Mardi a été inauguré Cleo, un réseau de maires de communes et d’élus de collectivités locales dotées de parcs éoliens.
L’objectif affiché de Cleo (pour Collectivités Locales Eoliennes) est avant tout de promouvoir l’énergie éolienne, et de faire face aux réticences et critiques.
La première rencontre qui s’est tenue à Lyon mardi a été l’occasion de préciser les objectifs du réseau et de faire partager les expériences de maires qui accueillent des éoliennes, ainsi que de débattre de l’actualité du secteur. Les intervenants ont notament insisté sur la nécessité de mener une concertation en amont du projet tout en garantissant une information transparente.
Cleo entend également "mieux faire entendre la voix des collectivités locales dans le débat national" peser notamment sur les décisions issues du Grenelle.
Le réseau envisage également la publication de 3 guides, sur la "bonne concertation à mener", la fiscalité des parcs éoliens ainsi qu’un contre-argumentaire aux critiques.
La création de CLEO a été initiée par AMORCE, association nationale de collectivités, associations et entreprises spécialisées dans la gestion de déchets et de l’énergie, ainsi que par le Comité de Liaison des Energies Renouvelables (CLER).
500 communes sont concernées par l’éolien, dont la moitié possède déjà un parc en fonctionnement.
Oui à CLEO et à des initiatives similaires pour PARLER, DIALOGUER, faire des BONNES CONCERTATIONs, bien en AMONT !Viser le GAGNANT – GAGNANT objectif, en considérant TOUS les aspects, de BON SENS visuel, sonore, technico-économique et pécunier et de COMPROMIS ! Dans certains cas des rentrées taxe-pro pour une commune ou com-com peuvent éviter la faillite et l’exode, voire permettre de faire des projets sympas pour le bien-être de TOUS !Mérite REFLEXION avant rejet idéologique de puriste irréaliste !A+ Salutations Guydegif(91)
Pour l’avoir vécu force est de constater la puissance des iindustriels et l’efficacité de leur intrusion et leurs actions de marketing dans les maries ou communautés de communes. Mais jusque où iront-ils ? Sur le terrain tout se fait dans l’opacité, et force est de constater que les projets concernent surtout et principalement le foncier appartenant aux élus !!!!
Il y a effectivement pas mal d’industriels qui n’ont que faire des communes où ils installent des parcs éoliens, mais heureusement tout n’est pas si noir de partout.Certaines collectivités arrivent à maîtriser le développement de leurs parcs sur leur territoire ; cela commence évidemment avec la ZDE, puis la collectivité peut donner des contraintes sur certains critères aux développeurs intéressés. Elle peut également participer au financement via une SEM ou mieux une SCIC (société coopérative d’intérêt collectif).C’est là un des enjeux de Cléo : informer les collectivités des possibilités qui leur sont offertes pour garder la maîtrise du développement de l’éolien sur leurs territoires.
mais comment peut’on dénoncer une opacité à propos de l’éolien qd bien même 85% de notre électricité vient d’une énergie qui n’a jamais eu droit à un véritable débat démocratique …. tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle locales des milieux d’implantation ? et surtout qd on voit aujourd’hui le nombre de riverains qui commencent enfin à s’inquiéter … ce qui n’empêche tjrs pas certains maires de tenir le discourt » toute activité humaine à ses risques! .. on ne peux pas s’enorgueillir et se réjouir de grandes installations collective municipales , piscine olympique ouverte et chauffée , boulodrome chauffé, zénith suréquipé, pour des villages de moins de 2000 personnes d’un côté, et se plaindre de risque industriel de l’autre » ….encore entendu (et vu) il y’a deux jours de la bouche d’un maire d’un village du tricastin il y’a deux jours ! As-tu déjà comparé la richesse d’une commune nucléarisée avec celle d’une commune ayant quelques éoliennes ? Je pense comme Guydegif… qu’il ne faut pas voir les éolienne comme des mannes financière endormant certaines mauvaises consciences politique injustifié , mais comme une chance de taille raisonnable et de risque raisonné pour certaines communes. Si on avait du considéré systématiquement l’aspect écologique comme critère rédhibitoire à l’implantation d’activité professionnel sur nos territoire … on en serait peut être encore à l’age de pierre! Bien avant les éoliennes qui ne sont pas parfaite et ne le seront probablement jamais , il y’a bien d’autres activité qui impacte durablement nos cadre de vie , tant sur les plans visuelle , auditif, sanitaires , qu’au niveau de la gestion des ressource… faudrait peut être pas oublier qu’une éolienne à un bilan éconologique largement positif!
Je ne pense pas me planter en disant que statistiquement , dans les communes rurales (concernées par le grd éolien donc) , les gros propriétaires foncier sont les mieux représenté et les plus présent dans les conseil municipaux… ce reproche fait par ZI, parfois fondé dans certains dossiers éoliens, mais le plus souvent que le fait d’une rumeur fausse, peux donc plus que probablement être appliqué à toute activité nouvelle nécéssitant le déblocage de surface fonçière! Une fois encore .. il faut user de recul et d’un peu plus d’objectivité !
qu’en est-il des promoteurs uqi démarchent des maires qui manquent de ressources, dans des eptits villages avec comme seule richesse un paysage peu touché, un bâti traditionnel, de petites églises romanes..et pas de vent, et que l’on sait que leur projet sera revendu ckefs en mains à des banquiers qui vont ainsi récupérer les pertes…de la crise bancaire…et d’uatre pArt que les nouvelles centrales nucléaires ont ainsi le temps d’être au point, pendant que l’on se bat pour ou contre les éoliennes…n’importe où?