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UE : 17 pays investissent massivement dans l’éolien offshore

par La rédaction
30 novembre 2011
en Environnement, Eolien

Selon l’Association Européenne de l’énergie éolienne (EWEA), la capacité d’énergie éolienne offshore (en mer) installée, en cours de construction, validée ou prévisionnelle en Europe s’élèverait à plus de 141 gigawatts (GW), soit assez d’électricité pour alimenter 130 millions de ménages européens.

Ainsi, les parcs éoliens à l’horizon 2030 représenteraient 13,1% (562 TWh) de la demande européenne d’électricité, soit 40 fois la capacité de production actuelle, avec un peu moins de 14,4 TWh.

L’EWEA a publié hier son dernier rapport analysant tous les projets éoliens en mer existants dans les 17 pays membres de l’UE, principalement situés dans le nord-ouest de l’Europe. De nouveaux parcs éoliens offshores d’une capacité de 5,6 GW sont actuellement en construction au Royaume-Uni, en Allemagne et en Belgique.

"Il y a un intérêt énorme à développer l’énergie éolienne offshore en Europe", a commenté Arthouros Zervos, Président de l’EWEA. "Les développeurs, les gouvernements et les investisseurs réalisent que l’énergie éolienne offshore offre la croissance et l’emploi que l’Europe recherche désespérément."

Selon le rapport de l’EWEA, environ 169.000 emplois devraient être créés en Europe d’ici à 2020 dans le secteur de l’éolien offshore, poussant même le scénario des 300.000 emplois à 2030. Autre atout évoqué : "99% de la capacité éolienne offshore installée dans le monde se trouve dans les eaux européennes", ce qui confère à la plupart des entreprises du vieux continent un statut de leader mondial.

Les perspectives de croissance dans l’énergie éolienne offshore sont multiples. Elles sont localisées aussi bien dans la conception des composants intrinsèques, tels que les turbines et les mâts, les navires, les infrastructures électriques, y compris les câbles sous-marins, ou les infrastructures portuaires.

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Tableau : la capacité totale de l’éolien offshore (installée, en cours, plannifiée) au 30 juin 2011 :

On constate que la France est clairement en retard par rapport à ses voisins européens. Même avec une planification de 6 000 MW d’ici 2020, elle accusera un retard énorme sur la Norvège (2 x moins), L’Allemagne (5 x moins), et surtout le Royaume Uni (8 x moins).

Eolien offshore : 17 pays de l'UE vont investir massivement
[ Cliquez sur l’image pour zoomer ]

Toutefois, le nouveau rapport met en garde les décideurs, car si le potentiel du secteur éolien offshore est assez bien exploité en Europe, il demeure impératif que le niveau de financement soit à la hauteur des objectifs fixés.

Par exemple, le rapport met en exergue un risque de sous approvisionnement en câbles (sous-marins) à haute tension dans les prochaines années, un danger pour l’industrie qui doit être examiné d’urgence, ou encore une possible pénurie de travailleurs qualifiés.

"Le secteur de l’énergie éolienne offshore peut reproduire le succès de développement de l’éolien terrestre, qui constitue maintenant une source d’énergie compétitive avec le charbon (sic) et les nouvelles centrales à gaz", a déclaré A. Zervos. "Toutefois, pour s’assurer que cela arrive, les décideurs de l’Union Européenne doivent mettre en place des objectifs ambitieux d’énergies renouvelables au delà de 2020, investir davantage dans la recherche et le développement des réseaux offshores".

UE : 17 pays investissent massivement dans l'éolien offshore

Le rapport, intitulé « Wind in our Sails – du vent dans les voiles », a été dévoilé à l’occasion de l’EWEA OFFSHORE 2011, qui se tient à Amsterdam jusqu’au 1er Décembre.

Tags: climateolien offshoreeuropeewea
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Commentaires 42

  1. Propv says:
    il y a 14 ans

    « On constate que la France est clairement en retard par rapport à ses voisins européens. » Mais non, mais non, comme vont le dire certains contributeurs très actifs de cette liste, ce n’est pas la France qui est en retard, ce sont les 17 autres pays qui n’ont rien compris ! Disons le clairement : en matière d’énergie, la France est en retard dans tous les domaines : maitrises des consommations et utilisation des énergies renouvelables ! La France ne respectera jamais ses engagements du paquet énergie climat, à savoir 27% de la consommation d’électricité produits à partir d’énergie renouvelable !

    Répondre
  2. Steph says:
    il y a 14 ans

    Comme vont le dire bachou, teredral et les autres trolls de ce site, ce sont des travailleurs peu qualifies apportant peu de valeur ajoutee, completement delocalisables et ‘pas si verts que ca’. Pensez donc sceller une eolienne par 30 m de fond, concevoir un mat permettant de supporter de telles contraintes ou un ensemble generateur resistant a l’ambiance maritime, c’est donne a n’importe quel cretin. Mais la France continue encore et toujours d’avoir une guerre de retard.

    Répondre
  3. Curious says:
    il y a 14 ans

    Je me pose des questions peut-être trop élémentaires à la lecture de cet article. Il parle de puissance installée (corrigez-moi si j’ai mal compris). Mais il est abusif de convertir celle-ci en chiffres de production d’électricité puisque, en moyenne sur l’année, les éoliennes ne produisent du courant électrique que 30 % du temps (corrigez-moi à nouveau si je me trompe). C’est comme si (pour suivre le même abus de langage) la puissance éolienne installée réelle tout compris n’était que de 50 GW, non ?

    Répondre
  4. renewable says:
    il y a 14 ans

    Effectivement, l’éolien off shore a un facteur de charge compris entre 30 et 40% et plus de 50% pour les meilleurs sites. On peut prendre un Fc moyen de 33% pour l’off shore sans prendre de risques. Avec 140GW installés, on peut produire 400TWh, soit presque autant que la production du parc nucléaire français. Avec bien sûr, des contraintes sur le réseau plus importantes que pour le nucléaire car la production est variable, même si l’effet de foisonnement à l’échelle européenne le rendra plus acceptable. Si l’on ajoute les 200GW d’éolien terrestre prévus à ce même horizon (2030) qui auront un Fc moyen de 20% (23% en France), cela fait 350TWh de plus et au total la production éolienne sera supérieure à la consommation française d’électricité, parc automobile totalement électrifié compris (200TWh).

    Répondre
  5. Non-curious says:
    il y a 14 ans

    Je ne sais pas si vos 50 GW sort de votre chapeau, mais parler de puissance n’apporte pas grand-chose à mon sens (corrigez-moi si j’ai mal compris). Le cas de la France pour l’éolien offshore: 6000MW offshore prévu (mais on France, on aime être en retard, voir l’EPR…) Taux de charges entre 36 et 40% (39% pour le site de Thorntonbank en Mer de nord) suivant les mers, soit plus ou moins un équivalent de 3500h pleine puissance 6000MWx3500h=20 370 000 MWh soit 20.370GWh Disponibilité de la machine : 97% Energie totale produite : 19 750GWh Le cas de la France pour le nucléaire: Puissance maximale pour une tranche: 1200 MW (mégawatts). En France, les tranches nucléaires vont de 900 à 1450 MW. Nombre de tranches par centrale: 4 Puissance maximale pour une centrale: 4 800 MW. Rendement du nucléaire (rapport entre la puissance maximale et la puissance produite, tenant compte des arrêts pour travaux): 33 % soit plus ou moins 2900h Puissance moyenne produite par une centrale: 4 800 *2900= 13 920 000 MWh soit 13.920GWh A mon sens, il est plus logique de parler d’énergie produite que de puissance installée (corrigez-moi si j’ai mal compris). Quand on voit ces chiffres, l’éolien n’est plus ridicule. Si on ajoute les 19000MW terrestres (taux de charges de 21%) -> énergie = 38 700 GWh Eolien offshore + éolien onshore = 58 450GWh cela correspond à plus ou moins 4 centrales nucléaires Conclusion : L’éolien a un grand potentiel pour la France, mais l’éolien n’est pas la solution miracle. Il ne suffira pas seul et l’intermittence pose des problèmes. Néanmoins, réjouissons-nous !!

    Répondre
  6. Again says:
    il y a 14 ans

    Je ne sais pas si vos 50 GW sort de votre chapeau, mais parler de puissance n’apporte pas grand-chose à mon sens (corrigez-moi si j’ai mal compris). Le cas de la France pour l’éolien offshore: 6000MW offshore prévu (mais on France, on aime être en retard, voir l’EPR…) Taux de charges entre 36 et 40% (39% pour le site de Thorntonbank en Mer de nord) suivant les mers, soit plus ou moins un équivalent de 3500h pleine puissance 6000MWx3500h=20 370 000 MWh soit 20.370GWh Disponibilité de la machine : 97% Energie totale produite : 19 750GWh Le cas de la France pour le nucléaire: Puissance maximale pour une tranche: 1200 MW (mégawatts). En France, les tranches nucléaires vont de 900 à 1450 MW. Nombre de tranches par centrale: 4 Puissance maximale pour une centrale: 4 800 MW. Rendement du nucléaire (rapport entre la puissance maximale et la puissance produite, tenant compte des arrêts pour travaux): 33 % soit plus ou moins 2900h Puissance moyenne produite par une centrale: 4 800 *2900= 13 920 000 MWh soit 13.920GWh A mon sens, il est plus logique de parler d’énergie produite que de puissance installée (corrigez-moi si j’ai mal compris). Quand on voit ces chiffres, l’éolien n’est plus ridicule. Si on ajoute les 19000MW terrestres (taux de charges de 21%) -> énergie = 38 700 GWh Eolien offshore + éolien onshore = 58 450GWh cela correspond à plus ou moins 4 centrales nucléaires Conclusion : L’éolien a un grand potentiel pour la France, mais l’éolien n’est pas la solution miracle. Il ne suffira pas seul et l’intermittence pose des problèmes. Néanmoins, réjouissons-nous !!

    Répondre
  7. Curious says:
    il y a 14 ans

    @ Renewable et Non-curious Merci pour vos explications, qui éclairent ma lanterne (c’est le cas de le dire). J’ai néanmoins du mal à suivre celles de Non-curious à propos du nucléaire. Les 1200 MW qu’il cite pour une tranche nucléaire sont des MW électriques, la puissance thermique de la tranche étant grosso modo 3 X plus élevée. Puisque la disponibilité (pas très bonne) des centrales françaises est de l’ordre de 80 %, elles produisent de l’électricité environ 7000 h par an, soit pour une centrale de 4800 MW (électriques) 33 600 GWh. Et non 13 920. Où est mon erreur ?

    Répondre
  8. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Où est mon erreur ? Nulle part, une fois de plus. Puisque la disponibilité (pas très bonne) Curieux jugement de valeur. Il faudrait voir si dans un autre pays où ils utilisent les centrale pour la production de semi-base, la disponibilité est meilleure. Mais je ne suis pas sur que ce pays existe.

    Répondre
  9. Nicias says:
    il y a 14 ans

    210 milliards d’€ d’investissements et 400000 emplois qui vont nous couter la peau du cul (3 fois plus que le nucléaire français !) pour produire 40% (à la louche) de plus que notre parc nucléaire. Et si on ne fermait pas nos centrales nucléaires ?

    Répondre
  10. Curious says:
    il y a 14 ans

    @ Nicias Le taux de disponibilité des centrales nucléaires françaises est de l’ordre de 80 %. En Belgique, en Suisse et aux Etats-Unis il est de 90 % et plus. Au Japon entre 85 et 90 %.

    Répondre
  11. Sand says:
    il y a 14 ans

    oui mais bien sur.. avant Fukushima. Qui bien sur n’ai pas un accident nucleaire mais une catastrophe naturelle. Ah, c’est donc cela ! Quand a dire que des emploies « coutent » la peau du cul, c’est avoir la vision d’une taupe, c’est sur qu’avoir 400 000 personnes aux assedics/rsa ca coute moins cher hum ?

    Répondre
  12. eilage says:
    il y a 14 ans

    … en 2020, pourtant la France a le plus grand potentiel européen pour l’éolien offshore … L’UK qui n’a pas notre potentiel investit pour installer 36GW, alors pourquoi nous on y va à reculons ??? Mais attendez deux minutes, c’est pas le nucléaire qui réquisitionne nos STEP avec leurs super lenteur de mise en route ???

    Répondre
  13. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    Vous dites que les anglais ont investi dans l’éolien offshore et pas nous. Soit. Vous dites que si on a pas investi dans l’éolien offshore, c’est de la faute du nucléaire (quelle originalité !). Et vous justifiez cette accusation en disant qu’en France on ne peut pas investir dans l’éolien car le nucléaire réquisitionne toutes nos STEP. Cette accusation est débile pour deux raisons : 1) Les anglais n’ont pas de STEP sur leur territoire (que je sache) et ça ne les empêche pas d’installer cet éolien. Pourquoi cela nous bloquerait nous ? 2) Ce n’est pas le nucléaire qui réquisitionne les STEP. C’est les STEP qui profitent de l’électricité nucléaire peu chère la nuit pour se reremplir et revendre leur électricité plus cher le lendemain. CF les suisses. Les centrales nucléaires, elles, peuvent tout simplement baisser leur charge la nuit. Elles le font très bien.

    Répondre
  14. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    « Les anglais n’ont pas de STEP sur leur territoire (que je sache) » En Angleterre peut être, mais à ma connaissance, il y a quatre STEP en Grande Bretagne : – Ben Cruachan, – Dinorwig, – Foyers, – Ffestiniog. Exemple :

    Répondre
  15. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    « On constate que la France est clairement en retard par rapport à ses voisins européens. » « Disons le clairement : en matière d’énergie, la France est en retard dans tous les domaines : maitrises des consommations et utilisation des énergies renouvelables ! » « La France ne respectera jamais ses engagements du paquet énergie climat, à savoir 27% de la consommation d’électricité produits à partir d’énergie renouvelable ! » Ah ben c’est sûr pour les troll, la France est toujours en retard. Mais depuis 1905, nous savons que tout est relatif, alors analysons l’avance de nos voisins : ça c’est factuel. Rendez-vous en 2020 pour l’énergie (l’électricité ne fait pas tout) : 18% d’EnR en Allemagne et 23% en France… pour l’énergie finale. Mais, car il y a un mais, vous aurez 145,8 TWh (6,35% de la consommation d’énergie finale) d’éolien et de PV en Allemagne, alors qu’en France, vous n’en aurez que 63,8 TWh. Vous voyez donc que la France accumule un retard colossal et Propv a bien raison de railler ceux qui disent : « Mais non, mais non, ….ce n’est pas la France qui est en retard, ce sont les 17 autres pays qui n’ont rien compris ! » M’enfin chacun pense ce qu’il veut, mais n’oubliez pas de lire les NREAP (celui de la France et ceux des voisins).

    Répondre
  16. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    Je corrige donc : 1) Les anglais ont très peu de STEP sur leur territoire et ça ne les empêche pas d’installer cet éolien. Pourquoi cela nous bloquerait nous ?

    Répondre
  17. Wilfried says:
    il y a 14 ans

    Ce n’est pas le taux de disponibilité qui est important, car un réacteur peut être disponible mais ne rien produire, de même que tout autre moyen de production. Ce qui compte, c’est le taux de charge, la production réelle comparée à la production nominale (ou théorique). Pour le nucléaire, le taux de charge est de 74% en France et de 80% dans le monde en 2010 (c’est plutôt 75% et 82% sur dix ans). France : puissance de 63 GW – production nominale de 552 TWh par an – production 2010 de 410 TWh – taux de charge 410/552=0,74 (74%). Monde : puissance de 375 GW – production nominale de 3.285 TWh par an – production 2010 de 2.630 TWh – taux de charge de 2630/3285=0,80 (80%).

    Répondre
  18. eilage says:
    il y a 14 ans

    Bon alors déjà, c’est celui qui dit qui y’est ! ;( 1) En France nous voudrions du renouvelable qui nécessiterai des STEP pour pallier l’intermitence … Et nous avons du (tout) nucléaire qui nécessite les STEP pour pallier l’inertie de fonctionnement très lourdes de ces merveilleuses machines … Ces deux types de production se rencontrent de front dans la nécessité d’avoir à disposition des STEP pour épauler leurs défauts respectifs de fonctionnement … Au UK déjà il y à quelques STEP (merci Dan1) et leur mix énergétique n’est pas aussi exclusivement nucléaire que le notre … Donc leur centrales thermiques qui sont beaucoup plus réactives que des centrales nucléaires, ne nécessitent pas de STEP pour bien fonctionner, car ce sont elles-mêmes qui complètent parfaitement les ENR dans leur défaut d’intermitence … Donc voilà … 2) Non ! Non ! Vous inversez le problème … Le fait que les STEP profitent des centrales nucléaires la nuit pour se remplir n’est qu’une conséquence, dûe au fait que le nucléaire n’est pas assez réactif et pas l’inverse … Une centrale nucléaire met 6heures pour s’allumer ou s’éteindre et vu que les consommations sont assez compliquées à prévoir, ce sont les STEP dans nos Alpes qui font le tampon en évitant de gaspiller une électricité produite souvent face à aucune demande … Ne divaguez pas, le tarif heures de nuit n’est que pour les clients, vous et moi, d’EDF … pas pour EDF eux même !!! EDF ne pratique pas de tarif de nuit pour remplir ses propres STEP à partir de ses propres centrales nucléaire … C’est une contine (fausse) pour enfant à qui ont voudrait expliquer comment ça marche … Dans la réalité c’est beaucoup moins simpliste que ça … Bref !! (Et c’est qui le débile maintenant ?)

    Répondre
  19. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    « Donc leur centrales thermiques qui sont beaucoup plus réactives que des centrales nucléaires » Une grosse centrale à charbon n’est pas plus réactive d’un réacteur REP qui peut faire varier sa puissance, ce qui se voit tous les jours en France. « Une centrale nucléaire met 6 heures pour s’allumer ou s’éteindre » Ah bon, parce que maintenant on les éteint et on les allume ? Je pense plus simplement que l’on fait fait varier la puissance par divers artifices. Par exemple l’EPR serait capable de faire du suivi de charge entre 25% et 100% de la Puissance nominale (Pn = 1 600 MW) selon deux logiques : Suivi de charge léger :entre 60% et 100% de Pn à la vitesse de 5% par minute. Cela veut dire que l’EPR est capable de passer de 1 600 MW à 960 Mw (ou l’inverse) en 8 minutes. Suivi de charge profond : entre 25% et 60% de Pn à la vitesse de 2,5% par minute. Cela veut dire que l’EPR est capable de passer de 960 à 400 Mw (ou l’inverse) en 14 minutes. Sacrée inertie en effet ! Avez-vous les chiffres pour les centrales thermiques à flamme ? Le hic, c’est que faire du suivi de charge est moins rentable que de fonctionner en base.

    Répondre
  20. eilage says:
    il y a 14 ans

    La Norvège avec les futurs réseaux HVDC parle d’être la batterie de l’Europe et notre courant ne pourrait pas traverser la France d’Est en Ouest … Okay !

    Répondre
  21. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    La distance est un gros problème pour ceux qui prêchent la production locale. Mais en fait, c’est un coup dans le zig, un coup dans le zag, on prêche ce qui arrange pour le discours présent, après on peut dire l’inverse. Quand on transporte de l’électricité nucléaire sur 300 km c’est un scandale, mais transporter des électrons EnR norvégiens sur 3 000 km…. c’est un progrès. Alors, l’avenir des EnR c’est à consommer sur lace ou à emporter ?

    Répondre
  22. Bachoubouzouc says:
    il y a 14 ans

    @ Wielfried : Vous dites que ce le taux de charge et non le taux de disponibilité. C’est débile ! C’est plus plus important de savoir qu’on PEUT utiliser un moyen quand on veut que de savoir si le veut vraiment ! L’utilisation d’une centrale nucléaire est une question de choix (base, semi-base), tandis que celle d’une éolienne est imposée ! @ eilage : 1) Pourquoi contester alors que vous n’y connaissez visiblement rien ? Le suivi de charge pour des centrales nucléaire se fait bien et depuis un bout de temps (depuis le choix du tout nucléaire en semi-base après les chocs pétroliers). Cela est contraignant pour les installations et le combustible, mais cela se fait bien. 2) Encore un fois, pourquoi cherchez vous à argumenter alors que visiblement vous n’y connaissez rien ? L’électricité se vend et s’achete sur le marché européen avec des contrats long termes, moyen terme ou au prix SPOT. Le prix SPOT est, comme en bourse, le prix à l’instant t du MWh. Il varie en fonction de l’offre et de la demande, et lorsque par exemple le vent souffle fort la nuit en Allemagne il peut diminuer énormément voire même devenir négatif. A l’inverse, a l’heure de pointe en hiver il peut atteindre de l’ordre du millier d’euros. D’où mon commentaire précédent.

    Répondre
  23. Gil says:
    il y a 14 ans

    Juste une question? Ayant pour mesure et test fabriqué une pile à combustible PEMFC, donc une pile à membrane PEM dont la construction est simple, il suffit de maintenir les conditions de pression et température de la membrane pour obtenir un bon rendement soit en production d’électricité ou en production d’hydrogène, (mode reverse) Je me demande pourquoi on ne parle pas de stocker l’énergie exédentaire de l’éolien et du solaire sous forme gazeuse? L’hydrogène produit dans des mini-centrales près des fermes pouvant être directement utilisé dans les centrale à turbine à gaz quand le besoin de compenser les réseaux se fait sentir.

    Répondre
  24. renewable says:
    il y a 14 ans

    heuuu. Dans votre monologue il manque le layus sur les déchets, le risque et la non réalité du bas cout du nucléaire 🙂 Même votre EPR hyper subventionné pour sa recherche, son site d’implantation, ses travailleurs ultra sous traités et sous payés, son raccordement électrique payé par nous et la sécurité assurée par l’état sera 2 fois plus cher que le nucléaire existant.. C’est ça votre alternative? Continuer dans le nucléaire c’est aussi doubler le prix de l’électricité sans résoudre le problème des déchets et du risque. utilisons la rente nucléaire, l’existant amorti pour faire la transition qui bien entenud coutera plus cher mais ne portera plus le risque et stoppera l’amoncellement de déchets ingérables.

    Répondre
  25. renewable says:
    il y a 14 ans

    EPR Le problème c’est qu’il aura toujours la priorité sur le réseau, si l’on regarde les courbe de rentabilité de cette bouse, on fait exploser le cout du KWh produit dès qu’on descend sous les 90% de FC… Donc il produira toujours en base pour ne pas dépasser ses 80€ du MWh; Ceci au détriment des autres énergies qui devraont s’adapter, hydraulique, biomasse ou fossiles. Sympa la vie du nucléaire en France. par contre si on développe un parc EPR pour remplacer tout l’existant il faudra bien en faire et ça couter beaucoup trop cher. Du coup je parie que l’on ne dépasserai pas 60% de nucléaire avec cette bouse d’EPR. Sauf qu’en fait on n’en fera pas d’autre que celui de flamanville, son destin est celui du rafale en pire, même pas de marché français garanti. Par contre on va sans doute devoir construire de l’ATMEA car nous n’allons pas prendre les bonnes décisions suffisamment rapidement en termes d’ENR et il faudra encore un peu de nucléaire pour la transition.

    Répondre
  26. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Il faut tordre le coup à l’EPR et son MWh trop cher. Edf est un monopole privatisé. Il veut faire des bénéfices. L’Etat fixe les prix de vente d’un monopole en prenant les coûts de production plus une prime pour que l’entreprise fasse des profits suffisants. Proglio a donc intérêt a annoncer qu’Edf va investir 30 milliards pour rénover les centrales et demander en conséquence une augmentation des prix de électricité substantielle. Mais cela n’a pas forcément de réalité et le site de l’autorité de surveillance dont j’ai oublié le nom m’a laissé une très mauvaise impression (d’ailleurs je n’ai jamais vu quelqu’un ici citer son travail…). La logique est la même pour l’EPR, EDF a intérêt a afficher un cout du MWh le plus haut possible tout en restant un peu inférieur au prix du marché anticipé pour justifier l’investissement. Ainsi par exemple, le coût du MWh du nucléaire provient principalement du montant investi et encore plus du taux d’actualisation, c-a-d de la période d’amortissement retenue et du taux d’intérêt auquel emprunte EDF. Plus le temps d’amortissement est long, plus l’impact du taux d’intérêt est élevé. Pour l’EPR le taux d’actualisation retenu est de 8%, c’est absolument n’importe quoi. Je ne sais pas à combien emprunte et empruntera Edf mais on doit être proche de 6% en restant très conservateur. Cela nous donne un taux d’intérêt réel (hors inflation) de 4% ce qui à la louche fait plus que diviser par 2 le coût du MWh.

    Répondre
  27. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Cout du MWh en fonction du taux d’actualisation (source ministère de l’industrie): 5% 21,4€ 8% 28,4€ 11% 37€

    Répondre
  28. Nicias says:
    il y a 14 ans

    L’hypothèse centrale des coûts de référence retient un taux d’actualisation de 8% (en termes réels, avant impôt) c’est le même 8% que le rapport de 2003, donc ça date d’avant 2003, les taux ont bougé depuis. Je n’arrive pas a trouver de source potable en plus mon wifi est à la ramasse. Dans un autre post, j’ai indiqué que Areva avait emprunté à 4,75% environ sur 15ans. A comparer au 8% réel… plus l’inflation qu’on va mettre a 2% cela nous fait du 10%, je suis désolé c’est pas crédible. Ensuite merci pour ce nouveau biais: Par ailleurs pour les dépenses lointaines de la filière nucléaire (démantèlement et cycle aval du combustible nucléaire) le taux d’actualisation choisi est de 3%. Edf constitue un portefeuille d’obligations et actions pour couvrir le coût futur de démentellement (actuellement 12 milliards). Donc Edf ne va pas emprunter pour financer ces coûts mais placer de l’argent qui rapporte… En fait ce chiffre de 3% n’a probablement aucun sens économique (si non ce serai 8 comme l’autre). Il faudrait lire le rapport source, on peut mettre ce que l’on veut dans un taux d’actualisation pas forcément un coût financier. Peut être est-ce un risque de pollution, je ne sais pas. Pour mon histoire de monopole qui truque ses coût, j’invite a lire les rapports de la cours des comptes sur les autoroutes. Bizarrement les coûts d’entretien explosent sur les tronçons privatisés, il faut dire que les vendre à des entreprises de BTP qui les font réparer par leurs filiales est d’une stupidité sans nom.

    Répondre
  29. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Le coût moyen de la dette du Groupe (taux d’intérêt pondéré des encours) s’établit à 4,2 % au 30 juin 2011 contre 4,4 % au 31 décembre 2010. (ndt donc un taux réel de 2% pour une inflation à 2,2% constatée depuis la création de l’€). D’autre part: L’hypothèse centrale des coûts de référence retient un taux d’actualisation de 8% (en termes réels, avant impôt) cohérente avec le coût du capital considéré par les entreprises de production électrique Ce qui en bon français, veut dire que les estimations du coût du capital de cette évaluation publique s’appuie sur des chiffres fournis par Edf. CQFD.

    Répondre
  30. Nicias says:
    il y a 14 ans

    L’hypothèse centrale des coûts de référence retient un taux d’actualisation de 8% (en termes réels, avant impôt) cohérente avec le coût du capital considéré par les entreprises de production électrique. Des intérêts de la dette déductible des impots donc ?

    Répondre
  31. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Comme je le signalais en 2008, il n’est pas inintéressant de lire le fameux rapport Charpin (+ Dessus + Pellat) : Pour ce qui concerne le débat sans fin du taux d’actualisation, lire l’annexe 8 page 250/274.

    Répondre
  32. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Le lien direct vers le rapport Charpin, Dessus, Pellat est : Déjà donné plusieurs fois sur Enerzine.

    Répondre
  33. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Merci pour le lien vers ce rapport « Charpin ». Je poste avant la fermeture. Ce que je lis confirme que le choix du taux est arbitraire et ne comprend pas que des coûts économiques (j’y reviendrai demain) et je précise que le choix effectué est, comme le confirme l’Ademe (cf Rouget), d’égaliser le taux d’actualisation et le coût du capital, ce qui biaise considérablement le calcul du coût du MWh de l’EPR.

    Répondre
  34. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    EDF peut apparemment emprunter à 4,5% auprès des Français… enfin ses clients. C’est à croire que les Français font confiance à une entreprise publique. Le problème, c’est qu’il faut être très vigilant, car si EDF n’arrête pas la collecte à temps…. il rentre trop de milliards. Effectivement c’est pas facile à gérer !

    Répondre
  35. Sicetaitsimple says:
    il y a 14 ans

    Ca fait plusieurs fois que je vois cette absurdité proférée sur Enerzine. Rappelons juste: – qu’EDF est (sauf erreur) le seul exploitant de STEP en France – Qu’EDF est (sauf erreur également) l’acheteur obligé de l’ensemble de la production éolienne, solaire, mini-hydro, biomasse, cogénération gaz sous contrat d’achat…qui produisent quand elles peuvent ou quand elles veulent. Alors laissons EDF faire son optimisation de tout ça, mais pas de procès d’intention ridicule! Quand ça souffle la nuit en été, il y a des MWh éolien qui sont implicitement stockés dans des STEP. Et aucun producteur d’electricité sous obligation d’achat n’a à se préoccuper de ce problème, ce n’est pas le sien, au moins dans le paysage actuel.

    Répondre
  36. Nicias says:
    il y a 14 ans

    @Renewable Les prix du MWh donnés plus haut sont évidemment relatifs à un EPR à 3 milliards et non 6. L’objectif était juste de montrer que le choix du taux d’actualisation peux faire varier du simple au double le prix du MWh. Or si 8% peut se justifier dans une vision de choix public ou l’on prend en compte l’intérêt des génération futures et présentes (voir le lien donné par Dan plus haut), pour autant ce n’est pas pertinent pour le choix privé d’EdF. Pour EdF, le taux d’actualisation, c’est 2% au vu du coût de sa dette. Il faut donc retirer plusieurs dizaines d’€ au coût du MWh affiché par EdF.

    Répondre
  37. Nicias says:
    il y a 14 ans

    @chelya « à noter qu’historiquement les têtes de série coutent moins cher que les réacteurs suivants donc cette hypothétique baisse des couts ne reposent sur rien… » C’est faux et l’on peut l’illustrer par la durée de construction des Rep 900 MWe: Fessenheim 1 78 mois Fessenheim 2 71 mois Bugey 1 77 mois Bugey 2 68 mois Bugey 3 66 mois Bugey 4 61 mois Il y a des contre éxemple mais globalement on passe de 75 mois pour Fessenheim à 61 mois pour les dernières centrales construites. Source Et votre 1,5 milliard d’€, il sort d’ou ?

    Répondre
  38. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Si vous voulez philosopher sur les conséquences dramatiques des surcoûts de l’EPR, je vous conseille d’analyser en détail les études des Finlandais. Risto Tarjanne ne semble exagérément inquiet par un EPR à 4,5 milliards d’euros. Encore une fois, dans le nucléaire, le prix initial du réacteur (enfin de la tranche) ne détermine pas la totalité du prix du MWh… sur 60 ans. Pour se rendre compte du poids du prix du réacteur dans le coût du kWh, il n’est inutile de relire le rapport Charpin-Dessus-Pellat de 2000 maintes fois cité. A vous entendre, la dérive serait titanesque. Dans ce cas demandez conseil à Alfred Wegener !

    Répondre
  39. Dan1 says:
    il y a 14 ans

    Si vous voulez philosopher sur les conséquences dramatiques des surcoûts de l’EPR, je vous conseille d’analyser en détail les études des Finlandais. Risto Tarjanne ne semble exagérément inquiet par un EPR à 4,5 milliards d’euros. Encore une fois, dans le nucléaire, le prix initial du réacteur (enfin de la tranche) ne détermine pas la totalité du prix du MWh… sur 60 ans. Pour se rendre compte du poids du prix du réacteur dans le coût du kWh, il n’est inutile de relire le rapport Charpin-Dessus-Pellat de 2000 maintes fois cité. A vous entendre, la dérive serait titanesque. Dans ce cas demandez conseil à Alfred Wegener !

    Répondre
  40. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Votre lien parle des temps de construction mais se garde bien de parler de diminution des couts d’investissement… La mauvaise foi de Chelya dans toute sa splendeur et je reste poli. Les sources de réduction des coûts sont abondement listées dans mon lien, et même quantifiées plus bas mais le graphique est sans échelle visible. Si l’auteur voulait illustrer l’effet d’une diminution des couts d’investissement pourquoi diable ne pas mettre les couts d’investissement plutot que la durée de construction ? Je ne sais pas, peut être que le coût de l’investissement dépend de plein de paramètres, il y a du bruit (réglementaire, géologique, intérêts intercalaires etc…). la régression linéaire qui est indiqué me parait violer les principes de mathématique élémentaires… Vous avez bu ? Ou voyez vous une droite dans le graphique ? Moi je vois un logarithme. Visiblement, les mathématiques élémentaires vous échappent (attention, c’est des maths de l’école nuclèophile des mines). Pour les 1,5 milliards d’euros il s’agit de la valeur prise dans les cout de références de la production électrique 2003 Je me suis déjà tapé le PPI 2009 donné par Rouget en entier pour retrouver votre chiffre. Alors le minimum quand on vous demande une source sur internet, c’est de fournir un lien (et pas payant si possible…). comment ils comptaient divisé par 6 le cout d’un EPR… 6/1,5=4 Vous êtes vraiment faché avec les maths…

    Répondre
  41. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Si l’auteur voulait illustrer l’effet d’une diminution des couts d’investissement pourquoi diable ne pas mettre les couts d’investissement plutot que la durée de construction ? Comme l’indique votre Autrichien dans un lien non payant cette fois ci, les données n’étaient pas disponibles avant 2000 (c’est page 17).

    Répondre
  42. Nicias says:
    il y a 14 ans

    Comme l’indique Grubler, les données par réacteurs ou centrale ne sont pas connues. Il estime donc le coût de construction a partir de la durée de construction et des investissements totaux par année d’EdF.

    Répondre

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