câbles et routes d’accès pour les raccorder au réseau parce qu’on préfère montrer 1% de vert pour cacher 99% de noir.
Projet tres prometeurs et partenariat fructueu. LAFARGE Maroc a été la socité pionière en matière de production d’electricité verte destinée à l’autoconsomation. Elle est également la première société ayant fait la démonstration des possibilité qu’offrent les mécanismes de marché de Kyoto et de ce fait a stimulé l’investissement dans les renouvelable (ce dernier reste negligeable en afrique malgres l’essort international qu’il connait), aussi que le recours au coofinancement du MDP. Ce nouveau parc est le fruit de l’experience fructueuse du parc éolien de Tétouant, mais également de l’ouverture recente dans le secteur de l’énergie au Maroc. Ce dernier a entrepris des mesures appte à faciliter et encourager l’autoproduction en renouvelable et prépare un cadre d’incitation pour promouvoir le renouvelable.
Oui , Emilie , la fabrication du ciment ( ou de la chaux ) produit du CO2 par la decomposition thermique du CaCO3 …. mais pourquoi ne dites-vs. pas ( alors que vs. le savez ! )que la prise / solidification du beton ou du mortier de ciment ( ou de chaux ) se fait en RE-CAPTURANT la meme quantite de CO2 de l’atmosphere ….. Seule la quantite de CO2 produite par la COMBUSTION du fuel / coke / dechets de pneus / biomasses et dechets divers … lors de la production du-dit ciment est a mettre au » passif » des cimentiers ….et ce n’est pas du tout du meme ordre de grandeur !( meme si c’est beaucoup , mais cela sert aussi a batir des barrages et autres ouvrages produisant des EnR hydrauliques ou oceaniques , comme des fondations pour champs eoliens tjrs + vastes que vs. appelez – a juste titre ? l’avenir le dira – de vos voeux . Au fait , qq.’un a-t’il calcule ce que coutera ds. 15 / 20 / 25 ans au + la demolition et la remise » en l’etat d’origine » de ces milliers d’eoliennes , sur terre comme en mer ? Et la recuperation / recyclage de ces mats / pales en composites de synthese ….Est-ce deja budgetise et inclus ds. le prix de vente du KWh » vert » ? Bloque ds. un Fond inalienable ? Merci de me donner ttes. infos serieuses et verifiables sur le sujet Bon vent a ts. qd. meme , la Planete Terre est si belle partout
Pour répondre à la question de Momo, j’ai déjà indiqué une piste dans l’article « Prendre en compte le bruit des éoliennes au cas par cas » publié le 01 avril 2008. Sur le site Vestas : -(lca) On trouve une étude LCA (ACV) menée par le constructeur (77 pages en anglais). Pour info, VESTAS indique 805 tonnes de béton pour les fondations d’une V82 (1,65 MW installée à terre). Si l’éolien français devait produire autant que le nucléaire en 2007 (420 TWh) avec des éoliennes V82, il faudrait 116 000 éoliennes à 2200 heures par an (chiffre retenu par la CRE pour la CSPE) à pleine puissance et… 93 millions de tonnes de béton (2 fois la production annuelle de la France). C’est Lafarge qui serait content ! faîtes une simple division et vous verrez ce que cela représente déjà pour seulement un quart de la production et sans garantie de service. Un EPR exige beaucoup moins de béton et produit beaucoup plus et régulièrement (12 à 13 TWh/an pendant 7900 heures/8760). Les hypothèses de cette ACV sont peut être contestables (production annuelles de 5 637 MWh équivalent à 3416 heures à pleine puissance), mais cela fourmille d’éléments factuels et chiffrés. Vestas indique que l’éolienne « rembourserait » son énergie « grise » en 7,2 mois. Toutefois, cela n’est valable que si on recycle la plupart de matériaux à 90 % ou plus et si on laisse en place les fondations (805 tonnes de béton et quelques dizaines de tonnes d’acier). Essayez de refaire les calculs en modifiant les paramètres du recyclage, vous verrez que le « remboursement » de l’énergie grise peut prendre plus de 7 mois !
pour Lafarge de se positionner au Maroc, l’effervescence éolienne une aubaine financière, économique et durable et tellement tendance…
Et faire habiter sous les lignes THT tous les agents des compagnies d’électricité, puisque c’est sans danger pour les enfants ?Les lignes THT, c’est beau, et ca ne nécessite pas de béton.
1) Je n’ai pas compris le titre … » ne pas couvrir quoi » ? 2) Je ne suis absolument pas un inconditionnel du nucleaire » fission » , ni de 1ere , ni 2eme , ni 3eme generation , mais depuis des annees je me pose et pose autour de moi , y compris ds. ces forums , la question : Que faire d’autre + intelligent et realiste ? ET Y A JAMAIS PERSON QUI REPOND !Sauf : » YAKA » ou » YAKAPA » qui ne font pas du tout avancer le Schmilibilik …. 3) Je ne sais pas qui a dit que les lignes THT etaient sans AUCUN danger ,moi je ne suis pas competent , mais je sais combien TUENT sans pitie ni remission la tuberculose , la malaria , les maladies infantiles vraies , les accidents de la route , le tabac , l’alcool et autres conduites suicidaires humaines … le travail ds. les mines des Pays sous-developpes , etc etc …C’est vrai qu’il n’y a pas a s’agglutiner en + sous des THT , et surtout pas y concentrer les agents des Cies productrices ou distributrices d’electricite ( dont je ne suis pas ! ) Mais je vois ts. les jours depuis des decennies les bienfaits en termes de confort et de longevite qu’apporte au + grd. nbre. d’entre-ns. l’energie trimbalee ds. ces-dites lignes … 5) Eh si , il y a du beton en fondations des poteaux des THT … ( mais qu’est-ce que cela vient faire la ? ) Merci d’eclairer ( aux LED ….? ) ma lanterne
L’EPR c’est sûrement pas le nirvana et je suis comme Momo : pas pronucléaire ou pro quoi que ce soit sans analyser et comprendre ce que l’on pourrait faire d’autre et de globalement mieux. Faut-il encore répéter que le nucléaire c’est dangereux, ça produit des déchets… etc… etc. Mais quand on a dit ça, on satisfait éventuellement son ego d’individu habitant dans un pays riche, on ne résoud les problèmes de l’énergie dans le monde. Il est évident, qu’il serait plus intelligent que personne n’habite sous les lignes THT, mais c’est un peu compliqué. Ce serait l’application d’un principe de précaution car personne ne connaît précisément l’effet des champs magnétiques basse fréquence sur le corps humain. Et puis, il vous arrive peut être de passer une IRM (on vous met le corps dans un grand aimant). Les lignes THT et HT sont nécessaires à l’EPR et aux EnR, puisque pour installer plus d’éoliennes, il faut renforcer le réseau (c’est les industriels d’éole qui le demande à RTE). Les pylônes nécessitent du béton comme toute structure à ancrer solidement dans le sol, il faut des plots. Il ne faut pas confondre moyens de production et moyens de transport, nous avons besoin des deux et plus on développera les EnR, plus le réseau devra être solide et complexe ! Si on met 20 GW d’éoliennes (objectif 2030 et un tiers du nucléaire en puissance), il faudra être capable d’accueillir ces 20 Gw au coup de sifflet en même temps si le vent souffle partout et même si on n’en pas besoin d’autant (dans le cas contraire, il faudra déconnecter les éoliennes ou réduire la puissance. Pour faire cela, il faut un gros réseau très costaud avec des lignes THT pour transporter l’électricité entre les régions. Enfin, je souscrit tout à fait à la notion évoquée par Momo : bénéfice-risque. sans connaître le concept, intuitivement les habitants des pays défavorisés comprennent cela facilement, contrairement à nous qui avons oublié que l’électricité, l’eau courante et le téléphone sont des conquêtes récente. J’ai eu l’eau courante fin des années 60 et le téléphone fin des années 70 ! et le 230 V protégé par un différentiel 30 mA amené par des lignes THT à 400 kV, c’est mieux que le 110 V fluctuant dans les fils en gaine coton protégé par les « plombs » et amené par du 225000 V.
EPR et tout ce que l’on pourra d’autre. Je l’ai déjà dit et le répèterai à plus d’envie, il faut d’abord commencer par moins consommer !Moi, personnellement, le nucléaire je n’aime pas mais alors pas du tout ! Alors tous les jours, j’essaie au travers de gestes simples d’être moins énergivore, rationnel dans mes envies et surtout, j’essaie d’analyser les conséquences de chacun de mes gestes de consommation sur mon environnement.
Bonjour,Le problème avec toutes ces centrales éparpillées sur notre beau territoire, c’est bien sûr que cela nécessite des kilomètres de fils, en HT ou THT, dorénavant la perte de cette énergie durant ces transports frisant un pourcentage hallucinant. Mais peu importe, on continue, sous prétexte que le Nucléaire est une énergie « propre », voir verte, (ouarf!!), et malgré le fiasco actuel en Finlande dans la construction du 1er EPR, on persiste et signe.Les délais de retard s’accumule, mais peu importe, cocorico, on vend au moins cette merde à l’étranger!!!Oups, cela m’a échappé, mais bon, je le pense, alors, c’est un moindre mal de dire ce que l’on pense.non?Si l’on prend le problème à l’inverse, et que l’on apprenne à nos concitoyennes et concitoyens d’essayer de devenir tout ou en partie autonome de leur production d’énergie, qu’elle soit électrique, thermique,etc… , l’on aura moins besoin de ces pylônes qui, franchement, en matière d’harmonie paysagère,on a trouvé mieux, que, bizarrement, l’on a rarement remis en cause, contrairement aux éoliennes, que nos « chers » sénateurs, au propre et au figuré, trouvent incongrues dans nos vertes vallées et nos verdoyants bocages. Je en parlerai pas bien sur de ces très belles tours de refroidissement, enveloppées d’une limbe de vapeur, rougeoyantes dasn le soleil couchant!! Sibyllins, non?Evidemment, en proposant aux françaises et aux français de se convertir à l’autonomie énergétique, je prêche pour ma paroisse, car à la tête d’une Micro-Entreprise, je suis bien sur partie prenante dasn cette aventure.Mais, rassurez-vous, je n’en suis pas encore à me faire de la pub, genre Lafarge, ou Total, ou Areva et consorts, pour qui le Vert fait vendre.Voir à ce propos un article de moi, on est jamais mieux servi que par soi-même, dans Altermonde-sans-frontières: journée.G.Lecoq.
Depuis le début, très peu de personnes répondent aux questions de façon argumentée en évitant les contradictions flagrante : Pour Fx26150 : dans le domaine de l’énergie, le challenge qui nous est aujourd’hui posé, n’est pas de savoir si on aime ou si on aime pas (ça c’est simple). La question est : comment faire tourner le pays dans les trentes ou cinquante prochaines années en prenant en compte les impératifs du réchauffement climatique, de santé publique, économiques, d’indépendance… Nous avons intérêt à bien réfléchir pour éviter de nous engager dans des voies uniquement commandées par l’émotion et non par la raison. Le remède ne doit pas être pire que le mal. Regardons l’évolution de l’Allemagne, ce sera instructif. On ne peut pas sérieusement opposer les comportements économes et la production en masse de l’électricité qui sera toujours nécessaire. Les deux vont concourrir à limiter les dégats… à condition de ne pas faire n’importe quoi pour des raisons purement idéologiques. Pour notre ami Lecoq : Vous stigmatisez le réseau électrique et les lignes THT sans vous rendre compte que cette attitude va à l’encontre du développement des EnR et particulièrement de l’éolien. En effet, pour rapatrier les 17 GW éoliens promis en 2020, il va falloir renforcer le réseau actuel et créer des stations spécifiques (voir la carte sur RTE). Ce sont les industriels de l’éolien qui demandent à l’Etat de faire au plus vite pour que le réseau accueillent les MWh de l’éolien. Sinon pas de vente = pas de subventions. Je vous demande donc de m’expliquer comment vous aller développer l’éolien en France en supprimant le réseau ! De plus vous m’expliquerez comment les trois champs de vent décorrélés en France peuvent être complémentaire sans réseau (c’est un argument fort des proéoliens). Au final, vous jouez pour qui ? L’autonomie énergétique pour le particulier est un concept inapplicable à grande échelle et de surcroît antiécologique. De plus, pour obtenir la garantie de service, cela repose sur… un réseau très solide et très complexe ! Parlez moi un peu du fiasco finlandais : ils ont tout arrêté ? sachez que les citoyens français ont accès à internet et peuvent voir les reportages sur le site de TVO et AREVA. Ce type de désinformation caractérisée n’est plus opérative depuis la génération ADSL car les français peuvent vérifier en 2 click vos « informations ». Pour ce qui est des « tours de refroidissement » ou aéroréfrigérant pour les connaisseurs, il s’agit encore d’une tromperie caractérisée car ce n’est pas l’apanage des centrales nucléaires mais des centrales thermiques de fortes puissances à condenseur qui ne peuvent pas être refroidies par un débit d’eau de mer. J’ai déjà expliqué longuement cela. Expliquez moi où sont les tours des centrales nucléaires de Graveline; Paluel, Penly et Blayais. En revanche, vous m’expliquerez pourquoi il y a des tours de refroidissement dans les centrales à charbon allemandes (Niederaussen, Janswald…) et des cheminées à côté pour évacuer les millions de tonnes de CO2 produits annuellement. Au total, il y a beaucoup plus de tours dans les centrales à charbon que dans les centrales nucléaires. Bizarrement, on l’a rarement remis en cause !! Je vous souhaite de réussir dans votre entreprise, mais je suis inquiet car on ne construit rien de durable sur des mensonges.
Pour info par rapport à la brève sur Lafarge au Maroc et l’éolien, j’y vois une certaine continuité car le premier parc éolien français se trouve sur un site d’exploitation des ciments Lafarge à Port la Nouvelle. Je me souviens avoir visité la première éolienne du site en 1993, une 225 kW Vestas. Je n’ai aucun intérêt ni sympathie spéciale pour le groupe Lafarge je trouve simplement un peu injuste de parler de peinture verte. Je trouve également un peu facile de tirer à boulet rouge sur l’industrie du béton sachant que nous sommes tous utilisateurs de ce même béton, un appartement dans le collectif c’est en moyenne 30 tonnes de béton et beaucoup plus pour logement individuel si on regarde les répartitions entre béton et ciment divers. Je pense que le béton a une très mauvaise réputation suite à une certaine période de notre histoire pendant laquelle les promoteurs immobiliers avaient tendance à bétonner partout y compris sur le littoral, mais il faut bien le reconnaître c’est un élément important voir indispensable de notre mode de vie. Une très grosse partie des commentaires sur ce site tournent à la critique systématique de l’éolien, par contre je ne constate pas du tout la même férocité de l’analyse pour le nucléaire. Ce dernier est censé nous sauver en même temps de la pénurie des énergies fossiles et du réchauffement climatique. Sur ces bases là effectivement le débat devient très difficile, ceux qui n’adhèrent pas à cette vision de l’avenir étant priés d’aller se faire voir. Le développement du nucléaire peut être envisagé sous un angle optimiste comme ici : L’objectif affiché est d’atteindre une participation de l’énergie nucléaire à hauteur de 25 % du mix énergétique mondial pour satisfaire les besoins croissants et atteindre les objectifs de réduction de CO2. Cela veut dire en gros qu’il faut multiplier par 10 le nombre de réacteurs actuels. Le document indique également qu’il faut un stock de 12 tonnes de plutonium pour amorcer un réacteur de génération IV ou surgénérateur de 1GWe de puissance. Cette masse de plutonium est obtenu après 50 ans de fonctionnement d’un REP actuel. On peut donc envisager dans le meilleur des cas remplacer tous les réacteurs de la génération actuelle lorsqu’il arriveront en fin de vie ( 2025/2040) par des gen IV à la fin. Pour atteindre l’objectif de multiplication par 10 de la puissance nucléaire il faudra bien sûr auparavant produire les tonnes de Pu nécessaires à leur amorçage ce qui veut dire multiplier par 10 le nombre de réacteurs de génération III consommant de l’uranium. La consommation actuelle d’Uranium est d’environ 65 000 t/an, c’est donc 650 000 tonnes/an qu’il faudra extraire des mines pour satisfaire l’objectif du facteur 10. Suivant le même document cela ne devrait pas poser de problèmes car les réserves d’uranium sont estimées à 16 à 23 millions de tonnes (RRA + RSE + spéculatives) ce qui nous donnerai environ 31 ans de fonctionnement assuré. Le document indique 50 à 80 ans avec les améliorations de rendement des réacteurs. Le programme est ambitieux mais les enjeux sont à la mesure de cette ambition, couvrir 25 % des besoins en énergie de la planète à l’horizon 2050 et assurer au-delà des centaines d’années de fonctionnement ça vaut le coup. Sauf que : L’Agence pour l’Energie Nucléaire (AEN) publie un document recensant les productions les consommations et les stocks d’uranium de part le monde : Dans ce document il n’est pas question de réserves « spéculatives » mais uniquement de ressources raisonnablement assurées RRA et ressources présumées de catégorie I RSE-I. L’ensemble étant censé être récupérable à moins de 130 $/kg. Au-delà de ce coût on considère que les informations relèvent de la spéculation. Dans ces catégories on arrive à un total de 4 588 000 tonnes d’uranium naturel recensés de part le monde. Ce qui assure 70 ans de fonctionnement avec la consommation annuelle actuelle mais seulement 7 ans avec l’objectif du facteur 10. Voilà pourquoi en l’état actuel de nos connaissances il faut rester très prudent sur l’avenir du nucléaire et ne surtout pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Chaque pays se positionnera différemment sur l’échiquier du nucléaire, certains pays ont des ressources importantes en uranium : le Canada, l’Australie ne devrait pas avoir trop de soucis à se faire. Par contre pour la France il est quand même légitime de se poser des questions. Ce ne sont pas les mines d’uranium sur notre territoire qui risquent de nous emmenez bien loin. Et je ne vois pas pourquoi les pays bien dotés en uranium continueraient à nous fournir le précieux minerai à prix d’ami. Notre stock de plutonium actuel de l’ordre de 200 tonnes devrait permettre de démarrer 16 surgénérateurs et certains réacteurs de la génération actuelle seront sans doute remplacés par des surgénérateurs vers 2040, à condition évidemment que l’on est réglé d’ici là tous les problèmes de ce type de réacteur ce qui n’est pas le cas actuellement. Superphénix n’a pas démontré un fonctionnement à un coût acceptable, nous sommes donc encore une fois dans la spéculation et le pari sur l’avenir. Il y bien sûr des stocks d’uranium et de plutonium provenant des usages militaires mais je me demande si on n’est pas justement en train de les vider (ce qui n’est pas plus mal pour tout le monde). Il y a aussi des ressources à faibles teneur, mais lorsqu’on commencera à toucher à ce genre de camelote, il y a fort à parier qu’on sera dans l’équivalent du pic pétrolier avec une très forte augmentation des prix du marché. Il y a la filière du Thorium mais il faut développer les réacteurs pour l’utiliser et le temps est compté.. Beaucoup de question sur l’avenir du nucléaire et bien peu de certitude en fait quand on y regarde bien. Dans ces conditions il est absolument urgent de réduire nos consommations d’énergies et de développer (pendant qu’il est encore temps) les énergies alternatives. Si on s’ait trompé avec l’éolien, en fin de compte, cela ne sera pas si grave, on recyclera les matériaux comme l’acier et le cuivre, on laissera probablement le béton sous terre dès qu’il sera à plus d’un mètre de profondeur et basta. Par contre si on s’ait trompé sur le nucléaire et qu’on a rien développé à coté… Pour éviter tout malentendu je n’ai pas dis que l’éolien était en mesure de se substituer au nucléaire français, évitons de repartir dans le matraquage avec ça, juste qu’il serait bon d’envisager un bouquet énergétique le plus large possible dans lequel l’éolien aurait une place. Actuellement c’est quand même, n’en déplaise à certains, le mode de production d’électricité renouvelable le plus économique, l’hydraulique n’étant pas en mesure de se développer énormément dans l’avenir. Le solaire est prometteur mais encore couteux surtout avec l’ensoleillement en France. Ne restons pas avec notre culture monothéiste nucléaire française et arrêtons de brocarder les autres pays n’ayant pas fait nos choix. Le nucléaire, OK mais comme les antibiotiques cela ne doit pas être automatique. Cordialement à tous.
Si j’ai lourdement insisté, tout au long de mes commentaires sur le béton et les éoliennes, ce n’est absolument pas parce que j’en veux au béton et aux éoliennes. En réalité, il s’agissait de dénoncer une certaine façon de communiquer qui conduisait à coller des étiquettes sur les matériaux, les systèmes et les filières de production d’énergie. Par exemple : le nucléaire c’est sale et noir, l’éolien c’est propre et vert. J’ai donc voulu, chiffres à l’appui, casser cette vision dogmatique. Si on sort du dogme : « on arrête le nucléaire et on discute après », alors le débat constructif peut commencer. Personnellement, je trouve que le béton n’est pas aussi antiécologique qu’on le dit et on pourrait parfaitement faire une maison « semi-écolo » avec de murs en béton (forte inertie à l’intérieur) et une bonne isolation extérieure (faible déperdition et traitement des ponts thermiques. Le béton est aussi essentiel au nucléaire et fossile qu’aux EnR ! la provocation m’a semblé utile pour sortir du manichéisme ambiant. Comme je l’ai maintes fois répété, rien n’est vert ou noir, tout est gris clair ou gris foncé. Une solution n’est pas intrinséquement écologique (ça ne dépend pas de l’étiquette), tout dépend de son contexte d’emploi et de production. les analyses de cycle de vie démontrent d’ailleurs assez bien que le même système fabriqué dans deux pays différents peut virer du vert au gris ! Le nucléaire a des avantages, mais aussi des inconvénients. L’ennui, c’est que pour en parler sereinement, il faut d’abord « casser » la propagande ! Pour l’avenir énergétique de la France et la lutte contre l’effet de serre, il faut sortir de la religion pour entrer dans l’âge de raison. Une fois que la mue est opérée, on peut construire.
Dan, la propagande est là où on souhaite la voir. Quel est le budget de com d’ Areva et de l’ensemble de la filière éolienne en France ? Je n’ai pas encore vu de spot de pub avant et après le JT de 20h sauf ceux d’Areva justement qui accessoirement est devenu un acteur de l’éolien. C’est d’ailleurs assez rissible de voir Total déclarer vouloir s’engager dans le nucléaire tout en dédaigant le renouvelable et Areva et Alstom investir dans l’éolien…. Pour ce qui est de sortir de la religion, désolé, mais j’ai fortement l’impression que selon vous hors du nucléaire point de salut..
Je n’ai jamais dit que hors du nucléaire, il n’y avait pas de salut. le problème dans l’énergie n’est pas de déclarer mais de démontrer, chiffres et références à l’appui en citant les sources. je pense qu’en un peu plus de 250 commentaires, j’ai largement fait la démonstration que je ne me contentais pas de déclarations. D’autre part, je ne pense pas qu’au nucléaire pour l’énergie en France, puisque, jusqu’à preuve du contraire, le transport tourne largement avec d’autres énergies. Maintenant, je vais reprendre la bonne vieille méthode. Dites moi comment vous faites pour respecter le protocole de Kyoto ou du moins stabiliser l’émission des gaz à effet de serre en produisant au moins 480 TWh d’électricté par an. J’attends la réponse chiffrée ! Si quelqu’un parvient à me démontrer que c’est faisable sans nucléaire, je dis bravo. Je rappelle quand même qu’en 2006 (source CITEPA), la production d’électricité en France, c’est 5,9 % des émission de CO2 et que la parc nucléaire à évité environ 9 milliards de tonnes de CO2 depuis 1956 (surtout depuis 1980) par rapport à une solution charbon. Ce sont des faits. Pour ce qui est de la médiatisation, je pense que l’éolien a eu une très bonne couverture par les grands média, plus que le nucléaire et n’avait donc pas besoin d’acheter des spots de pub.
Et on repart dans la bonne vieille méthode, sauf qu’il faudrait démontrer qu’elle fonctionne. Pour l’instant vous ne faite que démontrer que tout ce qui hors nucléaire est incapable de remplacer le nucléaire et cela uniquement sur le territoire français sans prendre en compte le contexte internationnal de l’approvisionnement en uranium. Je dis simplement que c’est une analyse à courte vue et je suis persuadé que nous auront des déconvenues si nous nous en tenons à cette analyse. Contrairement à vous, je dis que nous n’avons pas de quoi, même avec le renouvelable, subvenir à la demande actuelle en énergiedans les décennies à venir. Mais que ce serait une grave faute de négliger les énergies renouvelables EN PLUS NUCLEAIRE et non en SUBSTITUTION au nucléaire. Comment faut il le dire ?
Parfait, vous dites les EnR ne peuvent pas produire les 480 TWh. Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas introduire des EnR dans le mix électrique, la preuve il y a déjà plus de 10 % d’hydraulique. On peut mettre 5 % d’éolien en 2030 comme le propose le document de la DGEMP… et entre 2008 et 2020 on fait quoi ?? et après on vit comment ?? La France se contente de seulement 100 TWh d’électricité par an (30 % d’économie en résidentiel et on arrête le reste dont les entreprises). J’attends toujours un mix électrique chiffré comme l’a d’ailleurs publié Greenpeace, après on peut discuter !
Il ne s’agit pas de produire des chiffres, ça on sait faire, mais de se plier à ce que dame nature nous laissera à disposition. Nous venons de vivre un demi-siècle avec crédit illimité sur les énergies, mais , game is over, la partie est finie et aucune possibilité de partie gratuite supplémentaire ne se présente à l’horizon. Donc à la question : « Et on fait quoi? » J’aurai tendance à répondre pas grand chose, juste ne pas (trop) mettre de bâtons dans le roues aux développeurs de solutions alternatives, ou alors après analyse minutieuse. Au delà des effets d’annonce, évidemment multiples, les solutions les plus viables finiront, peut être, par émerger.
Dan, j’ai fait part dans mon intervention de mes convictions personnelles sur le nucléaire. C’est tout. Mais je crois avoir été clair dans mes propos jusque-là, il faut un mixe énergétique pour subvenir à nos besoins, car et parce qu’aucune solution alternative n’est parfaite. Miser tout sur le nucléaire serait faire la même erreur que tout miser sur le pétrole; Jake le démontre bien, et une simple analyse géopolitique le corrobore (plutôt l’invers d’ailleurs). Le temps ou des grandes puissances, hier l’Occident, aujourd’hui l’Orient et l’Asie pouvaient piller les richesses naturelles des pays à peu de frais, sera bientôt révolu.En continuant ainsi, nous nous acheminons vers trois conflits majeurs : la guerre de l’eau, la guerre des matières premières et la guerre des civilisations.La première qui risque d’éclater est celle des matières premières alimentaires. En partie d’ailleurs à cause de la ruée vers les « bio »-carburants.La seconde, celle de l’eau, inéluctable et en partie due au réchauffement climatique, la troisième, celle des civilisations.Cette dernière risque d’éclater non seulement du fait que l’Islam n’a pas encore fait sa révolution des lumières (bien que si l’on prend les derniers évènements ayant eu lieu en Indonésie, il y a peut-être un léger espoir), que les Shiits (Iran) veulent imposer leur vision de l’Islam aux autres courant de la religion musulmane, et enfin, on n’y pense pas asse ou peu osent le dire, il y a la Chine qui dans ce nouvel équilibre mondial, veut prendre une revanche et retrouver le poids qu’elle avait du temps des dynasties. Le tout étant en partie dû aux occidentaux qui ont voulu dans un mode de pensée simpliste, imposer un modèle non-transposable en l’état, tout en jouant avec le feu pour s’assurer une exploitation à bon compte des richesses de ces pays. Bref, pour en revenir à notre sujet qui est celui des énergies, il faut en finir rapidement avec ce modèle de toujours plus; notre sécurité nationale, notre sécurité financière et notre sécurité climatique en dépendent.Nos élites ne me semblent pas aujourd’hui dans une position mentale de gestion de risque, pourtant les indicateurs sont au rouge vif !Alors économisons, mixons, innovons.
Mais cette derniere phrase est tres tres bien ! ( dommage qu’elle ne comporte pas de chiffrages comme le demande depuis fort longtemps ce » pauvre » Dan …. qui va donc devoir attendre encore pour etre un jour satisfait ! )C’est d’ailleurs ce que notre civilisation fait depuis des siecles ! , et qu’elle continuera a ( devoir ) faire : cela fait tres longtemps , cher Jake , qu’on doit faire av. ce que ns. offre ( + ou – » gentiment » , + ou – abondamment ) Dame Nature ! C’est vrai que ces dernieres decennies , elle nous a gate !Mais il y aura un moment ou elle dira : je suis ( un peu ? ) fatiguee …. et des millions ou( helas ? )des milliards d’humains y laisseront des plumes ( ou la vie , qui sait ? ). Autant donc reflechir le mieux et le + rationnellement possible sur ce sujet complexe , et passionnant ( ce que font tres correctement nos elites , ne vs. inquietez pas trop a ce sujet ! ceux dont je vs. parle ne sont pas les » pitres » qui sont ( parfois ) sur le devant de la scene , notre systeme est bien mieux foutu que cela ! Et tient infiniment mieux la rte. que ds. bien d’autres malheureux endroits de notre Planete ) . Merci d’eclairer ma lanterne sur cette question lancinante : On fait comment ds. le Mix production ? En d’autres termes : on repartit comment les couts ( y compris le vrai cout a venir CO2 et autre GES )entre les sources de creation de notre standard de vie et de notre liberte d’activite(s) ? On ne peut pas couper a donner cette reponse meme apres reponses » philosophiques » ad hoc
Je peux être d’accord avec toutes les analyses philosophiques, macroéconomiques, géostratégiques etc… etc et ce, d’où qu’elles viennent (protruc ou antimachin). je n’entrerai pas dans ce débat car on peut y démontrer tout et son contraire selon l’angle d’attaque, le terme considéré… Dans le cas présent, je me place du point de vue de la France qui doit élaborer une politique énergétique pour les trentes prochaines années. C’est maintenant que cela se décide en tenant compte de l’acquis. Grosso modo, c’est l’approche du scénario DGEMP 2008 faisant l’objet d’un autre article. Dans ce cadre, je réitère ma question : que proposez vous ? Il ne s’agit pas de produire des chiffres pour le plaisir, mais d’expliquer au français ce que l’on va faire et évidemment de donner un signal claire au industriels et de réserver les financement nécessaires. Les propositions non chiffrées restent des voeux pieux. Donc, pour l’électricité, partons de 480 TWh (besoin 2007) : qu’est-ce que l’on fait dans les trentes qui viennent ????????????????????????????????????????????????????
Vendredi 11 avril 2008 Dans les 30 ans, on essaie -entre autres- d’avoir un EPR qui soit aussi rentable sur le terrain que dans les calculs. Ca évitera les projets comme Superphénix dont le démantèlement a coûté plus cher que la construction. Les retards de l’EPR finlandais pourraient coûter à Siemens près de 500 millions d’euros Selon le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, les retards dans la construction de l’EPR en Finlande pourraient coûter à Siemens près de 500 millions d’euros. Ces coûts devraient être étalés sur plus de vingt ans. Interrogé sur cette information donnée par le quotidien allemand, un porte-parole de Siemens a reconnu que les pertes ne seraient pas négligeables, mais a refusé de donner des chiffres précis. Le journal rappelle que Siemens est concerné à deux niveaux par l’EPR finlandais : d’une part, il est un gros actionnaire d’AREVA NP, dont il détient 34 % des parts ; et d’autre part il est associé à hauteur d’environ un tiers au consortium responsable de la fourniture de l’ensemble de l’EPR-3, car il en construit les turbines et le générateur.
Vendredi 11 avril 2008 Dans les 30 ans, on essaie -entre autres- d’avoir un EPR qui soit aussi rentable sur le terrain que dans les calculs. Ca évitera les projets comme Superphénix dont le démantèlement a coûté plus cher que la construction. Les retards de l’EPR finlandais pourraient coûter à Siemens près de 500 millions d’euros Selon le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, les retards dans la construction de l’EPR en Finlande pourraient coûter à Siemens près de 500 millions d’euros. Ces coûts devraient être étalés sur plus de vingt ans. Interrogé sur cette information donnée par le quotidien allemand, un porte-parole de Siemens a reconnu que les pertes ne seraient pas négligeables, mais a refusé de donner des chiffres précis. Le journal rappelle que Siemens est concerné à deux niveaux par l’EPR finlandais : d’une part, il est un gros actionnaire d’AREVA NP, dont il détient 34 % des parts ; et d’autre part il est associé à hauteur d’environ un tiers au consortium responsable de la fourniture de l’ensemble de l’EPR-3, car il en construit les turbines et le générateur.
Vous commencez à faire comme notre ami Lecoq, vous aimez la GRANDE POLICE ! C’est ridicule, je ne suis pas aveugle et j’ai un zoom sur l’ordinateur si je n’y vois pas bien ! Le poids des arguments n’est pas proportionnel à la taille des caractères, ce serait plutôt l’inverse et là, vous vous discréditez. Nous savons déjà que l’EPR finlandais pourrait accuser une dérive des coûts, il n’y a donc rien de nouveau. Même s’il coûte 4,5 milliards au lieu de 3, ce sera toujours plus rentable que les EnR. Je vous renvois à l’article du 28 mars 2008 intitulé « Pénuries d’électricité en Allemagne à craindre dès 2012 » et notamment au dernier commentaire qui fait une comparaison des coûts. Conclusion : écologique ou pas, rien ne se donne !
On met le message deux fois… vous êtes responsable de la propagande chez qui ? ça devient pathétique. Mais au moins, un copié-collé ne prend pas beaucoup de temps.
j’aimerai bien savoir plus d’infos sur l’effet de produire des ciments au niveau de notre region sachant nous somme entre deux pole de roxication phosphate ensuit lafarge.
Nous avons l’honneur de vous présenter notre sociéte Poli Industriel spécialité dans la finition de béton ciré pour sols industriel les encarts, les sols, parking, les garages. Aprés plusieurs années d’activités professionelles, le sol de béton cir…é Poli Industriel rencontre de plus en plus de sucés dans la construction résidentielle moderne. Le béton lisser Poli allie l’esthétique à la fiabilité. Il vous permet de personnaliser votre sole et vous garantit une grande satisfaction de notre travail. Le béton lisser est dérivé de la technique des sols industriels et adapté aux partuculiers, pour le neuf et la rénovation. Poli est née d’un besoin des professionelles du batiment comment appliquer un revêtement de qualité et rapidement. A donc décidé de se spécialiser dans l’application du béton imprimé. Son objectif est la satisfaction du client. Nous sommes à votre entier disposition pour toute présentation de service en réagie en sien de votre entreprise. fax : 05 36 60 45 48 Boulevard El Massira n° 276 50001 Nador Maroc Email : Http : http://www.poli-industriel.sitew.com
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brossés avec finition anti-dérapant. Couleurs: vert, rouge, anthracite et gris. Béton coulé sur chantier pour la construction de fondations, de fosses et de murs de soutènement Finition polie-miroir Finition semi-polie ( talochée fin) Finition semi-rugeuse (traces de taloches) Finition brossée Finition brute (tiré à la règle) La finition polie de la surface peut se faire avec ou sans couche d’usure. Cette dernière destinée à renforcer le dallage en surface, est composée d’un mélange de ciment et de quartz en quantité bien définie. Différentes teintes sont également possibles en y ajoutant des pigments colorés. L’opération de finition s’effectue à l’aide de machines mécaniques appelées plus couramment des hélicoptères. A l’extérieur, une finition poli miroir ne convient généralement pas pour ces dallages. En effet, ce type de finition, très prisé dans les halls industriels de part sa surface parfaitement fermée par le polissage et sa très bonne résistance présente l’inconvénient d’être extrêmement glissante en cas de pluie. Une finition brossée ou légèrement rugueuse est plus adaptée pour ces dallages extérieures.
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