L’italien Enel Green Power change le nom de sa filiale française, Enel Erelis, qui devient Enel Green Power France.
Créée en aout 2002, et détenue à 100% par Enel depuis Juillet 2006, Enel Erelis est une société du groupe, spécialisée dans le développement, la construction et l’exploitation de projets à partir de sources renouvelables en France.
Basée à Lyon et à Rennes, avec des équipes dédiées à l’ingénierie et au développement, Enel Green Power France bénéficie des synergies et de l’expertise du groupe Enel dans les sources renouvelables dans le but de devenir un acteur majeur des renouvelables en France.
« L’intégration d’Enel Green Power France au sein de la grande famille d’Enel Green Power est bien avancée et ce changement de nom démontre de façon significative l’importance croissante que nous accordons au marché français avec une attention particulière dans le développement de notre présence sur ce territoire » a indiqué Francesco Starace, président d’Enel Green Power.
Enel Erelis exploite sept parcs éoliens avec 68 MW de capacité installée et a environ 500 MW de projets futurs, dont 80 MW sont en construction.
En 2008, Enel Green Power a annoncé des revenus avoisinant 1,9 milliard d’euros et un Ebitda (excédent brut d’exploitation) de presque 1,2 milliard d’euros. L’entreprise emploie plus de 2 500 personnes.
La capacité installée à partir de sources d’énergies éoliennes,solaires, géothermiques, hydroélectriques et de la biomasse avoisine 4,700 MW (données du 30 septembre 2009) et EGP compte plus de 500 centrales en exploitation ou en construction à travers le monde.
Les actifs de production d’Enel Green Power se situent dans les régions du monde suivantes :
- Italie : 2 599 MW de capacité installée.
- Ibérie : 479 MW de capacité installée
- Amérique du Nord : 788 MW déjà installés.
- Amérique latine : 667 MW de capacité installée dont 24 MW en énergie éolienne et 643 MW en hydroélectrique.
En outre, 165 MW de la capacité en énergies renouvelables sont déjà installés en France, en Grèce et en Bulgarie (données du 30 septembre 2009).
ces gens là se foutent de la gueule des citoyens vivant aux alentours de leurs gigantesques montres d’acier (exemple en normandie). Qu’un seul recours les attaqués au civil…Ca marche