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Gaz de schiste : combien de permis de recherches ?

par La rédaction
26 avril 2011
en Gaz, Non Renouvelable

Enerzine se propose de reprendre et de relayer des informations sur le gaz et l’huile de schiste publiées par le ministère de l’Ecologie et du Développement durable, dans l’objectif de mieux faire connaître à nos lecteurs, les enjeux et les problématiques liés à ces hydrocarbures non conventionnelles.


Gaz de schiste – permis de recherche attribués

Par arrêtés datés du 1er mars 2010, le ministère en charge de l’énergie a accordé trois permis exclusifs de recherches d’hydrocarbures, sur une surface totalisant 9672 km², dans les départements de l’Ardèche, la Drôme, le Vaucluse, le Gard, l’Hérault, l’Aveyron et la Lozère, pour des durées de 3 à 5 ans.

Ci dessous, la carte des permis de recherche attribués, début 2010, ciblant spécifiquement le gaz de schiste.

Gaz de schiste : combien de permis de recherches ?

Titres miniers d’hydrocarbures Gaz de schiste dans le Sud-Est

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Ensemble des demandes des permis de recherches

Sur la carte suivante, vous trouverez (en gris) l’ensemble des demandes de permis de recherche en cours d’instruction’ au 1er janvier 2011 : Consultez la carte de l’ensemble des demandes de permis de recherche (.PDF).

Les demandes déposées sont nombreuses, elles concernent divers types de cibles géologiques : huile / gaz, roche mère / réservoirs plus "classiques".

Les demandes ciblant les gaz de roche mère (= gaz de schiste) sont les suivantes :

– 1585 "Brignoles"
– 1586 "Provence"
– 1592 "Lyon Annecy"
– 1612 "Blyes"
– 1613 "Gex"
– 1621 "Valence"
– 1624 "Cahors"
– 1643 "Extension Montélimar"
– 1646 "Montfalcon"
– 1648 "St Bernard"

Remarque : les numéros ci-dessus permettent de se repérer sur la carte de l’ensemble des permis de recherche.

 

SOMMAIRE :

Qu’est-ce que le gaz et l’huile de schiste ?

Combien de permis de recherches ont été accordés en France pour le gaz de schiste ?

Pourquoi rechercher des ressources en gaz de schiste ?
Quels sont les risques pour l’environnement de l’exploitation des gaz de schiste ?
Qu’est ce qu’un permis de recherches ?
Une mission pour mieux comprendre les gaz de schistes
Quelle est l’avancée des travaux d’explorations planifiés par les industriels ?
Quelle procédure est mise en place pour les permis de recherches ?
Quelle est la procédure pour entamer les travaux d’exploration (forages) ?
Les ressources en gaz de schiste seront-t-elles exploitées en France ?
Quelle est la procédure en cas de demande de permis d’exploitation ?

 

Tags: a-sungaz schistehydrocarburespermis
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Commentaires 17

  1. Samivel51 says:
    il y a 14 ans

    La vraie question est de savoir ce qu’autorisent les permis de recherche. S’il s’agit uniquement de forer verticalement, sans fracturation de la roche, pour voir ce qu’il y a, sans droit d’exploitation, franchement il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Ce ne sont alors que des forages banals, sans pollution, qui nous permettront de mieux connaitre notre sous-sol. Quelqu’un peut-il confirmer? Mais alors: Si les permis d’exploration ne donnent aucun droit d’exploitation, pourquoi les industriels depensent-ils de l’argent pour decouvrir (eventuellement) des ressources qui seront peut-etre exploitees par d’autres, voire pas exploitees du tout? Merci pour vos contributions.

    Répondre
  2. Fred 13 says:
    il y a 14 ans

    Lors d’une conférence sur ce sujet  , il nous a été expliqué (par des spécialistes) qu’il n’y a pas de différence technologique entre une exploration et une exploitation.Il ne s’agit en aucun cas d’un simple « trou ». De plus la durée dans le temps pour « l’exploration » n’est pas définie, elle peut durer des années….à extraire ! Les pétroliers joue désormais sur les mots « exploration, recherche,dévellopement », sur les noms « gaz de schistes », »gaz de roches mère » afin de semer la confusion dans les esprits des gens, on voit également qu’il est question d’interesser les communes sur un plan financier avec une participation aux bénéfices.On peut pratiquement parler de « corruption » Leur but est évidemment de retourner la situation en leur faveur et d’amener la population à finir par accepter cette folie.Il n’y a pas , et il n’y aura jamais d’exploitation de gaz ( quels qu’ils soient) propres et métrisée. Une transition (avec du temps) vers un autre mode de dévellopement énergétique est possible. Le lien pour un collectif varois, apolitique et objectif.

    Répondre
  3. Samivel51 says:
    il y a 14 ans

    Dans le document pdf du ministere (dont le lien est dans l’article), tous les permis d’exploration (et de production) ont bien evidemment une date d’expiration! Cette inexactitude jette le doute sur le reste de votre commentaire. Il me semble que vous avez assiste a une conference d’anti-gaz de schiste dont l’exactitude factuelle n’etait sans doute pas la priorite… Par ailleurs, intuitivement (et j’aimerais que des lecteurs mieux informes le confirment), on imagine qu’un permis d’exploration n’autorise pas sont titulaire a commercialiser les ressources qu’il trouve. Sinon on parlerait de permis d’exploration et production. Or la production (par opposition a un simple carottage d’exploration) de gaz de schiste exige des investissements enormes (pour fracturer de grands volumes de roches). Pourquoi depenser de telles sommes si la commercialisation n’est pas autorisee?

    Répondre
  4. Fred 13 says:
    il y a 14 ans

    Pour moi aucun doute dans mon esprit, les pétroliers ont décidés de forer et ils vont le faire si nous ne faisons rien.Je pense que le moyen d’y parvenir c’est de diviser l’opposition (vieille méthode souvent usitée).Vous êtes l’exemple meme du but recherché c’est à dire que vous n’etes , a priori par pour mais vous n’etes pas totalement contre ….en fait vous etes indécis, de l’eau bénite pour ces adversaires.Vous pensez que les politiciens, les industriels vont agir dans la transparence la plus totale, que des organismes de controles, indépendants,vont pouvoir avoir acces à toutes les données, analyser et éventuellement tout arreter, dans quel monde vivez vous ? Dites vous bien une chose , quelques soient le contenu des permis ou des textes, réglementation etc , il existe toujours un moyen de les contourner et une fois « l’exploration » accordée vous n’arreterez plus rien ! « une fois que le cheval à quitté l’écurie, c’est inutile de chercher à fermer la porte »

    Répondre
  5. jl06 says:
    il y a 14 ans

    En réponse aux questions et commentaires précédents et pour tous ceux que ça intéresse. Il y a deux phases « légales » dans la vie d’un champ d’hydrocarbures (ce qui suit est général et pas du tout exclusif aux gaz de schiste): la phase d’exploration et la phase d’exploitation. Ces deux étapes recoupent les activités techniques de la vie d’un champ et sont tout à fait distinctes dans leurs objectifs. L’exploitation d’un champ, c’est la phase de production: elle dure de quelques années à quelques dizaines d’années selon les caractéristiques du champ. Elle nécessite la construction d’infrastructures et d’équipements pour assurer le lien entre le réservoir et la surface, le traitement des fluides recueillis, et le transport des produits. Ces installations sont couteuses, elles conditionnent la performance de l’opération et doivent être adaptées aux conditions spécifiques de chaque champ. Avant de décider d’investir dans ces installations, on procède donc à une phase d’exploration, qui vise principalement à déterminer s’il y a présence ou non d’un gisement. Les méthodes employées vont des études régionales (en se fiant sur toutes les données et les connaissances déjà disponibles) aux méthodes géophysiques (gravimétrie, magnétométrie, sismique…). Mais seul la vérification par un sondage permettra de donner une réponse définitive. Pour éviter les dépenses et les activités inutiles, on fait évidemment tout le travail possible en amont pour forer le « bon » puits, s’il est justifié. Il existe une autre phase, critique, entre l’exploration et l’exploitation: l’appréciation. Si le programme d’exploration est positif (c’est à dire qu’il semble que le champ soit exploitable), il faut encore savoir comment on pourrait l’exploiter. Le programme d’appréciation a pour objectif de répondre à cette question afin de permettre la préparation du « plan de développement ». Ceci étant précisé: + La phase d’exploration ne va pas forcément jusqu’au forage: c’est l’échec du programme (souvent dans l’industrie). + Si un puits d’exploration est foré, il est généralement vertical (pour éviter les dépenses inutiles). S’il est positif, on passe en général à l’appréciation. + Le programme d’appréciation a pour objectif de permettre le choix du meilleur plan de développement. Donc il devra impérativement inclure des activités pratiquées en cours d’exploitation, comme la fracturation hydraulique et de nombreuses études (modélisation, labo, …) pour conduire à un plan robuste. + En conséquence, la superficie des permis d’exploration est toujours grande: on prend une perspective régionale pour les études et les relevés de terrain, mais on fore très peu. + La phase d’appréciation est centrée sur la zone d’intérêt révélée par l’exploration. Elle inclut en général au moins un puits du type que l’on prévoit d’utiliser en exploitation. Cette phase est souvent incluse dans le permis (on repasse au domaine légal) d’exploration. + La phase d’exploitation est soumise à ses propres règles et en particulier à l’attribution du permis d’exploitation.

    Répondre
  6. Fred 13 says:
    il y a 14 ans

    + Le programme d’appréciation a pour objectifs de confirmer la possibilité d’exploitation et de permettre le choix du meilleur plan de développement. Donc il devra impérativement inclure des activités pratiquées en cours d’exploitation, comme la fracturation hydraulique et de nombreuses études (modélisation, labo, …) pour conduire à un plan robuste. Merci pour ce commentaire.Si certains ont encore des doutes sur le fait qu’il y aura une phase qui se déroulera dans le flou le plus total…

    Répondre
  7. Rice says:
    il y a 14 ans

    …. ne seriez vous pas de parenté avec Dan1, grand défenseur du nucléaire comme vous l’êtes du GdS ? A moins que vous ne soyez qu’une seule et même personne ????

    Répondre
  8. Samivel51 says:
    il y a 14 ans

    Donc le fait que je cherche a comprendre et a etablir une verite factuelle fait de moi un complice de l' »ennemi »?! C’est ce genre d’obscurantisme stalinien qui rend de nombreux militants ecologistes absolument infrequentables, et nuit gravement a la mise en oeuvre de leurs idees politiques. Et c’est bien dommage…

    Répondre
  9. Samivel51 says:
    il y a 14 ans

    Merci pour ces elements. Quels liens y a-t-il entre le permis d’exploration et celui d’exploitation? Le permis d’exploration donne-t-il des droits sur le futur permis d’exploitation? Dans le cas contraire, comment les industriels motivent-ils de telles depenses?

    Répondre
  10. Fred 13 says:
    il y a 14 ans

    Les puissants ne sont que des tricheurs…et si le fait de l’avoir compris depuis longtemps , de ne plus croire au miroir au alouette fait de moi, a vos yeux, un « obscurantiste satlinien »(là j’ai peur) ou « un écolo infréquentable »(là je préfère)  alors tout débat est inutile.Vous chercher à comprendre, analyser, vous faire votre propre opinion.C’est tout à votre honneur car cela devrait etre la seule et unique démarche intellectuel sauf quand matière d’energie le jeu est truqué, de plus , savez vous qu’en droit français ,nous ne sommes pas propriétaire de notre sous/sol ? les conséquences de cette législation est que n’importe quel exploitant peu se pointer un matin chez vous,entrer sans frapper et faire des trous la ou bon lui semble.Je sais c’est schématisé à l’exces mais pas tant que ça, car si vous n’etes pas d’accord, alors un droit de préemption peut etre appliqué.Cette idée vous séduit elle ?

    Répondre
  11. jl06 says:
    il y a 14 ans

    Reprenons dans l’ordre des différents commentaires… Il me paraît essentiel que tout le monde comprenne le rôle de la phase d’appréciation, qui peut inclure quelques puits suivant les projets (disons 2-3). Mais ne tirons pas de conclusions hâtives pour autant: oui, on devrait s’attendre à ce que tout projet bien mené demande l’autorisation d’entreprendre des opérations telles que celles envisagées pour mettre en place le développement, mais ça reste soumis aux conditions du permis d’exploration et à la règlementation en vigueur. C’est pour cela que j’insistais dans une autre contribution sur la nécessité de traduire les craintes vis-à-vis des gaz de schiste en règlementation pour encadrer toute activité, que ce soit en exploration ou en exploitation. J’ai également eu l’occasion de lire les contributions de Dan1 mais je ne le connais pas personnellement et il y a peu de chance que nous soyons apparentés. En tout cas, sauf schizophrénie grave de ma part, nous sommes bien deux personnes distinctes! « grand défenseur du GdS »… intéressant. Ce que j’essaie de défendre, c’est avant tout l’objectivité et les faits. Or en ce qui concerne les GdS, je trouve peu d’informations fondées dans les réalités du métier dit « pétrolier » (il y en a cependant) alors que les inquiétudes sont tout à fait justifiées. Je ne souhaite pas voir de catastrophe industrielle, ici ou ailleurs. Mais je ne peux pas non plus suivre un mouvement d’opposition sur des bases flouées (même si c’est efficace aux yeux de certains). Je souhaiterais voir se développer une expertise citoyenne solide capable de donner la réplique à l’industrie sur ses propres bases. Mais en attendant, on a vite fait de classer les uns en défenseurs et les autres en opposants. Je crois que pour la plupart, nous sommes simplement soucieux et engagés. J’aimerais arriver à une solution bien fondée. Je ne suis pas un spécialiste du droit minier français. Il existe généralement un lien entre les deux permis: c’est celui qui reconnaît le « découvreur » de la ressource (qui reste cependant considérée comme richesse nationale). Donc le détenteur du permis d’exploration a la possibilité de demander un permis d’exploitation qui est examiné au regard de critères du droit minier. Donc si l’opérateur ou son plan ne répondent pas de façon satisfaisante aux critères, le permis n’est pas délivré. C’est rare d’être complètement à côté, puisque les entreprises connaissent les conditions et font le nécessaire pour s’y soumettre. Mais il n’est pas rare (ailleurs en tout cas) de voir les pouvoirs publics demander des précisions et des modifications aux industriels. Encore une fois, voilà pourquoi je pense qu’il faut revoir les aspects du code minier et de la règlementation applicables aux GdS. Comme nous le rappelle Fred 13, ne soyons pas dupes: les intérêts en jeu sont énormes et les influences considérables. Mais donnons-nous les moyens de ne pas être ignorés.

    Répondre
  12. Nenuphar says:
    il y a 14 ans

    Un article paru aujourdhui sur les gaz de schistes

    Répondre
  13. Sicetaitsimple says:
    il y a 14 ans

    Décidement, dan1 a plein de sosies…Chaque fois que quelqu’un essaie d’expliquer un certain nombre de choses de façon un peu rationnelle,c’est un parent de Dan1 voire Dan1 lui-même. Le qualificatif de stalinien me parait effectivement assez adapté à ce genre de pratique.. .

    Répondre
  14. Qamar says:
    il y a 14 ans

    Pour ceux qui penseraient que l’exploration diffère de l’exploitation, par l’absence de commercialisation, ci-dessous l’article du nouveau code minier, (mais l’ancien ne différait pas sur ce sujet), qui prouve que le titulaire du permis exclusif peut vendre le produit  de l’exploration et, sachant que dans le cas qui nous préoccupe, la ressource est vite épuisée et que les permis d’explorer sont renouvelables 2 fois 5 ans, pourquoi s’emm… à demander un permis d’exploitation qui nécessiterait une enquête publique? Article L122-1 Le permis exclusif de recherches de substances concessibles confère à son titulaire l’exclusivité du droit d’effectuer tous travaux de recherches dans le périmètre qu’il définit et de disposer librement des produits extraits à l’occasion des recherches et des essais.  

    Répondre
  15. Fred 13 says:
    il y a 14 ans

    Merci pour l’info qui apporte de l’eau à mon moulin ! Les pétroliers vont nous anarquer c’est évident.

    Répondre
  16. Rice says:
    il y a 14 ans

    @ Jl06 « On » dit qu’il faudrait environ 10.000.000 de litres d’eau, chargée de sable et de presque 600 additifs chimique pour 1 seul puits. « On » dit que seulement 55 % de cette eau est récupérée et que 45 percole doucement dans le sous-sol (vers les nappes phréatiques ?). « On » dit que l’on peut fracturer jusqu’à 3 fois un même puits (avec à chaque fois la même quantité d’eau moins celle récupérée des précédentes fracturations ?). « On » dit que les américains auraient déjà forés 550.000 puits chez eux… « On » dit que les réserves ne vont guère au delà de 10 ans. « On » dit que l’eau sera polluée pour des milliers d’années. « Je » pense qu’il y a des interrogations et que nous n’avons pas de réponses. Alors, en l’absence à ce qui précède, pas question de donner des autorisations d' »exploration », qui, on le sait bien au vu des enjeux financiers ENORMES, deviendront d' »exploitation ». Maintenant, j’apprécie aussi bien les commentaires de DAN1 que de JL06, mais ce que j’apprécierais encore plus un minimum d’informations objectives et vérifiables. Honnêtes, quoi ! Je rêve un peu, non ? De plus, nous savons tous qu’en l’absence de volonté politique de 1/diminuer notre consommation d’énergie et 2/passer au renouvelable, rien ne se fera face aux puissants lobbys du pétrole et du nucléaire. Mais bon, on peut également difficilement leur demander de se tirer une balle dans le pied, non ? Alors, cessons de leur demander. Faisons le !

    Répondre
  17. jl06 says:
    il y a 14 ans

    Je reprends le commentaire de Rice sur la difficulté d’obtenir des informations objectives et vérifiables. Car si ce que « on » dit est parfois du domaine des certitudes factuelles établies, il faut aussi constamment faire le tri pour s’y retrouver. Et tout le monde ne peut pas devenir spécialiste du jour au lendemain. Hier solaire, aujourd’hui GdS, demain nucléaire, après-demain éolien… et il n’y a pas que l’énergie ! En plus, une fois qu’on a acquis la spécialisation, on tend à perdre sa crédibilité vis-à-vis des contestataires, de la même façon d’ailleurs qu’on peut la perdre dans l’industrie en ouvrant le débat et en étant vraiment réceptif aux inquiétudes soulevées. Bref, difficile de s’en sortir avec sérénité et plus facile de laisser tomber ou de critiquer. Que faire? C’est un sujet qui me préoccupe. Voici où j’en suis dans mes réflexions. Désolé, c’est un peu long, mais je n’ai pas le temps de faire plus court. Vos avis sont les bienvenus. Faisons abstraction (un petit effort!) pour un moment des groupes de pression dont les objectifs sont tout autres que l’objectivité. Admettons (aller, un effort de plus!) que nous sommes généralement sincères en tant que professionnels (convaincus de bien faire et donc surpris de réactions négatives) et en tant que citoyens (confiants et méfiants à la fois, et facilement inquiétés par les menaces dont « on » nous dit qu’elles pourraient nous atteindre). Serait-il possible de trouver un équilibre dans ce dialogue industrie-citoyen qui part généralement sur un mauvais pied et qui ne se manifeste souvent que dans la contestation? Je le pense, et même qu’il est impératif de se donner la peine d’y parvenir. Quelle autre issue à moins de condamner systématiquement toute activité industrielle ou d’ignorer systématiquement l’opinion des acteurs hors industrie? Pour quels résultats? Admettons (un dernier effort) qu’un groupe (variable, dont chacun peut faire partie) bien informé sur la question parvienne à faire le tri pour tous ceux qui se sentent concernés mais démunis face aux spécialistes en qui ils n’ont pas confiance. Ça permettrait au moins de se persuader que l’on a accès à des informations « objectives et vérifiables » qui permettrait d’ouvrir un dialogue équilibré. Supposons que ce groupe soit reconnu, qu’il ait la confiance citoyenne, et qu’il ait une place de choix dans l’instruction, la validation, le contrôle et le suivi des projets industriels. Les inquiétudes des uns et les solutions des autres peuvent être examinées objectivement. Un projet se construit et s’ajuste. Même si l’expression consacrée ne me plaît pas, voilà ce qui me semble cohérent avec une démarche de développement « durable ». Pour être crédible et légitime, ce dialogue doit être exigé par la loi. L’issue du dialogue se trouve dans la réglementation en vigueur qui déterminera alors le cours du projet. La réglementation devra évoluer dans le temps pour refléter l’expérience acquise et les divergences industrie-citoyens. Je me prononce donc pour un cadre législatif et règlementaire solide et dynamique d’une part ainsi que la mise en place de comités « citoyens » indépendants regroupant les thèmes de l’énergie d’autre part. C’est à mon sens la seule vraie possibilité aujourd’hui: chacun de nous peut et doit s’engager personnellement et responsablement en nous assurant que lorsque nous ne pouvons pas le faire, nous avons confiance en ceux qui ont le temps et les moyens d’intervenir dans un cadre établi sans intérêts cachés (élections, bénéfices, image…). Pour ce qui est des hypothèses et suppositions émises plus haut, je pense aussi que la combinaison industrie – réglementation – régulateur – comité citoyen agissant dans le cadre de la loi pourrait effacer les influences aux intérêts douteux.

    Répondre

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